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COVID19 – Les mesures

in Sciences

Pour lutter contre le Sars-Cov-2, les stratégies des gouvernements ne sont pas toutes identiques. Certaines sont plus souples que d’autres et chaque Etat avance en aveugle.

Le journal Le Monde a publié un article, écrit par Jonathan Parienté, William Audureau, Gary Dagorn et Assma Maad, le 30 septembre 2020. Le journal a interrogé plusieurs dizaines de spécialistes hospitaliers, de l’Inserm ou de l’OMS, pour faire le point sur ce qui fait consensus et ce qui divise encore la communauté scientifique, après la première vague de Covid-19. L’enquête a été envoyée à 200 scientifiques. 54 ont répondu. Des questions comme « faut-il porter le masque en extérieur » a particulièrement divisé les scientifiques. Il existe aussi de nombreux autres points de divergence.

Début octobre 2020, le débat portait sur la nécessité ou non de confiner les enfants, fermer les écoles, etc. Les différents gouvernements ont avancé en aveugle. Les décisions furent parfois contradictoires ou à la limite de l’absurde. 

Les premières révisions de cet article proposait une vidéo, extrait d’une intervention de Martine Wonner, psychiatre de formation et députée à l’Assemblée Nationale mais manifestement les gouvernements occidentaux ont pris modèle sur la Chine et ont censuré les informations qui n’allaient pas dans leurs sens. Le débat n’a plus sa place, y compris dans le domaine scientifique et nous sommes entrés dans l’ère de la pensée unique. Il devient nécessaire de sauvegarder toutes les sources d’information avec qu’elles ne disparaissent. 

Respect pour le courage de cette député de s’opposer à la position actuelle du gouvernement. Une partie de son propos avait cependant été balayé dès le lendemain pour une nouvelle publication du CDC. Cet organisme américain écrit le lundi 5 octobre 2020 que « le virus pouvait parfois se diffuser par les voies aériennes ». On notera la prudence dans ce propos lors de cette déclaration. Après quelques mois, il s’avère que le virus se diffuse effectivement en aérosol. 

Le confinement est un choix qui a été fait par certains pays et pas par d’autres. En Suède ou au Japon par exemple, le confinement n’a pas eu lieu et le nombre de décès était resté relativement faible, en tout cas jusqu’au début 2021. Il semble que depuis le début d’année, la propagation devienne plus préoccupante dans ces deux pays, bien que la Suède n’ait pas, proportionnellement, plus de décès que la France qui a confiné. 

En effet, en date du 28 janvier 2021, contrairement à la désinformation des médias français qui circulait au début 2021, la situation sanitaire n’était pas si catastrophique en Suède. Les restaurants étaient ouverts et la majorité des Suédois ne portaient pas le masque qui n’est pas obligatoire dans les lieux publics. Voici les chiffres officiels au 22 janvier 2021 :

  • Suède : nombre de morts du Covid-19 : 10 921, pour 10 230 000 d’habitants, soit une mortalité de 0,106 %.
  • France : nombre de morts du Covid-19 : 71 998 pour 66 990 000 d’habitants, soit une mortalité de 0,107 %.

En août 2021, la Suède ne semblait toujours pas inquiétée outre mesure par l’épidémie. 

Il est donc légitime de se poser la question sur l’efficacité d’un confinement. D’ailleurs la généticienne Alexandra Henrion-Caude estime que « les confinements ne font que retarder la propagation de l’infection ». En effet, il ne peut s’agit d’un confinement strict. Chacun doit au moins sortir pour se réapprovisionner.

Le France a cependant fait le choix du confinement. Ainsi, dans notre pays, les écoles et autres zones de rassemblement tels que les clubs de sport, furent officiellement fermées le 16 mars 2020. Le premier confinement fut imposé en France entre le mardi 17 mars et le 11 mai. Dès le 18-03-2020, la moitié des écoliers et étudiants était privée d’établissement scolaire dans le monde.

