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COVID19 – La propagation

in Sciences

La propagation d’une épidémie peut être mesurée mais il est toujours intéressant de tenter de prendre un peu d’avance et d’utiliser des modélisations mathématiques et informatiques. Bien entendu, ces modélisations se basent des des paramètres initiaux et des heuristiques de propagation qui sont parfois discutables. Toutes n’aboutissent pas aux mêmes résultats. 

Pour comprendre les principes d’une propagation virale, Les premières révisions de cet article proposaient une vidéo de Laurent Toubiana, Chercheur épidémiologiste à l’INSERM mais puisqu’il n’avait pas les mêmes idées que ses paires, son compte YouTube a été censuré. 

Du point de vue génétique, le COVID-19 présente « 80% de similarités » avec le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), dont la pandémie avait fait des centaines de morts en 2003. Cependant, il semble plus dangereux. Pour preuve, le taux de mortalité d’une grippe classique se situe souvent aux alentours de 0,8%. Le Sars-Cov2 se situerait aux alentours de 2 à 4%. En France, 86% des patients décédés de la grippe entre 2011 et 2019 avaient plus de 75 ans, contre seulement 50% pour les victimes du coronavirus.

A noter qu’une étude publiée par le New England Journal of Medicine (NEJM) et financée par le gouvernement américain, concluait que le virus aurait un niveau de viabilité à l’air libre comparable à celui du SRAS (plusieurs heures).

20 janvier 2022 : Le Monde reconnait enfin les biais dans les informations anxiogènes annoncées par le gouvernement. Ils écrivent : « Plus de 25 000 personnes déclarées comme ayant le Covid-19 sont actuellement hospitalisées en France. Cependant, une partie non négligeable d’entre elles le sont pour une autre raison que les effets de la maladie. Ce biais, identifié depuis le début de l’épidémie – Libération le signalait en février 2021 –, tend à s’amplifier dans un contexte de forte circulation du virus.« 

Distribution des classes d’âge les plus touchées en France, au début de l'épidémie (Source : Santé publique France).

Le virus initial, jusqu’à son variant Delta, touchait principalement les personnes âgées et notamment les personnes dont le système immunitaire est déficient et en mauvaise santé. On constate sur le graphe que plus l’âge augmentait, plus le risque était important. Avec les variants successifs, omicron, notamment, des personnes plus jeunes furent touchées mais ce variant était moins virulent, les conséquences étaient moins graves. 

Distribution des classes d’âge les plus touchées en France, actuellement (Source : Santé publique France)

Le 11 mars 2020, l’OMS a officiellement parlé de pandémie.

Au 20 mars 2020, Worldometers comptabilisait 256.000 cas dans le monde et 10.500 décès. Précisons aussi que 90.000 personnes en étaient déjà guéries à cette date.

Le 16 avril 2020, les USA devenaient le pays comptabilisant le plus de décès avec plus de 30.000 personnes et un nombre de contaminations impressionnant.

Au 20 avril 2022, Worldometers comptait 506.154.386 cas dans le monde et 6.228.817 décès pour 458.341.428 rétablissements. Le nombre de décès aux USA atteignait 1.016.159.

A cette date, selon Worldometers, la France cumulait 27.816.299 cas de contaminations pour 144.387 décès. Selon France Info, la France comptait 53.397.777 personnes vaccinées (volontaires ou non), soit environ 80% de la population.

De nombreux graphiques sont disponibles sur le site Worldometers. Il existe bien d’autres sites qui recensent des données. Par exemple, les données indiennes sont reportées sur ce site.  

Il est à noter que les différents pays n’utilisent pas toujours la même façon de comptabiliser les données et même au sein d’un état, les différentes agences gouvernementales n’utilisent pas toujours les mêmes bases de données. La définition d’une personne vaccinée peut également changer d’un pays à l’autre ou même changer dans le temps…

Les chiffres sont en effet fortement manipulés. Le CDC américain par exemple, considère qu’une personne vaccinée est considérée comme telle dans les statistiques à partir de la date de la 2e dose + 14 jours. Ainsi, les décès post-vaccination à moins de deux semaines sont considérés comme non vaccinés aux USA ! Etonnant, non ? En France, une chef de service de réanimation (on taira ne nom ici pour éviter que la foudre ne s’abatte sur elle), a confirmé que les vaccinés morts moins de 10 jours après leur 2ème dose ne sont pas comptabilisés dans le fichier de pharmaco-vigilance en tant que décès suite au vaccin. Ils sont donc comptés comme non vaccinés, ce qui permet ensuite au gouvernement d’annoncer que ce sont les personnes non vaccinées qui encombrent les hôpitaux. 

Certains spécialistes évoquaient également 14 jours et non 10 jours. Ainsi, une personne qui décède dans les deux semaines après sa deuxième dose sera comptabilisée dans les « décès non vacciné ». A noter également que l’ANSM considère que 14 jours après le jour de la vaccination, il n’est pas possible d’établir une corrélation concernant les effets secondaires (la mort est intégrée dans les effets secondaires). De même, une personne doublement vaccinée mais en attente de sa 3e dose ne sera plus considérée comme vaccinée. Quant à la détection des cas, puisqu’on teste quasiment que les non vaccinés (les vaccinés étant censés être protégés), il est évident que les chiffres semblent importants ! Voila comment la France falsifie les chiffres et manipule les ignorants. 

Pour rappel, parmi les personnes hospitalisées, peu sont en réanimation et parmi celles qui sont en réanimation, certaines sont en « surveillance » seulement. Si le variant Delta s’est propagé rapidement, il semblait moins virulent que le virus originel. La manipulation des chiffres est assez flagrante. L’objectif du gouvernement est de générer la peur pour arriver à une vaccination massive mais même les épidémiologistes provax aujourd’hui ne croient plus en cette utopie d’immunité collective. Le vaccin ne pourra définitivement pas demeurer notre seule porte de sortie de cette crise. De nombreux blogs dénoncent ces manipulations. Extrait de l’un d’eux « Le gouvernement a planqué 50% des décès pour sous évaluer la part des vaccinés décédés. Les preuves de la magouille, le gouvernement communique 926 décès Covid entre le 31 mai et le 11 juillet , il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1880 décès Covid sur la même période.« . la DREES a confirmé ultérieurement avoir « oublié » des décès.

Il faut ensuite relativiser ces chiffres. Dans son livre, Marie-Estelle Dupont, psychologue, écrit qu’en 2020, « seulement 2% des hospitalisations étaient liées au Covid […], 5% en Réa. On a donné l’impression que les services étaient pleins à craquer de patients Covid et en fait ce n’était pas le cas. […] La peur a été disproportionnée« .

En absolu, les USA, l’Inde et le Brésil figurent dans le haut de la liste en matière de propagation et de décès. Il faut bien entendu rapporter ces chiffres au nombre d’habitants pour que l’analyse soit plus pertinente. Les chiffres annoncés par la Chine ne peuvent être sérieusement comptabilisés. Certains pays, comme l’Angleterre et la France ont émis rapidement des doutes sur la véracité des chiffres communiqués par la Chine. Déjà, le 17 avril 2020, le maire de Wuhan annonçait des morts supplémentaires : « Actuellement, n’étaient pas comptées les personnes décédées à leurs domiciles« . Depuis, de nombreux scientifiques ont émis des doutes sur les nouvelles informations communiquées par la Chine. Il est donc inutile de les prendre en considération. La Chine n’est pas un modèle de transparence. 

Le graphique ci-dessous présente les zones où il y a le plus de réanimation en France, liée à la Covid-19. Les zones blanches ne signifient pas qu’il n’y a pas de personnes en réa mais qu’elles sont éventuellement éloignées d’un hôpital ayant un service de réa .

Evolution des décès quotidiens en 2020 comparés aux cinq dernières années (2015-2019) et à la canicule de 2003 (source INSERM)
Répartition des dècès Covid à ce jour

Davantage frappés par le virus, les hommes constituent la majorité des personnes décédées depuis un an à l’hôpital (58%). Si la tranche des [90 ans et plus] semble plus petite que la tranche des [80-89 ans], c’est simplement parce que la mortalité (hors covid) intervient souvent avant 90 ans. 

Le graphique suivant est extrait du journal « Le Monde » du 22 novembre 2020. En synthèse, la deuxième vague de l’épidémie de Covid-19 se présentait de manière différente de la première. D’abord en raison de sa cinétique particulière : la circulation du virus s’était accélérée lentement depuis août avant de s’emballer au cours du mois d’octobre, pour atteindre à la mi-novembre 2020 un nombre de personnes hospitalisées légèrement supérieur au pic de la mi-avril. Pourtant, à hospitalisations quasiment égales, le nombre de personnes transférées en services de réanimation, présentant donc les formes les plus graves de la maladie, avait diminué entre les deux vagues.

