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Les corps subtils

by 30 juin 2014

La tradition ésotérique représente en général sept corps subtils. Certains clairvoyants en perçevraient douze. Pour comprendre la nature de ces différents corps, il faut considérer que nous ne sommes pas un corps avec une âme mais une âme avec un corps. En effet, chaque être humain est une âme incarnée pour une évolution particulière propre à l’âme. Le désir de s’incarner existe dans l’âme causale (individuelle), qui est une monade. Les corps subtils sont en réalité une densification du monde causal vers le physique en passant par différents plan d’existence (mahâparanirvanique, paranirvanique, nirvanique, bouddhique, mental, astral, physique).

La matière astrale se densifie aussi pour donner naissance au corps éthérique et physique. Chaque particule du corps physique à son pendant dans le corps astral.

C’est via le corps astral que le corps éthérique reçoit l’énergie nécessaire au fonctionnement du corps physique. Les centres du corps éthérique ont leur correspondance dans le corps astral. A noter qu’il y aurait un filtre entre le corps astral et le corps éthérique laissant passer que les énergies utiles au corps dont le prana ainsi que les ondes astrales (de l’astral supérieur et mental inférieur). Le prana astral vient du corps astral et le prana physique vient des aliments. Les sciences occultes disent que le soleil est le réservoir de la force vitale. Du soleil, viennent les courants vitaux qui vibrent à travers l’espace et dans les organismes des êtres vivants.

Les chakras sont reliés à des ganglions spinaux par un filet d’énergie (la base d’un tourbillon). Ils sont situés à environ 6 cm du corps physique, sur le corps éthérique. Ce double éthérique est alimenté en prana par le chakra splénique à partir du chakra du corps astral correspondant. Le chakra splénique est situé au-dessus de la rate. Il est relié au premier ganglion spinal lombaire. Après avoir spécialisé l’énergie du prana, ces centres redistribuent cette énergie aux autres chakras. Chaque centre reçoit aussi ses propres énergies à partir des centres de l’astral.

 La figure ci-dessous, montre les différents corps subtils.

Corps subtils

Chakras

by 1 mai 2014

On peut entendre ou lire beaucoup de choses à propos des chakras. Selon les sources, les informations ne sont pas tout à fait identiques et il devient difficile de s’y retrouver.

Le dénominateur commun :

L’énergie active, présente derrière l’apparence matérielle du corps humain, se compose de trois éléments fondamentaux : les corps subtils (ou corps énergétiques), les nâdis (ou canaux énergétiques) et les chakras (ou centres énergétiques).

Les chakras sont des éléments essentiels à la circulation de l’énergie dans le corps humain.

Il existe de nombreux chakras sur l’ensemble du corps, mais parmi eux, sept sont régulièrement repris dans la littérature et appelés “chakras principaux”. Chacun est relié à un plexus nerveux et une glande endocrine (hormonale), mais aussi à des organes, à une fonction, à une couleur, à un sens, à une note de musique, à un jour de la semaine, à des pierres, à une planète du système solaire, à un élément, à une des enveloppes énergétiques subtiles de l’être humain…

On ne représente, la plupart du temps que les sept chakras principaux de l’homme, localisé sur certaines parties du corps :

Silhouete Chakras

Ce furent les Indiens qui les premiers décrivirent et étudièrent les principaux chakras. L’énergie vitale est captée par les chakras ou au travers des nâdis depuis le corps énergétique de l’homme ou depuis l’environnement. Les chakras transforment l’énergie en fréquences nécessaires aux différents plans du corps physique ou du corps subtil.

A noter que la jonction entre les chakras et ces différents corps s’établit à travers les canaux énergétiques. Les chakras irradient l’énergie tout autour d’eux. Les chakras se placent tous dans le corps éthérique de l’homme.

Les chakras ressemblent aux calices des fleurs avec la forme générale d’un entonnoir et un nombre inégal de pétales. Les divisions de ces fleurs en plusieurs pétales représentent les nâdis ou canaux énergétiques par lesquels l’énergie pénètre dans les chakras pour être transportée ensuite vers les corps subtils. Le nombre de canaux peut aller de quatre pour le centre coccygien jusqu’à presque mille pour le centre coronal.

La représentation traditionnelle est la suivante :

Symboles Chakras

Les chakras suivent un mouvement rotatif, d’où leur nom sanscrit qui signifie « roue ». Les chakras ne peuvent être totalement fermés. Ils peuvent par contre être plus ou moins ouverts.

Le niveau de conscience de chaque forme vitale dépend des fréquences prâniques qu’elle est capable d’assimiler ou de stocker. Chez les animaux, par exemple, ces fréquences sont plus basses que chez l’Homme. Dans le système énergétique humain, les chakras reçoivent, transforment et distribuent les différentes fréquences prâniques.

Chakra Rôle Sens Couleur Organe Action Glande Equilibre Déséquilibre Note Elément Planète Jour Pierre
Coronal Réalisation de soi et spiritualité Moi spirituel Blanc, violet, or Cerveau, peau Je suis, je sais Pinéale (épiphyse) Conscience divine Folie, délire mystique Si Vibration et souffle Uranus Dimanche Améthyste, charoïte, fluorine mauve, cristal de roche…
Frontal Imagination et clairvoyance Intuition Indigo Cerveau Je vois Hypophyse Intuition, authenticité, esprit clair Influençable, dogmatique La Lumière Soleil Samedi Œil de faucon, azurite, lapis-lazuli, sodalite…
Gorge Expression de la pensée Audition Bleu Nez, gorge, oreilles Je communique Thyroïde  Aller vers les autres, ouvrir le dialogue, libérer les émotions par la parole Agir sans réfléchir, timidité, refouler ses émotions Sol Ether Saturne Vendredi Turquoise, calcédoine, aigue-marine, quatz bleu, célestine, apatite, calcite bleue…
Cœur Vie relationnelle Toucher Vert Circulation sanguine, poumons J’aime Thymus Amour, joie Angoisse, tristesse, mauvais choix sentimentaux, fragilité affective Fa Air Vénus Jeudi Quartz rose, rhodocrosite, émeraude, tourmaline verte, kunzite, malachite, aventurine…
Plexus Libre arbitre Vue Jaune Foie, vésicule biliaire Je peux, je veux Pancréas Affirmation de soi, entraide, esprit d’entreprise Egocentrisme, égoïsme, ambition, pouvoir sur l’autre Mi Feu Jupiter Mercredi Œil du tigre, pyrite, citrine, ambre…
Sacré Gestion des émotions Goût Orange Vessie, organes génitaux Je sens Glandes sexuelles Patience, compréhension, amour de la vie  Jalousie, envie, angoisse Eau Mercure Mardi Cornaline, calcite orange, pierre de lune, topaze impériale…
Racine Enracinement, instinct de survie Odorat Rouge, noir Squelette J’ai, je suis, je survis Surrénales Force intérieure, assurance, calme, stabilité Peur de la mort, matérialisme excessif, boulimie Do Terre Mars Lundi Tourmaline noire, hématite, rubis, grenat, jaspe rouge, obsidienne pourpre, agate rouge…

 

Jusque là, tout le monde semble à peu près d’accord.

 

Les divergences :

Certains soutiennent que certains chakras tournent vers la gauche ou vers la droite. Chez l’homme et la femme, le sens de rotation serait inversé pour chaque chakra. Une rotation vers la droite exprimerait une qualité à dominante masculine (yang selon la philosophie chinoise). Une rotation vers la gauche, au contraire, exprimerait une qualité à dominante féminine (yin).

