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COVID19 – Effets secondaires des vaccins

in Sciences

La perfection n’étant pas de ce monde, les vaccins présentent des effets secondaires plus ou moins graves. C’est vrai pour tout vaccin et notamment pour ceux conçus pour le Covid-19.

Déjà, avant la vaccination de masse, des médecins américains avaient exhorté les responsables de la santé publique d’avertir la population sur les “effets secondaires difficiles” du vaccin contre le coronavirus.

Dans un article intitulé “SARS-CoV-2 Spike Protein and Lung Vascular Cells” publié le 31/12/20, les auteurs écrivent que la protéine de pointe du SARS-Cov-2 a la capacité de déclencher des “événements biologiques cellulaires” qui peuvent conduire au développement d’un remodelage vasculaire pulmonaire qui peut conduire à la mort. Cette protéine est présente dans le virus et dans le vaccin. les auteurs concluent “Etant donné que cette protéine sera administrée sous forme de vaccins à des millions ou des milliards de personnes, il est essentiel de comprendre les effets extracellulaires et intracellulaires de la protéine de pointe sur les cellules humaines qui peuvent voir des conséquences néfastes à long terme sur la santé” . 

Alors que de nombreux effets secondaires concernant les cycles féminins apparaissaient, fin janvier 2021, l’ANSM rendait son premier rapport sur les évènements indésirables liés à la vaccination. Des fausses-couches étaient également rapportées mais minimisées. De nouvelles enquêtes démarraient à l’été 2021, notamment pour des problèmes liés aux reins et des cycles féminins qui pourraient être perturbés. Le NIH a d’ailleurs lancé une enquête pour étudier la modification des cycles menstruels chez les femmes vaccinées. Plus inquiétant encore, en date du 9 septembre 2021, 521 cas d’avortements spontanés ont été signalés à la MHRA via le programme UK Yellow Card en tant qu’effets indésirables suspectés des Vaccins (Pfizer, AstraZeneca, Moderna). 

Début août 2021, une étude espagnole de l’Université de Grenade révèlait que 51,2% des femmes ont constaté des effets secondaires des vaccins Covid sur leur cycle menstruel, notamment des règles très abondantes et des saignements en dehors des règles. À la suite de l’appel lancé par Le Télégramme, 39 femmes du pays de Vannes ont décrit leurs troubles menstruels survenus après leurs injections de vaccin contre la Covid. Des perturbations pénibles, voire invalidantes pour certaines, qui restent souvent sans traitement et toujours sans explication – les autorités médicales attribuant cela à du stress ou de la fatigue. 

Alors que les premiers lanceurs d’alerte sur ce sujet étaient taxés de conspirationnisme, peu à peu, les signalement se multipliant, même les journaux traditionnels commençaient à douter. Le Figaro, par exemple, tenait des propos très nuancés au 01-10-21. Olivier Veran s’est voulu rassurant en expliquant que ces troubles étaient transitoires. On passe donc d’un discours “mais non, vous dites n’importe quoi !” à “Oui, mais ca ne va pas durer !”…

Au 06-10-21, en cherchant sur “Covid-19 vaccine”, la base de données VigiAccess référence par exemple : 

  • Troubles sanguins et lymphatiques (88967)
  • Troubles cardiaques (108468)
  • Troubles du système nerveux (952822)
  • Conditions de grossesse, puerpéralité et périnatale (4921)
  • Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux (233274)
Au 24/03/22, l’ANSM reportait 152.308 cas déclarés en France dont 25% de cas graves. Malgré cela, les autorités proposaient la 4e dose (ou le “2e rappel”) pour les plus de 60 ans. 

Les décès fœtaux auraient augmenté de près de 2000 % depuis le début du déploiement du vaccin COVID (cette source reste à confirmer).
 
Début décembre 2021, on comptait déjà un 10e cas de Cretzfeld Jacob après une vaccination ARN. C’est étonnant car, il y a quelques années, l’INSERM, le CEA, l’INRA ou le CNRS avaient voté un moratoire sur la poursuite des travaux sur le PRION suite à un décès. Aujourd’hui, ces mêmes organismes de recherche restent mués à propos d’un moratoire sur l’ARNm.
 
Les grands labos ajouteront d’autres effets secondaires possibles sur leurs notices pour éviter les actions en justice. Autrement dit, c’est le malade qui décide de son propre chef de s’injecter un produit potentiellement nocif et à lui d’en assumer les conséquences. 
 
Par exemple, la vaccin d’ASTRAZENECA, appelé Vaxzevria par l’Agence de réglementation des médicaments et des soins de santé (MHRA), a été associé, à partir du 26/01/22 à des cas de myélite transverse – (inflammation de la moelle épinière). La MHRA a bien entendu assuré que les cas sont « extrêmement rares », mais la réaction peut entraîner une faiblesse musculaire, des maux de dos localisés ou irradiants, des problèmes de vessie… De plus, la myélite transverse peut entraîner des symptômes intestinaux et des modifications des sensations. 
On constate sur ce graphe un lien fort entre la vaccination et l'augmentation des myocardites.

Concernant les effets secondaires provoqués par le vaccin Moderna, les plus courants sont la fatigue, la fièvre, des maux de tête, la douleur à l’injection ou encore des douleurs musculaires et articulaires, d’après l’Agence européenne du médicament (AEM).

De son coté, l’administration du sérum Pfizer/BioNTech entraînerait surtout des syndromes pseudo-grippaux (fièvre, fatigue, maux de tête), expliquait-on sur le site de l’ANSM. La liste des effets secondaires a largement augmenté dans le temps.