Les personnes âgées, notamment dans les EHPAD semblaient particulièrement impactées avec une grande majorité des décès, dès le début de cette crise sanitaire. A noter que ces chiffres ne comptabilisaient que les décès en hôpitaux et en EHPAD. Les victimes décédées à leur domicile ne pouvaient être comptabilisées. Depuis, certains pays ont réévalués leurs chiffres puisque ceux-ci ne comptaient pas à l’origine les décès au domicile.

A noter aussi que ces victimes sont classées « positives au virus », ce qui ne veut pas dire qu’elles sont nécessairement décédées « à cause du virus ». Les chiffres sont donc à interpréter. Nos médecins ont été « incité » à classer Covid-19, même les simples grippes saisonnières. D’ailleurs, nous n’avons eu aucun chiffre à l’hiver 2020-2021. Etonnant, non ? Certains articles tentent de le justifier en expliquant que les gestes de protection utilisés dans cette crise sanitaire du Covid-19 ont permis de s’en prémunir. 

Comme l’ont également fait d’autres pays d’Europe, la France a levé le premier confinement à partir du 11 mai 2020 avec un assouplissement plus sensible à partir du 02 juin 2020. Fin septembre 2020, le taux d’incidence par département redevenait plus préoccupant.


Pour rappel, le taux d’incidence correspond au nombre de personnes infectées sur une semaine, dans une population de 100.000 habitants. Deux seuils ont été fixés par le ministère de la Santé : le seuil de vigilance est atteint si plus de dix personnes sont infectées pour 100 000 habitants. Le seuil d’alerte se trouve à 50 personnes infectées.


Attention cependant à l’interprétation des chiffres car au début de l’épidémie en France, environ un tiers des tests étaient positifs, alors que pour les tests suivants, à partir de juillet 2020, nous étions à 1%.

En effet, au début de l’épidémie, la France réservait ses tests aux malades les plus graves. Impossible, dès lors, de recenser les nombreux malades légers ou asymptomatiques. Moins d’un cas de Covid-19 sur dix était donc détecté et comptabilisé pendant cette période, selon des études rétrospectives de l’Institut Pasteur et de l’agence de sécurité sanitaire Santé publique France (SpF).

L’augmentation du nombre de tests de dépistage est une autre explication possible de la hausse du nombre de nouveaux cas détectés. En effet, plus on teste, plus on a des chances de trouver des porteurs du virus. Si on ne parle pas de taux de positivité, il faut alors pouvoir rapprocher les deux données. Il est donc important de ne pas prendre les chiffres en absolu mais en relatif (i.e, par rapport au nombre de personnes testées). 

Une carte de la progression mondiale de la contagion est disponible sur le site de la Johns Hopkins University. Une carte pour la France est disponible sur le site ESRI France. Le journal Le Monde affiche régulièrement les courbes linéaires et logarithmiques. Ce même journal publie les courbes de l’infection.

Les chiffres peuvent être suivis en temps réel sur cette carte interactive :

Il est étonnant de constater qu’on ne peut affirmer aujourd’hui que les vaccins fonctionnent, même temporairement. Globalement, les pays qui ont le plus vacciné connaissent le plus grand nombre de cas. Un exemple et un contre-exemple montrent qu’on ne peut tirer de conclusion. Suite au « booster » (3e dose), les cas diminuent en Israel mais l’Islande restent haut. Selon les chiffres d’Israel, on pourrait penser que les cas diminuent suite à l’injection mais on ne trouve pas ce décalage temporel par rapport à la vaccination sur d’autres pays. D’ailleurs des chercheurs de Harvard sont arrivés à la même conclusion dans un article écrit par S.V. Subramanian et A. Kumar, publié en l’European Journal of Epidemiology (accepted 09/09/21)

Les chiffres sont très difficiles à interpréter depuis le début de la crise sanitaire. En étant objectif, il est délicat de tirer des conclusions sur l’efficacité des mesures gouvernementales (confinement, couvre-feu, vaccination, pass sanitaire…). Une chose est sure, si ces mesures étaient si efficaces que le déclare le gouvernement, les chiffrent le montreraient de façon significative et le débat n’aurait pas lieu. A partir des mêmes données, des spécialistes ne vont pas toujours tirer les mêmes conclusions, selon leurs croyances initiales. 

A partir des données de la DRESS, un ingénieur en génétique microbienne produit par exemple ce graphique qui tend à montrer que la vaccination de masse est inefficace sur le variant omicron, voire aurait un effet négatif. 

Autre exemple, en analysant les chiffres de l’INSEE 2020, il est étonnant de constater une surmortalité deux fois plus élevée chez les étrangers en France en 2020. En effet, les personnes nées à l’étranger ont connu en 2020 une surmortalité deux fois plus élevée que celles nées en France, accentuée par une très forte hausse des décès chez les ressortissants africains, pendant la première vague de la pandémie de Covid-19, selon des statistiques publiées début avril 2021. Il est difficile d’expliquer ces chiffres. 

Le site de l’INSEE rapporte que la hausse des décès est la plus forte pour les personnes nées en Afrique : + 21 % pour les personnes nées au Maghreb (Algérie, Maroc, Tunisie, avec 40 100 décès en 2020 contre 33 300 en 2019) et + 36 % pour celles nées dans un autre pays d’Afrique (7 400 décès contre 5 400, figure 1a, figure 1b). Elle est également très nette pour les personnes originaires d’Asie (+ 29 %, avec 6 300 décès contre 4 900). Pour les personnes nées en Europe et celles nées dans un pays d’Amérique ou en Océanie, l’augmentation des décès est proche de celle observée pour les personnes nées en France. L’explication de ces données n’a jamais été très claire. 

En juillet 2021, les autorités annonçaient des chiffres « prouvant » que le virus circulait moins chez les personnes âgées vaccinées et infectait désormais des personnes jeunes, en bonne santé et non vaccinées. On nous a expliqué ensuite que les jeunes n’étaient pas à l’abri des formes graves de la Covid-19. Il semblait pourtant que les infographies publiées quelques mois auparavant prouvaient le contraire. Le variant Delta (Indien) s’est avéré un peu plus contagieux mais pas plus virulent. La mutation L452R qui le caractérise était déjà présente dans 61,3 % des tests de dépistage au niveau national à mi-juillet 2021. Ces informations qui nous provenaient du gouvernement arrivaient en même temps que le souhait de vacciner tout le monde, par la contrainte. 

Ces chiffres sont sujets à interprétation car dans les mois précédents, on testait moins les jeunes. Pendant un temps, en 2021, les chiffres sur la mortalité étaient devenus difficiles à trouver, alors qu’ils étaient mis en avant depuis le début de la crise sanitaire. 

Les graphiques ci-dessus sont issus du site sante publique france :

Un dataset peut-être téléchargé sur le site de l’Office for National Statistics UK. Ces données brutes montrent qu’en novembre 2021, les personnes vaccinées ont deux fois plus de chance de décéder que les non vaccinées. C’est tout à fait étonnant mais les chiffres ont été vérifiés. Il serait intéressant de creuser davantage et de comprendre comment cela peut-être possible. Peut-être que les morts liés au vaccin lui-même ont été intégrés ?

Il est difficile de démontrer que le vaccin fonctionne ou ne fonctionne pas. Ci-contre, les données rapprochées de l’Inde, du Japon et de la France, par millions de cas et les taux de vaccination. En date du 15/01/22, les contaminations ont explosé en France, par rapport au Japon ou à l’Inde. Le France et le Japon sont pourtant au coude à coude quand à la vaccination (environ 80% de la population à cette date). Le différence pourrait-elle provenir de l’usage exclusive de la vaccination en France alors que l’Inde et je Japon ont autorisé d’autres traitements complémentaires comme l’Azithromycine ou l’Ivermectine ? Il serait intéressant d’étudier plus en détail les dates des vaccinations pour calculer un coefficient de corrélation entre les dates et les cas rapportés. Le Pr Didier Raoult expliquait dans une vidéo de janvier 2022 que dès qu’on vaccinait les cas augmentaient immédiatement. 

Début janvier 2022, le site CovidTracker affichait les courbes selon le statut vaccinal, rapporté à 10M° habitants pour chaque groupe. Il est étonnant de constater qu’il y a plus de cas positifs chez les vaccinés deux doses que chez les non-vaccinés. Est-ce qu’on peut en déduire que le vaccin à affaiblit le système immunitaire ? Peut-être que les vaccinés n’ont pas maintenu les gestes barrières ?

En revanche, les vaccinés avec le rappel (3e dose) semblent moins nombreux que les non vaccinés, toute proportion gardée, ce qui tendrait à montrer l’efficacité au moins temporaire du booster. 

