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Migraine

by 15 septembre 2013

Points d’acupuncture pour traiter les migraines

Une migraine peut avoir plusieurs causes : fatigue visuelle liée à une exposition prolongée aux écrans d’ordinateurs, la lecture de livres…), nerveuse (anxiété, stress), organique (difficulté de digestion, menstruations…)…

Vous pouvez soulager vous-même les migraines en stimulant les points d’acupuncture suivants :

– GI4 : sur le dos de la main, à l’angle du pouce et de l’index. Précisément entre le premier et le second métacarpien, au milieu du second métacarpien à proximité du bord radial.
– E41 : pli de la cheville, au centre

– VB14 : au-dessus des sourcils
– VB1 : à l’angle externe de l’œil
– EX4 : entre les deux yeux, sur la ligne de la racine des sourcils
– GI16 : dans le creux situé entre l’omoplate et la clavicule

– VB20 : localisé sur la nuque et plus exactement au-dessous de l’os occipital. Il se trouve dans une dépression entre l’insertion du muscle trapèze et celle du muscle sterno-cléido-mastoïdien
– V10 : à 1,3 Cun en dehors de Yamen, au bord externe du trapèze (juste sous l’occiput)

– VG20 : au sommet du crâne, sur la ligne reliant le sommet des oreilles

Ces points peuvent être stimulés sans aiguille. Ils sont à traiter de façon symétrique (gauche/droite), exceptés pour VG20 et EX4 qui sont situés sur l’axe vertical du corps.

Points d'acupuncture du visage pour les migraines Points d'acupuncture de la nuque pour les migraines
Points d'acupuncture de la main pour les migraines Points d'acupuncture du pied pour les migraines

Points d'acupuncture du visage pour le mal de dents

Douleurs dentaires

by 15 septembre 2013

Points d’acupuncture pour traiter les douleurs dentaires

En attendant le rendez-vous chez le dentiste, il est possible de soulager un peu les douleurs dentaires en stimulant les points d’acupuncture suivants :

– E4 : au bout des commissures des lèvres
– E6 : au creux de l’articulation des mâchoires
– GI1 Shangyang : au coin de l’ongle de l’index (face dorsale), côté pouce, à la jonction de lignes tracées le long du bord radial de l’ongle et de la base de l’ongle, à environ 0,1 cun de l’angle de l’ongle
– GI4 Hegu : sur le dos de la main, à l’angle du pouce et de l’index. Précisément entre le premier et le second métacarpien, au milieu du second métacarpien à proximité du bord radial.
– VG26 : sous le nez
– VC24 : sur le menton, dans le creux sur la gencive
– TR5 Waiguan : 2 cun au-dessus du pli du poignet, dans la dépression entre le radius et le cubitus, sur le bord radial des tendons de l’extenseur commun des doigts.

Ces points peuvent être stimulés sans aiguille. Ils sont à traiter de façon symétrique (gauche/droite), exceptés pour VG26 et VC24 qui sont situés sur l’axe vertical du corps.

Points d'acupuncture du visage pour le mal de dents Points d'acupuncture de la main pour le mal de dents

Points d'acupuncture du visage pour le mal de dents

Les points de Knap

by 21 juillet 2013

Portrait de Georgia Knap

Georgia KNAP (1866-1946) était surnommé « L’homme aux 80 métiers ». A l’âge de 40 ans, il utilise toutes ses connaissances en chimie, médecine, biologie et physiologie pour travailler ardemment au problème du vieillissement. A l’âge de 60 ans, un médecin qui l’examinait disait qu’il en paraissait 35.

Il a notamment mis au point une méthode pour « poncer » certains points du corps et soulager très rapidement de diverses douleurs.  Les points de Knap ont été cartographiés dans les années 1930, au cours de ses recherches sur le vieillissement et la régénération du corps humain. Le travail par pression des doigts sur ces points nettoie les toxines qui s’y sont accumulées et stimule des zones réflexes sur tout le corps.

D’après Knap la mise en évidence de ces points est « née d’une importante et longue étude des phénomènes inexpliqués de la névralgie sous toutes ses formes, de la rétention des nerfs et des muscles, et plus particulièrement de la classification des déchets alimentaires, producteurs d’acide urique, et de leur action néfaste sur des emplacements précis de l’anatomie humaine. » (D’après le livre de Lionel Clergeaud: Les points de Knap paru aux éditions Recto Verseau).

Curieusement sa méthode est presque tombée dans l’oubli mais reste utilisée par certains rebouteux ou encore enseignée dans certains stages destinés aux kinésithérapeutes ou aux ostéopathes.

Quelques bienfaits des points de Knap :

– Activent les forces innées d´auto-guérison
– Entretiennent la santé
– Détendent les contractions musculaires
– Renforcent le système immunitaire
– Améliorent la circulation sanguine
– Désintoxiquent et purifient
– Détendent et équilibrent
– Procurent un effet rajeunissant
– Réduisent le stress
– Activent le métabolisme

Ce qu’on peut attendre de la méthode Knap :

Lorsque l’on pratique la méthode Knap, les résultats sont tout à la fois rapides et surprenants. L’appui sur ces points libère l’organisme d’une accumulation d’acide urique (toxines). La méthode s’accompagne en principe d’une détoxication de l’organisme par un régime spécifique et la mise au repos à intervalles réguliers de l’appareil digestif. Il propose aussi quelques pistes pour améliorer son hygiène de vie qui passe notamment par une hygiène alimentaire rigoureuse.

Durée des effets :

Assez variable. Parfois l’arrêt de la douleur ne dure qu’entre 12h et 24h. Dans ce cas, il faut continuer à travailler ces points pendant quelques jours encore, peut-être avec une séance par jour puis en espaçant davantage, une séance tous les deux jours, jusqu’à disparition complète des contractures.