D’après plusieurs radiologues américains, ces vaccins provoqueraient d’autres symptômes. Chez certaines patientes, ils ont constaté une augmentation des gonflements des ganglions lymphatiques situés sous les aisselles, visibles sur les mammographies, relève le journal Ouest France.

Selon des informations du 05/03/21 communiquées par l’ANSM, il semblerait que 24% des effets secondaires post-vaccinaux soient graves. Une vidéo mise en ligne sur YouTube par le Dr Denis Agret fut rapidement censurée. On en trouve encore trace sur une page de Nexus. A noter également que les effets secondaires indésirables des vaccins sont analysés par les centres nationaux de pharmacovigilance à partir de déclarations volontaires. De ce fait, il y a très certainement une énorme sous-déclaration comme dans tous les effets indésirables des médicaments et des vaccins… Une étude américain a estimé que seuls 1 à 10% des effets secondaires étaient reportés dans les bases de données de pharmacovigilance, les médecins n’ayant pas le temps de les reporter ou estimant que le lien de cause à effet n’est pas établit.

Au 19 février 2021, on était déjà proche des 10.000 effets indésirables graves et non graves », selon le Dr Agret. Au 24/10/21, il est estimé qu’il y a un effet grave pour 1992 personnes et de nombreux effets secondaires mineurs. 

Le 12 mars 2021, la presse nous apprenait que des allergies sévères au Vaccin AstraZeneca venaient d’être ajoutées par l’Agence européenne des médicaments.

Ce vaccin Astra-Zeneca a été suspendu en Europe du Nord et à partir du 16 mars 2021 en France et en Allemagne car suspecté d’avoir un lien avec des thromboses. Les résultats de deux études menées par des chercheurs allemands et norvégiens livrent une possible explication de la formation de thromboses par le produit en question : il semblerait que ce vaccin crée un anticorps particulier, responsable de cet effet secondaire indésirable.

Que faire de toutes ces doses achetées et non utilisées (voire périmées) ? On les propose “généreusement” à l’Afrique. Rappelons que l’Afrique a une population plus jeune statistiquement que l’Europe. L’Europe avait rapidement interdit ce vaccin pour les personnes de moins de 50 ans mais il n’y a manifestement aucun problème pour envoyer ces produits sur un autre continent.

La députée européenne Michele Rivasi a expliqué dans une session du CSI (Conseil Scientifique Indépendant) le 23/09/21 que beaucoup de pays africains et d’Amérique latine refusaient les vaccins Pfizer car le laboratoire demande à ces pays d’hypothéquer une partie de leurs richesses nationales pour faire face à d’éventuels procès suite à d’éventuels effets secondaires..

Le 18 mars 2021, un étudiant en médecine de 24 ans est décédé d’une thrombose, suite à l’injection du vaccin d’Astra-Zeneca. D’autres cas furent relatés régulièrement dans la presse. 

Janvier 2022, l’EMA reconnaît un lien causal entre les injections d’AstraZeneca et 38 cas d’inflammation de la colonne vertébrale (myélite transverse). Un article de septembre 2020, évoquait déjà les premiers cas. Des scléroses en plaque sont également évoquées, bien que niées par les médecins provax qui ne voient pas de corrélation. 

Certains témoignages évoquent l’apparition d’une boule de la taille d’une clémentine suite à une injection de la seconde dose chez une femme. Une mammographie confirmera. Chez une adolescente, apparition d’un kyste derrière l’oreille après la seconde dose. Ces cas restent à documenter. 

Le 26/03/21, l’Agence de Sécurité du Médicament annonçait qu’il existait un risque “très rare” de thrombose après une injection avec le vaccin d’Astra-Zeneca mais que le bénéfice/risque demeurait toujours positif. L’image médiatique d’Astra-Zeneca fut donc dégradée. En parallèle, “heureusement”, l’Etat lan_ait en mars 2021 une campagne de publicité en faveur de la vaccination pour que les français ne se posent pas la question de l’intérêt de la vaccination et des risques pour leur santé. La vaccin changera aussi de nom… Cela n’aura pas suffit à rassurer les Français puisque l’Etat ne savait plus quoi faire de ses stocks d’AstraZeneca. Ils seront envoyés en Afrique. Manifestement la France considère l’Afrique comme la poubelle du monde. Sans commentaire. 

Selon le “Financial Times”, des chercheurs allemands auraient réussi à trouver, fin mai 2021, une explication au phénomène de thrombose qui a conduit nombre de pays à prendre leurs distances avec les vaccins AstraZeneca et Johnson & Johnson. Mieux, ils auraient la solution pour l’enrayer. Pour certains scientifiques cependant, la théorie de l’équipe de chercheurs allemand n’était qu’une hypothèse parmi tant d’autres.

En date du 21/09/21, les rapports détaillés de pharmacovigilance des vaccins ARNm ont été publiés par l’ANSM. Voici à date les principaux chiffres par rapport à la période précédente :

  • 90 236 évènements indésirables déclarés
  • 22 559 effets graves déclarés
  • 6 284 hospitalisations déclarées
  • 1 205 décès déclarés
  • 86 944 887 doses
  • 1 effet indésirable potentiel déclaré toutes les 1 025 doses
  • 1 effet grave potentiel déclaré toutes les 4 100 doses
  • 1 hospitalisation potentielle déclarée toutes les 13 836 doses
  • 1 décès potentiel déclaré toutes les 72 153 doses

Pour le vaccin Moderna du 02/07/21 au 09/09/21, il y avait eu une augmentation de 84,36% des doses, 86,87% des évènements indésirables, 88,95% des effets indésirables graves, 99,36% des hospitalisations et 75% des décès.