Depuis la fin du premier confinement, les « alarmistes » nous annonçaient tous les 15 jours une nouvelle vague depuis le mois d’avril 2020 qui n’est pas venue qu’en octobre 2020. Les « rassuristes » nous disaient qu’il n’y aurait pas de deuxième vague. Quant aux modèles mathématiques qui tentent de modéliser la pandémie et d’anticiper son développement, ils restent à perfectionner. 

Quoiqu’il en soit, le 14 octobre 2020, le Président Macron annonçait un couvre-feu dans certains grandes métropoles, applicable à partir du 17 octobre. Le 28 octobre le Président Macron reprend la parole pour annoncer un nouveau confinement, un peu moins contraignant que le premier. 

Les attestations de déplacement redevenaient obligatoires (bien que le 22 décembre 2020, une décision du juge des référés du Conseil d’Etat affirmait que l’attestation de déplacement dérogatoire, dont les Français ont dû se munir pour sortir de leur domicile pendant les confinements acte I au printemps et acte II à l’automne, n’avait aucun caractère obligatoire).

Le 24 novembre 2020, il est un peu assoupli. Un nouvel allègement du confinement a eu lieu le 15 décembre.

En fin décembre 2020 et janvier 2021, un couvre-feu est instauré dans de nombreux département à partir de 18h00 et à 20h00 dans les autres.

Le 28 octobre 2020, le président de la République annonçait un deuxième confinement sur l’ensemble du territoire national à compter du 29 octobre 2020 minuit.

Le 14 janvier 2021, le Premier ministre annonçait l’avancée du couvre-feu de 20h00 à 18h00 sur l’ensemble du territoire métropolitain. Fin janvier 2021, le débat portait également sur l’efficacité de ce couvre-feu car les chiffres ne semblaient pas particulièrement s’améliorer. 

Il est intéressant d’étudier après coup, les résultats du précédent confinement dans cet article, écrit par Gérard et Nicole Delepine. Là encore, l’analyse ne va pas dans le sens de la version officielle du gouvernement. Une tribune signée de 300 universitaires, scientifiques et autres professionnels de l’éducation et du social ferait même penser qu’un confinement est un remède pire que le mal. Cela fait régulièrement l’objet de débats.

Les chiffres ne sont pas nécessairement comparables car selon deux études, britannique et américaine, en mars, les malades du Covid-19 étaient plus de trois fois plus susceptibles de décéder des suites de la maladie que ceux hospitalisés en août, rapporte le site scientifique Trustmyscience. Ces deux études médicales récentes concluent à une chute spectaculaire du taux de mortalité hospitalière lié au Covid-19, d’environ 70%.

Les indicateurs comme le taux de personnes positives ne sont pas toujours pertinents, compte tenu de la fiabilité douteuse du test PCR (il semble fiable que dans une période très précise de quelques jours par rapport à la contamination). Il faut plutôt observer l’évolution du nombre de personnes hospitalisées ou le nombre de décès. Sur le dernier trimestre 2020, les autorités annonçaient justement une élévation du nombre de personnes hospitalisées et des décès également en forte croissance. En novembre 2021, le CDC recommandait à l’avenir des multiplex = PCR pour plusieurs virus à la fois à faire sur un seul prélèvement Auparavant, il fallait plusieurs prélèvements spécifiques de chaque virus.

Au moment des prévision de la troisième, le premier ministre Jean Castex a annoncé le 29 janvier 2021, non pas un nouveau confinement, mais des mesures durcies dont a fermeture des frontières avec les pays hors de l’Union européenne et la fermeture des grandes surfaces non alimentaires de plus de 20 000 mètres carrés. A compter du 20 mars 2021, un 3e confinement (osons l’appeler ainsi) est imposé dans 18 départements. Il sera couplé avec un couvre-feu à 18h00 puis à 19h00. Le couvre-feu est fixé à 21h00 à partir du 19 mai 2021. Il faudra attendre le 09 juin pour qu’il soit repoussé à 23h00.

De son coté, l’Italie annonçait le 12 mars 2021 être confrontée à une troisième vague épidémique. Elle a passé la deuxième semaine de mars la barre des 100.000 morts dus à la pandémie de Covid-19 et enregistrait une forte hausse des contaminations et des décès, liés en grande partie au variant britannique. Un nouveau confinement était envisagé sur une grande partie du pays à partir du 15 mars 2021.