Rotation Chakras

Certains ajoutent qu’il faut parler d’entrées/sorties. Un chakra est donc un mini tourbillon permettant l’entrée du prâna, c’est-à-dire des énergies cosmiques et telluriques et permettant, plus accessoirement, l’évacuation d’énergies usagées. Chaque chakra serait lui-même constitué de deux roues qui s’interpénètrent. Ils sont reliés entre eux par la « kundalini ». Cette chaine assure la circulation énergétique entre les principaux chakras.

Autre divergence : certains soutiennent que les chakras ne sont dirigés que vers l’avant du corps et d’autres également vers l’arrière.

Ensuite, il semblerait que de nouveaux chakras s’activent depuis quelques années. On parle aujourd’hui volontiers de 12, 13 ou 14 chakras principaux. Cependant, leurs positions et leurs rôles ne semblent pas encore faire un consensus. On les représente souvent, pour la plupart, au dessus de la tête et un sous les pieds.

Le chakra coronal serait devenu bipolaire. Le huitième, également bipolaire, situé au dessus du coronal, aurait pour fonction “l’unité” et serait représenté en blanc.

Le neuvième, bipolaire, situé un peu au-dessus du huitième, concernerait la clairvoyance et est représenté avec la couleur or.

Le dixième, bipolaire, pour le moment transparent, serait lié à une fonction de télépathie.

Le onzième (non finalisé) aurait une fonction de “téléportation” (non physique) et serait orienté vers le haut. Pour le coup, celui-ci ne serait pas bipolaire.

Le douzième en arc en ciel, concernerait la supraspiritualité.

Enfin, un treizième serait situé sous les pieds, unipolaire, aurait pour fonction de nous ancrer davantage à la terre.

 

NDLR : Puisque le nombre dépasse 7, je me demande encore à quoi ces nouveaux chakras vont être reliés (à quelle note de musique, à quelle planète, à quel jour de la semaine, etc.)

 

Roberto Zamperini, dans son ouvrage “Anatomie subtile”, utilise 14 chakras principaux, différents des 7 chakras principaux de la tradition ésotérique. Ils sont tous reliés entre eux et alimentent d’autres chakras secondaires. Ces chakras principaux sont situés le long du circuit principal de l’énergie qui démarre sur le haut de la tête (chakra couronne), descend devant le corps, arrive au périnée, puis remonte dans le dos du périnée vers la nuque. Le trajet précis est celui-ci : couronne centrale -> ajna -> gorge -> cardiaque antérieur -> solaire antérieur -> nombril -> sexuel -> périnée -> basal -> ming men -> solaire postérieur -> cardiaque postérieur -> cervical -> nuque.

Le dessin ci-dessous positionne les 7 chakras principaux de face :

Chakras antérieurs de Zamperini

Le dessin ci-dessous positionne les 7 chakras principaux de dos :

Chakras postérieurs de Zamperini

P1 : Couronne centrale, situé sur le sommet de la tête

P2 : Ajna, situé entre les sourcils

P3 : Gorge, situé entre les deux lobes de la thyroïde

P4 : Cardiaque antérieur, situé à la hauteur du sternum et du thymus

P5 : Solaire antérieur, situé au niveau du pancréas

P6 : Nombril (ou Ombilical), situé juste sur le nombril

P7 : Sexuel, situé au niveau des glandes sexuelles (gonades)

P8 : Périnée central, situé à la base du tronc

P9 : Basal, situé à la hauteur des vertèbres sacrées

P10 : Ming Men, situé entre les 4e et 5e lombaires

P11 : Solaire postérieur, situé au même niveau que le solaire antérieur

P12 : Cardiaque postérieur, situé au même niveau que le cardiaque antérieur

P13 : Cervical, situé sur la 7e vertèbre cervicale

P14 : Nuque

 

Les recherches de Zamperini l’ont amené à penser qu’il existerait un nœud splénique central situé sur le circuit principal et qui contiendrait la cellule mère. Le chakra splénique est situé sur la gauche du corps et relié au noeud splénique central. Il s’agit d’un chakra “triple” (i.e. composé d’un ensemble de trois chakras : antérieur, central, postérieur), comme la couronne et le périnée. Les deux lobes, antérieur et postérieur sont dépendants du chakra splénique central. Le chakra splénique ne fait pas partie des 14 principaux, ni le chakra du thymus, bien qu’ils aient l’un et l’autre un rôle très important.

 

Les organes et les émotions

by 1 mai 2014

Selon Antonio R.Damasio, « une émotion est, face à un stimulus, une collection complète de réponses chimiques et neurales automatiques formant une structure distinctive ». Un sentiment, quant à lui, est « la transcription de cette émotion sur le théâtre de l’esprit à l’aide d’un processus conduisant à la production d’images mentales ». Il semblerait que l’émotion précédé le sentiment.

Le corps parle à travers la localisation de la sensibilité, voire de la douleur, sur certaines zones ou organes. Une émotion que nous ressentons affecte donc le corps temporairement ou non. A l’instant où elle se manifeste, elle modifie la fréquence cardiaque et la fréquence respiratoire, ainsi que la conductivité de la peau et cela avant même que le sujet n’ait pris conscience du sentiment. Le corps est marqué par les émotions qui s’inscrivent au niveau des tissus et notamment au niveau des fascias [1]. Le corps garde effectivement en mémoire des émotions depuis la vie intra-utérine. Il imprime dans ses tissus les chocs émotionnels que l’individu n’a pu exprimer.

Le système neurovégétatif (orthosympathique et parasympathique) gère les organes de façon involontaire. Les nerfs qui se rendent aux organes, viennent du crâne et du sacrum (parasympathique) et de la colonne vertébrale (orthosympathique). Il y a une relation directe, neurophysiologique, entre les organes et la colonne vertébrale.

Près de vingt années de pratique d’ostéopathie ont permis à Roger Fiammetti de déterminer avec précision les zones du corps et leurs correspondances émotionnelles et de mettre au point une technique qui détecte et élimine les nœuds tissulaires associés à des chocs émotionnels : l’ostéopathie somato-émotionnelle.

Le tableau ci-dessous présente le lien entre les émotions et l’organe associé.