Pour le vaccin Pfizer du 02/07/21 au 26/08/21, il y avait eu une augmentation de 61,33% des doses, 49,15% des effets indésirables, 49,3% des effets graves, 59,07% des hospitalisations et 18,92% des décès.

Rappelons que chaque déclaration est validée avant d’apparaître dans les données. L’imputabilité n’est pas étudiée lors de cette 1ère étape. Le processus d’imputabilité est long et complexe. Le nombre d’effets indésirables déclarés est inférieur à leur nombre réel. Seuls 5 à 10% des effets secondaires sont remontés à la pharmacovigilance. 

Aux vus des constats d’efficacité faible des vaccins actuels et de l’augmentation inquiétante des effets secondaires (on peut intégrer la mort dans les effets secondaires), une partie des occidentaux boudent la vaccination. Si la tendance se maintient, d’ici la fin de 2022, plus de 2 milliards de doses des différents vaccins contre la COVID pourraient avoir été jetées aux poubelles dans la dizaine des pays les plus riches.

Curieusement, la presse a beaucoup relaté les effets secondaires d’Astra-Zeneca et de J&J mais assez peu ceux des autres labos.

Concernant PFIZER, la pharmacovigilance opérée par l’ANSM, rapportait déjà qu’au 1er avril 2021, 13.485 cas d’effets indésirables graves ou non graves avaient été signalés. C’est effectivement beaucoup plus que pour Astra-Zeneca, pour lequel on avait enregistré 9367 cas. Mais attention : ces données sont à comparer au nombre de doses, la France vaccinant largement à cette époque avec le produit du laboratoire BioNTech. Cette donnée prise en compte – plus de 8 millions d’injections pour Pfizer contre 2,4 millions pour Astra-Zeneca – le constat s’inverse. On note 0,16% d’effets signalés par les personnes inoculées avec le produit du laboratoire germano-américain contre 0,38% pour son concurrent.

L’EMA a recommandé une mise à jour de la liste des effets secondaires du vaccin après l’identification de liens probables avec des cas d’allergies au Royaume-Uni.

Le 13/03/21, on apprenait que la Norvège s’inquiétait déjà d’hémorragies cutanées chez des jeunes ayant reçu une dose du vaccin AstraZeneca. Cette suspicion s’ajoute au problème distinct lié à des troubles de la coagulation, qui a incité le Danemark, suivi d’autres pays européens, à suspendre l’utilisation du vaccin développé par le laboratoire britannique AstraZeneca. Les informations sur le vaccin AstraZeneca/Oxford indiquent déjà que les personnes recevant l’injection devraient être maintenues sous « étroite surveillance pendant au moins 15 minutes » après son administration, en cas de réactions allergiques. Ces doutes se sont propagés en France et les médecins et pharmaciens sont de plus en plus confrontés au scepticisme des patients. Nos dirigeants se veulent rassurants : “Il n’y a pas lieu de suspendre les injections du vaccin d’AstraZeneca en France“, a martelé Olivier Véran jeudi 11 mars 2021. “Le bénéfice apporté par la vaccination est jugé supérieur au risque à ce stade“. Certains Etats font cependant un choix opposé. Hong Kong, par exemple, a suspendu sa commande de vaccins AstraZeneca. Le vaccin fut interdit quelques temps plus tard. A mesure que le temps passe, on peut lire des articles de journaux rapportant des cas sur des personnes célèbres : acteurs, sportifs. A titre d’exemple, le DailyMail UK a rapporté le 24/10/21 que Mlle Stewart, actrice australienne de 40 ans, était très mal en point suite à une injection d’AstraZeneca le 24 mai 2021 (AVC et TTS). Après trois mois de coma, elle réapprend progressivement à parler et à marcher.

Quelques jours après la France relançait sa campagne de vaccination avec ce vaccin pour les plus de 55 ans. Pourtant les doutes subsistent, la presse nous apprend le 23 mars 2021 qu’une enquête judiciaire a été ouverte pour rechercher les causes de la mort après le décès d’un étudiant en médecine de 24 ans à Nantes (Loire-Atlantique), vacciné avec l’AstraZeneca. En Bretagne, un homme de 42 ans est décédé d’une thrombose. Ce ne fut que le début d’une longue liste de personnes décédées de part le monde, suite aux vaccins. Cette liste est, en outre, probablement minimisée. Ne sachant quoi faire de ses stocks d’AstraZeneca, la France relance une communication pour vanter les mérites de ce formidable vaccin. Jean Castex a même tenté de faire appel à la star Sheila pour sa promotion, laquelle a purement et simplement refusé. Malgré le changement de nom du vaccin pour “Vaxevria”, les Français semblent très méfiants.

Un responsable de l’EMA avait évoqué l’existence d’un « lien » entre le vaccin AstraZeneca et les cas de thrombose observés après son administration, dans une interview au quotidien italien Il Messaggero publiée début avril. Les autorités françaises restent pour le moment sur une position dogmatique en présentant le bénéfice/risque comme largement positif.