En juillet 2021, on nous parlait en France d’une 4e vague mais son pic ne semble pas monté très haut, ce qui n’empêche pas les politiciens, de droite comme de gauche, de continuer dans la stratégie 100% vaccinale, alors que même des scientifiques pro-vaccin ne croient plus en cette utopie d’immunité collective. Voir l’intervention de Monsieur Vaccin (Cohen) devant Olivier Véran début septembre 2021 sur la chaine n°5. Cette chaine deviendrait-elle complotiste ? 

On apprenait le 02/09/2021 que dans le prolongement de ses positions exprimées cet été, le groupe socialiste du Sénat préparait un texte pour rendre la vaccination pour tous contre le covid-19 obligatoire. Le débat parlementaire s’est tenu le 13 octobre. Cette initiative a scandalisé de nombreuses personnes, notamment chez les socialistes, autrefois attachés à une certaine notion de démocratie et de liberté. 

Le gouvernement a également incité les lycéens à se faire vacciner mais cette tranche de population est très faiblement à risque et la balance bénéfice/risque penche plutôt pour l’absence de vaccination. Cette opération n’a pas eu le succès escompté, selon le journal Le Monde. La vaccination des plus jeunes n’a pas non plus été couronnée de succès. On savait déjà à cette date que les grands labos nous avaient menti sur l’efficacité de leurs vaccins. 

Les pays réagissent différemment à ces évolutions de l’épidémie. Le confinement ou le couvre-feu n’ont pour le moment pas démontré leur efficacité mais c’est en tout cas une réponse politique à une situation sanitaire instable. 

NB : Il semble évident que les chiffres initiaux communiqués par la Chine concernant la mortalité liée au coronavirus étaient très en dessous de la réalité. Les derniers chiffres officiels étaient de 3326 décès en Chine avant le 03 avril 2020. Pour Marie Holzman, présidente de Solidarité Chine, les informations qui filtrent par la diaspora évoquent plutôt 60.000 en date du 04 avril. Prudence donc à la lecture des chiffres officiels. La manipulation étant flagrante, il est préférable de ne pas se baser sur les chiffres émanant de la Chine. Globalement, au 8 juillet, les autorités chinoises annonçaient au total, depuis fin 2019, 83.585 cas confirmés en Chine continentale dont 342 malades encore en traitement ; 4.634 personnes décédées, très majoritairement dans la province du Hubei. 

Au 15 juin 2020, la Chine se préparait à une deuxième vague. Plus de 11 millions de personnes ont été testées, et 5.000 ont été placées en quarantaine. Le 9 juillet, la Chine annonçait par la suite la maîtrise complète de la « 2ème vague ». Il s’avère que de nouveaux cas sont signalés en janvier 2021 et que la Chine confine deux villes entières.

Il est difficile d’avoir des chiffres exacts car les autorités chinoises bloquent l’information ainsi que les experts de l’OMS chargés d’enquêter sur l’origine du virus. Il semble qu’en date du 11 janvier, la Chine ait autorisé ces enquêteurs à entrer sur leur territoire. Les preuves ont eu tout le temps de disparaitre. Des proches de victimes disent recevoir des pressions pour ne pas parler aux experts de l’OMS.

Les courbes sur la propagation du virus ne doivent pas faire l’objet d’une attention soutenue. En revanche, il faut s’intéresser au nombre de personnes en réa et au nombre de décès.

Le 31 août 2020, le professeur Toussaint déclarait sur RFI : « Sur les 500.000.000 d’habitants en Europe, il y a eu précisément 136 décès (le 31/08). On a eu des taux 100 fois plus élevés au printemps ». Il évoque le notamment le taux de tests « faux positifs » de 1 à 3%, ce qui fait qu’on évalue le nombre à 4500 faux positifs par semaine (sur une moyenne de 1 millions de test la semaine) alors qu’on a détecte 5500 personnes en date du 31 août. Le professeur explique que le port du masque est une mesure « politique » plus qu’une recommandation scientifique sérieuse, en tout cas en Europe car la maladie décroit largement, ce qui n’est pas le cas en Inde par exemple. Il évoquait à la situation à cette date, bien entendu. Fin octobre, la situation ressemblait effectivement davantage à une deuxième vague. Les interventions du professeur Toussaint se sont fait plus discrètes à compter de cette période.