L’action de cette méthode se manifeste sur les plans suivants :

– Les douleurs : les recherches de Knap ont surtout porté sur les rhumatismes mais il a également travaillé sur la suppression d’autres douleurs. Par les massages des points de Knap, la modification de l’alimentation et la reprise d’une bonne hygiène de vie, les douleurs s’estompent rapidement et sans apports médicamenteux.

– Le poids : beaucoup de personnes entreprennent un régime pour perdre et parfois au contraire prendre du poids. Il est cependant reconnu que les régimes ne font que préparer la prochaine prise de poids. La méthode Knap, permet de retrouver son poids de forme sans frustration ni régime particulier. Le mode alimentaire proposé par Knap nous ramène vers notre état de santé optimal et donc notre poids optimal également.

– Le rajeunissement : Knap a aussi beaucoup orienté ses recherches sur la lutte contre le vieillissement. Il découvrit comment « rajeunir » par rapport à son état initial. Il s’agit en réalité de retrouver un état de forme et de santé comparable à des personnes bien plus jeunes que nous. En effet, par un mode de vie inadapté, nous vieillissons prématurément en polluant notre organisme. En suivant les principes proposés par Knap, le phénomène de vieillissement se ralentit et l’état physique s’améliore nettement.

Dans la pratique :

La méthode des points de Knap est bien adaptée en cas de torticolis, sinusite, entorse, céphalée, lumbago, douleur vertébrale et musculaire, trouble digestif, rhumatisme, gynécologie et urinaire, troubles circulatoires et nerveux, …

Une fois les points de blocages libérés, cette méthode contribue à une régénération globale des fonctions vitales. Le soulagement après une séance est quasi-immédiat, entre 3 min et 30 min.

Attention, il ne faut pas pratiquer les points de Knap si le patient présente des signes de  claquage ou déchirure musculaire, hémorragie, phlébite, rupture de ligaments… puisque la pression sur ces points amplifierait la douleur.

Détails des points Knap :

On trouve dans cette méthode 18 points principaux et 15 points secondaires. Les points de projections doivent être écrasés (on dit aussi massés ou « poncés ») de K1 à K18 (dans cet ordre). On peut exercer les pressions avec un cristal de massage, un bâton de massage ou avec le pouce. On doit créer une vibration en profondeur en faisant une torsion en va et vient sur la peau. L’outil utilisé ne doit pas frotter sur la peau mais bien la « tordre », environ 1/8 à 1/6 de tour dans un sens puis dans l’autre. L’outil ne doit pas irriter la peau. Le « ponçage », qui dure de 30 à 40 secondes par point, peut provoquer une légère douleur (il faut fournir environ 3 kg de force d’appui). Une séance complète dure entre 30 à 45 minutes pour traiter ces 18 points. En réalité chaque point de Knap (de K1 à K18) est un ensemble de deux points symétriques par rapport à l’axe de la colonne vertébrale. Il faut donc agir systématiquement sur les deux points pour traiter chaque côté. Pour localiser un point, il faut savoir que lorsqu’on arrive sur la zone, c’est l’endroit le plus douloureux.

Les 18 points principaux seront présentés ci-dessous.

 Points K1 (Knap 1) :

Ces deux points sont situés à 3 cm de part et d’autre de l’axe de la colonne vertébrale, entre la lombaire n°1 (L1) et la L2. Entre L1 et L5 se situe le plexus nerveux lombaire. On localise les deux points K1 en repérant la L4 qui se situe au niveau des crêtes iliaque. On parcourt les apophyses (protubérances vives sur des os) n°3, n°2 puis n°1 des lombaires. On tombe alors sur K1, à 3 cm de chaque côté de L1. On peut aussi poncer toute la zone au-dessous des deux points K1  (délimitée par un rectangle de 10 cm de long environ). Le pouce (ou l’outil utilisé) doit aller chercher les cinq nerfs rachidiens liés ensemble par une ligature.

Points de Knap K1 K2 K3

Points K2 :

Au niveau du sacrum à 3 cm de part et d’autre de l’axe vertébral  (en haut de la raie des fesses) : appuyer là où s’insèrent les ligaments sacro-sciatiques. En cas de sciatique, il faut travailler surtout ces points-là. On peut descendre un peu le long du ligament si c’est douloureux.

Détail du point Knap K2

Points K3 :

Sur les crêtes iliaques internes. Il faut trouver l’attache de carré des lombes. Triangle formé par les muscles obliques externes et le grand dorsal. On peut terminer en ponçant globalement la crête iliaque dans son intégralité. Si un point douloureux est rencontré, insister un peu dessus. Ce point est souvent douloureux chez les rhumatisants.

Points K4 et K5 :

Les points K4 sont situés de part et d’autre de la dorsale thoracique T9, à deux ou trois centimètres du bord de l’aile de T9 pour être précis. Cela correspond au nerf rachidien  intercostal. Il faut repérer la dorsale thoracique T7, située au niveau de la partie basse de l’omoplate. On peut relier par une ligne les deux parties basses de l’omoplate de chaque côté. Puis on parcourt les apophyses pour trouver la T9. On peut aussi se repérer en localisant T2, située au niveau d’une ligne horizontale reliant les acromions .
De la même façon, on repère les points K5 situés de part et d’autre de la vertèbre T4, à une distance entre 2 et 3 cm du bord de l’aile de T4. Souvent le ponçage de ces 4 points s’avère insuffisant. On poursuit donc le ponçage la zone de la T4 à la T9 des deux côtés (une ligne qui relie T4 à T9). Si un point douloureux est rencontré, insister un peu dessus. Il faudra ensuite travailler les zones au niveau de l’attache des muscles rhomboïdes sur l’omoplate.

Points de Knap K4 et K5

Points K6 :

Les points K6 se trouvent dans la fosse supraépineuse de l’omoplate, au niveau du point d’attache du muscle supra épineux innervé par le nerf supra capsulaire, branche du plexus brachial. Pour les localiser, on trouve les acromions de l’omoplate. Ces points sont douloureux en cas de rhumatisme.