Le vaccin Janssen, filiale de Johnson & Johnson, bien qu’arrivé sur le marché beaucoup plus tard, fait aussi l’objet de doutes après la mort d’une femme ayant reçu une dose de ce produit en Belgique. Le 06 aout 2021, deux nouveaux effets secondaires vont être ajoutés sur la notice du vaccin de Johnson & Johnson. En effet, selon l’Agence européenne des médicaments (EMA), ces effets indésirables pourraient être liés à l’injection. Quelques semaines après sa sorite, près de 1.200 personnes auraient signalés des vertiges et une centaine des acouphènes ou bourdonnements dans les oreilles, après avoir reçu ce vaccin contre le Covid-19.

Bien entendu, personne n’est à l’abri d’une erreur, comme cette étudiante italienne qui a recu l’équivalent de plus de 4 doses de PFIZER le 9 mai 2021. Elle souffrirait de lourds effets secondaires.

Le 30/09/21, on apprenait aussi que 250 personnes dans la Loire avaient recu des doses de Pfizer périmées. L’ANSM pense qu’il n’y a pas de risque identifié pour leur santé, mais ne peut cependant garantir de “l’efficacité” contre le Covid-19.

Quant à l’efficacité, pour le Professeur Didier Raoult, directeur de l’IHU Méditerranée Infection, constate aussi que certaines personnes ont été infectées… après avoir été vaccinées. On interdit toujours des personnes vaccinées (avec les X doses) de se rencontrer sans masque et les personnes vaccinées demeurent confinées… Mais, à quoi servent ces vaccins ? L’Etat aurait-il conscience qu’ils sont à ce point inefficaces ? A la grande surprise des antivax, Le Pr Raout a annoncé dans un tweet du 09 juillet 2021 être “favorable à la vaccination systématique des personnels soignants”. Onde de choc chez les antivax qui parlent de trahison. Ses vidéos suivantes montrent que les vaccins actuellement sur le marché en Europe semblent peu efficaces. 

A noter qu’une mesure de l’efficacité des vaccins sera bientôt possible grâce à une évolution des tests sérologiques. Ces tests sérologiques Covid-19 servaient jusqu’ici à vérifier si on avait été infecté par le virus. Une nouvelle génération de tests promet à présent de mesurer la quantité d’anticorps spécifiques, et donc l’efficacité potentielle de la vaccination chez un individu. Cela n’empêchera pas les effets secondaires mais permettra cependant de mesurer avec un peu plus d’objectivité l’efficacité dans le temps des produits qu’on nous injecte plus ou moins de façon imposée.

Attention également à l’interaction avec d’autres traitements. Par ex, des études montrent que certains traitements qui permettent de lutter contre la sclérose en plaques annulent les effets des vaccins contre le Covid-19. Certains de ces traitements augmentent même les chances de développer une forme grave de la maladie.

Curieusement, alors qu’on parle de nombreux cas de thrombose, plusieurs cas d’hémophilie après injection du vaccin Pfizer sous surveillance en France. Ces cas rares sont survenus dans un délai de quelques jours à un mois, chez des personnes âgées de plus de 75 ans.

En juillet 2021, le sociologue Laurent Mucchielli sort un article inquiétant sur les effets des vaccins, co-écrit par Hélène BANOUN (pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM), Emmanuelle DARLES (maîtresse de conférences en informatique à Aix-Marseille Université), Vincent PAVAN (maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université) et Amine UMLIL (pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, unité de pharmacovigilance du Centre hospitalier de Cholet). Ils mettent l’analyse de la vaccination à l’épreuve des faits.

Les statistiques montraient que les vaccins pour le SARS-COV2 étaient responsables “d’une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne”. Il concluait qu’il y avait urgence à suspendre la vaccination de masse pour évaluer la balance bénéfice/risque au cas par cas”.  Immédiatement, le site Mediapart et le CNRS ont pris leur distance avec le sociologue.

De son coté, Eric Caumes, chef du service infectiologie de la Pitié-Salêtrière, avait déjà exprimé ses craintes sur les vaccins à ARN messager Pfizer et Moderna le 8 décembre 2020. Il avait pu avoir accès au rapport de l’agence américaine du médicament sur le vaccin Pfizer, et cela venait confirmer ses doutes. “En lisant les 53 pages, quelque chose m’a frappé. Je n’ai jamais vu une fréquence aussi élevée d’effets indésirables pour un vaccin“, déclarait-il. N’allant pas dans le sens de la pensée dominante, il craignait d’être taxé de conspirationniste, alors qu’il est un de ceux qui défendent le plus les vaccins.

La biostasticienne Christine Cotton, forte de 23 ans d’expérience, a réalisé une analyse complète des données de pharmacovigilance américaine, seule base de données disponible en téléchargement. Précisons que Christine Cotton est indépendante et sans lien avec l’industrie pharmaceutique. Son message fort peut se résumer ainsi : 28% des décès enregistrés ont lieu dans les trois jours suivant l’injection, 40% dans les sept jours et 67% dans les 21 jours.

Ces lanceurs d’alertes sont évidemment critiqués immédiatement après leurs déclarations mais le temps leur donnera raison. Des articles ont commencé à rapporter les effets secondaires, les cas graves et même la mortalité à partir de l’été 2021. A titre d’exemple le Sunday Times rapportait le 30/09/21 les problèmes d’attaques cardiaques. le journal expliquat qu’au cours de l’été 2021, il y a eu une augmentation de 25% du nombre de personnes transportées d’urgence à l’hôpital national Golden Jubilee de Clydebank avec des artères partiellement obstruées. 

The Exposé rapportait dans un article du 30/09/21 que les décès chez les adolescents avaient augmenté de 47% au Royaume-Uni depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin Covid-19.