Organe Emotions
Aisselle droite Sentiment d’être une mauvaise ménagère ou un mauvais employé.
Aisselle gauche Sentiment d’être un mauvais parent.
Appendice Enfants se dévouant pour parents souvent exécrables. Conflit avec l’argent de poche.
Cœur Déception, amertume, peut de la perte (du pouvoir). Conflit du territoire (emploi, maison) et contenu du territoire (meuble, animaux).
Côlon, caecum Ennuis de famille difficiles à digérer. Conflits d’envie.
Dents, email, caries Ne pas avoir le droit de « mordre », de se rebeller.
Estomac Saturation de tout ce qu’on ne sait plus digérer. Conflit avec des gens que l’on ne peut éviter. Conflits familiaux.
Foie Peur de manquer, de mourir de faim ou de ne pas pouvoir assurer la sécurité et le confort à la maison. Colère, tristesse par rapport à des événements qu’on ne peut changer. Révolte, querelles d’argent.
Glande thyroïde Choses à dire non exprimées
Intestin grêle Sentiment d’opposition.
Intestins Sensation d’être humilié ou Sali.
Muqueuse nasale et sinusale Peur de ne pas sentir le danger.
Œsophage Peur de ne pas avoir assez. Peur de ne pas pouvoir « avaler » un événement.
Os Grande dévalorisation de soi dans les conflits mère-enfants.
Ovaires Perte d’enfants ou d’êtres chers.
Pancréas Perte de joie, peur de s’exprimer. Le son se coupe entre la pensée et son émission. Se réfugier dans le travail pour se sentir fort. Ignominie.
Parotides Peur importante de mourir de faim.
Poumon Peur d’étouffer psychique et physique. Peur de la mort, tristesse.
Prostate Ennuis avec les enfants ou rapport avec la descendance. Besoin de surexcitation lors des rapports sexuels.
Rate Peur de ne pas terminer quelque chose en cours.
Reins Phobies, peurs liées aux liquides notamment. Pas le courage de répondre aux agressions.
Sein droit Chez la femme droitière : conflit humain général ou relation mère-enfant dévalorisante. Chez la femme gauchère : conflit mère-enfant, conflit lié au foyer (divorce par ex)
Sein gauche Chez la femme droitière : conflit mère-enfant, conflit lié au foyer. Chez la femme gauchère : conflit humain général ou relation mère-enfant dévalorisante.
Sigmoïde Forte contrariété en relation avec un sale tour. Difficile à accepter.
Testicules Perte d’enfants ou d’êtres chers.
Utérus Conflit de peur, de frustration sexuelle.
Vagin Conflit de perte.
Vésicule biliaire Obsession face à l’échec, haine, résistance, rancœur.
Vessie Conflit de territoire.

Ex : la vertèbre C4 (4eme cervicale) est en relation avec le foie via le nerf phrénique qui innerve la capsule de Glisson. Le foie est lié à la colère ou la culpabilité. Si un tel ressentiment existe chez un individu, il est donc probable qu’une manifestation physique puisse être constatée au niveau de C4.

Il serait donc possible, selon Roger Fiammetti de mettre en relation chaque vertèbre avec une émotion.

Association sentiments-vertèbres

L’illustration ci-dessous, est extraite de son ouvrage « Le langage émotionnel du corps ».

Pour détecter les nœuds inscrits dans les tissus, suite à des chocs émotionnels non exprimés, Roger Fiammetti adopte l’approche somato-émotionnelle. En détectant, vertèbre par vertèbre, les nœuds inscrits dans les fascias, il est possible de dresser une « carte émotionnelle » du patient. On détecte des tensions physiques en relation avec des émotions refoulées.

La technique consiste à détecter par palpation des tissus et par l’observation des tensions, les endroits du corps qui sont en soufrance physique. Puis, le thérapeute maintient délicatement la tête du patient entre ses mains et le corps se libère sans aucune intrusion dans le libre arbitre. Le patient doit juste se laisse aller et se faire confiance. Lorsque les émotions du passé resurgissent, quand les souvenirs remontent à la surface, les tensions corporelles sont d’abord plus intenses puis diminuent et laissent place à une détente générale durable. Cette technique va permettre au corps de se libérer naturellement des tensions tissulaires inscrites dans les fascias. En libérant les nœuds inscrits depuis longtemps dans le corps, on va observer une rééquilibration de ce système neurovégétatif.

Zones vertébrales
Vertèbre Douleur
C1 Vagotonie, acouphènes, hyperacousie
C2 Arnoldite
C3 Migraines
C4 Douleurs épaules
C5 Déglutition difficile
C6 Douleurs aux bras
C7 Douleurs aux mains
D1 Fatigue chronique
D2 Troubles respiratoires
D3 Douleur sternum
D4 Douleurs précordiales
D5 Douleurs intercostales
D6 Douleurs gastriques
D7 Douleurs intercostales
D8 Dermalgies
D9 Spasmes au plexus solaire
D10 Mictions fréquentes
D11 Douleurs à la charnière dorsolombaire
D12 Troubles intestinaux, côlon irritable
L1 Constipation
L2 Diarrhées
L3 Varices, stase veineuse
L4 Cruralgie
L5 Sciatique
Sacrum Troubles génitaux
Coccyx Conception, infertilité

[1] Le Professeur Jean-Claude Guimberteau, évoque un principe de globalité tissulaire : Il n’y a pas de discontinuité dans la matière vivante. On trouve partout une continuité tissulaire dans les muscles, les tendons, les structures veineuses et artérielles, dans les adipocytes…Le corps humain semble être un seul et même tissu qui s’est différencié fonctionnellement.

Source : Le langage Emotionnel du Corps, p.57-60, Roger Fiammetti, Guy Tredaniel Editeur, 2011. ISBN ; 978-2-81320-318-2.

https://www.youtube.com/embed/jYm77g_WYDE

Interrupteurs bipolaires

by 6 mars 2014

Les champs électromagnétiques sont suspectés d’avoir un impact important sur la santé. De récentes études scientifiques ont démontré que les champs électromagnétiques (EM) provoquaient l’apparition de nombreux troubles biologiques. Ces études révèlent à partir de modèles expérimentaux scientifiques des effets biologiques incontestés :

1) Perturbations des flux d’ions calciques in vitro : l’ion calcium est un des messagers les plus importants du signal cellulaire et il intervient dans de nombreux processus physiologiques vitaux (excitabilité de la cellule nerveuse, libération de neurotransmetteurs).

2) Modifications du rythme circadien (alternance jour nuit) du rat, du singe et de l’homme.

3) Perturbations physiologiques de la glande pinéale avec suppression de la sécrétion de la mélatonine, hormone qui régit le système immunitaire.

4) Perturbations des défenses immunitaires : les lymphocytes T perdent 25 % de leur pouvoir de détruire les cellules cancéreuses.

5) Au niveau du système nerveux, les expériences réalisées sur le singe montrent des effets sur les neurotransmetteurs, la dopamine et la sérotonine.

6) Modifications génétiques : perturbations dans la synthèse de protéines impliquant des modifications dans la transcription de l’ADN et de l’ARN.

7) Risques de cancers et de leucémies accru.

Certains individus sont plus sensibles que d’autres à ces champs EM. Ces personnes électro-sensibles ressentent des picotements sur le corps en présence de certains champs EM. Même sans faire partie de cette catégorie de personnes, il est préférable de faire la chasse aux sources de champs EM à la maison. Il existe des appareils pour détecter ces champs EM, que ce soit sur des hautes fréquences ou des basses fréquences.

A titre d’exemple, un appareil électroménager comme une cafetière électrique produit un champ électrique de 15 à 250 V/m et un champ magnétique de 1 à 4 mG, à 30 cm de distance, selon la qualité de la mise à la terre.

Dans une maison bien conçue sur le plan électrique, on peut mesurer un champ électrique de 1,5 à 10 V/m et un champ magnétique de 0,2 à 0,4 mG. A contrario, dans une maison mal conçue sur le plan électrique, le champ électrique peut varier de 10 à 200 V/m et le champ magnétique de 0,5 à 27 mG.

Un geste simple pour réduire la pollution électromagnétique dans l’habitat consiste à équiper les câbles des équipements électriques d’interrupteurs bipolaires. Ces interrupteurs permettent de réduire les perturbations induites par les courants forts.