Le virus ayant des propensions à muter, les regards sont tournés début novembre 2020 vers le Danemark. En effet, après une mutation problématique du coronavirus provenant des visons qui pourrait menacer l’efficacité d’un futur vaccin humain, le Danemark a annoncé des mesures de restrictions spécifiques pour plus de 280.000 habitants du Nord-Ouest du pays, afin d’empêcher de nouveaux cas de ce « Cluster 5 ».

Si donc, comme l’explique Étienne Decroly, les mutations sont le fait d’une absence de contrôle de la propagation du virus, d’autres scientifiques, dont Didier Raoult, avancent l’hypothèse que les traitements, notamment au remdesivir, seraient la cause indirecte –par une pression supplémentaire à la sélection naturelle– de ces nouvelles souches.

Un point complet sur les recherches portant sur les modes de propagations est proposé dans un article de l’Internaute. La transmission par les microgouttelettes reste une certitude, à ce la s’ajoute la transmission par les objets touchés ou, dans une moindre mesure, par l’air (via l’expiration donc cela revient aux microgouttelettes).

Alors qu’en France c’est la distance d’un mètre qui a été retenue, une étude montpelliéraine soutient que cette distance de deux mètres est nécessaire, notamment lors de la prononciation de certains mots. Par exemple, les syllabes qui commencent par le son « p » « envoient des jets d’air qui atteignent un mètre en une seconde ». Néanmoins, pour Simon Mendez, chercheur au CNRS qui s’est confié à France 3, « il ne suffit pas de respirer le virus une fois pour être malade. La distance n’est pas pertinente si on ne prend pas en compte le temps et la circulation de l’air dans l’espace ».

Une étude parue le 6 aout 2021 dans la revue Clinical Infectious Disease suggère que les aérosols infectieux contenant des particules de petites tailles seraient majoritairement responsables des contaminations par le SARS-CoV-2. Il semble donc que des mesures telles que l’arrêt du port du masque dans les lieux où le passe sanitaire (ou ce qu’il en reste) est obligatoire semblaient grandement prématurées, surtout avec l’émergence du variant Delta. Manifestement, le gouvernement français ne va pas toujours dans le sens des études scientifiques, et parfois même est totalement à contre-courant. 

En fin d’année 2020, une étude chinoise portant que 10 millions de personnes montrait que les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettaient pas la Covid19. L’hypothèse de la transmission par des cas asymptomatiques aurait-t-elle été instrumentalisée pour justifier et fabriquer un consentement pour des mesures de confinements extrêmes, portant sur des populations entières, y compris des décrets autoritaires de restriction des libertés ? C’est d’autant plus étonnant que quelques mois plus tard, les scientifiques nous apprenaient que même les personnes vaccinées pouvaient aussi bien transmettre le virus que les personnes non vaccinées.

Le 22/01/21, l’artiste Francis Lalanne s’est positionné sur ce sujet mais n’étant pas un spécialiste, sa position n’a pas eu particulièrement d’influence. L’article de France Soir explique que le gouvernement est en train de commettre insidieusement un coup d’État au nom de la Covid et s’apprête à instituer la tyrannie comme un avatar de la République, à l’insu du peuple français.

En mai 2021, on découvrait un article du général Dominique Delawarde « Rapport de situation planétaire Covid du 8 mai 2021″. L’interprétation des chiffres semble très éloignée de la version officielle.