Il faut aussi tenir compte du biais statistique car on va tester davantage les personnes non vaccinées. Il y a par exemple des campagnes de tests dans les écoles et la vaccination à cette date, n’était pas encore obligatoire. Il convient aussi de prendre en considération les nombreux faux positifs des tests effectués dans les écoles (tests salivaires notamment). De ce fait, les courbes sont à interpréter avec prudence. 

Tableau et graphes réalisées à partir des chiffres de la DREES du 3 au 9 janvier 2022. La vaccination n’a aucun impact sur les cas de Covid. On observe un léger impact sur les hospitalisations (sous réserve que ce soit des vraies hospitalisations Covid et non des hospitalisations « avec Covid »). Mi-janvier, Le Monde, Libération et même BFMTV commençaient à reconnaitre ce biais, parce qu’il a été publié par Santé Publique France et qu’il n’était donc plus possible de le nier. Ce biais existe depuis le début de cette crise sanitaire, y compris pour la mortalité. Bien entendu, les scientifiques qui avaient dénoncé cela au début ont été presque insultés avant d’être pris progressivement au sérieux. C’est toute l’histoire de la science !

Le 21/01/22, le rapport de l’Institut Robert Koch indiquait que 95,58% des cas Omicron en Allemagne étaient entièrement vaccinés (28% de ceux qui avaient un « rappel »).

A la lecture de ces chiffres, il est légitime de se poser des questions sur l’objectif réel de la vaccination ? Eviter les cas graves ? Comment savoir si le cas aurait été grave avant qu’on constate qu’il ne l’est pas ? La comparaison vacciné/non vacciné a ses limites, surtout quand des intérêts financiers sont en jeu. Des études ultérieures ont montré que même ces vaccins ne réduisaient que très peu les cas grave et pouvaient même dans certains cas avoir plus d’inconvénients que d’avantages. 

Dans une de ses vidéos hebdomadaires, le Professeur Raoult évoquait une étude publiée au NEJM qui estime l’efficacité de la quatrième dose à 45% et pendant 30 jours. On ne contrôle pas une épidémie avec un vaccin qui protège à 45% et pendant un mois !

Rappelons qu’en principe, on ne donne pas une AMM pour une efficacité de moins de 50%.

L’efficacité de ces vaccins est totalement consternante et il n’existe aucune justification scientifique sérieuse pour promouvoir ces produits. Le lobbying et le marketing (accessoirement  la corruption) permettent de maintenir la vente de ces produits. 

Alors qu’on dispose de médicaments pour traiter les cas quelques cas graves, pourquoi un tel acharnement à injecter un vaccin à toute la population ? De nombreux témoignages de soignants ont à présent été rapportés. Il semble évident que les cas de Covid-19 ont été maximisés (en comptabilisant les comorbidités), surtout en début de crise et les cas d’effets secondaires des vaccins largement minimisés (le reconnaitre ferait exploser le nombre de recours en justice et freinerait la vaccination).  

N’oublions pas que les hôpitaux pouvaient surfacturer les cas Covid, ce qui les a incité mécaniquement à classer dans les Covid des cas qui n’étaient pas Covid.

D’après une analyse de dossiers électroniques de près de 5.000 admissions à l’hôpital avec Covid dans plus de 100 hôpitaux US, il s’avère que près de la moitié des personnes hospitalisées avec Covid ont seulement des cas légers ou asymptomatiques. Cela ne signifie pas que des malades n’ont pas eu d’effets graves ou que des malades ne sont pas décédés de la Covid-19. On peut se demander s’il n’y aurait pas un manque de finesse dans l’analyse des données. 

Quant aux chiffres annoncés par certains médias (qui ne propagent que le discours officiel), ils sont pour le moins surprenants en France. De ce fait, il est pertinent d’aller chercher des chiffres chez nos voisins anglais. Si on considère le document officiel « SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England, Technical briefing 19, 23 July 2021 » (Office Publique de Santé), à la page 19 de ce rapport est présenté un tableau expliquant que le variant Delta a provoqué 460 morts entre le 01/02/21 et le 19/07/21 dont seulement 165 n’étaient pas vaccinés. Le chercheur en biophysique moléculaire, Martin Zizi explique ces chiffres dans un vidéo accordée à France Soir avec un debriefing sur le site de BonSens.

Après une analyse des données par un statisticien, il a été révélé en septembre 2021 que la France (DRESS) a « oublié » de comptabiliser quelques centaines de décès. Voilà qui explique en partie bon chiffres de la France. Oublions donc le discours officiel relayé par les médias propagandistes qui disait « 85% des personnes en réanimation ne sont pas vaccinées ». Mensonge. Lorsqu’on corrigeait les données, le chiffre des personnes hospitalisées était évidemment fortement différent et pas en faveur de la vaccination. 

Bien au contraire, si on fait l’effort de chercher un peu, on découvre quasiment tous les jours que des clusters émergent dans les EHPAD. Par exemple, le 16 septembre 2021, la presse nous apprenait qu’un cluster de 51 cas dans une maison de retraite de Toulouse avait été identifié. La mairie de Toulouse a confirmé que les résidents étaient tous vaccinés depuis le début de la campagne de vaccination, en janvier 2021. Ils recevront une 3e dose de rappel à partir du 23 septembre. Le 18 novembre 2021, la presse nous apprenait qu’à Giromagny, près de Belfort, 18 résidents sont porteurs du covid-19 ainsi que 7 salariés de l’Ehpad Saint-Joseph. Le pass sanitaire est pourtant imposé aux personnels de santé ou de service et 95% des résidents avaient reçu les trois doses de vaccin.

Comme à chaque fois, les politiciens agissent tranche par tranche pas diviser la population, comptant sur l’individualisme. L’Europe aurait autorisé début octobre 2021 la 3e dose à toute personne majeure. La France l’a autorisé au début pour les personnes à risque.

Le 4/11/21, un nouveau cluster à l’hôpital Saint-André de Bordeaux était annoncé : 15 soignants d’une unité testés positifs et 9 patients hospitalisés. Tous étaient doublement vaccinés.

En octobre 2021, le taux de mortalité du variant delta est le suivant :

  • 0-9 ans : 0,00032%
  • 10-19 ans : 0,00035%
  • 20-29 ans : 0,00125%
  • 30-39 ans : 0,00430%
  • 40-49 ans : 0,01395%
  • 50-59 ans : 0,05054%
  • 60-69 ans : 0,18367%
  • 70-79 ans : 0,55290%
  • 80-89 ans : 1,43525%
  • >90 ans : 3,10548%

Alors que les scientifiques indépendants criaient déjà l’info depuis plusieurs mois, un article de Nature daté du 05/10/21 explique que les vaccins actuels sont effectivement bien peu efficaces : « Cet effet protecteur est relativement faible et diminue de manière alarmante trois mois après la réception de la deuxième injection« . En outre, on sait que certains vaccins peuvent protéger la personne vaccinée mais peuvent aussi empêcher ou en tout cas limiter la propagation – on parle alors de vaccin altruiste. Dans le cas présent, les vaccins COVID ne limitent en rien la propagation et il s’avère même, d’après certaines études, qu’ils auraient l’effet inverse. Un article du 18/10/21 en preprint sur MedRxiv, montre qu’il y aurait même 3 fois plus de chance d’être infecté par le variant delta chez les vaccinés par rapport à population générale. Des études antérieures ont également noté que les variants delta étaient plus fréquents parmi les infections post vaccinales. 

Comme disait Mark Twain, « Il est plus facile de duper les gens que de les convaincre qu’ils ont été dupés ». Le gouvernement ne pouvant pas revenir sur sa politique du tout vaccinal, il choisira de s’enfoncer dans son erreur, lui-même ayant probablement été dupé par les grands laboratoires. 

Lors de son allocution du 12 juillet 2021, Emmanuel Macron a fait un pas de plus vers le totalitarisme en imposant la vaccination au personnel soignant et en l’imposant indirectement à toute la population. Un pass sanitaire est instauré. Immédiatement, des manifestations ont eu lieu dans toute la France. Les antivax invoquent notamment la loi Kouchner. Ces manifestations ne regroupaient pas seulement les antivax mais aussi les vaccinosceptiques et certaines personnes vaccinées qui rejettent elles aussi cette dérive liberticide et totalitaire. Les syndicats de pompiers se sont joints au mouvement en déposant un préavis de grève à partir du 9 aout 2021. De même, pour marquer leur opposition au passeport sanitaire, la CGT, FO, et Sud santé du CHU de Bordeaux (Gironde) ont déposé le jeudi 5 août, un préavis de grève. Certains gendarmes et syndicats policiers ont également réagit. Une partie du personnel navigant manifeste aussi son mécontentement .