Des rumeurs ont circulé sur Internet à propos de pilotes d’avion qui auraient été victimes d’un malaise ou même décédés en plein vol, suite à la 2e injection. D’après trois dénonciateurs différents, notamment le Dr. Jane Ruby sur le Stew Peters Show, un des pilotes serait un employé de la compagnie aérienne américaine Delta Air Lines et serait décédé lors d’un vol. Le pilote aurait dit des choses étranges puis serait décédé, selon une déclaration du copilote. Quelques jours après, Delta Air Line déclarait que cela n’était jamais arrivé dans ce communiqué. Les autorités n’ayant aucun scrupule à faire passer une véritable information pour une fakenews, il est difficile de se forger une opinion. 

Le 10/11/21, le risque cardiovasculaire est confirmé mais toujours minimisé. Des journaux, comme le Parisien, qui relayaient la propagande gouvernementale durant des mois, ne peuvent plus nier l’évidence. 

De nombreux décès furent également relayés dans les réseaux sociaux, par des familles endeuillées mais cela ne suffira pas pour que le gouvernement change de position sur la vaccination. Il n’est de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Une nouvelle étude EPIPHARE précise que ce risque concerne plus particulièrement la tranche d’âge 12-29 ans, et que la myocardite (inflammation du muscle cardiaque) ou la péricardite (inflammation de la membrane qui entoure le cœur) surviennent le plus souvent dans les sept jours qui suivent l’injection. Bien entendu, la conclusion est toujours formulée ainsi : « Ces nouvelles données de pharmaco-épidémiologie ne remettent pas en cause le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 Pfizer-BioNTech et Moderna, dont l’efficacité contre les formes graves de Covid-19 est de l’ordre de 90 % ». On est donc toujours un peu dans le déni. 

Des adultes et enfants rapportent également avoir perdu la vue. Rien qu’en Angleterre, 402 personnes sont devenues aveugles à cause des vaccins à ARNm : 101 (Pfizer) + 283 (AZ) + 14 (Moderna) + 4 (Inconnu). 

Emmanuelle Darles intervenait le 14 octobre 2021 au CSI (Conseil Scientifique Indépendant) et exposait les effets indésirables des vaccins anti-Covid. Elle explique qu’entre 1990 et 2020, il était recensé 2.277 hospitalisations liées aux vaccins pour la tranche d’âge des 12-17 ans. De début 2021 à octobre 2021, selon VAERS, il y en a eu  déjà 1.223. 

Enfin, il semble que ces vaccins aient un impact sur l’efficacité de certaines opérations chirurgicales. Une personne, la trentaine, greffée des reins, pour qui tout allait bien… jusqu’aux injections (4 doses + grippe) constatait la perte de son greffon à cause de caillots de sang autour de ce dernier. Les derniers examens ont confirmé une agglomération anormale des globules rouges. 

Les effets dans le sport

Du coté des sportifs, on a évoqué le cas de cyclistes qui ont arrêté (au moins temporairement) suite à des affaiblissements liés aux vaccins. Le 24/09/21, on apprenait que le Tennisman Français Jérémy Chardy suspendait sa saison après une réaction au vaccin contre le Covid, etc. Un article du 26/11/21 signalait que 69 athlètes connus s’étaient effondrés en un mois (certains sont décédés). 

Le 23/10/21, Novak Djokovic annonçait qu’il ne participera pas à l’Open d’Australie pour s’opposer à l’obligation de se faire vacciner par le COVID. Après quelques négociations, il ira finalement en Australie mais après une bataille politico-judiciaire, sera séquestré dans son hôtel avec finalement une interdiction de participer au tournoi. Il ne gagnera donc pas l’Open d’Australie en 2022 mais la santé de son cœur sera préservée. 

Le plongeur en apnée Florian Dagoury, détenteur du record mondial, envisage la fin de sa carrière, suite à une péricardite induite par la vaccination Pfizer. En parcourant la presse, on découvre de plus en plus de cas similaires. A titre d’exemple, cet adolescent de 16 ans en Haute-Garonne qui a été pris de malaises cardiaques après sa première injection de vaccin anti-covid – son club de basket exigeait le Pass Sanitaire.

L’hécatombe ne semble pas s’arrêter là. De nombreux militaires (en principe sportifs aussi) semblent souffrir d’effets secondaires. Partout dans le monde, de nombreuses crises cardiaques sont reportées sur les terrains de foot depuis la vaccination de masse, notamment chez des jeunes. Certes, il y a toujours eu des cas d’arrêt cardiaque sur les stades mais la proportion semble augmenter de façon inquiétante. L’agence de presse allemande dresse une liste de 75 athlètes européens décédés « soudainement » au cours des 5 derniers mois depuis qu’ils ont été complètement vaccinés. Officiellement, la vaccination n’est pas en cause mais notre “intuition” nous dit le contraire.

L’ancien international de football Matt Le Tissier, s’exprime sur les effondrements et problèmes cardiaques dans le milieu sportif. “En 17 ans de football je n’ai jamais vu ça“. 

Mais officiellement, en France, les vaccins demeurent “très efficaces et sans danger”. Les personnes hospitalisées seraient toujours des personnes non vaccinées (facile quand les autorités de santé considèrent qu’une personne est comptabilisée dans les vaccinés à la date de la 2e dose + 14 jours et alors que les décès et autres effets secondaires se déclarent essentiellement dans les premiers jours après la vaccination). 

