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COVID19 – Les recherches en cours

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En fait, que ce soient pour les traitements, pour les solutions de protection ou pour les mesures de déconfinement, il n’y a pas un jour sans que nous soit révélé un traitement miracle tout de suite contredit.

Les chercheurs sont sur le pied de guerre car il y a évidemment de forts enjeux financiers. Dans le n°1234 de Science & Vie (août 2020), on dénombrait 28.000 études scientifiques consacrées en 5 mois au SARS-CoV-2.

Certains recherches s’orientent sur un médicament, d’autres sur un vaccin. D’autres sont encore plus générales.

Des recherches générales

Début janvier 2021, un article nous apprenait que des scientifiques français avaient réussi à leurrer le virus SARS-CoV-2 et à le neutraliser à l’aide de vésicules extra-cellulaires. Cela semble une piste de traitement intéressante contre la Covid-19.

Début aout 2021, des chercheurs suisses annonçaient que les personnes affectés par la Covid avaient toutes un indice glycémique problématique. « Une glycémie élevée favorise pratiquement chaque étape de l’infection virale, depuis son apparition dans les poumons jusqu’ aux complications graves telles que le syndrome de détresse respiratoire aiguë, la défaillance multiple d’organes ou les accidents thrombotiques ». 

Des études scientifiques ont exploré la piste génétique. Elles cherchaient à comprendre pourquoi certaines personnes sont plus affectées que d’autre par le Covid19. Une étude avait mis en évidence un gène qui multiplie par deux les risques de mourir d’une contamination par le SARS-CoV-2. Ce gène est présent chez 61 % des Asiatiques tandis qu’il est présent chez seulement 16 % des Européens. Une autre étude suggérait que les personnes qui expriment le plus les gènes TYK2 et CCR2, impliqués dans la réponse inflammatoire, ont plus de risques de mourir de la Covid-19.

Un nouvel article, publié le 13 janvier 2022 dans la revue Nature, explique que c’est un segment d’ADN codant pour des gènes du système immunitaire qui protègerait des formes graves de la Covid-19. Le segment d’ADN concerné serait situé sur le chromosome 12, dans la région chromosomique 12q24.13. Posséder le segment protecteur réduit de 23 % le risque de faire une forme critique de la maladie. Plus intéressant encore, 80 % des personnes d’origine africaine seraient porteuses du fragment protecteur. Ce qui pourrait expliquer pourquoi le virus est moins dévastateur sur ce continent. Le segment protecteur fait 75 kb et code pour trois gènes : OAS1, OAS2 et OAS3, des gènes du système immunitaire. Chez les personnes porteuses de la variante protectrice, la protéine issue du gène OAS1 serait 60 % plus longue. Celle-ci a pour mission de décortiquer le SARS-CoV-2. Plus elle est longue et plus elle est efficace dans son combat contre le virus. Ces résultats intéressants restent à confirmer par d’autres études et peut-être par une analyse génétique des personnes infectées classées par mutation.

Le 17 février 2022, une étude européenne et canadienne (en préprint) découvre un nouveau récepteur hôte humain du SRAS-CoV-2 appelé LRP1 et le considère comme un facteur hôte qui prend en charge diverses étapes du cycle d’infection d’un large spectre de virus à ARN.

Les médicaments

Une des pistes initiales de traitement, en début de pandémie, reposait sur un médicament, baptisé « Remdesivir ». Initialement conçu pour lutter contre le virus Ebola, il avait montré des signes encourageants sur des patients infectés par le coronavirus dans des études financées… …par les labos. Anthony Fauci, le directeur de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAD) annonçait au début de la pandémie que le Remdesivir aurait des effets bénéfiques significatifs chez les patients Covid-19. Cependant, une autre étude publiée dans le même temps dans le journal The Lancet par une équipe chinoise est venue légèrement tempérer cette annonce : le Remdesivir n’aurait pas d’efficacité significative chez les patients sévères. Le traitement est passé par la phase d’essais cliniques mais n’a pas donné de résultats probants. Pourtant, d’autres études qui sont sorties plus récemment et pour lesquelles les auteurs ne sont pas totalement « indépendants » tentent de prouver le contraire.

La Haute Autorité de Santé a déclaré le 26 septembre 2020 qu’aucun bénéfice clinique n’a été suggéré avec le Remdesivir. La Commission Européenne avait commandé au laboratoire GILEAD en juillet 2020 pour 63 millions d’euros de doses de Remdesivir afin de soigner le COVID-19, même si aucune étude ne prouvait son efficacité et même que certaines études ont prouvé son inefficacité. Un nouvel article sorti le 08 octobre 2020 détaille cette commande de 500.000 doses. Le Remdesivir ne sera donc plus pris en charge par notre système de santé. L’OMS a même déconseillé le traitement des malades du Covid19 par ce médicament. En juin 2021, on apprenait même qu’il serait à l’origine de problèmes cardiaques.

Pourtant, même jugé inefficace, il pourra être délivré aux Français, et sera distribué à titre gratuit aux pays les plus touchés par la Covid-19 ! Etonnant, non ? L’industrie pharmaceutique aurait-t-elle oublié la devise « Primum non nocere » ?

Fin juillet, on apprenait qu’à Lyon, des pistes sont dignes d’êtres suivies pour la mise au point de certains médicaments, notamment une association de deux médicaments.

Un essai clinique visant à transfuser du plasma sanguin de patients guéris à des malades en phase aiguë de la maladie a été mené en France (après la Chine et l’Italie). De nombreux essais d’antiviraux connus ont été réalisés dès le début de l’épidémie, en Chine. Le Remdesivir et l’association lopinavir/ritonavir avec de l’interféron (ou non) furent au cœur de l’essai européen Discovery débuté le 22 mars 2020, piloté depuis la France et qui devait inclure 3 200 patients (dont au moins 800 Français).

Enfin, d’autres pistes sont examinées, comme celle consistant à tester l’efficacité d’autres médicaments contre la Covid-19. Parmi les candidats possibles, la chloroquine, généralement utilisée contre la malaria, a été l’objet de nombreux débats. L’hydroxychloroquine a été incluse au dernier moment dans l’essai, notamment en cours au CHU de Nantes. Ce dérivé de la quinine est actuellement l’objet de nombreuses études, dont celles réalisées à Marseille par le Pr Raoult.

les premiers débats critiquaient le manque de rigueur de la méthodologie du professeur Didier Raoult, infectiologue, patron de l’IHU Méditerranée Infection de Marseille. Le débat est vite devenu passionné et politique, le tout dans un climat d’hystérie. La plupart des détracteurs semblaient avoir plutôt pour objectif de casser la réputation du professeur Raoult, que de produire des arguments scientifiques de qualité.

Bien souvent, les « solutions scientifiques » proposées par les labos sont pour le moins discutables. Big Pharma oriente clairement la production des articles de recherches pour satisfaire ses propres intérêts.

Les médecins eux-mêmes, souvent invités sur les plateaux TV, ont parfois quelques intérêts dans telle ou telle solutions. A titre d’exemple, et ce n’est pas le seul, le Dr Martin Blachier fait partie d’une société spécialisée dans la modélisation des stratégies médicales et sanitaires, Depuis sa création en 2012, Public Health Expertise a reçu exactement 882.205 € des grands groupes pharmaceutiques dont 120.600 € de Gilead, le fameux promoteur du Remdesivir. Des sommes publiées sur Eurofordocs. Rappelons d’ailleurs l’implication financière de Gilead dans la Spilf, structure qui a récemment porté plainte contre le Pr Raoult…

Voir ce mini reportage sur ce sujet.

Cependant, ce même Dr Blachier exprime aussi des doutes sur les chiffres communiqués par la propagande gouvernementale et ne trouvait pas d’explication rationnelle au couvre-feu instauré dans quelques grandes métropoles.

D’autres médecins, comme Nicole Delépine, expriment un point de vue contraire aux positions du gouvernement : « 90% des tests dits positifs ne sont pas des gens symptomatiques, ce sont dans 90% des traces de virus qu’on a rencontrées un jour. Et ce n’est pas moi qui le dis, je ne suis pas la complotiste qu’on veut bien dire. Je répète ce qu’a dit le New-York Times. Y’a des jeunes qui y vont trois ou quatre fois dans la semaine, ça ressemble à rien. On a quand même conditionné une phobie de ce virus« .

On est loi de la décision rationnelle partagée par tous. Le « 1+1=2 » n’existe pas en médecine et encore moins dans les décisions de nos dirigeants. Rappelons aussi qu’un préfet, représentant de l’Etat, a accepté un rassemblement de 700 évangélistes venant de toute la France…

Le 22 mai 2020, la revue scientifique « The Lancet » publiait une étude mettant en exergue la dangerosité de la chloroquine, ce qui a conduit l’OMS a arrêter les essais. Cette étude, basée essentiellement sur le Big Data a fait l’objet de nombreuses controverses. Le 3 juin 2020, The Lancet émettait des doutes sur la fiabilité de l’étude publiée… Les scientifiques se sont décrédibilisés une fois de plus avec cette étude publiée dans la précipitation. Après enquête, la société qui produisait les données a été considérée comme « douteuse » et les analystes comme étant des détracteurs de la chloroquine puisqu’ils avaient des intérêts dans le développement du médicament concurrent. On apprenait le 29 octobre 2020 que cette affaire se réglera en justice. le Pr Raoult reproche aux autorités sanitaires et politiques de « cacher quelque chose » et de favoriser l’antiviral Remdesivir (Gilead) au détriment de l’hydroxychloroquine, ce que démentent les organismes et personnalités visés. Un juge pénal interviendra pour savoir s’il n’y a pas quelques accointances de membres de l’ANSM avec des gens du laboratoire Gilead [qui commerciale le Remdesivir]. L’ANSM fait souvent l’objet d’articles pointant du doigt différents scandales, comme celui du Levothyrox.

Pour autant, l’affaire de l’hydroxychloroquine n’est pas terminée. Un chercheur montpelliérain, Hervé Seitz, biologiste moléculaire, publie en mai 2021 une synthèse démontant les études du professeur marseillais. Il faut historique un de ses premiers détracteurs. C’est bien connu, les experts ne sont jamais d’accord entre eux. Les faits ont montré que l’IHU de Marseille a obtenu de très bon résultats. Il en est de même à New York avec le Dr. Zelenco.