De nombreuses personnes se joignent au mouvement surtout pour la question d’atteinte aux libertés personnelles car selon le professeur de droit Serge Slama, cela pourrait ouvrir la voie à des restrictions durables des libertés. Ce mouvement anti-passe sanitaire est vu comme un dernier rempart face à l’autoritarisme

Le mouvement « Les mamans louves » s’est également créé pour protéger les enfants d’une vaccination aux nombreux effets délétères. Une lettre fut adressée à l’Elysée le 4/11/21. 

Chaque semaine, le mouvement prend de l’ampleur. Même début aout, en pleine période de vacances, avec un temps orageux, les manifestants étaient encore plus nombreux que la semaine précédente. L’exécutif craignait une rentrée de septembre compliquée, d’autant plus que la Coordination Santé Libre (CSL), qui regroupe différentes associations de médecins, soignants et scientifiques, appelle à un retrait immédiat de l’obligation vaccinale qui sera imposée à certains professionnels à partir du 15 septembre.

Le Dr McCullough, spécialiste américain qui a témoigné sous serment devant le Sénat américain, a passé en revue les assertions de notre Président. Une vidéo de 25mn est disponible sur le site de France Soir qui démonte chaque point. En synthèse de ses propos : les vaccins ont été créé pour la souche originelle du Sars-Cov-2 mais sont INEFFICACES pour les mutations et que la prise de risque n’est pas conseillée. 

Au 15 septembre 2021, 300.000 soignants se retrouvent privé d’emploi, sans droit au chômage pour avoir simplement refusé l’injection d’un sérum à l’efficacité douteuse mais aux nombreux effets secondaires connus. Certains furent plus ou moins réintégrés quelques semaines après. D’autres ont préféré changer de vie. Certains services d’hôpitaux ont fermé sur certaines tranches horaires, faute de personnel. La déconstruction de l’hôpital public poursuit son chemin en Macronie avec 5700 lits fermés et malgré la crise sanitaire. 

Ci-contre, un témoignage de Christophe Prudhomme, médecin urgentiste. Il confirme que la déconstruction des services de santé en France se poursuit, malgré cette « crise sanitaire ». Il confirme également les mensonges des autorités, au cas où quelqu’un pourrait encore avoir un doute. Cette politique de santé nous met tous en danger puisque des services d’urgence n’ont plus les moyens de fonctionner efficacement. Pour les patients en urgence, il s’agit de « perte de chance par défaut de moyen ». Le trio Bachelot-Buzyn-Véran est responsable de la fermeture de plus de 50.000 lits. 

Les mesures gouvernementales sont d’autant plus discutables qu’on savait depuis plusieurs mois que les vaccins Covid ne protègeaint pas de la transmission.

Le 30 décembre 2021, les chiffres de la DREES montraient que sur 167.154 tests PCR positifs, il y avait 131.498 vaccinés, ce qui représente 78%. Ce chiffre coïncide exactement avec le pourcentage de la population vaccinée à cette date. La preuve est faite que les vaccins Covid19 n’empêchent absolument pas de contracter le virus.

Le gouvernement s’entêtait alors que même son conseil scientifique lui expliquait la situation. On savait que le pass sanitaire n’avait aucun intérêt sur le plan sanitaire. Il ne servait qu’à maintenir la pression sur la population non vaccinée et à instaurer un contrôle social. Il servait accessoirement à plomber les finances des hôpitaux puisque la charge fut estimée à 60 M°€ par mois. 

la vaccination de masse avec les solutions actuelles sont même contreproductives. Le médecin israélien Kobi Haviva a déclaré sur Channel 13 News : « 95 % des patients gravement malades sont des vaccinés. Les personnes complètement vaccinées représentent 85 à 90 % des hospitalisations. L’efficacité des vaccins diminue ou disparaît ».

Dans un article du Journal of Immunology du 17/10/21, des scientifiques expliquent que les exosomes circulants avec la protéine COVID Spike sont induits par la vaccination BNT162b2 (Pfizer-BioNTech) avant le développement d’anticorps : un nouveau mécanisme d’activation immunitaire par les vaccins à ARNm.

Nous arrivons donc dans une situation absurde où les vaccins, censés nous protéger, agissent contre nous. En outre, comme de nombreux autres vaccins, ils affaiblissent notre système immunitaire pour d’autres infections. 

Le site VaxImpact propose des graphiques très bien conçus. Ces statistiques s’appuient sur les données issues de la DREES, mises à jour chaque semaine. Ce graphique permet de visualiser le nombre de nouveaux cas de Covid-19 (symptomatiques ou non) diagnostiqués chaque jour chez des individus de tous les âges en fonction du statut vaccinal des personnes. Malgré les « arrangements » avec les chiffres, les autorités ne peuvent plus masquer l’inefficacité des vaccins contre la Covid-19. On voit que les triplement vaccinés dépassent les autres catégories, toute proportion gardée. 

Novembre 2021, la Croix-Rouge US fait un appel aux donneurs sains (c’est à dire aux non-vaccinés) pour un sang qui se fait de plus en plus rare : « Anyone who has received their COVID-19 vaccine CANNOT donate convalescent plasma to help other COVID-19 patients in the hospital…« . En effet, le vaccin détruit les anticorps rendant le plasma de convalescent inefficace dans le traitement d’autres patients COVID-19. Le sang des non-vaccinés va bientôt valoir de l’or. 

Au 03/11/21, la situation française dans les hôpitaux était la suivante : 

447 hospitalisations, 308 retours à domicile, 95 SR/SI/SC, 39 décès, 229 passages aux Urgences, 61,7/100000 incidence hebdo, 6764 patients hospitalisés, 1096 patients en SR/SI/SC et 90.889 décès cumulés à l’hôpital.

NB : En général, on évoque des chiffres annuels pour la mortalité liée à un virus. Concernant le Covid-19, on cumule tout depuis le début de la pandémie. 

Le graphique ci-contre montre qu’il y a en réalité 16 millions de non vaccinés en France et non 6 millions, si on compte les moins de 12 ans.

Le parti socialiste, autrefois attaché aux valeurs de liberté, a même été chargé de faire passer un texte au Sénat en octobre 2021, imposant la vaccination obligatoire, alors que de nombreuses données scientifiques prouvaient la diminution des incidences et des décès et alors que jamais dans l’histoire de la pharmacovigilance, on n’avait remonté autant d’effets secondaires liés au vaccins. De la haute trahison. Du jamais vu. Rappelons que Pfizer a été un grand financeur du PS. Ce n’est pas une nouveauté, on sait que l’industrie pharmaceutique se montre très généreuse avec les partis politiques et pas seulement en France. Elle arrose également les différents parti politique en Australie par exemple, mais certainement aussi partout dans le monde.

Tous les chiffres qui sont remontés actuellement dans les bases de données proviennent des agences régionales ou nationales de santé publique. Il n’est pas évident que les chiffres soient fiables car en début de pandémie, certains médecins n’hésitaient pas à déclarer une simple grippe ou une rhinopharyngite comme un COVID pour toucher 50€ de plus. Cela a gonflé artificiellement les chiffres. La France a même annoncé avoir comptabilisé trop de cas COVID au mois d’octobre. Pour autant, cela continue. Une partie du personnel de santé, témoin de ses agissements frauduleux, témoignent régulièrement. Des personnes décédées à  90 ans, cancéreuses, vont être étiquetées COVID. Comble de l’hypocrisie, si leur schéma vaccinal n’était que de deux doses, elles vont être comptabilisées dans les décès « non vaccinés ».

L’Italie de son coté, commence à trier les « vrais décès Covid » des décès liés à des comorbidités. La presse nous apprenait le 21/10/21 que selon le nouveau rapport (qui n’avait pas été mis à jour depuis juillet 2021) de l’Institut Supérieur de la Santé sur la mortalité due au Covid, le Sars-Cov2 aurait tué beaucoup moins qu’une grippe commune. Cela semble étrange, mais selon l’échantillon statistique de dossiers médicaux collectés par l’institut, seuls 2,9% des décès enregistrés depuis fin février 2020 seraient dus au Covid 19. Ainsi, sur les 130.468 décès enregistrés par les statistiques officielles au moment de la préparation du nouveau rapport, seuls 3.783 seraient dus au virus lui-même. Parce que tous les autres Italiens qui ont perdu la vie avaient de une à cinq maladies qui, selon l’ISS, leur laissaient donc déjà peu d’espoir. Jusqu’à 67,7% auraient eu plus de trois maladies contemporaines ensemble, et 18% au moins deux ensemble. 

En Angleterre, l’Office of National Statistics (ONS) a confirmé que 6.183 personnes sont mortes réellement du Covid19 en Angleterre et au Pays de Galles (cas où le Covid19 était la seule cause du décès sur le certificat), depuis le début de la pandémie en février 2020. On est loin des 153.202 décès signalés. Cela représente 3,9%. Autrement dit 96,1% des décès pourraient être attribués à des conditions sous-jacentes, en tout cas au cumul de plusieurs causes. 