Enfin, début mai encore, la propagande pro-vaccinale actuelle vantait les résultats aux Seychelles. C’était la zone la plus vaccinée (61% des 100.000 habitants avec Astra-Zeneca et Sinopharm), qui avait soi-disant « vaincu » le virus. Le 18/05/21, on apprenait que, malgré le fort taux de vaccination, l’épidémie repartait à la hausse : « Selon le ministre de la Santé Seychellois, 33 % des malades recensés avaient été entièrement vaccinés, rapporte CNN. Toujours selon le média, les experts et les responsables locaux affirment que le retour de l’épidémie n’est pas un signe que les vaccins ne fonctionnent pas. Ils rappellent cependant qu’un haut niveau de vaccination ne doit pas inciter à baisser la garde. »

Lors de son allocution du 12 juillet 2021, Emmanuel Macron a fait un pas de plus vers le totalitarisme en imposant la vaccination au personnel soignant et en l’imposant indirectement à toute la population. Immédiatement, des manifestations ont eu lieu dans toute la France. Les antivax invoquent notamment la loi Kouchner. Ces manifestations ne regroupaient pas seulement les antivax mais aussi les vaccinosceptiques et certaines personnes vaccinées qui rejettent elles aussi cette dérive liberticide et totalitaire. Des soignants, des pompiers se sont joints au mouvement. Alors que quelques semaines plus tôt, le gouvernement avait annoncé que la vaccination ne serait pas obligatoire, elle l’a malgré tout rendu obligatoire pour les professions étant en contact avec le public. Un mensonge de plus dans cette crise sanitaire.

Rappelons d’autre mensonges : Olivier Véran le 26 août 2021 : « Il n’y aura pas d’impact de la 3eme dose sur le pass sanitaire », ou Macron au 20h00, « Que vous alliez prendre votre rappel ou non, vous garderez le bénéfice du passe sanitaire ». Déjà le 19/04/21, ce dernier clamait « Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différentie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis. » 

Comme à chaque fois, la stratégie est de diviser les français et d’imposer des mesures strate par strate, comptant sur l’individualisme. Le pass sanitaire a été imposé dans tout le pays, en partie grâce à une étude scientifique plus ou moins bidon. Est-ce que ca nous surprend encore ? Rappelons-nous que la guerre du Golf était justifiée par des armes de destruction massives qui n’existaient pas et le nuage radioactif de Tchernobyl n’a jamais franchi la frontière de la France. 

Le Dr McCullough, spécialiste américain qui a témoigné sous serment devant le Sénat américain, a passé en revue les assertions de notre Président. Une vidéo de 25mn est disponible sur le site de France Soir qui démonte chaque point. En synthèse de ses propos : les vaccins ont été créé pour la souche originelle du Sars-Cov-2 mais sont INEFFICACES pour les mutations et que la prise de risque n’est pas conseillée. 

Aux USA, des actions en justice ont émergé dans tous les états. Le 21/01/2022, un juge fédéral du Texas émet une injonction nationale bloquant le mandat de vaccination de Biden pour les employés fédéraux.

Début aout 2021, le plan blanc est déclenché en PACA. Ci-dessous une vidéo Twitter de BFM TV PACA dans laquelle une infirmière se demande où sont les patients COVID. Dans cette même vidéo, un chirurgien s’interroge sur les vaccins. Puisque les vidéos ont tendance à disparaitre des sites de streaming en ce moment, j’ai décidé de l’héberger localement. 

Comment arriver à se forger une opinion fiable avec autant de spécialistes qui annoncent des choses diamétralement opposées ?

Le 05/10/21, l’Europe autorisait la 3e dose pour les plus de 18 ans, alors même que la FDA et l’OMS n’y étaient pas favorables. Cela signifie que le pass sanitaire pour les personnes vaccinées double dose arriverait rapidement à expiration. C’était une mensonge de plus du gouvernement Macron. 