Les intérêts financiers étaient tels, dans cette crise sanitaire que les grands labos n’ont pas hésité à rendre un produit subitement toxique alors qu’il était administré des milliards de fois ! Un billet de MediaPart écrit par le toxicologue Jean-Paul Bourdineaud conteste la supposée toxicité de l’Hydroxychloroquine et de l’Ivermectine, explique la raison de leur bannissement, et développe la notion de controverse scientifique ; il met en lumière le rôle des conflits d’intérêts et le problème de l’évaluation des risques par les agences de régulation, qui ont abouti à l’unique solution vaccinale.

Parmi les pistes solide d’un médicament, le XAV-19, développé à Nantes par la startup Xenothera, permettrait de limiter les effets pulmonaires du coronavirus. Il serait basé sur une technologie de production d’anticorps polyclonaux protecteurs, qui se rapprochent de la réponse naturelle de l’homme. Ce médicament protégerait durant plus de dix jours, il diffuse dans les poumons, et empêche en particulier la pneumonie. La France en aurait commandé 30 000 doses.

Cela ne devrait pas nous surprendre car selon les récentes révélations de Médiapart, plusieurs médecins issus des deux conseils scientifiques présentent des conflits d’intérêts avec divers laboratoires pharmaceutiques. Les laboratoires Roche, BioMérieux, Sanofi, et AbbVie sont notamment cités. Comment le gouvernement pourrait-il ignorer cela ? De « mauvais esprits » pourraient y voir une forme de complicité.

Début juillet 2020, une autre étude américaine concluait dans le sens de l’hydroxychloroquine. L’article publié dans International Journal of Infectious Diseases est disponible sur ce lien. On notera que cet article a été moins relayé par la presse que ne l’a été la première étude du Lancet qui critiquait le même produit. Mais n’en tirons aucune conclusion désagréable.

Début aout 2020, un dossier de France Soir analyse les attaques subies par l’hydroxychloroquine. En résumé, soyons clair, c’est un médicament probablement efficace qui n’est pas assez cher donc qui n’intéresse pas l’industrie pharmaceutique qui voudrait nous faire payer évidemment une fortune pour un traitement bidon, comme ils savent le faire pour le cancer. Un traitement à base de Remdesivir coûte 2500€ par personne alors que l’hydroxychloroquine ne coûte pas cher. On comprend donc l’intérêt de l’industrie pharmaceutique dans cette affaire.

Selon un autre article de France Soir, il n’est pas impossible que certains de nos dirigeants nous ait caché des choses… L’hydroxychloroquine était un médicament utilisé depuis des années. Subitement, il devient toxique. L’ANSM a même refusé une recommandation temporaire d’utilisation. Le Docteur Renaud Muselier et Président de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur est monté au créneau et a adressé une lettre à Olivier Véran. Il écrit notamment qu’en refusant d’accorder une recommandation de hydroxychloroquine contre la Covid-19, l’ANSM va à l’encontre des principes fondamentaux de la médecine.

Le 23 février 2021, France Soir, dont les articles dérangent, publiait une information sur une étude qui révélait aussi un effet important de l’hydroxychloroquine.

Un article de JAMA, datant du 13 avril, montrait que les pistes de traitements proposées jusqu’alors ne semblaient pas efficaces. Que ce soit la chloroquine ou l’hydroxychloroquine, la combinaison lopinavir/ritonavir et les autres anti-rétroviraux, les anti-viraux classiques, les immunomodulateurs, les corticostéroïdes ou encore le plasma de personnes convalescentes, aucun de ces traitements n’a fait ses preuves de manière suffisamment robuste pour que l’on puisse clairement le généraliser et avoir une idée précise de sa balance bénéfices/risques.

De son côté, Ancha Baranova, biologiste à l’Université américaine George Mason, explique qu’un nombre suffisant de personnes disposera d’anticorps aptes à faire face au virus lorsque 70% environ de la population sera tombée malade et aura guéri. Les cas de contamination ne seront alors plus aussi massifs, la population ayant développé une immunité.

Ce point de vue ne semble pas partagé par tout le monde. En date du 17 avril 2021, les dernières découvertes sur le coronavirus laissaient à penser que les anticorps développés par les malades n’auraient pas forcément d’effet protecteur durable et efficace contre la Covid-19… En effet, le Pr Jean-François Delfraissy, immunologiste et président du Conseil scientifique, avait émis des réserves sur la capacité de l’organisme des personnes infectées à développer des anticorps les protégeant efficacement et durablement du coronavirus. « Ce virus est très particulier. Nous avons remarqué que la durée de vie des anticorps protecteurs contre la Covid-19 est très courte. Et nous constatons de plus en plus de cas de récidives chez des personnes qui ont déjà eu une première infection ». Cependant, une expérience chinoise récemment publiée montre qu’il y aurait globalement une bonne réponse immunitaire humorale (anticorps) et cellulaire (lymphocytes) chez les patients guéris de la Covid-19. De quoi réduire un peu les incertitudes à ce sujet. deux études indépendantes, canadienne et américaine, publiées le 8 octobre 2020 dans la revue Science Immunology, indiquaient que les anticorps spécifiquement dirigés contre le SARS-CoV-2 persistent au moins trois mois chez des patients Covid-19 après le début des symptômes.

de nouvelles données étaient disponibles sur la persistance des anticorps anti-SARS-CoV-2. Fin octobre 2020, une étude nous apprenait que les personnes asymptomatiques perdent plus rapidement leurs anticorps.

Depuis, la presse scientifique nous apprenait le 4 aout 2021 que l’efficacité du vaccin Pfizer/BioNTech diminuerait de 6 % tous les deux mois.

Le 27 avril 2021, l’APHP annonçait que le tocilizumab, un médicament modulant l’immunité, améliorerait le pronostic des cas sévères de Covid, selon des résultats préliminaires. Des essais cliniques sont en cours pour freiner la production massive et toxique de cytokines chez certains patients.

Mi juin 2021, nous apprenions que dans le cadre du vaste essai clinique Recovery, un puissant anti-inflammatoire, la dexaméthasone, a montré des résultats très encourageants en réduisant le risque de décès chez les patients présentant de graves complications respiratoires. Déjà disponible et peu coûteux, ce médicament, d’ores et déjà administré au Royaume-Uni, devrait servir de traitement de base pour soigner la Covid-19. Affaire à suivre.

Autre recherche en cours : Une étude réalisée au Royaume-Uni et publié début septembre suggère que l’hydrocortisone permettrait d’augmenter « les chances de survie ».

le 22 novembre 2020, l’Agence américaine des médicaments (FDA) approuve en urgence le REGENERON, cocktail d’anticorps de synthèse qui aurait été administré à Donald Trump. Une thérapie similaire développée par le laboratoire américain Eli Lilly avait déjà obtenu ce statut le 9 novembre. Regeneron a déjà conclu plusieurs contrats avec le gouvernement américain, dont un à 450 millions de dollars, pour fabriquer des doses à grande échelle aux Etats-Unis. Le gouvernement a aussi annoncé fin octobre l’achat de 300.000 doses du traitement de Lilly pour 375 millions de dollars, soit 1250 dollars la dose… No comment.

En décembre 2020, une nouvelle piste semblait prometteuse : le molnupiravir. Il s’agit d’un antiviral, aussi appelé MK-4482 / EIDD-2801. Ce médicament est, à l’origine, un antiviral utilisé pour combattre la grippe. Des recherches ont été menée, notamment à l’Institut des sciences biomédicales de la Georgia State University. En octobre 2021, on apprend que le Molnupiravir agirait en favorisant la mutagenèse du SARS-CoV-2, ce qui signifie que ce médicament favoriserait la modification de l’information génétique d’un SARS_CoV_2 par la production d’une mutation. Il s’agirait d’un traitement oral. Problème : « Ce médicament fonctionnant en perturbant la mitose ou la méiose de l’hôte, il est à craindre que « des mutations dans l’ADN de l’hôte puissent contribuer au développement de cancers ou provoquer des malformations congénitales soit chez un fœtus en développement soit par incorporation dans les cellules précurseurs du sperme… » (Wikipedia). En outre, Raymond Schinazi, chimiste de l’Université Emory, a longuement étudié l’ingrédient actif de l’EIDD-2801. Interrogé par la revue Science, il rappelle que Pharmasset a abandonné en 2003 cette molécule, parce qu’elle était mutagène. Un article publié le 01/08/21 dans The Journal of infectious Diseases explique effectivement que ce médicament est mutagène pour les cellules de mammifères ».

Début juin 2021, une étude approfondie identifie 13 médicaments anti-COVID potentiels. Israel semble avoir mis au point un médicament intéressant à base de cellules souches, qui nécessiterait trois injections. Dans la première phase des essais cliniques de l’hôpital Rambam de Haïfa en Israël, le nouveau médicament a montré sa capacité à soulager le choc cytokinique, à normaliser le système immunitaire et à prévenir les conséquences graves de la maladie, a déclaré le Dr Shadi Hamoud, qui a effectué les tests.

Le 11 aout 2021, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé le lancement prochain de nouveaux essais cliniques dans le monde pour mesurer l’efficacité contre la COVID-19 de trois traitements supplémentaires : l’artésunate, l’imatinib et l’infliximab.

Le 24/09/21, l’OMS recommandait un troisième traitement, celui de Regeneron. Selon un avis des experts de l’Organisation mondiale de la santé publié dans le « British Medical Journal », ce traitement est recommandé seulement dans des cas bien précis.

En novembre 2021, la presse scientifique nous apprenait que le Paxlovid (molécule développée par Pfizer) serait efficace à 89 % pour prévenir le risque d’hospitalisation ou de décès après une contamination au SRAS-CoV-2. Ces chiffres sont évidemment produits par Pfizer, entreprise déjà condamnée pour pratiques frauduleuses et bien connue pour sa générosité envers les partis politiques.  

Dans l’attente d’un médicament plus spécialisé, tous les patients qui ont été pris en charge par un cocktail d’Ivermectine, d’Azithromycine, de Rubozinc (ou autre complément à base de zinc) et de Cholécalciférol (ou autre forme de vitamine D) se sont très bien rétablis et les témoignages sont légion. 

Les vaccins

On comptait à une époque 237 projets de vaccins contre le Covid-19 dans le monde, développés selon des techniques très différentes (vaccins à virus, vaccins à vecteur viral, vaccins à protéines, vaccins à matériel génétique). Tous n’ont pas abouti, non pas en raison d’un échec scientifique mais plutôt en raison d’un manque de puissance économique pour contrer les « mastodontes » qui étaient déjà en place. 