Il en a été de même en France. Le rapport sur l’analyse de l’activité hospitalière en 2020 et publié par l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH), sortit en novembre 2021, a montré que seulement 2% des hospitalisations de 2020 concernaient le Covid. Il ne faut cependant pas s’arrêter sur ces chiffres car dans le service des soins critiques, par exemple, le Covid-19 représentait 5% des hospitalisés et 13% des décès. Dans tous les cas, cela semble en opposition avec la situation « de guerre » qui nous était décrite dans les médias mainstream. 

Comment arriver à se forger une opinion fiable avec autant de spécialistes qui annoncent des choses diamétralement opposées et des données remaniées en permanence ?

Qu’on aime ou pas le personnage, le professeur Raoult s’exprime sur la propagation des variants dans la vidéo ci-dessous. Il évoque également la fiabilité du test salivaire qui n’aurait qu’une sensibilité de 70%. Il aborde aussi la question de la corruption dans le milieu médical. Etonnant que la chaine de l’IHU Méditerranée-Infection ne soit pas encore censurée. Carine Montaner, la belle députée d’Andorre est intervenue dans une vidéo : « Impact des conflits d’intérêts sur les décisions politiques liées a la Covid ». Elle dénonce l’arnaque du Remdesevir dans la lutte contre la Covid-19. Elle explique également que l’Andorre a effectué dès le départ une étude sur le protocole de l’IHU et a obtenu un taux d’efficacité de 93%. Cette étude étrangement n’a pas été publiée. Ce protocole a été supprimé malgré son succès. Elle raconte les intérêts financiers qui font faire le contraire de l’intérêt des patients.

Les conflits d’intérêt sont quasiment partout dans ce domaine. Un article du BJM du 3/11/21 « Mapping conflict of interests: scoping review » traite de ce sujet. Il montre par exemple les liens entre l’industrie médicale et l’écosystème de santé :

France Soir a également conduit une investigation sur les conflits d’intérêt. Il est intéressant de lire cet article instructif daté du 02 octobre 2021. On y découvre les liens financiers entre Vanguard Blackrock, le HCA health system et PFIZER et que l' »International Society for Infectious disease (ISID) » est financée par… PFIZER. On découvre également le lien d’intérêt unissant le Dr Nathan Peiffer Smadja avec la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF), et son mentor le Professeur Yasdan Yasdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19, etc. Sans parler nécessairement de corruption, les conflits d’intérêts sont nombreux dans ce domaine. Emer Cooke, directrice de l’EMA, a travaillé pour l’EFPIA (Association européenne des groupes pharmaceutiques), un puissant lobby des entreprises pharmaceutiques dans lequel on retrouve AstraZeneca, Gilead, Pfizer, Johnson & Johnson…

Le 27 octobre 2021, le groupe consultatif sur les vaccins de la Food and Drug Administration américaine a recommandé à l’agence d’autoriser Pfizer à modifier son autorisation d’utilisation d’urgence pour son vaccin COVID afin d’inclure les enfants de 5 à 11 ans. Deux jours plus tard, la FDA a officiellement approuvé le lancement du vaccin. Les principaux médias traitent cette décision comme un développement positif pour la protection des jeunes enfants. En y regardant de plus près, c’est tout sauf cela. La FDA est aujourd’hui scandaleusement corrompue sous la direction du directeur par intérim et n’est guère plus qu’une chambre d’enregistrement pour Big Pharma, et en particulier Pfizer, où l’ancien chef de la FDA siège au conseil d’administration.

Le comité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques connexes a voté par 17 voix contre 0, avec une abstention, pour donner son feu vert à l’autorisation d’utilisation d’urgence du vaccin à ARNm expérimental de Pfizer-BioNTech pour les enfants âgés de 5 à 12 ans. L’expert qui s’est abstenu a expliqué plus tard qu’il l’avait fait en raison des données limitées fournies en matière de sécurité et d’efficacité. La corruption de la FDA s’étend aux membres du comité consultatif sur les vaccins. Nombre des membres de ce comité, qui compte actuellement 18 personnes, ont des liens directs avec Pfizer ou avec la Fondation Gates, qui soutient Pfizer.

Rappelons aussi que le journal Le Monde avait écrit dans un article « La fondation Bill et Melinda Gates a procédé à 37 versements à l’OMS en 2019, pour un montant total de 194 millions de dollars. Cette influence est aussi indirecte, puisque l’ONG investit dans de nombreux pays (comme le Nigeria) ou des organisations (comme l’alliance GAVI pour la vaccination mondiale, les programmes de développement des Nations Unies ou, par le passé, le national Philanthropic Trust) qui figurent parmi les principaux donateurs minoritaires de l’OMS. « .

La fondation Gates est le 2e contributeur direct au budget de l’OMS. A part les USA, aucun pays ni ONG n’a davantage contribué au budget de l’OMS sur l’exercice 2018-2019. L’alliance GAVI est le 4e contributeur, après le Royaume-Unis. Chiffres disponibles sur le site de l’OMS. Cette générosité permet à la fondation Gates d’obtenir une oreille très attentive de l’OMS. A noter que notre ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a rejoint l’OMS en 2021 comme « chargée des affaires multilatérales ». 

Outre le financement des ONG, la Fondation Gates aurait fait don de 319 millions de dollars à ce jour aux différents médias dont CNN, NBC, NPR, PBS et The Atlantic mais aussi BBC, The Guardian, The Financial Times et The Daily Telegraph en Angleterre. Le journal Le Monde (France), Der Spiegel (Allemagne), El País (Espagne) ainsi que Al-Jazeera. Il finance également quelques écoles de journalisme et universités (Institute for Advanced Journalism Studies, University of California Berkeley et Johns Hopkins University notamment). Le contrôle de l’information est donc non négligeable. Il n’est évidemment pas le seul à vouloir contrôler l’information, 90% des médias sont actuellement contrôlés par 9 milliardaires. 

Le 22 septembre 2021, on apprenait que la Roumanie fermait 117 centres de vaccination parce que 70% des citoyens refusaient le vaccin. 

Vaccination ou pas, le virus continue de se propager. Le 31 juillet 2021, on apprenait que le variant Delta avaient infecté des touristes américains complètement vaccinés. Sur la presqu’île de Cape Cod, le 3 juillet, l’incidence des cas de Covid-19 dans la ville était pour la quinzaine glissante de zéro cas pour 100 000 habitants et par jour, celle-ci est passée le 17 juillet à 177 cas quotidiens pour 100 000 habitants sur une période de quinze jours. Il s’avère que sur les 469 cas d’infection par le SARS-CoV-2 identifiés, 346 sont survenus chez des individus complètement vaccinés, dont 87 % étaient des hommes d’âge moyen 42 ans. Selon les cas, ils avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNtech (46 % des cas), Moderna (38 %), Janssen (16%). 

On constate aussi depuis juillet/aout 2021 que, malgré la vaccination massive, les cas augmentent à nouveau en Israel avec même quelques cas graves chez les doublement vaccinés. Des chiffres sont présentés sur le site « politologue.com ». En réalité, les chiffres sur la mortalité en Israel, une fois normalisés, ne montrent pas une augmentation sensible des décès sur la dernière année. Un article de France Soir détaille cela. En janvier 2020, malgré une 3e dose et le démarrage d’une campagne de 4e dose, Israel connaitra un grand pic de contamination. 

Il en est de même an Angleterre. En avril/mai 2021, on citait l’Israel comme un modèle pour la vaccination, les médias nous montraient des images de gens sur les terrasses des cafés, reprenant une vie normale. En parallèle, la France nous diffusait des publicités pour la vaccination, on y voyait de jeunes enfants refaire des bisous à la grand-mère car tout ce petit monde était vacciné…

En août 2021, le CDC sort un document expliquant que la vaccination ne protège finalement de pas grande chose, que les personnes vaccinées restent contagieuses et qu’il faut toujours conserver les gestes barrière, donc éviter tout rapprochement. Cela prendra presque 4 mois pour qu’on commence à appliquer cela en France. Il était en effet difficile pour le gouvernement d’admettre que les vaccins largement soutenus en début de crise se révélaient quasiment inefficaces. Au lieu de revoir leur stratégie ou de financer de nouvelles recherches pour des vaccins plus fiables, les gouvernements s’entêteront à vouloir injecter les sérums avec les conséquences que l’ont connait. 

Les scientifiques s’accordent en effet à dire depuis juillet 2021 que les personnes vaccinées peuvent autant contaminer que les personnes non vaccinées. De ce fait, la communication des fabricants de vaccins a évolué. Le seul intérêt qui demeure actuellement en faveur de la vaccination serait une « pseudo-réduction » de la gravité en cas d’infection, avec rappelons-le une diminution de l’efficacité de 6% tous les deux mois. 