Point de Knap K6

Points K7 :

Il est situé juste au-dessus des pectoraux, mais sous la clavicule, à l’endroit où se rejoignent les nerfs de la première paire dorsale et de la septième paire cervicale (nerf cutané antébrachial, nerf médian, nerf radial et nerf cubital). En réalité, il s’agit plus d’une zone qui s’étend horizontalement sur quelques centimètres. Il faut donc explorer cette zone pour trouver sous la clavicule un point douloureux et le poncer. Cette zone est approximativement sur une ligne verticale au-dessus des tétons.

Points de Knap K7 et K8

Points K8 :

Il est situé à environ 5 cm de la tête de l’humérus, au-dessus des pectoraux, là où les bras se rattachent au tronc. A cet endroit, passent le nerf médian, le nerf radial, le nerf cubital et le nerf cutané antebrachial. Il s’agit plutôt d’une zone, large de quelques centimètres, il faudra donc poncer vers la droite et la gauche de ce point pour trouver la zone la plus sensible. Cette zone est souvent sensible pour ceux qui souffrent de contractures aux bras.

Points K9 :

Il se trouve dans le dos, à 5 cm sous l’insertion de la tête de l’humérus dans l’omoplate. Ce point est sensible chez ceux qui ont des douleurs aux bras ou des contractures.

Point de Knap K9

Points K10 :

Il se trouve dans la fosse de l’épicondyle, à l’arrière du coude. Il faut poncer là où passe le nerf radial. Ce point est utile pour le symptôme « des doigts morts » (Il s’agit d’un engourdissement plus ou moins douloureux, s’accompagnant souvent de crampes et de fourmillements. Le doigt est pâle et insensible, en particulier à l’extrémité.  Il s’agit d’un trouble vaso-moteur qui s’observe dans lors de certaines affections locales ou générales comme la maladie de RAYNAUD ou la NEPHRITE chronique).

Point de Knap K10

Points K11 :

Ce point est situé près du poignet, sur la face interne du bras, au niveau du carré pronateur (en bas et du radius et du cubitus) du côté du pouce. A masser en cas de douleur au canal carpien, notamment. On peut éventuellement poncer un autre point (non référencé chez Knap) symétrique  du premier par rapport à l’axe du bras).

Point de Knap K11

Points K12 :

Il est situé sur la tête, sur l’os malaire, à l’angle du point orbitaire. Il est souvent sensible en cas de névralgies des muscles orbitaires, de névrite du nerf optique, de névralgie des muscles frontaux, etc.

Point de Knap K12

A noter qu’il y a également un autre point intéressant à masser, situé derrière la tête à la même hauteur à la protubérance de l’artère occipitale.

Points K13 :

Il s’agit en réalité plus d’une zone située sur les fessiers que d’un point. Le mieux est d’agir globalement sur la zone correspondant au ligament sacro sciatique. On recherche la zone où passe le nerf sciatique au niveau des grandes incisures ischiatiques. Il faut donc masser sur une dizaine de centimètres. Cette zone agit sur les trois nerfs sciatiques (nerf fessier, nerf grand sciatique et nerf petit sciatique ). Cette zone est douloureuse en cas de sciatique.

Point de Knap K13

Points K14 :

Il se situe au milieu de la cuisse sur la face postérieure sur le passage du nerf sciatique. C’est un endroit assez sensible.

Points de Knap K14 et K15

Points K15 :

Plus bas que le K14, le K15 est situé un peu plus du côté interne de la cuisse, sur le passage du nerf saphène, quelques centimètres au-dessus du genou. Ce point est souvent douloureux à la pression.

Points K16 :

Contre le muscle couturier, on trouve le point rotulien. Le K16 se situe sur la face interne du genou.Le K16 se situe sur la face interne du genou. En suivent le grand nerf sciatique, descendre jusqu’au creux poplité. A cet endroit, il y a une séparation en poplité externe et interne. Contre le muscle couturier, on trouve le point rotulien. Ce point est souvent douloureux pour ceux qui souffrent de sciatique. Il ne fait pas partie des points Knap, mais il peut être utile de masser également un autre point, symétrique au premier par rapport à l’axe de la jambe.

Point de Knap K16

Points K17 :

Avec le pouce, suivre le trajet du nerf médial sural en remontant. Ce point est situé au milieu du mollet entre les muscles jumeaux.

Point de Knap K17

Points K18 :

Il se trouve au niveau de la cheville entre le calcanéum et la terminaison du tendon long péronier, plus bas que le rameau calcanéen, à la terminaison du nerf poplité externe (c’est à environ 4 cm à 45° en bas et à droite de la malléole externe du pied gauche). Ce point est lié à divers troubles situés sous le talon.

Point de Knap K18

Une fois les 18 points traités, on peut revenir quelques instants sur ceux qui étaient les plus douloureux. En principe, ils doivent l’être nettement moins.

A noter que les points de Knap peuvent aussi être travaillés avec des ventouses. On place une ventouse sur chaque point de Knap durant environ 15 minutes. Cette méthode est rapide, la pose d’une ventouse se faisant avec deux coups de « pistolet »  pour aspirer l’air. C’est très efficace.

Références bibliographiques :

Pour vaincre la décrépitude du corps et du visage et reculer les limites de la mort, Impr. Pax ; Éditions du Cottage social, 1933. Réédité sous le titre Quand j’étais vieux : pour vaincre la décrépitude du corps et du visage et reculer l’échéance de la mort : comment devenir un parfait conducteur de son moteur vital, Labussière editions, Tournus, 2003, ISBN 978-2911456848.