Le principe de ces interrupteurs est expliqué ci-dessous :

  1. Interrupteur unipolaire fermé : la phase (marron) et le neutre (bleu) passent
  2. Interrupteur unipolaire ouvert : la phase ne passe pas mais le neutre passe
  3. Interrupteur bipolaire fermé : la phase et le neutre passent
  4. Interrupteur bipolaire ouvert : la phase et le neutre ne passent pas

Interrupteur bipolaire

La plupart des interrupteurs que l’on trouve dans le commerce équipant les lampes, robots électroménagers, chaines Hifi, … sont munis d’interrupteurs unipolaires. Ces équipements émettent des champs magnétiques et électriques non négligeables.

Les illustrations suivantes permettent de comprendre les différences de rayonnement entre une installation équipée d’interrupteurs unipolaires et bipolaires.

Un interrupteur unipolaire ne coupe qu’un seul des deux circuits. Un interrupteur bipolaire coupe les deux circuits du câblage électrique. Il se trouve que lorsqu’un appareil n’est pas équipé d’une prise de terre, il est possible de brancher la fiche électrique dans un sens ou dans l’autre. Le problème c’est que dans un des sens, lorsque la phase est branchée sur le neutre, il y a beaucoup plus de champs électromagnétiques que lorsque la phase est sur la phase et le neutre sur le neutre (en orange dégradé sur le schéma).

Rayonnement EM

Sur la première illustration, interrupteur unipolaire, le branchement est correct, phase sur phase et neutre sur neutre. Lorsque la lampe est allumée, le rayonnement se fait sur le fil de phase et autour de la lampe. Le rayonnement serait le même qu’avec un interrupteur bipolaire.

Sur la deuxième illustration, interrupteur unipolaire et lampe éteinte : les champs électromagnétiques sont stoppés au niveau de l’interrupteur, tout comme la tension et la lampe n’émet pas de champs électromagnétiques.

Sur la troisième illustration, interrupteur unipolaire mais avec un branchement inversé (phase sur neutre), la tension se retrouve dans le fil neutre, traverse la lampe, et s’arrête à l’interrupteur coupé, lampe éteinte ! Dans cette configuration, lampe pourtant éteinte, le rayonnement des champs électromagnétiques est plus important que quand la lampe est allumée. C’est précisément cette situation que permet d’éviter un interrupteur bipolaire – il est impossible de savoir de visu si un appareil électrique est convenablement branché ou non.

Sur la dernière illustration, il y a un interrupteur bipolaire. On peut brancher la prise indifféremment dans un sens ou dans l’autre, les champs électromagnétiques sont stoppés au niveau de l’interrupteur.

Pour terminer, si vous n’avez pas encore lu de livre sur les moyens de réduire son exposition aux champs électromagnétiques, je vous invite à lire l’article gratuit de Luc Bodin.

Ondes Electromagnétiques

by 2 février 2014

Il est courant de parler d’ondes électromagnétiques dans les thérapies quantiques. Il me semblait utile de faire un petit rappel des bases scientifiques.

Il existe deux grands types d’ondes en physique : l’onde mécanique et l’onde électromagnétique.

Il existe des types d’ondes électromagnétiques très différents : leur fréquence, leur création, leurs effets, etc., ne se ressemblent pas. On sait de quel type est une onde en connaissant seulement sa fréquence ou sa longueur d’onde.

Pour caractériser une onde, on doit connaître son amplitude et sa fréquence :

Fréquence et amplitude

Le spectre électromagnétique a été découpé en plusieurs morceaux, et chacun d’entre eux correspond à un type d’onde particulier.

Principe des ondes mécaniques

Une onde mécanique est le déplacement d’une perturbation mécanique (secousse, vibration, etc.) dans la matière. Des exemples bien connus d’ondes mécaniques sont : le son, les tremblements de, terre, les vagues… Ces ondes mécaniques ne peuvent se propager que sur un support physique : la matière : l’air, le sol, l’eau, etc. Ainsi, le son ne se propage pas dans l’espace et on ne peut entendre un téléphone portable sonner sous une cloche à vide.

Principe des ondes électromagnétiques

Les ondes électromagnétiques, quant à elles, peuvent se déplacer dans le vide : c’est ainsi que l’on reçoit sur Terre la lumière du Soleil et que les astronautes en mission dans l’espace peuvent communiquer avec la Terre. Elles se propagent au travers de la plupart des matières : par exemple, on aperçoit bien le soleil à travers une vitre.

Notion de champ

Il existe en physique des champs : cela désigne une partie de l’espace dont chaque point possède une propriété que l’on étudie. Par exemple, le champ de pesanteur terrestre est l’ensemble de l’espace où la Terre exerce une influence gravitationnelle : chaque point de cet espace est attiré par la force de pesanteur produite par la Terre. On peut définir de tels champs pour toutes les forces qui agissent à distance, et notamment les forces de type électromagnétique comme le magnétisme : on aura par exemple un champ magnétique tout autour d’un aimant, parce que chaque point de l’espace est soumis à la force produite par cet aimant. Lorsque l’on s’intéresse aux champs électrique et magnétique en même temps, on parle de champ électromagnétique.

Une onde électromagnétique est une vibration de ce champ électromagnétique. La modification de la valeur du champ électrique en un point entraîne celle du champ magnétique associé autour de ce point. Cette modification du champ magnétique entraîne à son tour une modification du champ électrique tout autour, etc. On peut considérer que l’onde électromagnétique, en modifiant la valeur des champs électrique et magnétique, « crée » en quelque sorte son support : en effet, même s’il n’existait pas, par exemple, de champ magnétique à un endroit, l’arrivée d’une onde électromagnétique va en créer un, à cause de la variation du champ électrique. Finalement, les champs électrique et magnétique « vibrent » (changent de valeur alternativement puis reviennent à leur valeur de départ) ensemble et l’énergie utilisée pour créer la première variation du champ électromagnétique est transportée à chaque variation successive.

Une onde électromagnétique est donc la propagation d’un signal (les variations) grâce à un champ électrique et un champ magnétique qui vibrent ensemble.

Plus formellement, l’onde électromagnétique est un modèle utilisé pour représenter les rayonnements électromagnétiques. Elle est associée à la notion de photon.

On doit distinguer le rayonnement électromagnétique, qui est le phénomène étudié, et l’onde électromagnétique, qui est une des représentations du phénomène.

Caractéristiques des ondes électromagnétiques

Nous pouvons définir toute onde électromagnétique comme étant l’oscillation, sur deux plans perpendiculaires, d’un champ électrique et d’un champ magnétique qui se propagent ensembles à la vitesse dite de la lumière (dans le vide).

Elles n’ont pas de support matériel – elles se propagent donc en l’absence de matière.

Ondes EM

La propagation d’une variation du champ électrique sera notée Vecteur E. Elle est associée à une variation d’un champ magnétique notée Vecteur B. Les normes des champs et sont reliées entre elles par :

Les vecteurs sont perpendiculaires entre eux et forment un trièdre direct .

Ondes sur axe

Comme toutes les ondes, une onde électromagnétique peut s’analyser en utilisant l’analyse spectrale ; on peut décomposer l’onde en ondes dites « monochromatiques ».

Une onde électromagnétique monochromatique peut se modéliser par un dipôle électrostatique vibrant. Les variations des champs électriques et magnétiques sont liées par les équations de Maxwell, on peut donc représenter l’onde par un seul de ces champs, en général le champ électrique. On peut alors écrire l’équation générale d’une onde plane monochromatique :

Avec ω la pulsation, qui vaut . La longueur d’onde est notée λ.

 est le vecteur position du point considéré. est le vecteur d’onde.