La déclaration alarmante du professeur Sir Andrew Pollard, directeur de l’Oxford Vaccine Groupe, a de quoi inquiéter. Selon ses propos rapportés dans The Guardian le mardi 10 août, « l’immunité collective n’est pas possible avec le variant Delta« . D’après le spécialiste, ce variant infectera toujours les personnes vaccinées « et nous n’avons rien qui arrêtera complètement cette transmission ». 

Dans une récente étude menée par l’Imperial College de Londres, les personnes entièrement vaccinées âgées de 18 à 64 ans ont environ 49% moins de risque d’être infectées par rapport aux personnes qui ne le sont pas. Les résultats ont également indiqué que les personnes complètement vaccinées étaient environ trois fois moins susceptibles d’être testées positives après avoir été en contact avec une personne atteinte de Covid (3,84 % contre 7,23 %).

Le 11 aout 2021, un document du site officiel Ontario Canada, montre qu’il y a moins de personnes vaccinées en entrée d’hôpital que de vaccinées. En réanimation, il n’y a que des patients vaccinés. Les chiffres des personnes vaccinées en absolu sont disponible sur ce lien. Les synthèses en pourcentages sont données sur ce site.

Dans cette région, les personnes ayant reçu au moins une dose d’un vaccin contre la COVID-19 était de 72,77 %, en date du 31 juillet 2021. 2 semaines après, le pourcentage a probablement du monter un peu.

En hospitalisation (chiffres du 12/08/21), 32 non vaccinées et 43 vaccinées. En prenant une calculatrice, ca fait un rapport de 74% de personnes hospitalisées et vaccinées. Et on va nous dire que les vaccins fonctionnent ? On est très loin des chiffres annoncés par la France (« 96% des personnes admises à l’hôpital ne seraient pas vaccinées… »)

Hospitalisation Patients Covid Ontario au 12-08-2021
En Belgique, le Pr Christophe de Brouwer a mis à jour l’évolution des données brutes de cas, hospitalisations et USI pour les personnes vaccinées et non vaccinées. Le virus semble de plus en plus contourner l’immunité conférée par les vaccins.

Des statistiques datant de mi-mars 2022, montrent que l’Islande, a vu le nombre total de décès doubler depuis le début de l’année (37→79), malgré 95% des plus de 50 ans vaccinés (>85% boostés). Si on prolonge la courbe, ce nombre pourrait quadrupler d’ici le mois de mai et approcher la moyenne des pays européens…

On fait dire ce qu’on veut aux chiffres selon la cause qu’on souhaite servir. le Conseil Scientifique Indépendant n°22 du 9 sept 2021 a fait intervenir Pierre Chaillot, expert statisticien. Il décrypte les données en provenance d’Israël et démontre que les études que nous sert le gouvernement sont biaisées. Il établit un lien clair entre la vaccination massive et l’augmentation de la mortalité.

On pourra citer également le cas de Singapour. Le New York Times rapporte que c’est un des pays les plus vaccinés (80%) et les cas explosent totalement. 

A noter aussi que le ministère a lancé une circulaire de « rappel » le 3 août 2021, signée du Pr. Jérôme Salomon, à destination de tous les professionnels de santé, évoquant une grande enquête lancée en France pour mesurer les échecs vaccinaux, et particulièrement des échecs graves, débouchant sur le décès des patients vaccinés et contaminés par le COVID.

C’est d’autant plus utile qu’on apprenait début septembre 2021 que 80% des décès Covid en août étaient des personnes vaccinées, selon les données de Santé Publique Angleterre. Comme ce pays a un taux de vaccination élevé, il n’est pas anormal que ce nombre paraisse important, l’efficacité des vaccins actuels n’étant pas à 100% (c’est le moins qu’on puisse dire). Cependant, cela tend à démonter a minima l’inefficacité des produits actuels. 

En Israel, un article évoque le cas d’un patient Covid à l’hôpital qui infecte 41 personnes, patients, personnel (portant des masques) et famille. 39 contacts infectés (96%) étaient complètement vaccinés depuis plus de 5 mois. Cela montre l’inefficacité du vaccin actuel au delà de 4 mois. Un exposé au CSI du 30/09/21 « Immunité naturelle vs immunité vaccinale », par Hélène Banoun, est consultable sur CrowdBunker

Il en est de même dans l’université américaine de Harvard où un cluster apparait alors que 95% des étudiants de l’université et 96% de son personnel étaient vaccinés. L’école de commerce imposait également un test Covid trois fois par semaine pour tous les étudiants, quel que soit leur statut vaccinal. Le 27/09/21, CNBC rapportait les faits. 

On trouvera régulièrement dans la presse des informations allant dans ce sens. Des clusters dans des EHPAD, dans des prisons, etc. Alors que tout ce petit monde était vacciné ! On déduit d’une étude du CDC portant sur une prison infectée par le coronavirus, que le vaccin ARNm protègerait contre les hospitalisations, mais très peu contre les infections: 20% tout au plus pour les détenus vaccinés depuis plus de 4 mois. La France a connu également de tels cas. 

En outre, il serait intéressant de croiser les données de la mortalité et des hospitalisations de ces derniers mois en France, avec l’utilisation cachée de l’Iververmectine +120%* (+ 52592 boites*) et de l’aspirine +8%* dont +100% pour la gamme du Resitune. *rapport entre août 2020 vs août 2021.

Variant omicron : très contagieux mais peu virulent.

Considérant les données danoises ci-contre (du 22/11/21 au 12/12/21) présentant la répartition du variant omicron par rapport aux autre variants, les boostés D3 représentent 8.64% des cas, les 1D+2D représentent 5,70% et les non vaccinés seulement 1,21%. Il est difficile de soutenir que les vaccins sont efficaces sur ce nouveau variant omicron. 

Mesures du variant omicron dans les eaux usées - janvier 2022

Le 16 janvier 2022, Martin Blachier présentait la carte ci-contre. Elle représente les « concentrations » du variant omicron dans les eaux usées. L’épidémiologiste expliquant que la fin de la vague omicron était proche. 

Fin 2021, les statistiques sur les cas positifs en Israel étaient plus nombreux chez les personnes ayant reçu 1, 2 ou même 3 doses de vaccins que chez les non vaccinés, toutes proportions gardées. 

Ci-contre, un graphe de OurWorldIndata de début février 2022 laissant penser qu’en Israel, plus on vaccine et plus il y a de cas et de mort.

Ce pays, vers lequel tous les yeux étaient tournés car précurseur de la vaccination covid-19 s’enfonce dans la crise malgré des taux de vaccinations très élevés (3 à 4 doses pour certains). Le directeur de l’hôpital d’Ichilov déclarait le 02/02/2022: « 80% des cas graves sont entièrement [doublement ou triplement] vaccinés ». La vaccination qu’on nous présentait comme la seule porte de sortie de cette crise sanitaire aura peut-être même amplifié le phénomène. 

De même, en date du 18/01/22, le Portugal, pays d’Europe le plus vite vacciné (90% complètement, 94% partiellement), connaît aussi une hausse des cas à un niveau jamais atteint, accompagnée d’une légère hausse des hospitalisations et des décès qui avaient connu un pic au début de la vaccination de masse. Certains se demanderont si ce n’est pas le vaccin, produisant la protéine Spike qui causeraient ces décès. 

Cela n’empêchera pas notre ministre de la santé, surnommé « le magicien doses » évoquer l’opportunité d’une 4e injection en France. Entêtement ou corruption ? Heureusement, à l’approche des élections 2022, le gouvernement décida de suspendre partiellement le pass vaccinal et les commandes de nouveaux lots de vaccins. Les commandes prévues à partir de mai 2022 n’étaient cependant pas annulées. 

Mars 2022, dans une vidéo intitulée « What We Have Is Negative Efficacy », le Dr. Robert Malone expliquait que des données mondiales étaient disponibles et démontraient que la vaccination et les doses multiples augmentaient en fait le risque de contracter une maladie à médiation par Omicron et potentiellement même la mort. 

Janvier 2022, le Professeur Didier Raoult confirme ce que d’autres médecins avait déjà évoqué depuis plusieurs semaines. Il explique que lorsque PFIZER a évalué son vaccin, toutes les études ne voulaient pas voir ce qui se passait pendant les 15 jours après injection. Pfizer n’a jamais communiqué sur ce qui se passait dans les 14 jours suivant la vaccination. D’après les chiffres qu’on peut trouver sur les plateformes internationales, il semble que le vaccin ait favorisé l’augmentation du nombre de Covid ! Il évoque également les anticorps facilitants (ADE – Anti Dependant Enhancement) que craignait depuis un an une partie censurée de la communauté scientifique. Un article sur le phénomène d’ADE peut être trouvé ici

Puisque les vidéos scientifiques ont tendance à disparaitre de YouTube et des réseaux sociaux, il devient nécessaire d’en faire des copies. 