Les points de Knap, Soulagement des douleurs, Stimulation vitale, Lionel Clergeaud, Recto Verseau Editions, réédité en 2013, ISBN 978-2883432079

Eau informée – les Expérimentations scientifiques

by 7 juillet 2013

L’eau est très probablement à la base de la vie. L’étude des propriétés quantiques de l’eau fait ressortir les caractéristiques très particulières de cette molécule, pourtant très simple. L’un des pionniers dans ce domaine était le Français Benveniste. Le chercheur Emilio Del Giudice et le Professeur Montagnier font partie des grands noms qui travaillent encore actuellement sur cette question. Il semble que l’eau puisse réellement « mémoriser » de l’information en changeant sa structure.

Il a d’ailleurs été montré que l’homéopathie repose sur ce principe « d’information » puisque la dilution est telle que statistiquement, plus aucune molécule du produit actif n’est encore présente dans la préparation. On est au dessous du nombre d’Avogadro. C’est donc que le fonctionnement de l’homéopathie ne repose pas sur une réaction chimique mais bien sur un transfert d’information. Il ne reste plus que de « l’information » dans la préparation. Pour plus d’information, consulter l’article concernant la mise en évidence d’un eau informée par homéopathie avec le GDV (Gas Discharge Visualization) écrit par Bell, Lewis, Brooks et Schwartz.

Pour illustrer également ce principe de mémorisation, le Professeur Konstantin Korotkov a montré, à l’occasion de la conférence Quantique Planete 2012, l’influence de la pensée sur l’eau grâce au procédé GDV. Il explique que l’eau forme des domaines de cohérence, ce qui abaisse l’entropie de l’eau. Il évoque un phénomène d’autoorganisation de l’eau.

Sur ce premier écran, est montré l’activité énergétique de l’eau. C’est son état initial, encore non informée :

Non Informed Water

Ensuite, il est demandé à quelqu’un d’envoyer une intension, c’est à dire de penser dans un premier temps à quelque chose de positif et « d’informer » l’eau. L’eau change sa structure :

Informed Water Good Thinking

L’information de l’eau fonctionne à proximité ou à distance.

Enfin, il est cette fois demandé à la personne de penser à quelque chose de négatif et « d’informer l’eau ». L’énergie de l’eau a de nouveau changé :

Informed Water Bad Thinking

On peut donc en conclure qu’il est possible d’influence la matière (l’eau en tout cas). Le professeur Korotkov rappelle également que nous sommes constitués de 70% d’eau et que tout ce que nous mangeons ou buvons contient aussi de l’eau. Il attire notre attention sur le danger que peut constituer l’eau stockée dans du plastique à la lumière. De telles conditions de stockage peuvent transformer l’eau en un véritable poison pour l’organisme. Il signale que le meilleur stockage de l’eau reste une bouteille en verre, ou mieux encore en argent. Ne laissez donc pas vos bouteilles d’eau à la lumière…

Il ajoute que la durée d’influence est importante et que le temps et les conditions de stockage le sont aussi.

Je termine par une référence à un documentaire de Christian Manil et Laurent Lichtenstein diffusé sur France 5 : http://www.france5.fr/emission/retrouve-la-memoire-de-leau. Je vous recommande de le visionner.

Références :

– Del Giudice   E., Preparata G., “Coherent Electrodynamics of Water” in “Fundamental Reasearch in Ultra-High Dilution” (eds. J. Shulte and P.C. Endler) Klüver Academic Press, 1998, pag., 89-102;

– Bell I, Lewis D, Brooks A, Lewis S and Schwartz G, « Gas discharge visualization evaluation of ultramodecular doses of homeopathic medicines under blinded, controlled conditions – Journal of alternative and complementary medicine, 9, 1, 2003, 25-38

Synthèse du livre du Docteur Dieuzaide

by 6 juillet 2013

Résumé

Docteur Dieuzaide

Gérard Dieuzaide est chirurgien-dentiste et posturologue. Après un début de parcours « traditionnel », il découvre les effets des champs électromagnétiques (CEM) sur le corps humain.

Il émet l’hypothèse de l’effet d’une onde électromagnétique (EM) émanant de certaines matières, notamment de certains amalgames dentaires. Les patients qui viennent le consulter présentent des déficits du tonus musculaire, des diminutions de l’amplitude articulaire, des troubles de l’équilibre, des douleurs musculaires et articulaires… Dès que l’amalgame ou la couronne dentaire est enlevé, les patients sont soulagés de façon quasi immédiate.

Il propose dans son ouvrage des tests pour vérifier la compatibilité EM de certaines matières avec les « vibrations » de ses patients. Il invite enfin ses confrères à utiliser des tests similaires avant d’entreprendre la pose de nouveaux éléments dans la cavité buccale de leurs patients.

C’est un changement de paradigme considérable. Une fois de plus, c’est un médecin traditionnel qui découvre qu’un corps humain est plus qu’un simple agrégat de cellules et qu’il faut considérer l’individu dans sa globalité, i.e., adopter une approche holistique de la personne.

Introduction

Le docteur Dieuzaide découvre un jour que les matériaux situés dans la cavité buccale avaient un effet sur l’état postural des sujets examinés. Sur un patient qui se plaignait de douleurs articulaires, tous les tests effectués allaient dans le sens d’une incompatibilité au métal qui composait la couronne dentaire. Dès l’extraction de la couronne, les symptômes disparaissent. Les tests sont refaits avec des alliages différents jusqu’à ce qu’un alliage neutre soit identifié « biocompatible » pour ce patient.

Les courants galvaniques

En présence d’amalgames, d’appareil dentaire ou de couronnes, un phénomène d’électrogalvanisme se manifeste dans la cavité buccale. Des ions métalliques sont libérés, la salive joue un rôle d’électrolyte et cela conduit à la formation de courants électriques très basse tension. Le différentiel électrique crée en effet un phénomène de pile, autoentretenu par la corrosion de l’amalgame ou des autres métaux. Les mesures courantes varient entre 4 et 50 microampères mais certaines personnes ont été mesurées à 160 microampères. Il y a là un risque d’intoxication aux métaux lourds car ce phénomène se produit en continu. Cette pollution chimique par ces métaux lourds se fixe au niveau des cellules nerveuses et peut engendrer des pathologies diverses. Ce phénomène se produit en complément du phénomène de perturbation EM mais ne suffit pas à expliquer à lui-seul  les dysfonctionnements organiques rencontrés chez les patients. Le docteur Dieuzaide a donc poussé plus loin les investigations et en a conclu que les problèmes étaient engendrés par un phénomène d’incompatibilité EM.