Φ est la phase à l’origine.

On utilise aussi fréquemment la forme complexe :   On obtiendra alors les grandeurs physiques, réelles, en prenant la partie réelle de cette forme complexe.

Energies transportées par les ondes électromagnétiques

Toutes les ondes sont des déplacements d’énergie. La différence fondamentale entre les ondes électromagnétiques et mécaniques tient dans le type de déplacement adopté par cette énergie. Les ondes mécaniques mettent en mouvement leur support (les vagues agitent le liquide et les tremblements de terre secouent le sol) et l’énergie est transmise par ce mouvement.

La densité d’énergie transportée par une onde électromagnétique sinusoïdale est :

L’intensité moyenne (flux de puissance) associée à l’onde est :

Permittivité du vide : ε0 = 8,84 10-12   SI (système international)

Perméabilité du vide : μ0=1,26 10-6 SI

Vitesse de propagation C : C=(1/ε0. μ0)1/2 = 3 .108 m/s

Vitesse de propagation des ondes électromagnétiques

La vitesse de propagation de l’onde EM dépend du milieu. Si on note n l’indice de réfraction du milieu, la vitesse de propagation s’écrit : v = C/n.

Exemple d’indice de réfraction :

Vide n=1
Air n=1,00029
CO2 (gaz) n=1,00045
Eau n=1,33
Verre n=1,5 à 1,7

On remplacera alors ε0 par ε=ε0. εr et μ0 par μ=μ0. μr où er et μr sont les permittivité et perméabilité relatives du milieu.

Autre notation avec C, la vitesse de la lumière dans le vide, f, la fréquence (en Hz) et λ, la longueur d’onde en mètres.

Atténuation

Au fur et à mesure qu’une onde électromagnétique s’éloigne de sa source, son amplitude diminue. Cette décroissance est due à la dispersion spatiale. Par exemple, pour une source de lumière, il faut concentrer au maximum son faisceau au départ pour augmenter la portée.

On peut quantifier cela facilement avec E = Densité de puissance du flux, P = Puissance en W et d = distance.

Densité de puissance

On pourra définir un nouveau terme appelé “Atténuation de parcours en espace libre” par :

Path loss (perte de parcours) en dB, d = distance en mètres et l = longueur d’onde en mètres.

PathLoss

Le rayonnement électromagnétique

Ce qui différencie tel ou tel domaine du spectre électromagnétique est la fréquence d’oscillation des deux champs magnétique et électrique.

La lumière n’est qu’un petit domaine du spectre électromagnétique. La lumière est un rayonnement électromagnétique qui peut être modélisé par une onde électromagnétique (comportement ondulatoire) ou un ensemble de photons (comportement corpusculaire). Dans le premier cas, l’onde électromagnétique se décompose en un champ électrique et un champ magnétique. D’après la théorie ondulatoire de la lumière, tout rayonnement peut alors être considéré comme la superposition d’ondes planes monochromatiques caractérisées par leurs longueurs d’onde et leurs fréquences. La notion d’onde électromagnétique est complémentaire de celle du photon, une particule sans masse et sans charge électrique, qui est associé à une radiation électromagnétique monochromatique.

Nous entendons plus couramment parler de longueur d’onde qui est simplement le rapport de la vitesse de la lumière sur cette fréquence d’oscillation. La vitesse de la lumière, et donc la vitesse de toute onde électromagnétique, dans le vide, est une constante universelle.

Spectre

Représentation du spectre électromagnétique et des longueurs d’onde associées

Dans la partie haute du schéma ci-dessus est détaillée la partie du spectre perçue par l’œil humain.

Spectre des ondes électromagnétiques

Le spectre électromagnétique est la décomposition du rayonnement électromagnétique selon ses différentes composantes en termes de fréquence (u), de longueur d’onde (λ) et d’énergie des photons (E). La figure ci-dessus montre une représentation de ce spectre en fonction de la longueur d’onde. Les trois grandeurs sont liées deux à deux par la constante de Planck (h=6.62617.10-34 J.s) et la vitesse de la lumière dans le vide (c=299792458 m.s-1) : E= h.c / λ

Si on veut étudier la gamme de longueurs d’onde qui s’étend du visible (0.30 à 1.30 µm) au proche infrarouge (1.30 µm à 2.50 µm) : En termes de fréquence, elle se situe autour de 108 MHz et est donc difficile à mesurer par les instruments actuels. Pour quantifier le rayonnement électromagnétique sur cette gamme de longueurs d’onde, il est plus aisé de se servir de la quantité de photons reçus. Les capteurs utilisés en spectroscopie sont donc basés sur ce principe. L’équation nous montre qu’il est possible de relier cette quantité de photon à une longueur d’onde donnée. La longueur d’onde sera une unité de référence dans la suite de ce travail et sera exprimée en nanomètres (nm) ou micromètres (µm).

Focus sur la lumière

La lumière est en partie de « nature ondulatoire » et de nature « corpusculaire ».

Nature ondulatoire : En 1801, Thomas Young a réalisé une célèbre expérience, appelée expérience des fentes de Young. Elle montre que, quand on éclaire un écran avec deux rayons d’une lumière qui provient de la même lampe, on n’éclaire pas cet écran de façon uniforme, mais on produit une alternance de rayures lumineuses et sombres. Cela s’explique si l’on considère la lumière comme une onde, car c’est un phénomène, très connu avec les ondes acoustiques, qui s’appelle interférences.

Les équations qui décrivent la plupart des propriétés ondulatoires des ondes électromagnétiques ont été découvertes dans la deuxième moitié du XIXe siècle par James Clerk Maxwell, qui a réuni les travaux de plusieurs physiciens sur des sujets différents mais tous en rapport avec les ondes électromagnétiques : électricité, magnétisme, rayonnement… Le résultat consiste en quatre équations, appelées équations de Maxwell.

Nature corpusculaire : D’autres expériences ont montré que la lumière ne pouvait pas être une onde acoustique. En effet, si la lumière était une onde acoustique, il fallait forcément une matière pour lui permettre de se propager, même dans l’espace ou dans les cloches à vide : les physiciens en avaient donc déduit qu’il existait un fluide, l’éther, qui remplissait tout l’espace et conduisait la lumière. Cependant, l’expérience de Michelson-Morley a montré que ce fluide n’existait pas, ce qui remettait en doute la nature ondulatoire de la lumière.

En réalité, la lumière peut se comporter comme une onde ; c’est juste qu’elle n’a pas besoin d’éther pour se propager, ni de quoi que ce soit d’autre.

Un peu plus tard, au début du XXe siècle, Albert Einstein a unifié les travaux de Maxwell et de Max Planck et en a déduit que la lumière (et les autres ondes électromagnétiques) étaient un déplacement de particules qui pouvait se comporter comme une onde selon les cas. Ces particules ont ensuite été nommées photons, du grec photos (φωτός) signifiant « lumière ». Ce sont des particules extrêmement petites de masse nulle.

Les photons sont partout dans la physique moderne, notamment en mécanique quantique (qui étudie les particules). Leur découverte a en particulier permis l’invention du laser.

Les ondes électromagnétiques sont considérées comme portées par le photon – ces photons ne peuvent que se déplacer qu’à la vitesse de la lumière.

Une onde lumineuse est une onde électromagnétique dont la longueur d’onde correspond au spectre visible, ce qui correspond aux énergies de photon de 1.5 à 3 eV.