D’après la DREES, et pour le mois de Janvier 2022, la distribution des décès pour omicron est essentiellement chez les vaccinés (>94%), et quasi-exclusivement dans la population des 60+ ans.

Le 14/01/22, The Guardian nous apprenait que les anglais étaient lassés de ces injections à répétitions compte tenu de la faible efficacité, voire de l’efficacité négative. L’article explique que les doses « booster » risquaient de se périmer, selon une note de service du NHS qui a fait l’objet d’une fuite.

Si on zoome uniquement sur omicron, les hospitalisation pour omicron des moins de 20 ans arrivent à 85% de vaccinés.

Janvier 2022 : l’équipe d’épidémiologie de l’Université de Stanford établit des comparaisons sur les taux de mortalité de l’infection dans 14 pays (entre juillet 2021 et décembre 2021). On peut constater à la lecture du tableau que la mortalité a baissé dans toutes les tranches d’âge (sauf pour la tranche 60-69 ans). Ces chiffres encourageants n’ont pas empêché Emmanuel Macron de mettre en place un pass vaccinal. 

Janvier 2022, l’Islande, pays à haut taux de vaccination (92%) connait son nombre de cas exploser. Les courbes entre le 16/07/21 et le 18/01/22 montrent même qu’à partir de janvier, les adultes vaccinés avec booster, sont davantage hospitalisés que les doublement vaccinés. 

Il devient très difficile pour les covidistes vaccinolâtres de prouver la pertinence de la vaccination, sans exposer sa totale mauvaise foi. 

Janvier 2022 : Cyrille Cohen reconnaît que le virus Omicron immunise mieux que le vaccin. Effectivement de nombreuses études montrent que le corps se défend bien et mémorise assez bien l’information. Pour autant, ce médecin a tenu des propos discutables par le passé : il s’est déclaré favorable à la 3e dose et même à la 4e et souhaitait la vaccination des enfants. Il contestait les anticorps facilitants et pensait que les non vaccinés étaient la cause des variants alors que de nombreux scientifiques soutenaient exactement le contraire.

Encore une fois, un médecin ne peut donner qu’un avis personnel et il ne représente pas « la science » dans son ensemble. 

Plus le temps passe, plus il devenait difficile pour les médecins de plateau qui avaient prôné la vaccination de masse de justifier la poursuite de cette stratégie unique. Les vaccins contre la Covid19 se sont révélés totalement inefficaces. A titre d’exemple, Les courbes des décès Covid sont très similaires entre le Paraguay et l’Uruguay, le premier vacciné à 44% et le second vacciné à 78%.

En janvier 2022, un article de Carlos Franco-Paredes, publié dans le Lancet confirmait que les politiques de vaccination obligatoire devraient être reconsidérées car les vaccins ne freinaient pas la propagation : « En effet, il est de plus en plus évident que les titres viraux maximaux dans les voies respiratoires supérieures des poumons et les virus cultivables sont similaires chez les individus vaccinés et non vaccinés.« . On le savait depuis mars 2021 mais des décisions politiques devaient être prises pour « rassurer la population ». 

On notera le début de l’article « Les études sur l’efficacité des vaccins ont démontré de manière concluante le bénéfice des vaccins COVID-19 dans la réduction des maladies individuelles symptomatiques et graves, entraînant une réduction des hospitalisations et des admissions en unité de soins intensifs.« . Comme dans tout article scientifique, pour qu’il ait une petite chance d’être publié, il faut commencer par dire que les vaccins sont supers. 

Le 23 février 2022, dans Nature, un article expliquait que la 4è dose faisait augmenter le taux d’anticorps mais n’offrait pas de protection suffisante contre le virus. En effet, Israel qui a fortement vacciné sa population (3e et 4e dose) a fait face à une exposition des cas et de la mortalité. On ne peut donc pas conclure, dans les faits, que le vaccin ARNm est efficace.

Pire encore, il n’est pas impossible que le vaccin contribue à propager la maladie, la protéine Spike étant présente dans tout le corps durant plusieurs semaines, certains biologistes pensent qu’elle pourrait être responsable d’une augmentation des maladies auto-immunes et des cancers. Elle pourrait empêcher le bon fonctionnement d’une séquence génétique chargée de réparer l’ADN (bloqué à 90%). Des recherches devront confirmer cette hypothèse. 
 

3 février 2022, Marty Makaryn Professeur à Johns Hopkins University publia aves ses collègues (Jennifer Alejo, Jonathan Mitchell, Amy Chang, Teresa P.Y. Chiang, Allan Massie, Dorry Segev) une grande étude sur l’immunité naturelle dans JAMA. « Nous avons constaté que les anticorps Covid ont persisté pendant près de 2 ans après l’infection. De plus, 99,3% des personnes non vaccinées qui avaient le Covid (confirmé par un test + Covid) avaient des anticorps circulants« . L’auteur explique que cette étude a plusieurs implications pour la politique Covid :

  1. Les employeurs qui cherchent à reconnaître l’immunité naturelle peuvent compter sur un test positif Covid préalable
  2. N’essayez pas d’attraper l’infection, mais si vous l’avez eue et que vous vous êtes rétabli, vous pouvez vous sentir bien avec votre protection immunitaire (Une étude du CDC a révélé que l’immunité naturelle est plus protectrice que la vaccination seule)
  3. Il faut rétablir les employés licenciés n’ayant pas cédé à l’obligation vaccinale et ayant une immunité naturelle 
  4. Au lieu de faire référence aux « vaccinés et non vaccinés », un lexique plus précis sur le plan médical serait « immunisé et non immunisé ».
  5. Respectez (ne vous précipitez pas pour juger) ceux qui ne sont pas vaccinés. Ils peuvent avoir une bonne raison – ils peuvent avoir une forte immunité naturelle et une raison médicale d’éviter la vaccination ou d’éviter la 2ème dose ou la dose de rappel dans le cadre de l’immunité naturelle. De même, ne pas critiquer ou se moquer de ceux qui continuent à porter un masque – ils peuvent avoir une bonne raison comme vivre avec une personne vulnérable ou avoir une exposition récente et sont respectueux des autres à qui ils pourraient transmettre le virus (ou n’importe quel virus).

En Corée du Sud, la vaccination s’est aussi révélée être une catastrophe. Ce pays est l’un des plus vacciné au monde avec 87% des individus vaccinés et 99,9% des adultes injectés. On ne peut donc pas rejeter la faute sur les non-vaccinés. Il y a 6 fois plus de morts après vaccination qu’avant vaccination.

A Singapour, tous les adultes sont vaccinés et la mortalité a totalement explosé. 

De nombreux pays ont pu constater l’inefficacité de la vaccination. Israel en a fait les frais en proposant en « avant-première » la 3e et la 4e dose. Malgré ces chiffres pourtant clairs, la France lancera l’autorisation pour la 4e dose en mars 2022 (pour les plus de 80 ans au début puis sera étendue progressivement au reste de la population). La politique et le commerce auront eu raison de la science et des observations du terrain.

A noter aussi que début février 2022, Santé Public France republiait enfin les données de réa et de comorbidités, ce qui, aurait permis d’y voir un peu plus clair dans ces masses de données statistiques. Seulement, cet organisme a changé sa façon de compter les cas : Les classes d’âge ont été modifiées en regroupant les 15-44 ans avec les 45-64 ans. Ceci gonfle artificiellement le nombre de patients « jeunes » en réa et laisse penser que la probabilité d’aller en réa est la même entre 15 et 64 ans alors que la réalité est toute autre.

Concernant les comorbidités, le surpoids représentait 15% des décès en réa à lui seul entre mars et juin 2020. Cette variable a disparu du point épidémiologique et est désormais incluse dans « aucune comorbidité ». Or, le surpoids était une comorbidité importante des formes graves.

L’Etat excellait déjà dans les changements de calcul pour les statistiques du chômage, notamment à l’approche des élections. Il faut redoubler de prudence car les chiffres sont présentés pour servir un objectif précis. 

Modélisation de la propagation

Une étude de l’université chinoise de Beihang publiée le 3 mars 2020 sur le site scientifique SSRN a modélisé les contacts entre les patients des grandes villes chinoises croisés avec des données météorologiques. Elle concluait « qu’une température élevée et une humidité relative élevée réduisent considérablement la transmission de la COVID-19 ». Les chercheurs estimaient ainsi que le taux de reproduction (indiquant la contagiosité du virus) devrait chuter de 48 % entre mars et juillet. Mais attention : la chaleur ne tue pas le virus et ne l’empêche pas de se propager : elle ralentit simplement sa progression. Ces propos sont néanmoins controversés. Nous avons vécu une canicule en France et on ne note pas de changement significatif au niveau statistique.