Symptômes rencontrés

Parmi les symptômes rencontrés chez les personnes rencontrées : Fatigue chronique, déséquilibres, céphalées, difficultés de concentration, tendinites, fourmillements, cervicalgie, lombalgie, problèmes orthoptiques, dorsalgie, paresthésies des extrémités, troubles psychiques, acouphènes, problèmes de vue accentués, douleurs diverses…

Le docteur Dieuzaide évoque même un patient qui avait besoin de lunettes progressives avant « dépollution » et qui pouvait ensuite s’en passer.

Dans une vidéo, le patient « Jean-Paul », 43 ans, est filmé en présente d’un huissier, avant et après intervention du docteur Dieuzaide. Il souffre de fatigue, vertige, paralyse d’un bras, supporte de mois ne moins la lumière, tendu musculairement. On le soumet à un test de convergence qui consiste à fixer une tige tenue verticale à quelques cm de ses yeux qui se rapproche des yeux. Jean-Paul est attiré vers l’avant. Il est ensuite invité à placer un doigt sur un de ses amalgames dentaires. Le même test en effectué et Jean-Paul part cette fois vers l’arrière.  Après différents tests, il est identifié que les amalgames de Jean-Paul sont responsables de cette tension musculaire inutile. Le docteur Dieuzaide procède donc au remplacement des amalgames par des résines testées « biocompatibles » avec Jean-Paul. Après l’intervention, les tests précédents sont réitérés et on peut effectivement constater que Jean-Paul a largement gagné en souplesse et ses tensions musculaires ont disparu. Il témoignera quelques semaines plus tard de la disparition des symptômes suscités.

Tentative d’explication

Il est connu en physique que toute matière émet un rayonnement. Les caractéristiques de ce rayonnement (fréquence et longueur d’onde) sont propres à chaque matière émettrice. En réalité, aucune matière n’est réellement inerte. La matière n’est que mouvement.

Les ondes oscillent perpendiculairement à la propagation de l’énergie. On les nomme onde hertziennes. Ces ondes sont toujours accompagnées par une autre composante, l’onde tesla. Les ondes tesla se propagent dans le même sens que l’énergie. Pour communiquer, la nature semble utiliser des ondes tesla.

Chacun de nos sens utilise une onde électromagnétique de fréquence précise pour interagir avec l’environnement. Notre perception des couleurs, par exemple, n’est rien d’autre qu’une sensibilité de notre rétine à des variations infinitésimale d’un champ électromagnétique.

Parfois le rayonnement de certaines matières entre en interaction avec le propre rayonnement du patient, ce qui va engendrer des effets délétères. Ainsi, une mauvaise information vibratoire qui est émise depuis des mois ou des années à proximité du patient peut perturber le bon fonctionnement du corps humain.

Pour certains chercheurs les cellules vivantes interagissent entre elles grâce à un phénomène EM, à la manière d’un émetteur-récepteur radio. On parle de communication quantique (ou de communication informationnelle).Cette forme de communication a lieu en amont de la communication chimique. Ces dernières dépendraient de cet échange vibratoire. Si les communications sont brouillées, les cellules ne savent plus communiquer correctement d’où les tensions qui s’installent ou les maladies. Les professeurs Régis et Brigitte Dutheil, de la faculté de médecine de Poitiers, ont établi que chaque individu possède son propre système oscillatoire, un peu comme une signature énergétique personnelle. Chacun est donc sensible à certaines fréquences particulières. Georges Lakhovsky avait également montré que les cellules perdent leur cohérence EM dès lors qu’un organe est malade et n’émet plus les bonnes fréquences. En effet, une perturbation des systèmes oscillatoires entraine à plus ou moins long terme des troubles organo-fonctionnels.

On peut aussi imaginer que les champs magnétiques environnementaux (téléphone sans fil, wifi, radar…) créent des interférences avec les différentes matières en bouche. Ces interférences peuvent perturber l’homéostasie ondulatoire de l’être humain ce qui engendrera notamment les problèmes mis en exergue par les tests posturaux décrits ci-dessous.

La posture est la conséquence ce certains facteurs et parmi eux, notamment, les effets des ondes EM. Dans certains cas, le corps réagit à une IEM comme à une véritable agression. En effet, les IEM peuvent avoir des effets surprenants. A l’origine, une fréquence « incompatible » émise par de la matière « inerte » (bague par ex). Les centres supérieurs cérébraux de lecture ou de transmission des informations environnementales ainsi parasités ne seront plus en mesure d’accomplir leur tâche correctement. Des tensions musculaires incohérentes vont apparaitre. Ces tensions vont à leur tour provoquer d’autres désordres de diverses natures (cervicalgie…). Par les tensions qu’elles induisent sur les muscles oculomoteurs, ces « incompatibilités » vont entrainer un problème orthoptique qui entrainera lui-même un problème postural.  De même, par les tensions qu’elles induisent sur les muscles toniques du système manducatoire, ces « incompatibilités » vont entrainer un pseudo-problème occlusal et ses conséquences posturales. C’est l’ensemble de l’équilibre homéostatique humain qui est perturbé. C’est un effet domino.

Principe des tests

Les tests réalisés sont en partie les tests neuromusculaires utilisés en kinésiologie.

Le patient tient en main la couronne ou l’amalgame et des tests de tonus musculaire sont effectués. Si la matière est incompatible avec le patient, le tonus musculaire de ce dernier s’écroule complètement.