La lumière est donc un spectre allant du violet, 380nm, au rouge profond, 780 nm. La fréquence va d’environ 375 THz (rouge) à 750 THz (violet); L’émission de la totalité du spectre donne une impression de lumière blanche. Une lumière colorée présente simplement une forte proportion d’onde d’une partie restreinte du spectre visible. Par exemple, une lumière est rouge simplement parce qu’il y a beaucoup d’onde autour de 680 nm. A l’extrême, une lumière peut être monochromatique lorsqu’elle est constituée uniquement d’ondes de fréquence unique. La quantité du flux de lumière est définie par le mot intensité. L’étude spectrale de la lumière consiste à mesurer la contribution de chaque longueur d’onde dans l’intensité totale.

Une source lumineuse émet un flux d’une ou plusieurs ondes électromagnétiques du domaine dit visible. Mais ces ondes n’ont pas obligatoirement, et même presque jamais, leurs plans parallèles. Au niveau atomique, l’émetteur peut au temps t émettre une onde dont le champ électrique nous est vertical, puis au temps t+1 émettre une onde, avec la même fréquence ou non, dont le champ électrique nous est horizontal. Le flux est donc un ensemble d’ondes dont les plans d’oscillation sont aléatoirement répartis sur tous les angles possibles de 0 à 360°. Nous pouvons maintenant définir la lumière dite polarisée où toutes les ondes oscillent dans un même plan. Tous les champs électriques, dans une direction de propagation, sont parallèles entre eux (de même que les champs magnétiques qui leur sont perpendiculaires). Je souligne qu’une lumière polarisée n’est pas nécessairement monochromatique et que sa source n’émet pas nécessairement dans une seule direction. De même, les oscillations d’un même plan ne sont pas superposables car le moment d’émission d’une onde n’est pas corrélé avec celui de l’onde précédente. Le LASER est la seule source capable de fournir une lumière monochromatique, polarisée et en phase dans une seule direction. Nous avons alors un flux d’ondes dites cohérentes.

L’interaction lumière-matière peut être décrite, à un niveau macroscopique, comme purement ondulatoire. La théorie ondulatoire repose presque exclusivement sur des notions de géométrie vectorielle qui ne font pas intervenir d’énergie. Mais nous savons que la lumière peut interagir avec la matière avec un transfert d’énergie. Le meilleur exemple est la vision où la lumière devient un influx nerveux. Nous sommes alors obligés de définir la lumière comme étant, non plus un rayonnement d’onde, mais un flux de corpuscules matériels: les photons dont la masse est proportionnelle à leur fréquence et inversement proportionnelle au carré de leur vitesse. Chaque photon porte en lui une quantité d’énergie proportionnelle à la fréquence du rayonnement. Mais attention à ne pas se représenter le photon comme un corpuscule de volume fini oscillant le long de sa ligne de propagation. Ce serait une erreur. En fait le photon est une entité abstraite qui permet d’appliquer les lois de la physique classique là où les équations d’onde n’expliquent plus le comportement de la lumière.

Nous avons ainsi, pour comprendre tous les phénomènes, une dualité onde-corpuscule que seule la physique quantique est capable d’expliquer.

L’émission de lumière

L’atome, qui constitue la matière, est formé d’un noyau de neutrons et de protons autour duquel gravitent des électrons.

 

L’atome est donc un oignon où chaque « pelure », du centre à la périphérie, constitue un domaine de probabilité de présence d’électron de même énergie. Les électrons sont des charges négatives qui sont liées au noyau par diverses forces de liaison. L’énergie absolue d’un électron est l’énergie nécessaire pour l’arracher complètement de l’atome, pour rompre ses forces de liaison. Plus son domaine de présence est éloigné du noyau, moins il faut d’énergie pour l’extraire car les forces de liaison faiblissent avec la distance. Mais avant d’extraire complètement un électron de son atome, nous pouvons le faire changer de domaine en apportant à l’atome l’énergie juste nécessaire. L’électron passe alors de son état fondamental, ou de repos, à un état dit excité, plus éloigné du noyau. La quantité d’énergie absorbée est précise et est une certaine quantité unitaire et indivisible d’énergie appelé quantum, proportionnelle à la constante universelle de Planck h.

L’électron excité est dans un état instable et il va retomber dans son état fondamental en libérant l’énergie précédemment absorbée. Une des multiples formes d’énergie est l’émission d’une onde électromagnétique et le quantum peut alors être directement relié à la fréquence d’oscillation de l’onde. Le quantum, unité d’énergie, et le photon ne font plus qu’un. L’électron a ainsi émit un photon d’énergie E=h.ν, photon qui est, ne l’oublions pas, une onde électromagnétique de fréquence ν. Si l’énergie est d’environ 1 à 6 eV (électron-volt), l’onde électromagnétique fait partie du domaine visible. L’atome est alors source de lumière.

Le plus simple exemple d’émission est la lampe domestique à incandescence. Le filament de tungstène est porté à une température d’incandescence par effet joule, dû au courant électrique. Les électrons des couches externes des atomes de tungstène sont alors dans un état excité ; et ils vont relaxer par émission d’un spectre continu d’ondes de l’infrarouge au proche ultraviolet.

La réflexion de lumière

Nous pensons tous que la réflexion est simplement la déviation des ondes électromagnétiques incidentes. Mais ce n’est pas le cas au niveau atomique. La réflexion doit plutôt être considérée comme une absorption suivie d’une réémission sans perte d’énergie. Le champ électrique de l’onde induit une oscillation des électrons comme toute charge dans un tel champ. Mais comme toute charge oscillante, l’électron est alors une source de rayonnement électromagnétique. Dans tout ce processus, la fréquence est une constante physique. Ceci implique que, dans l’absolu, la lumière réfléchie a la même composition spectrale que la lumière incidente. Mais hors théorie, la réflexion est indissociable des autres phénomènes d’interaction onde-matière. Nous pouvons donc définir la réflectance, rapport du flux réfléchi sur le flux incident, comme étant une mesure de la capacité d’une surface à réfléchir la lumière. Ce facteur de réflexion dépend de la nature de la matière mais aussi de la longueur d’onde du flux incident; Ainsi le spectre réfléchi n’est pas identique au spectre incident. La matière nous apparaît alors colorée, plus ou moins brillante, plus ou moins claire. Par exemple, les feuilles sont vertes parce que la réflectance des verts est beaucoup plus fort que la réflectance des autres couleurs du spectre. Mais si la lumière incidente n’a pas de composantes vertes, les feuilles seront alors perçues comme noires. Cette notion est très importante; les objets sont colorés à cause de la réflexion de la lumière mais la perception de la couleur est dépendante de la qualité de la lumière incidente.

De plus, la réflexion peut être spéculaire ou diffuse car cela ne dépend que de l’état de surface. Si les dimensions de la rugosité de surface sont plus petites que la longueur d’onde, la réflexion est dit spéculaire. Les angles de réflexion et d’incidence sont identiques et dans un même plan perpendiculaire à la surface.

Si, en revanche, l’état de surface est rugueux, il y a, au niveau microscopique, une réflexion spéculaire sur des facettes qui ne sont plus parallèle au plan moyen de la surface. Il en résulte, au niveau macroscopique, une diffusion du flux incident dans toutes les directions. Ainsi à l’instar du miroir métallique, n’importe quelle matière suffisamment polie provoque une réflexion spéculaire.