En début de pandémie, les États-Unis ont proposé un vaccin, reposant sur l’information contenue dans « l’ARN messager », une copie d’une portion d’ADN servant à la synthèse des protéines des cellules.  

Des travaux de recherche se sont lancés dans de nombreux pays. C’était le cas, en France, avec le groupe pharmaceutique Sanofi. Les recherches portaient sur une « technologie de recombinaison de l’ADN », déjà utilisée pour son vaccin contre la grippe.  

Jusqu’alors, il fallait 10 ans pour développer un vaccin et le mettre sur le marché. Compte tenu de « l’urgence » de la situation, on a demandé aux industries pharmaceutiques de produire une solution en moins de 18 mois. Bien entendu, il n’est pas possible de tester tous les effets secondaires en aussi peu de temps. De ce fait, une loi protège le gouvernement de toute action en justice. L’industrie pharmaceutique européenne a également assuré ses arrières en obtenant une protection financière de l’UE en cas de problèmes avec les futurs vaccins. Les fabricants seront donc à l’abri de toute action entreprise contre d’éventuels effets secondaires. Au Brésil, il en est de même, Le Guardian révélait une fuite d’un document d’approvisionnement évoquant des clauses pour protéger la société pharmaceutique américaine PFIZER d’une action en justice en cas d’effets secondaires graves. Dans son accord de 1 milliard de dollars avec Pfizer Export BV, signé en mars, malgré ses plaintes antérieures, le gouvernement brésilien a accepté qu’une décharge de responsabilité soit signée pour tout effet secondaire possible du vaccin, exemptant Pfizer de toute responsabilité civile.

Des rumeurs ont parlé d’une vaccination probablement obligatoire en Espagne et en Belgique. Finalement, on apprenait le 23/10/21 que non seulement la Cour constitutionnelle en Espagne a retoqué le Pass et l’obligation vaccinale, mais en plus la justice a exigé le remboursement de toutes les amendes dressées aux Espagnols lors de l’Etat d’urgence.

En France, trois décrets publiés début décembre 2020 au Journal Officiel créent la polémique et l’inquiétude des défenseurs des libertés : surveillance actée des activités sur ces réseaux avec possibilité de recueil des pseudonymes et identifiant, pas les mots de passe, uniquement les informations mises en ligne volontairement en source ouverte…

Ceux qui passaient pour des « conspirationnistes » ont fait remarquer que nous allions arriver très rapidement à une obligation de vaccination fait, puisque sans cette vaccination, il ne serait plus possible de voyager, d’aller au théâtre ou même d’inscrire ses enfants à l’école, etc. L’histoire leur a donné raison puisqu’un pass vaccinal a été mis en place en France et qu’un projet de loi, porté par M. Jomier, sur la vaccination obligatoire fut débattu au Sénat (finalement rejeté). Les parlementaires socialistes prônaient depuis l’été 2021 « l’obligation progressive d’une vaccination universelle » contre ce virus. Le texte, examiné en première lecture dans le cadre d’une « niche » parlementaire du groupe, entendait compléter l’article du code de la santé publique relatif à l’obligation des vaccinations antidiphtérique et antitétanique pour y ajouter la vaccination contre le Covid-19. Trompés par les études financées par les grands laboratoires, les sénateurs socialistes partaient de l’axiome « les vaccins sont efficaces et sans danger ». Ils évoquaient notamment le côté « altruiste » du vaccin, ce qui sur le fond pourrait être un argument à retenir, mais dans la pratique pas adapté aux vaccins proposés actuellement. En effet, on sait depuis des mois que les personnes doublement vaccinées ne sont que très peu protégées contre le virus et qu’elles ne participent pas à la réduction de la transmission. Le lobbying des grands labos est encore particulièrement puissant. Rappelons que Pfizer a financé le parti socialiste depuis des années. 

Attention aussi aux « analyses rapides » des réseaux sociaux. On trouve par exemple des critiques sur le fait que la vaccination ne soit pas obligatoire à l’Assemblée ou au Sénat. C’est exact mais car on ne peut empêcher un parlementaire d’accéder à l’hémicycle, pour éviter un dysfonctionnement démocratique. Ce n’est pas nécessairement parce que nos « élites » veulent éviter la vaccination. En revanche on a récemment interdit l’accès au Parlement Européen à certains députés non vaccinés. 

Les vaccins qui sont produits (voir comment l’entreprise Moderna utilise l’ARN modifié pour reprogrammer une cellule souche du corps pour en modifier la fonction) ne font pas que proposer une souche de virus à votre corps pour qu’il produise des anticorps. Certains spécialistes explique que c’est beaucoup plus technologique qu’il n’y parait. Des nanotechnologies figureraient dans ces nouveaux vaccins qui permettraient de capter et d’envoyer des informations à votre corps. Difficile de savoir pour le moment qui dit vrai.

On nous a expliqué en début de pandémie que le vaccin à ARN était sans danger, puisqu’il ne pénétrait pas dans le noyau de nos cellules. En théorie, c’est vrai mais sur des centaines de milliers de personnes vaccinées, un doute a rapidement émergé. Une sécurité à 100% n’existe probablement pas. En juin 2020, Alexandra Henrion-Caude, généticienne, directrice de recherche à l’IRSEEM avait émis un doute. En Février 2022, un article de recherche Il s’est avéré qu’un cas a fait l’objet d’un article prouvant que c’était possible. 

Les députés européens ont réclamé de la transparence et ont demandé la communication de la composition des vaccins. Leur demande est restée lettre morte. Des virologues ont cependant travaillé sur ce sujet et ont pu produire le document ci-contre, présentant la composition très probable des vaccins ainsi que leur dosage. 

Le site PHMT (Public Health and Medical Professionals for Transparency Documents) s’est monté partageant des données PFIZER pour le « grand procès ».

Autres documents intéressants, les analyses de Christine COTTON, biostatisticienne sur les essais PFIZER.

Quant au dosage des vaccins, un cabinet d’avocats américain a étudié les documents que Pfizer a été contraint de rendre public, sur ordre de la justice. Il a été découvert le principe actif varie de 3 à 100 selon les numéros de lot. Cela pourrait expliquer pourquoi certains ont des effets secondaires et d’autres pas. Dans le cadre d’une expérimentation, il est en effet normal que les labos tentent différents dosages en parallèle d’un groupe placebo. Les tests avant mise sur le marché d’un nouveau médicament coûtent très chers aux labos. Ce qui semble le plus choquant, c’est que l’expérimentation est cette fois à l’échelle mondiale et gratuite ! Nous sommes les cobayes et nous ne pourrons poursuivre personnes en cas d’effets secondaires (selon les contrats signés au niveau européen). Nous sommes témoins de la plus grande escroquerie sanitaire de tous les temps avec un système de lobbying puissant au niveau mondial (et très probablement un niveau de corruption encore jamais atteint). 

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Composition et dosage des vaccins

Le principe général de la vaccination par ARNm est expliqué dans une vidéo du journal Le Monde (ci-contre). Il est expliqué qu’il n’y a pas de danger pour l’ADN. L’INSERM l’affirmait également. Une étude viendra démentir ces affirmations. Elle a permis d’établir la capacité du vaccin Pfizer de modifier le génome humain avec de très graves conséquences. En moins de 6 heures il pénètre et modifie les cellules à l’origine de l’hépatite C et du cancer du foie… L’ARN peut devenir ADN chez des personnes porteuses d’un rétrovirus qui donne la reverse transcriptase. 

On parle de Transcription inverse intracellulaire quand de l’ARN viral  infecte et transforme l’adn du contaminé. Concrètement, l’Arn de la spike injecté via le vaccin pour permettre la création d’anticorps aurait un effet très grave, il infecterait l’ADN du malade comme le fait le virus du sida.

Cet article publié dans le PNAS décrit l’intégration du SARS-COV-2 dans le génome de cellules humaines, in vitro. Ce travail est à confirmer chez des patients infectés. Il interroge sur l’éventuelle intégration de l’ARNm utilisé par certains vaccins.

Il est intéressant de comprendre le mécanisme du vaccin. Une page de Heidi News présente un article intéressant sur le sujet. Une autre vidéo est proposée sur ce lien par l’Association des Victimes du Coronavirus.

L’homme est capable aujourd’hui de provoquer ces changements génétiques. A titre d’exemple, un test a été réalisé récemment sur des moustiques génétiquement modifiés, d’abord en Afrique puis plus récemment en Floride. C’est probablement une première étape pour tester le concept. On est aujourd’hui capable d’exterminer une espèce complète par la reconnaissance de son ADN. Méfiance donc sur l’usage de ces nouveaux vaccins car nous n’avons aucune recul sur les effets secondaires à moyen ou long terme.

Comment justifier l’usage massif d’un vaccin ? en bloquant toutes les recherches sur un médicament qui permettrait de trouver une parade contre le virus ou en discréditant ceux qui proposent une autre solution peu onéreuse comme Didier Raoult.

Comment savoir si vous vous administrez le vaccin ? Certains évoquent une enzyme bioluminescente. Grâce à un simple détecteur, on pourrait obtenir une emprunte génétique (un modèle numérique) qui permettra de savoir ou pas si vous avez été vacciné. Cela vous donne une identification numérique, une sorte de code-barre.

Cela ne sera pas nécessaire car le passeport vaccinal entre en vigueur en France à l’été 2021, même s’il a été retoqué par l’Assemblée Nationale en premier lieu. On remet aujourd’hui aux personnes vaccinées un certificat composé d’un code barre, codant nom, prénom, date de naissance et date de vaccination. Sputnik écrivant en gros titre « Le pass sanitaire français ressemble beaucoup à ce que propose Davos, qui est la mise en place d’un système de traçage ». De nombreux partis politiques, dont le RN, s’y opposent. Des manifestations ont eu lieu dans toute la France regroupant des antivax, des vaccino-sceptiques et même des personnes vaccinées qui souhaitent défendre les fondamentaux de la liberté. Des soignants et des pompiers participent aux manifestations. 

Ha, ces merveilleux vaccins… Pendant que les autres industries s’écroulent, l’industrie pharmaceutique est en pleine croissance.