Ce qui est valable pour les matériaux situés en bouche, l’est aussi pour les différents éléments portés par une personne (bague, collier, armature de soutien-gorge, piercing, stérilet, lunettes et même certains vêtements…). Certaines matières sont en effet incompatibles avec la personne qui les porte, affaiblissent le tonus musculaire et peuvent avoir des effets délétères importants (maux de tête, tendinites, cervicalgie, lombalgie, même des problèmes de peau comme l’eczéma…). De même, le rayonnement EM d’un téléphone sans fil (DECT), d’un téléphone portable (GSM, 3G, 4G…) ou d’une banale borne wifi peut avoir un effet important sur certaines personnes dites électro sensibles. Evidemment, on ne porte pas en permanence ses lunettes ou son téléphone portable. En revanche un amalgame dentaire incompatible est présent en permanence en bouche… Le « brouillage » EM est donc lui-aussi permanent et les cellules ne savent plus communiquer entre elles.

A noter qu’un événement traumatisant, deuil, séparation, licenciement suffit à augmenter la susceptibilité d’un individu à une incompatibilité EM.

Le protocole

L’environnement : Il faut toujours tester au même endroit pour pourvoir faire des comparaisons plus objectives. La présence d’une source EM comme un ordinateur, une borne wifi, un câble de courant fort, des prises électriques, etc. peut fausser la lecture.

Le testeur : Il doit être le plus neutre possible. En effet, le testeur lui-même peut être porteur d’une incompatibilité EM (bijoux, stérilet, portable…). Attention donc à ce point.

Le produit testé : attention de ne tester que le produit et pas avec son emballage qui pourrait lui-même porter une IEM. On peut simplement tenir le produit en main ou le placer au niveau du plexus solaire ou encore au niveau du bas ventre (ara = 3 cm au-dessous du nombril).

Le testé (patient) : dans la mesure du possible, lui faire retirer toutes matières susceptible de perturber les tests : bijoux, matières synthétiques, lunettes… Le mieux est de retirer également les chaussures. Il faut demander au patient de ne pas serrer les dents. De même, il faut contrôler qu’il ne sert pas les poings, direction du regard devant.

Les différents tests

On va étudier les tensions toniques reflexes puis tenter de les interpréter. Attention, toutes les tensions toniques ne sont pas dues à des problèmes IEM. Les capteurs posturaux peuvent induire ce type de problèmes.  Les capteurs posturaux sont notamment les entrées visuelle, podale, occlusale et linguale. On peut modifier l’entrée visuelle en faisant fermer les yeux au patient, on peut modifier l’entrée occlusale en faisant serrer ou desserrer les dents. On peut modifier l’entrée podale en plaçant une surépaisseur sous un pied et modifier l’entrée linguale en modifiant la position de la langue. Une fois une des entrées modifiée, on vérifie le changement sur la tonicité musculaire. En cas de « dysfonctionnement » d’un côté (par exemple un amalgame incompatible), le test montrera une différence de tonicité de ce côté. Cependant, le Docteur Dieuzaide signale que le côté gauche semble plus réceptif que le droit sans en comprendre réellement la raison.

Test musculaire : Ce test en souvent effectué en kinésiologie. Les kinésiologies mettent en relation des muscles à des organes, eux-mêmes reliés à des méridiens. Si le muscle est faible, c’est que cette trilogie est en déficit ou en excès d’énergie. Les méridiens en causes vont être corrigés en levant les barrages physiques ou psychologiques. L’énergie circule alors mieux.

Les IEM ont cette propriété d’abaisser voire d’effondrer le force musculaire. Dans le test « O ring », le patient fait une boucle en rapprochant le bout du pouce avec le bout de l’index et du majeur joints. Il tente de maintenir la boucle serré en y mettant toute sa force musculaire. Le testeur passe un doigt de chaque main dans cette bouche et tente d’écarter les doigts du patient.  Sur un sujet normal, il est très difficile d’écarter les doigts car la résistance musculaire est forte. Sur un sujet affaibli, la résistance sera très faible. Si le patient tient un téléphone potable allumé dans l’autre main, il est probable que la résistance musculaire devienne faible.

Pour les tests suivants, 2 ou 3 centimètres de différences d’amplitude ne sont pas significatifs pour conclure à une perturbation EM. Il faut compter environ 15 cm au moins pour que ce soit significatif.

Test orthoptique (convergence des yeux) : Faire fixer au patient une tige tenue verticale (stylo par ex) à quelques cm de ses yeux et rapprocher progressivement l’objet des yeux. Si un œil décroche alors que l’autre continu de fixer l’objet, c’est que la tension musculaire parasite est du côté de l’œil qui décroche.  Le patient peut être déstabilisé vers l’avant par ex. Il est alors fort probable qu’il soit sujet à des perturbations EM. Le patient est ensuite invité à placer un doigt sur un de ses amalgames dentaires. Le même test en effectué et on constate à nouveau le déséquilibre éventuel du patient qui peut cette fois être attiré vers l’arrière, par exemple.

Test des bras levés : Le patient, dos à un mur, et bras le long du corps, doit lever ses bras le plus haut possible sur les côtés pour tenter de les placer à la verticale au-dessus de la tête, dans le prolongement du corps. On constate alors l’angle maximum produit par les deux bras.

Un autre test consiste à faire tenir le pouce d’une main dans l’autre main, devant le corps du patient et de lever le plus haut possible devant le corps. On constate alors l’angle maximum entre le sol et les bras.

Test des jambes : On demande au patient, qui se tient debout, dos au mur de lever la jambe gauche tendue vers le plafond. On constate l’angle entre le sol et la jambe. On réitère le test avec la jambe droite. On peut observer si une tension est plus importante d’un côté que de l’autre. Cela permet d’estimer si le blocage vient d’un problème du côté droit au gauche. Ce test est intéressant car le testeur n’étant pas en contact avec le patient, il n’y a pas d’interférence possible.