Nous pouvons enfin aborder deux cas de la réflexion: la réflexion sur une matière diélectrique (non conductrice de courant) et la réflexion sur une surface métallique. Mais pour cela il faut associer la réflexion à une autre interaction: la réfraction.

La réfraction de la lumière

Lorsqu’un faisceau de lumière incident frappe une surface séparant deux milieux transparents, une partie de la lumière est réfléchie tandis que le reste est transmis dans le second milieu. La direction de propagation de la lumière dans ce second milieu n’est pas dans la ligne du faisceau incident. Nous disons alors que la lumière est réfractée et cette déviation est définie comme étant la réfraction. Comme dans le cas de la réflexion, ce n’est pas la courbure des rayons lumineux incidents mais la naissance d’ondes secondaires qui est à l’origine de la réfraction. Toutefois nous pouvons expliquer la réfraction de plusieurs façons qui sont toutes valables mais qui ne demandent pas la même base de connaissance. Considérons le principe d’Huygens.

L’angle de réfraction n’est pas égal à l’angle d’incidence. La vitesse de la lumière dépend du milieu de propagation ; la vitesse de propagation de l’onde sphérique n’a pas la même valeur dans les milieux d’incidence et de transmission. Si la vitesse de transmission est plus petite que la vitesse d’incidence (ou de réflexion), le plan d’ondes résultant à un retard et ce retard se traduit géométriquement par un angle de réfraction plus petit comme nous pouvons le voir sur la figure. Une vitesse plus grande conduit à un angle plus grand.

Nous pouvons calculer la déviation grâce à un seul paramètre physique caractérisant la matière: l’indice de réfraction. En fait, les milieux diélectriques (i.e. non conducteurs) ne sont pas complètement étanches aux champs électrique et magnétique. On parle alors de permittivité au champ électrique et de perméabilité au champ magnétique. Ces deux grandeurs représentent la réponse de la matière, mais aussi du vide, au champ électromagnétique. Ceci se traduit par un changement de la vitesse de propagation de l’onde. En fait la vitesse de la lumière est directement reliée à la permittivité et à la perméabilité par la relation :

Le vide et toutes les matières transparentes peuvent donc être caractérisés par la valeur de la vitesse de l’onde électromagnétique les traversant. Mais ces grands nombres ne sont pas aisés à manipuler et ne sont pas représentatifs des phénomènes optiques aux interfaces. Nous introduisons alors une seule grandeur pour caractériser un milieu par rapport à un autre, l’indice de réfraction. L’indice de réfraction est simplement le rapport des vitesses de l’onde électromagnétique entre le milieu considéré et celui de référence. Les indices de réfraction sont ainsi relatifs à la vitesse de la lumière dans l’air. Nous parlons d’indice absolu lorsque la référence est le vide où la vitesse de la lumière est de 299.792.458 m/s. En conclusion, retenir que la réfraction est la conséquence optique d’un changement de vitesse lors du passage de l’onde d’un milieu à un autre.

Sources :

http://photo.geneste.free.fr/technique/lum/lalumiere.html

http://fr.vikidia.org/wiki/Onde_%C3%A9lectromagn%C3%A9tique

http://meteosat.pessac.free.fr/Cd_elect/perso.wanadoo.fr/f6crp/elec/propag/prop.htm

Améliorer la circulation de ses énergies

by 30 décembre 2013

Un petit « rituel » énergétique quotidien peut nous aider à améliorer notre santé, notre vitalité et notre résistance au stress et à la maladie. Il est tiré du livre de Donna Eden « Médecine énergétique ». Des exercices complémentaires sont proposés en fin d’article. Cette pratique quotidienne est composée de 6 exercices :

1. Le triangle
2. Le crawl croisé
3. La posture de Wayne Cook
4. La traction de la couronne
5. Les points neurolymphatiques
6. Zip-up

Il ne faut pas plus de 5 minutes chaque jour pour effectuer ces quelques exercices. On les pratique en respirant profondément et posément (inspiration par le nez et expiration par la bouche)
Ces techniques peuvent notamment nous aider lorsqu’on vit dans des milieux « brouilleurs d’énergie », artificiels, stressants et pollués.
On retrouve ces principes d’équilibrage énergétique dans la kinésiologie éducative, qui est une approche spécialisée mixant des techniques de Touch for Health et de kinésiologie appliquée dans des contextes éducatifs. Des tests [EKFRR] ont montré des améliorations notables chez des enfants sur la concentration, l’organisation, la productivité, la lecture, l’orthographe, les mathématiques, l’écriture, la conscience de soi et la confiance en soi. Une réduction importante de l’anxiété est également rapportée.
Dans le même ordre d’idées, une autre étude [Irving, 1995] a montré que l’application de routines sensiblement similaires chez des étudiants universitaires a permis de réduire de 69,5% l’anxiété et a permis d’améliorer de 18,7% la performance sur des tests d’habilité.

Le triangle

Certains points du corps changent votre champ énergétique lorsqu’ils sont stimulés. Des impulsions électrochimiques sont envoyées au cerveau qui provoque la libération de neurotransmetteurs.
Tapoter environ 30 secondes le point 27 du méridien du rein. Il s’agit en fait de deux points symétriques situés près des clavicules.

Cela a pour effet de refaire circuler l’énergie et réduire la somnolence. Cela aide également à clarifier ses pensées, à mieux se concentrer lors d’un apprentissage et à retrouver une sensation de sécurité et de calme intérieur lorsqu’on se sent en proie à une peur, une crise d’angoisse ou de panique.
Ensuite, le tapotement du thymus (environ 15 secondes) permet également de stimuler toutes les énergies du corps, de renforcer le système immunitaire et d’augmenter la force et la vitalité. Le thymus est situé à environ 5 cm sous les points R27, au centre de la poitrine. Ce point est souvent stimulé dans la médecine énergétique chinoise.
Enfin, on peut tapoter (environ 15 secondes) les points réflexes neurolymphatiques de la rate. Cela contribue également à augmenter le niveau d’énergie et renforcer le système immunitaire. La rate est essentielle au fonctionnement du système immunitaire. La stimulation des points réflexes neurolymphatiques permet de synchroniser les rythmes du corps, d’harmoniser les énergies, à lutter contre les infections et à combattre le stress, l’étourdissement et à mieux métaboliser la nourriture.

http://www.youtube.com/embed/UIR7dWwqKIw

 Le crawl croisé

autre (ex : sac), le balancement des bras ne se fait plus de façon symétrique. on se sent  physiquement et mentalement épuisé.

Debout, lever simultanément le bras droit au-dessus de la tête et la jambe gauche à l’équerre. En les laissant redescendre, inverser en levant le bras gauche et la jambe droite. Répéter cette « marche exagérée » en inspirant profondément par le nez et en expirant par la bouche.

On peut également le réaliser assis sur une chaise.

http://www.youtube.com/embed/FOeidb3Y5w0

Posture de Wayne Cook

Wayne Cook était un pionnier de la médecine « énergétique ». La posture qui porte son nom aide aussi à se recentrer, à mettre les situations en perspective, à améliorer la concentration, à penser plus clairement et à apprendre plus facilement. Dans la littérature, on ne retrouve cette position que dans la technique proposée par Donan Eden. Dans son livre, elle ne propose pas d’explications en rapport avec les méridiens.