Des chercheurs de plusieurs pays ont lancé, ou s’apprêtent à le faire, des essais cliniques de grande ampleur afin de déterminer si la vaccination par le BCG (appellation courante du vaccin bilié de Calmette et Guérin) offrirait une protection – au moins partielle – contre la Covid-19.

Mettre au point un vaccin nécessite du temps et une rigueur méthodologique. Actuellement, les étapes sont raccourcies, notamment pour des enjeux politiques.

A ce jour, dans la recherche d’un vaccin, sur les 169 candidats vaccins développés dans le monde, 5 entreprises sont en tête : l’Anglais AstraZeneca, deux Américains Moderna et Pfizer, deux sociétés chinoises, Sinovac et Sinopharm. Elles ont commencé les essais sur de très grands échantillons et sont entrées en phase 3, une étape essentielle pour vérifier l’efficacité d’un vaccin.

Le 13 juin, on apprenait que quatre pays européens ont signé un accord de principe avec le groupe pharmaceutique AstraZeneca afin de garantir la fourniture à l’ensemble de l’UE de plusieurs centaines de millions de doses, en cas de découverte d’un vaccin… Donald Trump, souhaitait un vaccin pour début novembre 2020 en raison de la proximité des élections.

Manque de chance, le laboratoire AstraZeneca annonçait le 08 septembre 2020 une mise en pause des essais cliniques de son vaccin expérimental contre le coronavirus développé en partenariat avec l’université d’Oxford, qui venait de démarrer sa phase 3 dans plusieurs pays. Selon le laboratoire, il s’agissait « d’une action de routine qui se produit quand il y a une possible maladie inexpliquée lors d’un essai clinique ». Cette annonce était donc un coup dur pour Donald Trump. Les Etats-Unis en avaient acheté 400 millions de doses. Mais comment peut-on passer des précommandes d’un produit donc on ignore tout ? Les recherches sur ce vaccin se sont néanmoins terminées.

A noter qu’il en est de même pour un médicament, l’anakinra (nom commercial Kineret), qui avait donné des résultats « encourageants » : des essais sont arrêtés en France le temps d’expliquer une surmortalité (annonce du 29/10).

Notons aussi une autre piste de recherche : La start-up Codagenix envisage d’injecter un virus vivant mais « désoptimisé » dans l’organisme pour induire une réponse immunitaire plus forte qu’avec un vaccin classique. Cette approche présente beaucoup d’avantages mais certains la jugent trop risquée.

A noter qu’au 19 avril, des chercheurs, originaires d’Australie et de Taïwan ont commencé à suspecter des mutations possibles du virus. On apprenait le 29 avril que des chercheurs chinois de l’université de Zhejiang en Chine avait découvert que, non seulement le virus a une propension importante à muter, mais que certaines mutations induisent une dangerosité bien plus élevée. Certaines ainsi 270 fois plus agressives que d’autres.

Le 01 sept 2021, la presse évoquait les déclarations d’un scientifique de Singapour qui estimait qu’une mutation aurait rendu le virus plus infectieux mais moins virulent. Encore une fois, les avis des scientifiques divergent.

Certaines mutations, comme la 20A.EU1, provenant d’Espagne, semblent virulentes. C’est en tout cas ce qu’affirment des chercheurs Suisse dans une publication de MedXRiv.

Le 09 septembre 2020, le Professeur Didier Raoult, expliquait qu’il avait déjà identifié 7 « mutants » qui ont circulé, ce qui n’est d’ailleurs « pas forcément une mauvaise nouvelle », résumant la situation par ces mots : « ça va mal pour la bestiole ». Il dit s’interroger sur un possible lien entre la modification des génomes depuis juillet et la mortalité plus faible qu’en mars.

Le 06 octobre 2020, le directeur de l’IHU Méditerranée Infection a évoqué sur CNews une nouvelle variante du coronavirus, «moins bénigne que la précédente» qui datait de «juillet-août».

Une mutation génétique du Sars-CoV-2 (20A.EU1) se propage rapidement en Europe depuis cet été. Provenant d’un événement super-propagateur en Espagne, elle s’est diffusée via les touristes et c’est désormais la souche dominante dans la plupart des pays qui enregistrent une forte deuxième vague. Les auteurs de l’étude expliquent qu’il a suffi de quatre introductions initiales de 20A.EU1 dont trois directement originaires d’Espagne pour aboutir au résultat que l’on connaît aujourd’hui.

L’application Covid Symptôme Study, éditée par la société Zoe en partenariat avec le King’s College de Londres et disponible au Royaume-Uni, aux États-Unis et en Suède, enregistre tous les symptômes rapportés par les utilisateurs. À partir des données de 1.653 patients, les chercheurs du King’s College ont pu identifier des « clusters » de symptômes reflétant chacun une forme particulière de Covid. Selon leur étude publiée sur le serveur MedRxiv, il existerait six formes de Covid-19 en fonction des symptômes et de leur durée, allant de la plus bénigne à la plus sévère. Plus d’info sur le site Futura Santé.

A ce propos, les informations sont également contradictoires. Le 25 juillet 2020 : deux jeunes étudiants de l’École Polytechnique de Grenoble, encadrés par l’INRAE, ont mis au point un site web permettant de comparer l’analyse génomique du Covid-19 avec d’autres virus ou… d’autres versions de lui-même. En se focalisant sur les séquences codantes et régulatrices du virus pour gagner du temps lors de leurs comparaisons, ils ont découvert une apparente stabilité ne permettant pas au Covid-19 de muter rapidement ! Euh…

Pourtant, on parle bien de mutation assez régulièrement depuis le début de cette crise. Une des dernières variantes serait actuellement présente en Angleterre.

Il est donc EVIDENT qu’un vaccin sera totalement inutile si le virus mute souvent. Il faut des années pour s’assurer non seulement de l’efficacité mais aussi de la quasi absence d’effets secondaires d’un vaccin. Au mois de mars, on nous promettait déjà un vaccin pour le mois de… septembre : c’est évidemment peu crédible. Dans un tel contexte, d’ici à ce qu’on ait un vaccin efficace, le virus aura déjà probablement muté 20 fois ! D’ailleurs même l’OMS n’y croit pas vraiment. Dans un communiqué du 21 aout, l’OMS annonçait qu’un vaccin ne mettrait pas fin à la pandémie.

En outre, même si un vaccin efficace existait, il n’est pas évident que cela suffise pour arrêter cette pandémie.

En effet, la population n’est pas forcément favorable à s’injecter un vaccin dont « nouvelle technologie ». En outre, on ne sait pas grand chose sur son efficacité  réelle (peut-on tenir compte des chiffres annoncés par les principaux intéressés ?).

Durant des mois, les labos et les gouvernements (conseillés eux-mêmes par des scientifiques impliqués de près ou de loin dans des labos) ont soutenus que les vaccins étaient efficaces et sans danger. Les nombreux effets secondaires (la mort est-elle un effet secondaire ?) ont été rapportés. Des études ont également montré que l’efficacité des vaccins déminuait de 6% tous les deux mois, ce qui permet alors aux labos de vendre une nouvelle dose. Une mécanique bien rodée. 

Il était aussi affirmé que les personnes vaccinés n’étaient plus contagieuses. Plus tard, lorsqu’on s’est aperçu que ce n’était pas le cas, on a simplement maintenu que les vaccins évitaient les formes graves. Il faut quand même justifier leur usage ! Le professeur Luc Montagnier a lancé un appel aux dirigeants qui prônent la vaccination massive. Il explique que « Les vaccins Pfizer, Moderna, Astra Zeneca n’empêchent pas la transmission du virus de personne à personne et les vaccinés sont aussi transmetteurs que les non-vaccinés« . Par conséquent l’espoir d’une « immunité collective » par une augmentation du nombre de vaccinés est totalement vain.

Le professeur propose aux autorités des solutions salvatrices :

  • Une vaccination par un vaccin générant une forte immunité cellulaire de type T tel le BCG (les pays pratiquant cette vaccination ont une faible incidence de Covid19),
  • Le traitement précoce de l’infection par ivermectine et antibiotique bactérien car il existe un cofacteur bactérien amplifiant les effets du virus. »

A cette même date, on apprenait que la Commission européenne avait annoncé avoir signé un contrat d’achat anticipé pour 100 millions de doses avec le laboratoire américain Novavax, « avec une option pour 100 millions d’unités supplémentaires en 2021, 2022 et 2023 ». 

Pour le fun, une petit vidéo du Dr. Louis Fouché, invité de CNEWS, à propos des nouveaux vaccins.

Dans un sondage mené par l’Ifop, 74 % des participants ont indiqué vouloir se vacciner contre la Covid-19 lorsqu’un vaccin sera disponible. Cependant, en France, c’est seulement 59 %. Dans ce contexte, est-ce que cette couverture vaccinale serait suffisante pour limiter significativement la propagation du virus ?

Le sondage est résumé ci-dessous par ces deux infographies :

Un autre sondage mené mi-novembre 2020 mettait en exergue la méfiance des français. 60% des français se déclaraient réticents à la vaccination (dans le contexte Covid19 où la vaccin a été préparé dans la précipitation). Les politiciens ont donc débattu sur l’opportunité de rendre cette vaccination obligatoire dès la fin 2020. Fin 2021, le passe sanitaire était transformé en pass vaccinal. Ceux qui avaient anticipé cette situation il y a quelques mois étaient taxés de conspirationnistes. Ils avaient raison.

Le 17 mars 2021, la Commission européenne a officiellement lancé le certificat sanitaire… Plutôt que d’imposer frontalement à tous l’injection d’un vaccin, ce qui serait en soit illégal, ils ont opté pour une méthode plus sournoise : ils ont imaginé le “certificat sanitaire” ou “passeport vaccinal”. Ce document dira si vous êtes vacciné contre le covid-19 et si vous avez été testé négativement. Sans ce passeport, vous allez être interdits de séjour à peu près partout. C’est donc une vaccination obligatoire déguisée.

Cela peut sembler paradoxal car personne ne peut garantir qu’un vaccin empêche une réinfection à ce jour et il est encore peu clair de garantir une réelle efficacité. Le matraquage quotidien « Vaccin = immunité » semble parfaitement fonctionner en tout cas. Ces techniques de contrôle mental sont à présent bien connues et les gouvernements les utilisent parfaitement.