Ci-contre le témoignage d’une jeune fille, vaccinée 2 doses et hospitalisées pour une paralysie faciale du visage 15 jours après…

De son coté, 6mn après l’injection, Tiba Fouragnan a fait un “choc neurologique sévère ayant entrainé une crise d’épilepsie et un coma”. Le médecin de l’ARS refusait de corréler cela avec le vaccin.

Il n’est pas possible de référencer tous les témoignages d’effets secondaires. Ce n’est pas le but de cet article. Il est possible d’en découvrir quasiment tous les jours sur les réseaux sociaux comme Twitter, MeWe, Telegram… Les victimes de ces vaccins ne sont pas invitées sur les plateaux TV. Les médias préfèrent donner la parole à de grands oracles prédisant l’avenir de l’épidémie ou à des politiciens n’ayant jamais lu de leur vie un article de recherche. 

Le 2/11/21, des chercheurs appelaient à l’arrêt des vaccins COVID-19 pour les femmes enceintes après la réanalyse de l’étude CDC.

L’organisme EPI-PHARE a publié le 11 octobre 2021 deux rapports pour évaluer l’efficacité de la « vaccination » à prévenir les formes graves de Covid-19. Un des deux rapports concerne les personnes âgées de 50 à 74 ans. Pour cette tranche d’âge, un article a montré qu’une personne « non vaccinée » a une probabilité de ne pas être hospitalisée pour Covid-19 de 99,952 %, contre 99,995 % pour les personnes vaccinées.  Le nombre d’hospitalisations covid théoriquement évitées serait inférieur au nombre d’effets indésirables graves (déclarés).

Le 18/04/22 la presse américaine rapportait des cas d’ulcères vulvaires rares signalés chez des adolescentes après des injections Pfizer.

Le graphique ci-dessous représente l’augmentation des myo ou péricardites suite à l’injection de la première et ou de la deuxième dose de vaccins. Les tranches d’âge entre 12 et 30 ans sont les plus touchées. 

Il y a eu en quelques mois de l’année 2021, la moitié de toutes les hospitalisations pendant 30 ans auparavant. Concernant les myocardites, sur ces mêmes 30 années, on passe de 16 à 444. Les cécités passent de 121 sur 30 ans à 91 sur ces quelques mois de l’année 2021 (données remontées par des professionnels de santé). Les péricardites passent d’environ 20 à plus de 120. Les paralysies faciales sont de 35 en 2021. Les thromboses chez les 18-39 ans passent de 60 en trente ans à 557 sur 2021.

Voici les données issues de la base Eudravigilance, au 04/12/21. On voit nettement que les myocardites et péricardites ont explosé depuis la vaccination Covid-19. D’autres chiffres ont pu nous convaincre de la très faible efficacité des vaccins, contrairement à ce que nous annonçaient les habitués des plateaux TV.

Selon Oliver Véran, les vaccins sont sûrs. Le ministre, qui mériterait le prix Nobel du meilleur menteur, a déclaré le 15 octobre 2021 qu’à sa connaissance il n’y avait pas de décès enregistrés du fait du vaccin. A cette même date, il y avait déjà plus de 900 décès dénombrés par l’ANSM. Début novembre 2021, les chiffres officiels remontés sur ADRReports en France sont de plus de 1000 morts après vaccinations. Les chiffres réels sont sans doute à multiplier par 10 à 50 puisque peu de personnes savent ou prennent le temps de remonter l’information. 

Chez les enfants, la probabilité de mourir dans les 2 ou 3 mois qui suivent la 2ème dose ou 3ème dose de vaccin est supérieure à celle de mourir d’une infection COVID. 

Le gouvernement et les médias nous expliquent que les vaccins à ARNm sont sûrs et qu’on maitrise cette technologie depuis 15 ans et qu’il n’y a pas de raison de dire “qu’il n’y a pas assez de recul”. Certes la recherche existe de longue date sur cette technologie, et elle est effectivement prometteuse, mais si on avait déjà ce recul, et cette connaissance des effets secondaires et de la mortalité, on n’aurait peut-être pas imposé ces types de vaccins ? Les scientifiques semblaient perplexes sur la faible efficacité dans la durée. Ces “découvertes” sur le terrain montrent qu’ils ne maitrisent rien du tout et que la majorité d’entre eux ne font que répéter un discours de propagande de l’industrie pharmaceutique. A part quelques experts chez PFIZER et MODERNA, personne ne sait exactement le contenu de ces sérum mais ils nous garantissent que c’est sans danger. Ci-contre, le témoignage bouleversant d’une jeune mère de famille atteinte d’une péricardite. Il faut savoir que les cardiomyocytes (cellules contractiles composant le muscle cardiaque) se régénèrent très lentement. Le Pr Frisén et son équipe ont établi que le renouvellement des cardiomyocytes (environ 20 % des cellules du cœur) était de 1 % par an dès 25 ans. Le temps fait diminuer le taux, jusqu’à atteindre 0,5 % vers 75 ans.

Le tableau ci-dessous présente un résumé des effets secondaires et des décès dans la base de données des réactions indésirables EudraVigilance de l’UE au 30 octobre 2021. Les données son classées par fabricant, âge et sexe. A cette date, l’Europe totalisait déjà 29.183 décès par injection Covid-19 et plus de 2,7 millions d’effets secondaires, signalés par plus de 1,1 million de personnes par la base de données d’EudraVigilance.