Test de souplesse vers l’avant : On demande au patient, debout dos au mur, de pencher son corps vers l’avant pour toucher ses pieds avec ses deux mains. On constate le blocage éventuel produit par le système tonique s’il est en hypertension ; l’angle formé par le corps par rapport au sol est noté.

Test des pouces (ou test de Balsani) : On veut, avec ce test, observer des différentiels de tension entre la droite et la gauche. Dans l’idéal, le testeur doit porter des gants en latex pour s’isoler et se tenir le plus loin possible du patient.Le testeur, placé dans le dos du patient debout, place ses pouces au niveau des masses paravertébrales droites et gauche, le long de la colonne vertébrale, dans la zone lombaire. Les pouces sont assez enfoncés dans les muscles du patient. On demande alors au patient de se pencher en avant à environ 45°, les pouces du testeur toujours en appui sur les muscles. On mesure alors s’il y a un décalage entre le pouce droit et le pouce gauche. Si le pouce droit monte plus haut que le gauche, c’est que les masses paravertébrales droites sont plus en tensions que les gauches. Si on refait le même test en demandant au patient de ferme les yeux, les pouces ne sont plus en décalage.  C’est que l’incompatibilité agit d’abord au niveau des yeux. Pour s’entrainer, on peut demander au patient de tenir son téléphone portable allumé dans une main, puis dans l’autre, ce qui permet de constater que le pouce montant du testeur sera toujours du côté de la main qui tient le portable. Ce test peut aussi être mené au niveau du cou, du côté de la vertèbre cervicale C3 – On demande au patient de baisser la tête vers l’avant. De la même façon, on peut faire le test des jumeaux qui consiste à appliquer les pouces du testeur sur les faces internes des mollets. On demande au patient de s’incliner le plus bas possible.

Test de convergence podale : le patient est en position neutre, allongé sur le dos, les bras le long du corps. Le testeur place une main sous chaque cheville, soulève légèrement les pieds été applique une rotation d’égale intensité en direction du centre. L’amplitude du mouvement est appréciée d’un côté et de l’autre. Les tensions dominantes seront bien sûr du côté du pied qui pivote le moins.

Asymétrie des épaules : On peut aussi constater visuellement une asymétrie entre l’épaule gauche et l’épaule droite. Une épaule droite plus haute que la gauche signifiera que la tension vient de la droite.

Asymétrie des pieds : Le patient est allongé sur le dos. Le testeur place ces pouces sur les malléoles. On constate le différentiel de tension et de longueur entre les jambes.

Test de rotation de la tête : le testeur se place dans le dos du patient, les mains posées sur les épaules du sujet. On demande au patient de tourner la tête au maximum d’un côté puis de l’autre. Le testeur s’assure que le corps du patient ne pivote pas en même temps que les épaules et que sa tête reste bien droite durant la rotation. Les tensions seront bien entendu, du côté où la rotation est la plus difficile.

Test des longueurs de bras : le patient est debout face au testeur. Rapidement, il lance ses mains tendues paumes vers les bas, vers le visage du testeur, lequel se tient à une distance de sécurité suffisante. On constate une différence de position entre les mains. L’une d’entre elles étant peut-être plus en retrait que l’autre.

Attention cependant, parfois, on pourrait parfois penser qu’il n’y a pas de problème lorsqu’on ne constate pas de dissymétrie entre le test des pouces ou des jambes levées car l’effet IEM impacte le tonus musculaire de façon symétrique.

Neutralisation temporaire

Le système musculaire du patient, agressé par une onde particulière va se détendre en recevant une contre information que le docteur Dieuzaide appelle IVN (Information Vibratoire Neutralisante).

Des physiciens russes comme Nekrassov ou des biologistes comme le docteur Thadee Nawrocki expliquent que la disposition atomique de certaines substances issues du monde végétal et minéral crée des nanostructures creuses pouvant capter les particules subatomiques et établir un champ assez puissant pour contrer les nuisances EM habituelles.

Ces IVN, émises par certaines plantes comme l’ail des ours, la chlorella ou la coriandre, peuvent être comprises comme une « contre-onde » qui cible précisément la vibration de certains matériaux et l’annule.

Quelques pincées de ces plantes, disposées dans un petit sachet sont mises en contact avec le patient, dans la main ou sur le plexus ou encore au niveau du ara (3 cm sous le nombril) et l’effet IEM d’une matière parasite sera supprimé temporairement.

Choix de nouveaux matériaux

Si un élément en bouche a été mis en cause, il faut le remplacer par une matière « biocompatible » avec le patient. Pour cela, on présente devant le point « ara » (ou dantian en chinois), situé à 3cm au-dessous du nombril, différentes matières de remplacement, par exemple des composites (résine) et le praticien demande au patient de refaire le test des bras levés. On observe la matière qui lui convient le mieux.

Autotest 

Il peut être intéressant de se tester soi-même. Pour cela, Gérard Dieuzaide propose les tests suivants :

1 – Ces tests se pratiquent de préférence chez soi, dévêtu et sans bijou. Commencer par effectuer le test des bras (coté et devant). C’est rapide et simple. On peut aussi effectuer le test de la jambe levée, dos au mur. Si un blocage est constaté, tester avec un IVN en main et refaire les tests pour constater ou non une différence.

2 – Se tester avec les matières que l’on porte. Parfois, le simple fait de retirer une bague, un collier ou des lunettes suffit. Commencer par faire le test des bras ou de la jambe levée avec et sans lunettes. Si une différence peut-être constatée, refaire les mêmes tests en tenant les lunettes dans la main gauche ou au niveau du plexus. On détermine ainsi si c’est l’entrée visuelle qui est perturbée ou si c’est l’effet informatif des lunettes qui crée le blocage. Dans ce dernier cas, on peut éventuellement affiner le test en déterminant si le problème vient des verres ou des montures. Pour ce faire, on pratique le test de la jambe levée en tenant les montures (sans toucher les verres) dans la main puis on refait le test en touchant cette fois un des verres (sans toucher les montures). L’effet informationnel de certains verres de lunettes est impressionnant. On peut, de la même façon tester les matières des vêtements, des bijoux, etc.