Rappelons aussi que les laboratoires ont assurés leurs arrières : juridiquement, ils ne pourront être poursuivis en cas d’effets secondaires. Nos dirigeants ? eh bien, ils se préparent une belle protection. Le 29/09/21, Le Monde nous apprenait que « Le Conseil d’Etat propose donc que la responsabilité pénale ne puisse être mise en cause à raison de l’inaction de la personne concernée, que si le choix de ne pas agir lui est directement et personnellement imputable ». Autrement dit, personne se sera responsable de rien en cas d’effet secondaire grave. Les autorités sanitaires considèrent actuellement que la vaccination est un acte volontaire (même si on nous fait du chantage pour le faire), le patient assume donc l’entière responsabilité. Mais « gardez confiance, le vaccin est efficace et sans danger » entend-t-on.

Selon l’agence Reuter, aux USA, les plaintes pour effets secondaires graves augmentent, mais le gouvernement exige des demandeurs qu’ils prouvent que ceux-ci sont « le résultat direct » d’un vaccin COVID-19, et refuse l’indemnisation.

Le 08 janvier 2021, on apprenait que l’Union européenne avait commandé 300 millions de doses supplémentaires du vaccin Pfizer-BioNTech.

Le graphique suivant présente les commandes de vaccins des états en date du 28 février 2021 :

Avec un peu de recul, il est probable qu’un vaccin sérieux ne voit jamais le jour, compte-tenu des nombreuses mutations mais il y a tels intérêts économique en jeu pour l’industrie qu’il faut que les populations y croient. Quant au vaccin russe Sputnik V, il a été moqué dès sa sortie, pourtant, une étude publiée le 04/09 dans « The Lancet », évoquait des résultats préliminaires encourageants. A l’heure où les grands labos ne peuvent plus fournir les doses commandées par l’Europe, les différents gouvernements européens commencent à étudier la piste du vaccin russe mais les relations politiques entrent en jeux dans les discussions. Idem avec le vaccin chinois.

Devant l’appât du gain, les grands labos n’ont pas hésité à signer n’importe quel contrat, quitte, à ne pas pouvoir l’honorer. C’est le cas avec Astra-Zeneca qui n’est pas parvenu à livrer les nombreuses doses commandées par l’Europe. Astra-Zeneca n’a livré que 50 millions de doses de son vaccin contre le Covid-19 sur les 300 millions commandées d’ici fin juin par la Commission européenne. Cette dernière a annoncé ce lundi 9 mai qu’elle déposerait une plainte pour obtenir indemnisation de la part du laboratoire anglo-suédois. C’est le deuxième procès contre ce laboratoire. Dimanche 9 mai 2021, le commissaire européen chargé de l’industrie, Thierry Breton, a affirmé que la Commission ne renouvellera pas son contrat avec Astra-Zeneca. Un nouveau contrat portant sur 1,8 milliard de doses a en revanche été passé avec les laboratoires Pfizer et BioNTech.

Alors qu’en avril 2021 les vaccins à vecteur viral – essentiellement celui d’AstraZeneca mais aussi Janssen – représentaient un tiers des vaccins contre le Covid-19 livrés dans l’Hexagone, pas un de ces produits n’est parvenu sur le sol français de tout l’été 2021. Le pays s’est converti entièrement à l’ARN messager de Pfizer et de Moderna, à la faveur de la montée en charge de ces laboratoires et des déboires essuyés par leurs concurrents. Aujourd’hui, le vaccin d’AstraZeneca sert désormais exclusivement à alimenter le dispositif Covax. La France a envoyé quasiment ses 12 millions de dose d’AstraZenecca dans les pays « pauvres » (les pauvres peuvent bien entendu se contenter de vaccins réputés dangereux et peu efficaces ? Ethique, vous avez dit éthique ?)

Fin octobre 2021, le vaccin Valneva semblait toujours victime d’entrave des Etats et de l’OMS pour sa mise sur le marché, tout comme le vaccin traditionnel Covaxin, fabriqué par l’Inde, à base de virus atténués. Satisfaire les contraintes de sécurité est déjà très contraignant mais surmonter les contraintes administratives l’est encore plus.

A ce jour, encore trop peu de résultats prouvent que le vaccin protège efficacement contre une infection par le nouveau coronavirus. Certaines études concluent cependant à une certaine efficacité des vaccins concernant la transmission du virus mais des chercheurs semblent annoncer que les différents variants rendent nettement moins efficaces les vaccins sortis à ce jour.

Israël a été l’un des premiers pays à vacciner massivement. Mi-janvier, le coordinateur de la campagne de vaccination avait déclaré qu’une seule dose était « moins efficace que nous le pensions ». Selon les autorités et selon Pfizer, une dose du vaccin n’apportait qu’une immunité de 52 % contre le coronavirus. On a pu constater que le nombre de morts n’était pas en recul en Israël, contrairement à ce qu’annonçaient certains médias « officiels ». Pourtant, des scientifiques britanniques annoncent le 06 février que la première dose du vaccin protège déjà à 90% au bout de trois semaines à la personne vaccinée, Ces déclarations contredisent ce qu’avaient précédemment annoncé les autorités israéliennes concernant l’efficacité du vaccin. Il semble que les annonces soient distillées en fonction de l’intérêt politique ou économiques du moment ? Cette vaccination de masse n’est pas du goût de tout le monde. Un cabinet israélien a déposé plainte contre le gouvernement d’Israël auprès de la Cour Pénale Internationale à la Haye, accusé d’avoir violé le code de Nuremberg et de participer à un crime contre l’humanité… Certaines personnes ont en effet choisi « d’exercer leur droit démocratique de ne pas recevoir le traitement médical expérimental (vaccin contre le Coronavirus) » et n’en peuvent plus de subir « des pressions graves et illégales ». Le ministère israélien de la Santé a déclaré le 01/06/2021 qu’il avait constaté qu’un petit nombre de cas d’inflammation cardiaque observés principalement chez des hommes jeunes ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 de Pfizer en Israël était probablement lié à leur vaccination.

Mi-juillet 2021, alors que près de 60% de la population israélienne est vaccinée, le premier ministre Naftali Bennett évoque la possibilité d’un reconfinement… Parmi les personnes infectées, une proportion importante de personnes vaccinées, jetant ainsi le doute sur l’efficacité du vaccin. Il en sera de même au Royaume-Unis. Le Pr Peter McCullough n’y va pas de main morte et parle très clairement d’inefficacité des vaccins sur les variants.

On sait aujourd’hui que ces vaccins ne sont pas efficaces contre les variants mais plutôt que d’orienter les recherches vers d’autres solutions, les états acceptent d’acheter encore de nouvelles doses de vaccins. Israel a commencé à injecter une 3e dose de PFIZER aux personnes les plus vulnérables, la Grand Bretagne fait de même, l’Allemagne également. La France devrait le proposer à partir de septembre 2021.

Au passage, les fabricants ont augmenté leurs prix. Une dose de Pfizer augmentera de quatre euros pour atteindre 19,50 euros et celle de Moderna de deux euros pour s’établir à 21,50 euros dans le cadre des nouveaux contrats d’approvisionnement de l’Union européenne. Avec le surendettement des états, nous ne sommes plus à ça près ? C’est d’autant plus scandaleux que Moderna s’est empressé de mettre ses profits dans des paradis fiscaux (Delaware notamment).

Une partie de nos médecins et infirmiers semblent réticents à se faire vacciner. Les réticences s’expliquent aussi par plusieurs semaines de confusion sur l’efficacité d’Astra-Zeneca qui ont brouillé le message du gouvernement. D’abord interdit par la Haute autorité de santé (HAS) sur les personnes âgées de plus de 65 ans en raison de données manquantes pour cette tranche d’âge, il est finalement autorisé le 1er mars pour toutes les classes d’âge. Cela a contribué à abîmer la confiance des professionnels en ce sérum britannique, en dépit des efforts de l’exécutif pour redorer son image.

L’Union européenne annonçait le 16 avril 2021 qu’elle pourrait ne pas renouveler son contrat avec Astra-Zeneca, selon la ministre de l’Industrie Agnès Pannier-Runacher. Une décision « normale », juge Anne Sénéquier, codirectrice de l’Observatoire de la Santé à l’IRIS.

Pfizer joue sur la loi de l’offre et de la demande en ajustant dynamiquement le prix de son vaccin… De 12 euros, la dose de vaccin Pfizer est passé à 15,50 €, puis à 21,50€… Les grands gagnants de cette crise sanitaire sont bien les labos. On pourrait se demander à qui profite le crime ?

Quoiqu’il en soit les laboratoires restent concurrents. Vous trouverez sur ce lien une page expliquant les différences entre les vaccins PFIZER et MODERNA.

En décembre 2020, le laboratoire Sanofi annonçait que son vaccin avait pris du retard et ne serait prêt que fin 2021. L’Institut Pasteur annonçait lundi 25 janvier 2021 qu’il arrêtait le développement de son principal projet de vaccin contre le coronavirus car les premiers essais ont montré qu’il était moins efficace qu’attendu. Le 17 mai 2021, pourtant, le laboratoire français se relance dans la course, jugeant qu’il restait tout de même 90% de la population mondiale à vacciner. D’après les premières informations marketing délivrées par la firme, des anticorps seraient produits dans 95 à 100% des cas après l’injection de deux doses (chez les 18-95 ans). Il pourrait être disponible pour la fin d’année et probablement utilisé en « rappel » de vaccin. La recherche se poursuit en parallèle sur d’autres produits.

Sanofi aidera à produire les vaccins Pfizer / BioNTech à partir du mois d’aout, comme sous-traitant. En parallèle l’entreprise française lance les premiers essais sur l’homme de son second vaccin. Sanofi réalisera ces premiers essais sur 415 personnes, et attend de premiers résultats pour le troisième trimestre en vue du lancement de la phase suivante. Ce projet de vaccin fonctionne sur le principe de l’ARN messager, une technologie novatrice qui est aussi à la base des vaccins Pfizer/BioNTech et Moderna, déjà autorisés dans l’Union européenne et aux Etats-Unis. Il semble que la France soit dans l’incapacité de mobiliser davantage son industrie. On le sait, notre industrie ne peut rivaliser avec les bas coûts de l’Orient et nous avons détricoté notre tissu industriel depuis de nombreuses années. En outre, notre modèle administratif ralentit considérablement la prise de décision.