Fin août, un épidémiologiste australien de l’école vétérinaire de Sidney a déterminé que le virus se transmettrait plus rapidement par temps sec. Son étude a été publiée dans Transboundary and Emerging Diseases. Il annonce que lorsque l’épidémie est dans sa phase exponentielle, le nombre de nouveaux cas a augmenté lors des jours les plus secs. Par exemple, au sud-est de Sydney, 237 nouveaux cas ont été enregistrés alors que l’humidité relative de l’air était de 77,42 %, contre seulement 28 nouveaux cas lorsque l’humidité de l’air était de 86,73 %. Cela se vérifie aussi lorsque l’épidémie de Covid-19 était en phase descendante. Lors d’une journée où le taux d’humidité de l’air était de 64,13 %, 120 nouveaux cas ont été dénombrés contre 57 pour un jour plus humide (74,49 %) dans la même région. Cela s’explique par la taille des aérosols qui contiennent les particules virales infectieuses lorsqu’une personne tousse ou éternue. Quand le temps est sec, ces microgouttelettes sont plus petites et peuvent voyager plus loin.

On apprenait le 10 avril que des modèles prédictifs avaient jusqu’alors estimé le taux de contagiosité du virus SARS-CoV-2, « Ro », entre 2,2 et 2,7. Des scientifiques américains viennent de réévaluer ce Ro et arrivent à des résultats beaucoup plus préoccupants. Il se situerait entre 3,8 et 8,9. Dans le jargon classique, cela voudrait dire qu’une personne contagieuse va infecter en moyenne entre quatre et neuf personnes. En réalité, il est probable qu’on ne parlait pas de la même souche, le virus ayant déjà muté plusieurs fois. D’autre part, le Ro n’a de sens que sur un nombre élevé de contaminés lorsque l’épidémie est en cours et non lorsqu’elle est fortement en déclin. Parler d’un Ro pour quelques cas est un non-sens.

Notons aussi que la plupart des personnes infectées ne sont contagieuses que pendant une dizaine de jours.


L’immunité collective, ou immunité de groupe, correspond au moment où lorsqu’un nouvel individu est infecté par un pathogène au sein d’une population, le pathogène ne se transmet plus en raison d’un trop grand nombre de personnes déjà immunisées, par infection naturelle ou par un vaccin. Ce niveau dépend du taux de reproduction de la maladie (R0), mais l’on estime qu’il est d’environ 60 à 70 % pour la Covid.

Une vidéo explicative sur l’immunité de groupe est disponible ici (30 secondes après le début de la vidéo). Les simulations présentées dans cette vidéo sont basées sur des modèles compartimentaux. Selon certains chercheurs, pour une véritable immunité collective, il faudrait que 60 à 70% de la population ait été en contact avec le virus. D’autres parlent de 80%. Le gouvernement parle de 90% (mais c’est probablement pour favoriser la vaccination).

Pour autant, d’après une étude américaine du Center for Infectious Disease and Vaccine Research, publiée dans la revue Cell, environ 40 à 60% de la population serait déjà immunisée contre la Covid-19. Cela pourrait passer par une « immunité croisée », c’est à dire une immunité acquise contre un agent infectieux mais qui peut également être efficace contre un second agent similaire. Une partie de la population pourrait donc être immunisée contre la Covid-19 sans même avoir été en contact avec le virus. 

Un scénario positif envisageable : Des chercheurs ont établi un scénario probable d’évolution de la Covid-19 : au fur et à mesure des réinfections, le système immunitaire s’adapte et provoque des formes de moins en moins graves, comme c’est le cas pour le rhume.

Des études montrent cependant que des réinfections sont possibles. La quantité d’anticorps neutralisants développés par les patients après une infection au SARS-CoV-2 est très variable au fil du temps et selon les personnes. Certains ne vont quasiment jamais en produire, tandis que d’autres voient leur réponse immunitaire se renforcer au fur et à mesure. Des chercheurs de la Duke-NUS Medical School de Singapour ont ainsi constaté des variations stupéfiantes dans la vitesse à laquelle diminuent les anticorps :

Le professeur Laurent Renia, Agence pour la Science, la Technologie et la Recherche de Singapour commentait : « Cette étude nous rappelle que nous réagissons tous différemment à l’infection […], elle pourrait aussi remettre en cause la stratégie vaccinale : si l’immunité fournie par les vaccins diminue comme celle des anticorps produits naturellement, un rappel annuel pourrait être nécessaire [chez certaines personnes] pour prévenir de futures épidémies de Covid-19 »

Plusieurs études ont déjà démontré qu’être vacciné réduit considérablement le risque d’être infecté. De nouveaux éléments soulignent également que les personnes qui ont déjà contracté la maladie développent un taux d’anticorps suffisant contre une nouvelle contamination et l’immunité pourrait durer plus d’un an. 

A ce jour, 47 vaccins sont en cours d’essais cliniques dans le monde mais on ne sait pas grand chose sur la durée de « l’immunité » [et ce terme d’immunité est déjà impropre]. 

D’autres scientifiques pensent qu’il sera difficile d’attendre cette immunité collective. En effet, même à Manáus, au Brésil, où les trois quarts de la population avaient déjà été infectés, une deuxième vague fait rage. Comment expliquer que l’épidémie continue malgré tout à se propager ? Une étude publiée le 27 janvier dans The Lancet se penche sur le mystère brésilien. 

Quant aux lieux favorisant la propagation du virus, l’institut Pasteur a publié mardi 09 mars 2021 les résultats partiels d’une étude sur la question : Les contaminations ont principalement lieu dans le cercle familial (63% des cas). Comme on le savait déjà, « les repas, aussi bien en milieu privé que professionnel, sont les circonstances les plus fréquemment rapportées à l’origine de ces transmissions ».

Les déplacements à l’étranger sont aussi associés à un sur-risque d’infection (+53%). Les premiers résultats montrent que les lieux avec du public, dès lors que le port du masque et les gestes barrières sont respectés, ne présenteraient finalement pas autant de risque que ce que l’on pensait. Les commerces, salles de cours, les lieux de culte ou encore les salons de coiffures ne présentent pas de sur-risques d’infection selon l’étude. Même chose pour le sport en extérieur et les transports en commun. C’est assez simple à comprendre finalement. Il s’agit de tous les lieux où les gestes barrières et le port du masque peuvent être respectés. Ce qui n’est pas le cas, toujours selon l’étude, des salles de sport en intérieur ou des bars et restaurants.

Certains états ont une stratégie 100% vaccination mais il s’avère peu probable que la vaccination de masse permette d’éradiquer l’épidémie de Covid. Un variant résistant au vaccin peut venir remettre en question cette stratégie. Paradoxalement, le risque d’émergence d’une souche résistante est maximal lorsqu’une grande partie de la population est vaccinée, mais pas suffisamment pour assurer une immunité de groupe, montre une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Scientific Reports.

Les chercheurs ont simulé la probabilité qu’une souche résistante émerge au sein d’une population de 10 millions d’habitants d’ici trois ans, en prenant en compte le niveau de la population vaccinée, le taux de mutation du virus et sa vitesse de transmission, ou les « vagues » successives avec une envolée des contaminations suivie par une chute des nouveaux cas après l’instauration de restrictions (confinements, fermetures, etc). Sans surprise, ils concluent qu’une vaccination rapide et un faible niveau de circulation réduisent le risque d’émergence d’un variant résistant. Mais l’étude montre aussi que ce risque est maximal lorsqu’une grande partie de la population est vaccinée, mais pas suffisamment pour assurer une immunité de groupe.

Les commandes de vaccins

A noter que l’AFP s’est exprimé sur le « trou » de trois mois dans le carnet de commande. Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes affirmaient, calendrier prévisionnel à l’appui, que la livraison des vaccins Pfizer contre le Covid-19 serait interrompue par le gouvernement du 27 février au 8 mai 2022. Une « pause vaccinale » jugée suspecte, car la vaccination reprendrait peu après l’élection présidentielle. Si ce document est authentique, la Direction générale de la Santé a évoqué une « erreur de saisie » et a expliqué que des livraisons étaient bien prévues sans la moindre interruption. Olivier Véran avait alimenté le doute en évoquant une « pause vaccinale ». L’erreur de saisie serait liée à l’arrivée des nouvelles formes du vaccin Pfizer (pédiatrique et pré-diluée) qui n’ont pas été correctement prises en compte. Les livraisons sont prévues jusqu’en 2023, ce qui tend à confirmer que les autorités ne croyaient pas en la disparition du virus.