3 – Tester les matériaux en bouche. Si vous avez menés les tests précédents et que vous constatez encore un blocage, il faut tester couronnes, amalgames, appareils…  Si l’appareil peut être enlevé, on pratique le test avec et sans. Pour tester les amalgames, couronnes ou composites, poser un doigt sur chacun d’entre eux et faire le test du lever de jambe en faisant attention d’utiliser la jambe du même côté que le doigt utilisé. Vérifier en pratiquant le même test avec les dents saines pour mettre en évidence le différentiel de mouvement. On peut éventuellement effectuer le test de rotation de la tête pour déterminer de quel côté est l’information la plus nocive.

Les matériaux en bouche

Suite à la pose d’amalgames ou d’autres couronnes, un patient peut comptabiliser  énormément de matières différentes dans sa cavité buccale.

Amalgames à base de mercure : C’est un mélange de métaux en poudre et de mercure liquide. Un tel amalgame contient environ 50% de mercure. La poudre d’alliage est constituée dans des proportions variables d’argent (environ 40%), de sélénium, de cuivre, et dans des proportions plus faibles d’autres métaux comme le zinc. On appelle communément cet amalgame « plombage » car sa coloration est grisâtre mais il ne contient pas de plomb. Les dentistes sont officiellement autorisés à poser des amalgames au mercure. Pour autant, les cabinets dentaires doivent posséder des appareils pour récupérer les déchets au mercure, jugés toxiques pour l’environnement. La législation française semble bien étrange.

Les alliages : on en dénombre environ un millier selon la nature et les proportions des métaux employés. On les utilise pour les couronnes, les implants, les soudures, les fils ou bagues d’orthodontie. Une bouche peut contenir jusqu’à 30 métaux différents. On trouve des alliages précieux à base d’or ou de platine. Il existe aussi des alliages semi-précieux à base d’argent, de palladium, gallium, etc. On trouve aussi des alliages non précieux à base de chrome, cobalt, nickel, molybdène, carbone, iridium, tantale, rhodium, indium, niobium, ruthenium, etc. Enfin, le titane est utilisé pur en implantologie.

Les résines : ces matières composites sont constituées d’au moins deux éléments, un produit d’obturation sous forme d’une pâte molle (résine dentaire) et un durcisseur. Un procédé de polymérisation par ultraviolet est utilisé pour durcir la résine et lui donner sa consistance définitive. Le composite adhère à la dent grâce à un adhésif préalablement appliqué. La composition de ces résines est difficile à connaitre en raison du secret industriel mais plus de 40 substances peuvent les constituer. Parmi elles, la résine diméthacrylate, un pigment fluorescent, un stabilisant anti-UV, de l’aluminoborosilicate de baryum, des colorants à base d’oxydes métalliques, du polysiloxane à fonction méthacrylate modifiée, des nanocharges de dioxyde de silicium…

Les céramiques : Il en existe aussi énormément aux compositions très différentes. Feldspathiques ou quartzitiques, on les appelait autrefois des porcelaines. Elles sont constituées essentiellement d’oxyde de silicium SiO2 (entre 55 et 78%) et d’oxyde d’aluminium Al2O3 (moins de 10%). D’autres sont alumineuses et sont caractérisées par leur haute teneur en oxyde d’alumine (jusqu’à 98%). Enfin, les nouvelles céramiques à base de zircones ou d’oxyde de zirconium. On peut y trouver aussi de l’yttrium (environ à 5%), de l’oxyde d’hafnium (environ 2%) et de l’oxyde d’aluminium (environ 1%).

En complément de ces matériaux, on peut aussi trouver des liants chimiques et différents colorants composés d’oxydes métalliques comme le cobalt, le fer ou des métaux classés dans les terres rares.

Etonnamment ces matériaux dentaires ne sont soumis à aucune autorisation de mise sur le marché.

Conclusion

Le message que souhaite faire passer le docteur Dieuzaide est somme toute assez simple : ne jamais se faire poser quoi que ce soit dans la bouche sans avoir fait vérifier sa compatibilité aux matériaux proposés. Il attire également notre attention sur les matériaux étiquetés « biocompatibles » par les laboratoires (titane, zircone…) qui peuvent néanmoins perturber certaines personnes. Chaque individu est en effet sensible à certaines fréquences. Une fréquence qui perturbe un individu ne perturbera pas forcément un autre individu. Parmi les nombreux patients testés par le docteur Dieuzaide, ces phénomènes d’incompatibilité EM ont été souvent rencontrés chez les patients diagnostiqués comme « fibromyalgiques ». Le docteur Dieuzaide invite finalement les chercheurs à approfondir l’effet des champs EM sur l’être humain avant qu’un réel problème de santé publique n’éclate à nouveau.

Interview de Michèle Delmas

by 5 juillet 2013

Michèle Delmas, auteure du livre « Quand la couleur guérit » aux éditions Tredaniel, est interviewée à l’occasion du salon zen 2010. Elle évoque en fin d’interview les traitements en symétrie haut-bas / droite-gauche / avant-arrière. Elle illustre son propos avec le cas d’une personne qui se blesse à l’épaule droite à 18 ans et qui aura des douleurs à l’épaule gauche à 40 ans. L’épaule droite, blessée, donnera du froid (traumatisme). L’énergie traverse le plan de symétrie et inverse sa polarité. Elle devient chaleur. Cela cause des crises d’arthrite (poussée inflammatoire) à gauche. La médecine allopathique va traiter l’épaule gauche pour l’arthrite alors que la chromatothérapie, qui s’intéresse plus aux causes qu’aux effets, proposera de traiter l’origine du problème, soit l’épaule droite avec un longueur d’onde proche du bleu ou du violet.

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