Bien entendu, les regards sont tournés vers Israël, qui a atteint à mi-mars 55% de personnes vaccinées. Le 11 mars 2021, Pfizer/BioNTech et le ministère de la santé israélien ont publié un nouveau set de données sur l’efficacité des vaccins. Le fabricant étant impliqué dans l’étude, il est prudent « d’interpréter » les résultats: l’étude publiée récemment annonce que le vaccin de Pfizer est efficace à 94 % pour prévenir les infections symptomatiques. S’ajoute une deuxième étude, non encore publiée quant à elle, suggérant 97 % d’efficacité… Les résultats semblaient déjà contradictoires avec cet article qui expliquait que malgré cette vaccination massive, Israël était confronté à une nouvelle hausse des infections avec un R0, le taux de reproduction du virus, qui repartait à la hausse. Quelques semaines après, Israel annonçait que la protection tombait à 66%, puis à 33%…

Une étude de l’Institut Pasteur publiée le 29/05/21 montrait que le vaccin à ARN messager Pfizer-BioNTech, demeurait efficace contre le variant britannique, mais avait cependant une efficacité « légèrement diminuée » contre le variant indien. Le ministre de la Santé, Nguyen Thanh Longous avait déclaré qu’il s’agirait d’un variant hybride combinant le virus indien et le britannique. En juillet 2021, Israël annonçait que l’efficacité du vaccin PFIZER tombait à 39% contre le variant Delta.

Qu’à cela ne tienne, si deux doses semblent inefficaces, les labos ont vite proposé de vendre une 3e dose. Israel imposera cette 3 injection à sa population. Un article du NY Times du 16/09/21 expliquait déjà que la 3 dose étendait la protection dans la tranche des > 60 ans pour 12 jours ! Malgré cela, Israel prônera même la 4e dose.

Des statistiques tendent à montrer que contrairement à la plupart des vaccins, qui s’avèrent plus efficaces chez les femmes que chez les hommes, les vaccins à ARN comme Pfizer ou Moderna seraient moins opérants chez les sujets de sexe féminin. En cause, peut-être les nanoparticules utilisées dans ces vaccins…

C’est plutôt une bonne nouvelle, mais le virus mutant régulièrement, personne ne peut véritablement être à l’abri. On apprenait d’ailleurs le même jour qu’un nouveau variant avait été identifié au Vietnam.

Déjà, la question de la meilleure date d’injection de la seconde dose faisait débat. Une étude menée par l’Université de Birmingham en collaboration avec Public Health England révélait que les anticorps contre le Covid-19 sont trois fois et demi plus élevés chez les personnes ayant reçu leur deuxième injection vaccinale après douze semaines, plutôt que trois. En France, pour accélérer la stratégie vaccinale en juillet 2021, on a réduit à une semaine l’écart entre les deux doses.

Pourtant, une nouvelle étude prépubliée le 5 ­juillet 2021 sur le site MedRxriv et relayée par Nature, annonce qu’un mini-dose du vaccin Moderna entraînerait la production d’anticorps neutralisants durables et de ­cellules T combattant le virus à des niveaux comparables à ceux des patients rétablis après une ­infection au Covid-19. L’idée serait donc de fractionner les doses pour en faire bénéficier plus rapidement les pays pauvres.

Dès le mois de juin 2021, en France a été évoqué l’opportunité d’une 3e dose (pour le moment cela concernerait uniquement les personnes à risque). Le gouvernement va t-il négocier bientôt une carte d’abonnement avec la dixième injection gratuite ?

Dans un info du 11 mars 2021, on apprenait que La Haute Autorité de Santé (HAS) avait donné son accord concernant l’utilisation du vaccin Janssen (filiale de Johnson & Johnson). Ce sera donc le 4e vaccin autorisé en France contre la Covid-19. Le 20 avril 2021, le New-York Times nous apprenait déjà que la FDA stoppait la production du vaccin Johnson & Johnson dans une usine aux USA. 15 millions de doses déficientes auraient été produites. Des cas d’effets secondaires graves ont été recensés depuis. Voilà des informations qui ne contribuaient pas à rassurer les réfractaires au vaccin alors même que des premiers cas de thrombose furent rapidement signalés avec celui-ci.

Finalement, après avoir tenté de convaincre les français de se faire vacciner, la France lâchera Astra Zenecca et Johnson&Johson en raison de nombreux problèmes liés aux effets secondaires mais aussi à des difficultés dans l’exécution des contrats. La base de données EudraVigilance indiquait déjà au 25 septembre 2021 un total des réactions pour le vaccin COVID-19 JANSSEN (AD26.COV2.S) de Johnson & Johnson : 1.304 décès et 78.774 blessés. Les autorités avaient pourtant garanti que Astra et J&J étaient efficaces et sans danger.

On se souviendra aussi des déboires rencontrés par J&J. L’entreprise pharmaceutique a été condamnée à plusieurs reprises, notamment en 2018 par un jury qui avait consolidé plusieurs dossiers et lui avait ordonné de verser 4,7 milliards de dollars de dommages et intérêts à vingt-deux plaignantes. En juin 2020, une cour d’appel du Missouri avait réduit cette somme, considérant que certaines plaignantes, n’ayant pas de liens avec l’Etat en question, n’auraient pas dû être incluses dans le procès. Mais elle avait bien estimé que le groupe avait « sciemment vendu aux consommateurs des produits contenant de l’amiante », suscitant une forte « angoisse physique, mentale et émotionnelle ». En juin 2021, le journal Le Monde nous apprenait que l’entreprise pharmaceutique américaine devait payer 2,1 milliards de dollars de dommages et intérêts pour la vente de son talc, accusé de contenir de l’amiante qui aurait causé des cancers des ovaires…

Quant au vaccin chinois, les articles disent une chose et son contraire. Selon les résultats préliminaires d’une étude uruguayenne de fin mai 2021, le vaccin chinois CoronaVac réduirait la mortalité du Covid-19 de 97 %, contre ne efficacité de 80 % pour PFIZER. Cette étude montre par ailleurs une plus grande efficacité du vaccin américain pour empêcher les contaminations et les hospitalisations. L’étude précise elle-même que ces chiffres préliminaires « doivent être interprétés avec prudence, car ils ne prennent pas en compte l’âge des personnes, leurs comorbidités et les groupes à forte exposition », tels que le personnel de santé. Or, ces facteurs sont primordiaux en termes de mortalité et cela peut donc biaiser les résultats. Là encore, les articles semblent aller dans le sens du fabricant subventionnant directement ou  indirectement l’étude. De nombreux scientifiques sont devenus des miséreux en recherche perpétuelle de financement.

Alors que penser des vaccins ? On nous présente cela comme LA super solution pour atteindre rapidement l’immunité collective. Force est de constater qu’il n’en est rien. Au début, on nous vendait ces vaccins comme une super protection. Ensuite, on a restreint aux « formes graves ». L’autorisation AMM a pourtant été délivrée dans l’indication « Prévenir la Covid » et pas seulement prévenir les formes graves. Curieusement, le Vidal évoque seulement des formes symptomatiques légères à modérées… Il faudrait savoir ?

Longtemps, des personnes vaccinées avec deux doses n’avaient pas le droit de se rencontrer sans masque et distance de sécurité. Le 07 juin 2021, la presse nous apprenait qu’un avocat fut obligé de rester à son domicile à son retour de Guyane alors qu’il avait bien reçu ses deux doses de vaccins et effectué quatre tests PCR en une semaine, avec un résultat négatif. 

Le 17 juillet 2021, on apprenait qu’un cluster avait été repéré à Bordeaux, après une soirée qui avait réuni 670 personnes le 9 juillet. L’Agence régionale de Santé (ARS) a annoncé un bilan provisoire de 21 cas positifs. L’établissement avait pourtant conditionné l’entrée à la possession d’un pass sanitaire, avec vérification d’un QR code pour les tests PCR négatifs ou les certificats de vaccination. Cela tendrait à prouver que les « vaccinés » peuvent être porteurs du virus ou que des personnes aient pu contracter le virus juste après leur test PCR ou bien qu’il y ait des fraudes au pass sanitaire ou encore un manque de rigueur au moment du contrôle.  Le gouvernement et les médias associés retiendront uniquement cette dernière hypothèse. 

Cette expérience rappelle un cas identique, début juillet 2021, dans un club d’Enschede, aux Pays-Bas. Après une soirée regroupant 600 personnes, plus de 165 cas de Covid avaient été détectés, alors que le pass sanitaire était là encore en vigueur. 

En octobre 2021, encore mieux, un cluster est détecté dans un EPAHD alors que tout le monde était triplement vacciné ! Nous attendons toujours une explication rationnelle des autorités et des laboratoires, qui se refusent à admettre que ces vaccins ne fonctionnent pas. 

NB : A noter que le Dr Amine UMLIL a annoncé dans le CSI n°44 qu’il y avait à cette date, 4 compositions du vaccin PFIZER. 

Multiplier les rappels ?

Les scientifiques ne sont pas d’accord sur l’intérêt d’administrer plusieurs doses par an. Les covidistes vaccinolâtres poussent à l’injection régulière de doses de rappel mais des scientifiques plus prudents appellent à plus de réserve. 

Le Pr Peyromaure expliquait sur la chaine CNews que selon des études menées au Danemark et en Allemagne, il semblerait qu’après un certain nombre de doses les anticorps facilitant puissent prendre le dessus et donc générer des infections. Ce n’est a priori pas le but recherché. 

Un mélange de vaccins ?

Le 27 juillet 2021, la presse nous informe que « Mélanger les vaccins AstraZeneca et Pfizer multiplierait par six la réponse immunitaire ». 

Une étude sud-coréenne de juillet 2021, encore non publiée et relayée par Reuters montrait qu’une dose d’AstraZeneca suivie d’une dose de Pfizer/BioNTech multiplierait le niveau d’anticorps neutralisants par six par rapport à deux doses d’AstraZeneca. Les patients ayant reçu deux doses de Pfizer ont en revanche un niveau d’anticorps similaire à celui du schéma de vaccination mixte. Ce résultat corrobore celui de plusieurs autres études. En juin dernier, une étude britannique (en pré-publication) avait par exemple montré qu’une injection d’AstraZeneca suivie de Pfizer entraînait une meilleure réponse aux lymphocytes T que toutes les autres combinaisons. Une autre étude menée en Espagne en mai suggère elle aussi une réponse immunitaire « fortement augmentée » par rapport au groupe témoin (n’ayant reçu qu’une dose d’AstraZeneca).