Ci-contre, un témoignage d’une personne rapportant un crise cardiaque chez un enfant : “J’ai transporté à l’hôpital un enfant de 10 ans avec une crise cardiaque. Le médecin m’a dit: ce n’est pas possible, les enfants de 10 ans ne font pas de crise cardiaque ! Je lui ai répondu: il a été vacciné hier, c’est FARFAITEMENT possible ! “.

Ci-dessus le témoignage d’une mère dont la fille Maddie a participé aux essais PFIZER [12-15 ans]. Après 64 jours passés à l’hôpital, elle est aujourd’hui en fauteuil roulant. Il n’y a aucune mention de ses effets secondaires dans l’article du NEJM. Dans l’AMM, son cas a été réduit à “douleur abdominale”. Il est clair que les données sur les tests ont été largement revues à la baisse pour obtenir la mise sur le marché du vaccin. Les dollars pèsent plus lourd que l’honnêteté des labos et des politiciens. 

Un article en preprint intitulé curieusement “Three doses of COVID-19 mRNA vaccination are safe based on adverse events reported in electronic health records“, posté le 05 novembre 2021 nous apprend, malgré son titre, que le nombre de visites aux urgences semblent plus important depuis la 3e doses. 

Les revues scientifiques ont publié de nombreux articles évoquant des effets secondaires rares (ex : Leukocytoclastic Vadculitis, Journal of autoimmunity, Volume 127, février 2022). Il serait impossible de citer tous ces articles. Cela n’a pas suffit pour que le gouvernement Castex change de stratégie. 

Début décembre 2021, on apprenait que, selon l’ONS, les décès d’enfants auraient augmenté de 44% depuis que le vaccin Covid-19 est proposé. 

Dès le 4 octobre 2020, trois scientifiques de haut niveau, le Pr Martin Kulldorff, professeur de médecine à l’université de Harvard, biostatisticien et épidémiologiste, spécialisé dans la détection et le suivi des épidémies de maladies infectieuses et dans l’évaluation de la sécurité des vaccins. La Dr Sunetra Gupta, professeur à l’Université d’Oxford, épidémiologiste spécialisée dans l’immunologie, le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses. Et le Dr Jay Bhattacharya, professeur à la faculté de médecine de l’université de Stanford, médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en politique de santé publique, spécialisé dans les maladies infectieuses et les populations vulnérables recommandaient une approche alternative contre la Covid-19 dans ce que l’on a appelé la Déclaration de Great Barrington. Le 05/12/21, 60.000 scientifiques demandaient l’arrêt de la vaccination de masse. La déclaration de Great Barrington (USA) contre les injections massives d’ARNm a récolté à cette date 870.000 signatures.

Cela n’empêchera pas le Pr Defraisy d’évoquer le 08-12-2021 la probabilité d’une 4e dose. Pour ceux qui n’avaient pas encore compris, l’Europe ayant commandé l’équivalent de 5 doses par personnes (l’Australie et le Canada, 10 doses), il est peu probable que cela s’arrête à 3 doses. Le gouvernement devra faire preuve d’une grande imagination pour faire passer de nouveaux mensonges. 

Rappelons que 5 à 10% des effets secondaires seulement sont remontés dans les bases de pharmacovigilance. Les victimes ne sachant pas toujours comment le faire et les autorités médicales n’ont en général pas le temps de le faire à leur place et jugent qu’il n’y a pas de relations de cause à effet. L’Europe a créé récemment un fond d’indemnisation pour les victimes des vaccins. A en croire les autorités françaises, il n’y a aucun problème avec les vaccins. 

Les ARS appliquent les consignes du gouvernement et ne remontent pas tous les chiffres. par exemple, lorsque la France reconnait 500 cas de perturbation des cycles féminins, les chiffres anglais sont quasiment 100 fois plus élevés. De même, les autorités ont reconnu que seuls les décès survenus chez les sujets de moins de 50 ans font l’objet d’une analyse approfondie.

De son côté, le Canada, très noble, a annoncé mi-septembre 2021 que c’est le contribuable canadien qui réglera les frais d’obsèques en cas de décès post-vaccinal (à condition d’avoir été injecté au Canada, avec une substance validée par le gouvernement fédéral canadien). Tout va bien dans ce cas, plus aucune hésitation à avoir !

Enfin, je précise que je ne suis pas particulièrement anti-vaccin mais lorsqu’on regarde la vidéo du Dr Zelenko (juillet 2021) ci-dessous, un doute sur l’efficacité et sur l’innocuité des vaccins contre la Covid apparait à l’esprit.

De son coté, le journaliste Raphaël Berland réalise un web documentaire de 52mn sur les effets secondaires des vaccins anti-Covid intitulé « Effets secondaires : la face cachée des vaccins ». Il sera diffusé sur la chaîne YouTube du magazine Nexus, ainsi que sur d’autres plateformes moins sujettes à la censure. Un teaser est accessible via ce lien. 

Tous les scientifiques qui souhaitaient communiquer sur les dangers de ces injections expérimentales à grande échelle ont longtemps vu leurs articles refusés par les revues scientifiques ou leurs crédits de recherche coupés.