Mi janvier 2022, l’Assemblée Nationale et le Sénat approuvent le pass vaccinal. Un mensonge supplémentaire du gouvernement qui avait annoncé que ce pass ne verrait jamais le jour. Les théories complotistes de 2020 se trouvaient à présent votées par nos institutions ! Cette décision a été prise alors même que les pays voisins assouplissaient les mesures de restriction. Ce pass exigeait des restaurateurs le contrôle du QR Code mais aussi de la carte d’identité en cas de doute sur le pass. Le vice-président de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih) a affirmé lundi 17 janvier matin que les restaurateurs ne contrôleraient pas l’identité des détenteurs de passes vaccinaux. De même un syndicat de policiers s’est montré hostile à cette idée. Le gouvernement avait décrété la guerre aux non vaccinés, leur faisait porter le chapeau des contaminations, ce qui était totalement faux mais trouver un coupable est toujours moyen de détourner l’attention pour éviter d’avoir à se justifier de ces erreurs. Les résistants tentent de s’organiser. Des associations furent crées comme « Je ne suis pas un danger« . En parallèle, de nombreux français, plus éveillés, commencent à comprendre la supercherie et les réactions furent nombreuses sur les réseaux sociaux. A l’approche des présidentielles, le 20/01/2022, Gérard Larcher annonçait l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire qui visait à examiner « l’adéquation du passe vaccinal à l’évolution de l’épidémie de Covid-19 ». Le cabinet McKinsey était entendu le même mois pour justifier ses factures faramineuses dans la gestion de cette crise. 

Le gouvernement a tout misé sur la vaccination, en empêchant même d’autres remèdes d’être utilisés. D’une manière générale, plus les pays ont vaccinés, plus ils ont eu de cas. Il faut rappeler que les virus ARNm, tels que proposés, ne protégeaient ni de la contamination, ni de la transmission. Dès lors le pass, qu’il soit sanitaire ou vaccinal, n’avait plus aucune légitimité. Cette crise était devenue politique et non sanitaire. Le gouvernement français mettra un maximum de pression sur les non vaccinés, les accusant de tous les maux. Il faut toujours trouver un coupable pour se dédouaner soi-même. En réalité, les non vaccinés terrorisaient le pouvoir car ils formaient un groupe témoin qui aurait permis de mettre en évidence les effets secondaires de la « vaccination » Covid-19. Des études ont même montré que les vaccinés étaient plus affectés statistiquement que les non vaccinés. L’échec de la vaccination était total. 

Comme si c’était écrit depuis le début, certains pays décrètent la vaccination obligatoire. Le chancelier autrichien, Karl Nehammer, a annoncé dimanche 16 janvier 2022 qu’à partir de février, la vaccination contre le Covid-19 deviendrait obligatoire.

Lors de cette crise sanitaire, la France a dépensé plus d’un milliard d’euros par mois en tests, a dépensé l’équivalent de 7% de notre PIB, a fait voter des lois liberticides et a dépensé une somme astronomique en vaccins, en communication, en frais de personnel, en gardiens de sécurité à l’entrée des hôpitaux, etc. Avec ces dépenses, elle pouvait tripler les lits de réa, recruter plus de médecins et de soignants, ou encore bâtir 15 hôpitaux… Le gouvernement LREM s’est enfermé dans une stratégie 100% vaccinales et 100% répressive qui n’a pas porté ses fruits. 

Dès le début de la vaccination, les gouvernements et la presse (subventionnée par les gouvernements), s’est mise à répéter en boucle que les vaccins étaient formidables, très efficaces, sans danger, etc. 

Ce discours marketing des grands labos fut relayés gratuitement par nos médias. Les études payées à l’époque ont étonnamment  « conclus » à une efficacité de 96% pour ces vaccins qu’on attendait tous impatiemment. On clamait dans les spots TV « Protégez vous et protégez vos proches ». Evidemment, les médias n’avaient pas les moyens de vérifier les données annoncées par les grands labos, et les gouvernements non plus. 

En avril 2022, on constate que l’efficacité annoncée de 96% , est en réalité plus proche de 45%. Ces produits expérimentaux ne protègent que très peu, et seulement sur 30 jours (article NEJM). Ils n’empêchent pas de contracter le Covid et ne freinent pas la transmission. Lorsqu’on analyse les courbes de décès en libre accès sur OurWorldInData, on constate que les plus vaccinés ne sont absolument pas protégés non plus des formes graves et font partie au contraire des personnes les plus touchées par les décès. Les labos nous ont menti sur toute la ligne. Des fakenews étaient donc propagées par nos élites et nos organes de presse. 