Selon Daniel Altmann, immunologiste à l’Imperial College de Londres, « Les doses répétées de vaccins à base d’adénovirus tels que celui d’Oxford-AstraZeneca ont tendance à être de moins en moins efficaces, car le système immunitaire développe une réponse contre l’adénovirus lui-même« .

De son côté, Pierre Saliou, professeur agrégé au Val-de-Grâce et spécialiste de la vaccination explique que les deux techniques induisent une réponse immunitaire différente : « Les vaccins comme AstraZeneca sont connus pour stimuler nos lymphocytes T, dits tueurs, qui détruisent les cellules infectées. Les vaccins à ARN messager, eux, sont bons pour produire des anticorps« ,  

A noter qu’au mois de mai 2021, on nous expliquait que mélanger les deux vaccins provoquait davantage d’effets secondaires… 

Dans la pratique, les vaccins Astrazeca, J&J et maintenant Moderna ayant été interdits, il ne restait plus que Pfizer en choix possible pour une 3e dose. La version officielle reposerait sur la « concentration » : Moderna serait 3 fois plus dosé que Pfizer. Pfizer a probablement été plus habile que Moderna pour cacher certains effets secondaires. Pour autant, l’Etat observant les dates limites d’utilisation approcher ont accepté de proposer à nouveau du Moderna pour certaines tranches d’âge. 

Lorsqu’on analyse les chiffres du CDC (18/08/21), les différences entre Pfizer et Moderna sur le taux de myocardites pour les tranches d’âge [18-24] et [25-29] ne semblent pas significatives. En France, Moderna n’a pas été approuvé pour les moins de 18 ans, en raison d’un facteur de 1 à 10 entre dose 1 et dose 2. Taiwan a d’ailleurs suspendu la 2e dose Pfizer pour les 12-17 ans en attendant des études plus poussées sur le risque multiplié par 10 de faire des myocardites à la 2e dose.

Finalement, la HAS interdira Moderna en France pour les moins de 30 ans dès Novembre 2021. Les autorités se veulent pourtant « rassurantes » et nous invitent à de nouvelles doses tous les 6 mois (doses déjà commandées de longue date par l’Europe, ce qui est pour le moins étrange puisque cela laisserait penser que les acheteurs savaient dès le début que l’efficacité serait modérée). 

Les scientifiques étaient divisés sur l’opportunité d’une 3e dose. Pour simplifier, notre système immunitaire se divise en deux parties : Des lymphocytes B produisent des anticorps tout de suite, mais il y a également des lymphocytes « mémoires », qui servent de réserve pour plus tard dans la moelle osseuse. Ce qu’on ne sait pas, pour le moment, c’est combien de « lymphocytes B mémoire » sont produits par cette troisième dose. Mais des études montrent que la deuxième dose permet la production de « lymphocytes B mémoire » dans la moelle osseuse. 

Toujours est-il que devant le constat de l’augmentation considérable des effets secondaires et la faible efficacité des vaccins actuels, même l’OMS demande à ne vacciner les enfants qu’en dernier recours (article Le Point en date du 08/12/21). 

Mars 2022, la note DGS-URGENT N°2022-35 nous apprend que NUVAXOVID, le vaccin de NovaVax à protéine recombinante (spike) et adjuvant Matrix était autorisé en primo-vaccination mais pas en dose de rappel. Il nécessitera deux doses à 3 semaines d’intervalle puis une dose de rappel obligatoirement avec un vaccin ARNm ! Les personnes qui redoutaient le vaccin ARNm ne trouveront donc pas en NovaVax une solution alternative. En réalité, pour obtenir un schéma vaccinal complet il faudra soit contracter la Covid soit recevoir au moins une dose d’un vaccin à ARN messager.

Quant à l’administration des vaccins pour les femmes enceintes, le débat a fait rage de nombreux mois. Début mars 2022, un rapport de surveillance UKHSA du vaccin Covid fournissait un chiffre qui suggérait qu’il n’y avait pas de risque accru de mortinatalité chez les femmes vaccinées. Mais les personnes vaccinées avant la grossesse étaient incluses dans la catégorie « aucune dose pendant la grossesse » alors qu’une prise antérieure à une grossesse peut avoir un effet sur le bon déroulement de la grossesse. Cela a été démonté par Norman Fenton dans une vidéo YouTube « Another common statistical illusion arising from a drug trial ». Une des façons de manipuler les données est d’inclure dans le groupe contrôle des personnes vaccinées!

Des vaccins, pour quelle efficacité ?

Il est étonnant de constater à quel point le plupart des médecins ont été influencé lors de leur formation médicale par quelques chiffres de la vaccination, fournis pas les laboratoires eux-mêmes. Dans une vidéo du CSI, Jean-Dominique Michel rappelle qu’en réalité, « Les médecins sont très peu formés aux vaccins. Quelques heures de cours dans leur cursus de formation où on leur apprend que les vaccins, c’est magnifique, qu’il ne faut surtout pas les contester. L’immunologie est très mal comprise. Des ignorants qui se présentent comme des sachants.« . 

Déjà, fin août 2020, on apprenait que des chercheurs de Hongkong avaient découvert un premier cas de réinfection au Covid-19. Selon les chercheurs, une analyse génétique a montré que ces deux infections successives du même patient avaient été causées par deux souches différentes du virus SARS-CoV-2, responsable du Covid-19. « Nos résultats suggèrent que le SARS-CoV-2 pourrait persister dans la population, comme c’est le cas pour d’autres coronavirus responsables de banals rhumes, même si des patients ont acquis une immunité, poursuivent les chercheurs de la HKU. Puisque l’immunité peut ne pas durer longtemps après une infection, la vaccination devrait être envisagée, même pour des gens qui ont déjà été infectés. ». La conclusion pouvait surprendre puisqu’au aucun vaccin n’avait jusqu’ici démontré son efficacité pour prévenir une grippe ou un simple rhume. De plus, de nombreuses recherches ont montré que les défenses naturelles sont largement plus efficaces dans le temps. Par exemple, « Anti-spike antibody response to natural SARS-CoV-2 infection in the general population » publiée dans Nature le 29/10/211.

Le principal « rat de laboratoire » était Israël, premier pays a avoir vacciné massivement. Ce pays était mis sur un piédestal et cité en exemple par tous les grands laboratoires et les médecins pro-vaccination. L’histoire à montré que ce pays a connu une explosion des cas, suite à la deuxième dose. Ce phénomène s’est reproduit en Angleterre, en Ireland, en Islande, etc. Des études scientifiques ont été conduite pour tenter de comprendre le mécanisme sous-jacent qui pourrait expliquer cette très faible efficacité des vaccins et la multiplication des cas. 

Une étude proposée le 6 octobre 2021 dans « The new england journal of medicine » (DOI: 10.1056/NEJMoa2114114) montrait que l’efficacité n’était plus que de 20% cinq mois après l’injection. Cette étude fut menée au Qatar, le pays le plus vacciné.

En France aussi, on constate une très faible efficacité de la vaccination, malgré les discours propagandistes de l’Etat. Les chiffres de la DREES de fin octobre 2021 montraient déjà que le nombre d’hospitalisés vaccinés était supérieur à celui des non vaccinés. Certes, à cette date, 75% de la population française était vaccinée, donc mathématiquement, il est normal de voir le nombre de vaccinés hospitalisés augmenter. Cependant, si les vaccins avaient tenu leur promesse, on ne rencontrerait pas une telle proportion. 

Même Guillaume Rozier expliquant dans un tweet le 5/11/2 que l’efficacité de la vaccination diminuait. « Il semblerait que la réduction du risque d’admission à l’hôpital induite par le vaccin soit de plus en plus faible chez les plus de 80 ans. La réduction du risque était de 10 fois avant l’été, elle n’est plus que de 4 fois sur cette tranche d’âge. ». Le seul argument encore en faveur des vaccins étaient soi-disant de protéger contre les formes graves. Cet argument risque lui aussi de tomber à l’eau. L’industrie pharmaceutique a engrangé des milliards en vendant des produits inefficaces (avec l’argent des contribuables) grâce à des contrats douteux passés avec l’Europe.

Les données du cas actuelles sont très largement gonflées. Par ex, (c’est du vécu), les écoles utilisent des tests salivaires, réputés bien peu fiables mais peu onéreux. 8 cas sont détectés chez des enfants et 1 cas chez un enseignant. Chacun devra refaire un test de prélèvement nasopharyngé. Tous se sont révélés négatifs. Pour autant, s’il est possible de remettre son enfant au périscolaire, il n’est pas possible de le remettre à l’école. Le second test (plus fiable) n’invalide pas le premier (encore moins fiable) et ces cas seront comptés officiellement comme positifs dans les statistiques par l’ARS. 

D’autres études concluent à l’absence de corrélation entre l’évolution des contaminations et la vaccination. Exemple : Article du Européen Journal of Epidemiolgy, 30/09/21, doi: 10.1007/s10654-021-00808-7 par S. V. Subramanian et Akhil Kumar, « Increases in COVID-19 are unrelated to levels of vaccination across 68 countries and 2947 counties in the United States ».

En outre, Philippe de Wals écrit dans un article publié sur INSPQ (Centre d’expertise et de référence en santé publique du Québec) que « l’infection naturelle par le SRAS-CoV-2 produit des anticorps neutralisants qui persistent chez une majorité des individus jusqu’à 12 mois suivant l’infection. Cette protection conférée par l’infection semble être plus large et plus robuste que la protection conférée par la vaccination avec 2 doses de vaccin contre la COVID-19″. Or, avant le variant omicron qui s’est propagé très vite (tout en étant peu virulent), de nombreuses personnes vaccinées ou non l’ont attrapé. Il est donc inutile d’ajouter des doses de vaccins supplémentaires, suite à une infection naturelle (sauf cas particulier d’immunodéficience).

Le professeur Martin Neil, Université Queen Mary à Londres, a analysé les données de l’ONS pour le mois de novembre 2021. Article 10.13140/RG.2.2.14176.20483 de décembre 2021 disponible dans le ResearchGate. 

En première lecture, la courbe (Figure 9) semble montrer que la mortalité des vaccinés est moins importante que la mortalité des non vaccinés. Certaines courbes produites par les organismes de santé, laissent donc penser à un léger avantage en faveur de la vaccination. Mais, lorsqu’on retraite ces chiffres bruts plus objectivement, on constate au contraire que les vaccinés sont davantage contaminés que les non vaccinées et connaissent autant de formes graves en cas d’infection.