1- Placez le pied droit sur le genou gauche. De la main gauche, entourez votre cheville droite et de la main droite, enveloppez la partie antérieure de la plante du pied droit.
2- Inspirez lentement par le nez. En même temps, tirez votre jambe vers vous, en provoquant un étirement. Expirez lentement par la bouche, en laissant relaxer votre corps. Répétez quatre ou cinq fois ce lent mouvement de respiration et d’étirement.
3- Changez de pied. Placez votre pied gauche sur votre genou droit. De la main droite, enveloppez votre cheville gauche et de la main gauche, la partie antérieure de la plante du pied gauche. Respirez de la même façon.
4- Décroisez les jambes et joignez le bout de vos doigts pour former une pyramide. Les doigts toujours en contact, posez les pouces sur votre “troisième œil” (au niveau du front). Inspirez lentement par le nez. Puis, expirez par la bouche, en laissant vos pouces se séparer lentement vers les côtés du front, en étirant la peau du front.
5- Ramenez vos pouces à la hauteur du troisième œil. Abaissez lentement vos mains devant vous, en les joignant en position de prière, tout en respirant profondément. Abandonnez-vous à votre propre respiration.

http://www.youtube.com/embed/LPT19Im8vnU

L’approche relie les circuits énergétiques de manières à permettre une circulation fluide à travers le corps. […] Elle peut également servir dans le cas de plusieurs problèmes psychologiques, y compris la confusion, l’obsession, la compulsion, la désorganisation, la dépression et la colère excessive. La posture de Wayne Cook renforce l’intégrité de l’énergie du corps, le rendant moins vulnérable aux influences extérieures telles que la pollution et les énergies toxiques de l’environnement.

A noter qu’il existe des postures alternatives telles que :

http://www.youtube.com/embed/tIuTNkBKmYE

La traction de la couronne

Dans les métiers « intellectuels », on sollicite beaucoup le fonctionnement de la tête, ce qui provoque rapidement une montée d’énergie au niveau du crâne. De même, lors de soucis divers, le mental semble en permanente effervescence. Cet exercice permet de libérer les congestions mentales et favorise une meilleure circulation de l’énergie au niveau du crâne. Cela peut s’avérer utile en cas de mal de tête ou d’estomac provoqué par le stress.
L’exercice consiste à « ratisser » avec ses doigts du milieu du crâne vers les côtés. On répète cela plusieurs fois (environ 15 secondes) tout en inspirant par le nez et expirant par la bouche.
Placer les pouces sur les tempes, de chaque côté de la tête. Poser le bout des doigts recourbés jusqu’au-dessus du centre de chaque sourcil. En exerçant une certaine pression, écartez les mains afin de  tendre la peau au-dessus des sourcils. Faire de même depuis le sommet du crâne.

http://www.youtube.com/embed/Zqfvc2IFV2s

Cela permet de libérer l’énergie stagnante au niveau du chakra couronne.

Les points neurolymphatiques

Le principe du massage des points neurolymphatiques (ou points de Frank Chapman, 1937) est repris dans le « Touch for Health » de John Tie (1970). Il existe de nombreux points neurolymphatiques. Il s’agit de masser les points principalement au niveau de la cage thoracique, du ventre et des jambes de façon à éliminer les toxines de votre organisme et de nettoyer les énergies stagnantes. La lymphe n’ayant pas de « pompe » naturelle (organe ayant la même fonction que le cœur), elle circule lorsque le corps se met en mouvement lors d’une activité physique. On peut aussi agir sur la lymphe en massant les points reflexes neurolymphatiques. Ce travail permet de vous recharger en énergie, de diriger les toxines vers les systèmes de vidange de votre corps et de dégager les énergies stagnantes de votre corps. Cet exercice réduit le stress et calme les réactions émotionnelles.

A noter que la lymphe joue un rôle clé dans le système immunitaire. Les vaisseaux lymphatiques sont deux fois plus nombreux que les vaisseaux sanguins et tout le corps bénéficie du bienfait de ces massages ciblés. L’effet est très rapide.
Cet exercice, intègre une sous-partie appelée « purge spinale » qui se concentre sur le buste. Elle s’effectue en environ 1 minute. Il est plus facile de demander à un partenaire de masser ces zones. Si on est seul, il faut tenter de masser le maximum de points neurolymphatiques accessibles.

Le mieux est de s’allonger sur le ventre ou  de rester debout à environ 1 mètre de distance d’un mur par exemple de façon à pouvoir s’appuyer avec ses mains lorsque le partenaire effectuera une pression sur les points situés dans le dos. Le partenaire doit masser les points de chaque côté de la colonne en utilisant les pouces (qui sont les doigts les plus robustes) de la base du cou vers le sacrum. Masser particulièrement les « trous » entre les vertèbres. On reste approximativement 5 secondes sur chaque point.
Concernant le buste, il faut masser les zones sous les clavicules puis revenir au centre de la poitrine près des clavicules et descendre en massant vers le bas du sternum. Il y a également des zones situées près des aisselles. On masse de cet endroit vers le sternum en effectuant une sorte de demi-lune. On rencontrera le méridien de la rate. Plusieurs point sont situés au niveau des abdominaux. On rencontrera le triple réchauffeur. Ensuite, on masse le long des cotés extérieurs des jambes, de haut en bas. On termine par l’intérieur des jambes.

Donna Eden le présente dans la vidéo en bas de ce document.

Zip-up

Cet exercice vous aidera à vous sentir plus confiant et positif à propos de vous-même et de votre environnement, à penser plus clairement, à tirer meilleur profit de vos forces intérieures et à vous protéger des énergies négatives qui peuvent vous entourer.

On pose sa main au niveau du bas ventre puis on remonte linéairement jusqu’à la lèvre inférieure, parcourant ainsi tout le devant du corps. On réitère trois fois. On travaille ainsi le trajet du « vaisseau conception » (environ 20 secondes). Le renfort de ce méridien particulier permet de mieux résister aux agressions extérieures (pensées et pressions psychologiques diverses pouvant vous affecter).

Donna Eden présente également cet exercice dans la vidéo en bas de ce document.

 

http://www.youtube.com/embed/_YifgYPpXb8?list=PL02C4D58434D30550

En complément des 6 premiers, on peut aussi travailler ces quelques exercices :

Connecter la Terre et le Ciel

Cette approche est souvent reprise en médecine énergétique chinoise (QI Gong pas exemple). Elle consiste à étirer le corps en tendant quelques secondes la paume d’une main vers le ciel et l’autre vers le sol. On inverse ensuite droite et gauche.

http://www.youtube.com/embed/YGWJextI8io

Celtic Weave

http://www.youtube.com/embed/sXKmUPHgziE

Hookup

Connecter le front (entre les sourcils) et le nombril.

http://www.youtube.com/embed/JqancACAlaA

Quand vous sentez la fatigue vous envahir ou pour faire un break entre deux tâches à accomplir, accordez-vous 5 minutes de pause et pratiquez ces exercices. Vous vous sentirez aussitôt mieux pour continuer votre journée.

La séance complète présentée par Donna Eden :

http://www.youtube.com/embed/gffKhttrRw4

Références bibliographiques :

[EKFRR] Educational kinesiology foundation research reports, Educational Kinesiology foundation, P.O. 3396, Ventura, Calif. 93006 ; 800-456-2109.
[Irving, 1995] The effect of PACE on self-reported anxiety and performance in first-year nursing students, Jan Irving, Ph.D. Diss., Oregon State University, Corvallis, 1995.

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