21/01/22 : Alors que le gouvernement français restait dans le déni, le Professeur Eric Caumes, pourtant largement converti à la cause vaccinale, expliquait sur LCI que omicron était largement dominant dans les écoles mais que vacciner les enfants ne servait plus à rien. Les enfants s’immunisaient naturellement. Il expliquait que l’immunité naturelle était plus efficace que l’immunité vaccinale. 

De son coté, l’agence européenne du médicament (EMA) déclarait « Si nous avons une stratégie dans laquelle nous donnons des rappels tous les 4 mois, nous finirons par avoir potentiellement des problèmes avec la réponse immunitaire« …

Afin de ne pas remettre sa stratégie en question, malgré les preuves flagrantes d’échec, le gouvernement continuera de faire porter la responsabilité sur les non-vaccinés. Chez une partie de la population, à force de répétition, les esprits fragiles ne se posent plus la question et acceptent cela comme une évidence : « les vaccinés sont porteurs du virus et me veulent du mal« . Mais une autre partie de la population s’éveille. Les organisations SAF, Solidaires, LDH et CGT ont fait valoir leurs propres arguments devant le Conseil Constitutionnel. Des collectifs d’avocats s’émeuvent de la régression de notre démocratie. De nombreux médecins et scientifiques s’insurgent sur les réseaux sociaux contre un régime autoritaire ou totalitaire qui se met en place dans notre pays.

Début février 2022, on apprenait que l’obligation vaccinale pour tous venait d’être votée en Autriche! L’Autriche était la première démocratie occidentale à rendre obligatoire la vaccination contre le Covid pour la quasi-totalité de sa population adulte, une décision autrefois impensable qui est considérée comme un test pour d’autres pays aux prises avec des poches de résistance aux vaccins. D’après le Chancelier Nehammer: « Le chemin vers la liberté est l’obligation vaccinale ». Une rhétorique inversée que l’on à déjà entendue en France… Un mois après sa mise en place, l’Autriche reconnaissait l’inutilité de cette loi, son atteinte aux libertés fondamentales et retirait cette obligation vaccinale. Quant à l’Allemagne, le parlement a voté contre l’obligation vaccinale. 

Le 19/04/22, la Pologne a informé la Commission Européenne et Pfizer qu’elle résiliait les contrats de vaccins. Il lui en restait encore 25 millions en stock, et Pfizer devait lui en livrer 60 à 70 millions dont elle n’avait plus besoin. Cela est à mettre en perspective avec le fait que les variants présents étaient moins virulents et que de plus en plus d’études montraient la faible efficacité de la vaccination (et accessoirement, les remontées d’effets secondaires explosaient dans les bases de pharmacovigilance). 

Pendant ce temps, l’Europe préparait un texte de loi pour imposer la vaccination. Quand on connait les conflits d’intérêt au plus haut niveau de l’Europe, ce n’est pas surprenant. 

11 mars 2022, le Figaro rapportait que ACI Europe, qui revendique fédérer 500 aéroports du Vieux Continent, et l’Iata (Association du transport aérien international), représentant 290 compagnies du monde entier, réclamaient la fin des restrictions sanitaires, expliquant que « Le Covid-19, et en particulier le variant Omicron, est désormais tellement répandu dans toute l’Europe, et l’immunité de la population est telle que le risque d’hospitalisation et de décès a spectaculairement diminué, en particulier pour les vaccinés ». 

Mars 2022, la députée européenne Virginie Joran en appelle à plus de transparence. De nombreux autres députés ont formulé les mêmes demandes et n’ont rien obtenu de la présidence de l’Europe.

A cette date, l’Europe réfléchissait à imposer une vaccination obligatoire alors que des soupçons de corruption flottaient déjà dans l’air depuis plus d’un an, que les preuves de l’inefficacité des vaccins s’accumulaient et que le nombre d’effets secondaires s’envolaient. 

Pour clôturer ce chapitre, quelques exemples de mensonges de nos dirigeants (pour mémoire) :