Il faut rappeler que les personnes vaccinées qui meurent dans les 14 jours suivant la vaccination sont considérées comme non vaccinées. Il en est de même pour la 1ere, 2e ou 3e dose ! Dans les 2 semaines après une injection, la personne est comptabilisée comme non vaccinée.  Les pics de mortalité qui semblent se produire peu de temps après la vaccination peuvent être dus au fait que les personnes infirmes, moribondes et gravement malades sont vaccinées d’abord et cela accélèrerait les décès qui auraient pu survenir plus tard dans l’année. Après la vaccination, les personnes subissent une réponse immunitaire affaiblie pendant une période pouvant aller jusqu’à 28 jours et peuvent être exposées à un risque d’infection par le Covid ou un autre agent infectieux à tout moment au cours de cette période.

Compte tenu de ces éléments, il est logique d’examiner la date d’infection plutôt que la date d’enregistrement du décès. Les données peuvent ainsi être ajustées en utilisant un décalage temporel (Figure 16) et dès lors, on peut constater un pic important de mortalité pour tous les groupes d’âge au cours des premières semaines soit lorsque la prévalence du covid était élevée et lorsque le déploiement de la première dose de vaccination a atteint son maximum. Après ajustement de compensation, aucun avantage significatif des vaccins à court terme ne peut être conclu. Les vaccins semblent au contraire exposer à une mortalité accrue, conformément à ce que nous savons de l’exposition immunitaire ou des risques de pré-infection. Les données de l’ONS pour le mois de novembre 2021 (Angleterre) ne fournissent donc aucune preuve fiable que les vaccins réduisent la mortalité toutes causes confondues.

Pourtant, d’autres recherches montrent que les vaccins restent assez efficaces. Parmi elles, un article publié le 12 janvier 2022 dans le journal NEJ. Malgré une chute rapide du nombre d’anticorps quelques mois après la deuxième dose, d’autres volets de la réponse immunitaire resteraient élevés pendant au moins neuf mois, protégeant contre les formes graves du Covid-19 et contre l’infection par Omicron. Cela serait lié à l’action des lymphocytes T. Ces cellules immunitaires restent mobilisées longtemps après la vaccination et nous protègent aussi du variant Omicron : il échappe aux anticorps mais pas aux lymphocytes.

Début novembre 2021, le vent tourne. L’accumulation de preuves concernant les effets secondaires et la faible efficacité des vaccins provoque un émoi même auprès de ceux qui avaient soutenu dans leurs tribunes la vaccination de masse. L’ampleur du désastre ne peut plus être niée. Le Los Angeles Times évoque à son tour la chute dramatique de l’efficacité des vaccins. Ces vaccins qu’on disait sûrs et efficaces, ceux-là même qui étaient mis sur un piédestal par des scientifiques imprudents qui disaient avoir beaucoup de recul sur cette technologie « maitrisée » depuis 15 ans, se sont révélés aussi dangereux qu’inefficaces. 

Cela n’a pas empêché notre gouvernement de continuer à nier la situation et à poursuivre la promotion de ces produits. 

Des scientifiques pensent que la perte d’efficacité serait due à l’absence de mémoire immunitaire. Des recherches sont toujours en cours. 

le 01/12/21, on apprenait par le journal The Independant qu’un médecin vacciné trois fois contre le Covid venait d’attraper le Covid. En effet, à en croire ce média, le cardiologue, du nom de Elad Maor, a été testé positif en Grande-Bretagne. Toujours selon la même source, le médecin a lui-même reconnu avoir contaminé un ami qui avait également pris ses trois doses. L’information a été relayée par le média britannique, The Guardian.

A mesure que les Etats constatent la faible efficacité des vaccins contre les variants, les grands laboratoires, loin d’être affaiblis, en profitent pour suggérer d’injecter davantage de doses. Business is business. « Les personnes ayant reçu le vaccin de Pfizer auront probablement besoin d’une troisième dose d’ici six mois à un an, puis sans doute d’une injection chaque année« , a affirmé Albert Bourla, le PDG du géant pharmaceutique américain. Une rente extraordinaire. Un coup de maître. Non seulement, nos états ne protestent pas contre cette quasi-escroquerie mais achètent avec l’argent des contribuables des nouvelles doses à ces mêmes laboratoires, au lieu de privilégier une autre piste thérapeutique. Un complotiste pourrait penser à une immense corruption.

Un article en preprint du Lancet, posté le 25/10/21, et portant sur une étude menée en Suède, expliquait que « L’efficacité du vaccin de BNT162b2 contre l’infection a diminué progressivement de 92 %.. au jour 15-30 à 47 % … au jour 121-180, et à partir du jour 211 et au-delà, aucune efficacité n’a pu être détectée ».

Les chiffres produits par certaines études, y compris celles de l’Institut Pasteur, comparent des chiffrent sur des mois qui ne sont pas objectivement rapprochables. En effet, un virus, comme la grippe, ne sera pas aussi présent an hiver qu’en été par exemple. Si on rapproche les chiffres de saison à saison, l’efficacité de la vaccination de ressort pas clairement. 

Puisque la faible efficacité des vaccins et des tests était à présent démontrée, il s’en suit un débat sur l’annulation du pass sanitaire chez les personnes doublement vaccinées. Le 22 octobre 2021, le directeur du CDC Rochelle Walensky déclarait déjà : « We have not yet changed the definition of ‘fully vaccinated.’ We will continue to look at this. We may need to update our definition of ‘fully vaccinated’ in the future. »

Le 06/12/21, le Pr Annane chef de Service Réa Hôpital Raymond Poincaré a déclaré : « il faut être transparent, dans mon service 2/3 des patients sont vaccinés 2 doses ». Cela est en total contradiction avec les annonces gouvernementales qui continuent d’accabler les non vaccinés adultes. Seulement, les adultes non vaccinés devenant de plus en plus rares, il fallait trouver une autre cible pour justifier l’absence de résultat de la politique actuelle.

Justement, alors que les grands labos obtenaient l’autorisation de proposer les vaccins aux enfants à partir de 5 ans, coïncidence du calendrier, le gouvernement et les médias main stream commençaient à accabler les enfants. Subitement, les enfants (essentiellement non vaccinés) devenaient « responsables » de l’explosion des cas. Puisque les tests salivaires (non fiables) se sont multipliés dans les écoles, il était normal que les faux positifs augmentent. Même en fournissant un test contradictoire plus fiable, ces mêmes enfants resteront comptés positifs dans les statistiques. La grande arnaque pouvait donc se poursuivre. Même Martin Blachier qui faisait partie des « alarmistes provax » en début de crise commence à se rendre compte de la supercherie. Il déclarait le 06/12/21 sur Twitter : « Le taux de positivité n’est pas plus haut chez les enfants que chez les adultes. Les enfants ne sont pas le moteur de cette vague ! L’incidence est dopée par le testing massif. Pourquoi l’inconscient collectif veut faire porter le chapeau aux enfants ?« .

Très vite, sans la 3e dose, le pass ne sera plus valable, ce qui va contraindre à nouveau à se faire injecter de façon récurrente ce merveilleux sérum. Israel évoque déjà la 4e dose au mois d’octobre 2021. Viendra ensuite une 5e, etc. L’Europe a recommandé plus d’une milliard de dose. Avec le stock actuel, il y a de quoi vacciner 7 fois chaque européen. Peut-on encore croire que la 3e dose sera la dernière ? Jackpot pour Pfizer. 

La vidéo ci-contre montre une intervention de Peter Doshi (convoqué par le sénateur Johnson du Wisconsin) sur les injections expérimentales à visée immunogène. Doshi est éditeur au BMJ, la prestigieuse revue médicale. Il remet en cause l’efficacité des injections et critique les mesures qui les imposent. Au moins un scientifique qui fait preuve d’un peu d’esprit critique et qui n’entre pas aveuglément dans le dogme de la vaccination.

La plupart des scientifiques « covidistes vaccinolâtres » ne se sont même pas posés la question de l’efficacité réelle des vaccins. Certains ont été convaincu par les chiffres émanant des labos et d’autres ont été convaincus par des moyens moins licites. Ces provax, qui n’hésitent pas une seconde avant de vous proposer une injection ne savent même pas ce qui est contenu dans le vaccin mais vous garantissent qu’il est sans danger. 

De nombreuses études ont montré que l’immunité acquise naturellement est beaucoup plus efficace que celle induite par la vaccination (106 études à début 2022).

Chaque jour, les preuves s’accumulent. Les vaccins proposés actuellement contre le Sars-Cov2 semblent être une pure escroquerie. Pour autant, le rouleau compresseur de la pensée unique continue et la propagande des laboratoires et des gouvernements s’intensifie. 

Le 02/12/21, alors qu’on tente encore de nous effrayer avec le nouveau variant Omicron, on apprend que les personnes contaminées étaient toutes vaccinées. Les autorités néerlandaises ont découvert que 90% des passagers infectés étaient vaccinés et que 100% des infectés par Omicron étaient vaccinés. Elles préconisent que tous les passagers soient testés quel que soit leur statut vaccinal. Il semble donc légitime de remettre en question la légitimité du pass sanitaire ? 

Alberto Donzelli, professeur à Institut d’hygiène et de médecine préventive de l’Université de Milan déclarait « Les vaccins n’empêchent pas la transmission du Sars-CoV-2. Les personnes vaccinées continuent à être plus atteintes que les non-vaccinées« .

Quant au mythe de l’immunité collective, les experts avaient annoncé initialement que 70% de personnes vaccinées permettraient d’atteindre l’immunité collective. Début novembre 2021, la France était à 75% de personnes vaccinées et les autorités effrayaient encore avec une 5e vague qui « pourrait faire des ravages ». Les spécialistes ont réévalué leurs chiffres en évoquant plutôt le chiffre de 90% de vaccination pour atteindre l’immunité collective. Ce n’est pas de la science. Les « spécialistes », invités des plateaux de TV, utilisent plutôt la technique du doigt mouillé pour tenter de prédire l’avenir de l’épidémie. Consternant. 

Dans l’émission « À votre santé » le Dr Eric Loridan reçoit le Dr Laurent Montesino et Kler éclaire. Le Dr Laurent Montesino montre des images du contenu de deux « vaccins » Janssen et Pfizer filmées au microscope. Les vidéos sont surprenantes.