A titre d’exemple, un cardiologue britannique de premier plan a prévenu qu’un de ses collègues se trouvait dans l’impossibilité de faire publier ses travaux de recherche parce qu’ils établissaient un lien définitif entre les vaccins COVID et une augmentation massive des crises cardiaques. S’exprimant sur GB News, le Dr Aseem Malhotra a raconté qu’il avait été contacté par un chercheur d’une prestigieuse institution britannique qui affirmait avoir trouvé des liens concrets entre l’inflammation des artères coronaires et les vaccins expérimentaux à ARNm. Le Dr Malhotra a ajouté que son collègue lui a dit que l’institution avait décidé qu’il valait mieux ne pas publier les résultats, de peur de perdre son financement de la recherche. Malhotra a également fait référence à un article récemment publié par le célèbre cardiologue Steven Gundry. La recherche révélait que les vaccins COVID « augmentaient considérablement l’inflammation sur l’endothélium et l’infiltration des cellules T dans le muscle cardiaque ».

Que ce soit dans les revues scientifiques ou dans les médias, tout est fait pour filtrer l’information qui ne va pas dans le sens de la doxa officielle. Nous sommes entrés dans le monde de la pensée unique. Même le débat scientifique ne peut plus avoir lieu. Certains sénateurs ont tenté de dénoncer cette situation, comme Alain Houpert mais ces députés ou sénateurs, conscients de la manipulation, n’étaient pas assez nombreux. L’Assemblée, le Sénat et même le Conseil Constitutionnel, se sont comportés comme des carpettes et ont plié, votant l’application du pass vaccinal, alors que le nombre de décès était bas et que les pays voisins votaient une levée des restrictions. 

Mars 2022, le Dr Malone accuse le CDC de fraude scientifique et d’activité criminelle pour avoir délibérément retenu des données qui ont entraîné des dommages et même la mort. Il déclare que le CDC diffuse de la désinformation médicale.

En parallèle un article en préprint sort sur ResearchGate “Official mortality data for England reveal systematic undercounting of deaths occurring within first two weeks of Covid-19 vaccination”, DO – 10.13140/RG.2.2.12472.42248, qui montre des décès non comptabilisés dans les 15 jours suivant la vaccination au Royaume Uni.

Ci-dessus un témoignage d’une dame sur CNews (chez Pascal Praud) expliquant les effets secondaires suite à une injection de Moderna. Les symptômes semblent proches de la fibromyalgie. 

La manipulation est globale et bien rodée. Non seulement, la décision n’est pas prise d’arrêter les vaccins expérimentaux à ARNm mais, dès la fin 2021, on commençait à lire dans les médias de masse des articles normalisant les décès liés aux thromboses, aux myocardites, aux AVC, etc., y compris chez les enfants. Chose inédite. Certains articles accusent le climat, d’autres l’alimentation mais surtout pas les vaccins, alors qu’on parle exactement des mêmes causes de mortalité. Cette communication arrive à point nommé.

On trouvera même des articles expliquant que les hippopotames d’un zoo sont porteurs du coronavirus… On lira même sur CNews un article proposant la vaccination des huitres, concernant l’OsHV-1 (ostreid herpèsvirus 1) ! Le matraquage quotidien en faveur de la vaccination est tout à fait consternant. On a vu passer un article expliquant que le Covid pouvait faire rétrécir le sexe masculin de 4 cm… Tous les moyens étaient tentés pour convaincre au maximum les réticents à la vaccination. Pourtant, les chiffres montraient que les vaccins étaient bien peu efficaces. les effets secondaires s’accumulaient et les preuves étaient de plus en plus flagrantes. 

Le 17/09/21 on apprenait que le Royaume-Uni travaillait sur une proposition de loi pour l’indemnisation des effets secondaires vaccinaux. Sir Christopher Chope, membre du Parlement britannique a déclaré « Il y a plus d’accidents provoqués par les vaccins anti-covid que par tout autre programme de vaccination de l’Histoire. »

Dans une vidéo diffusée le 17/09/21, la FDA américaine débat sur l’intérêt d’une 3e dose. Le Dr Rose déclare sur la base des données du VAERS que les risques dépassent de loin les avantages, en particulier pour les enfants. Plus de 1000% d’augmentation des événements indésirables en 2021 (04h21). Steve Kirsch (Directeur Exécutif du “COVID-19 Early Treatment Fund) : “Les vaccins Covid tuent plus de gens qu’ils n’en sauvent”. C’est même en gros titre (04h12).

L’image ci-dessous montre la forte corrélation entre les injections de vaccin ARNm et l’augmentation des myocardites sur la tranche des 12-17 ans. Ca n’empêchera pas le gouvernement d’étendre le pass sanitaire à cette tranche d’âge. 

Aux USA, la justice a commencé à s’intéresser à cette crise du coronavirus. L’avocat Thomas Renz a communiqué lors d’un discours les données des effets secondaires de la vaccination. A date, ces données du medicare tracking system révélaient que 19.400 personnes de moins de 80 ans seraient décédées dans les 14 jours suivant la réception du vaccin contre la COVID-19. En outre, 28.065 personnes âgées de plus de 80 ans seraient décédées dans les 14 jours suivant la réception du vaccin contre le Covid-19. Le nombre total de citoyens américains décédés dans les 14 jours suivant la réception du vaccin contre la COVID-19 serait de 48.465, selon des données révélées dans le système de suivi de Medicare. Il a ajouté que sur les 7.960 personnes soignées au Remdesivir pour le Covid-19, 2.058 seraient décédés. C’est à dire 25,9 %. Selon lui, la FDA serait déjà informée mais continue les incitations à la vaccination. Affaire à suivre. 

Mars 2022, Edward Dowd, analyste financier, charge les vaccins en expliquant que “Les 25-44 ans ont connu une augmentation de 84% de la surmortalité à l’automne […] C’est la pire surmortalité de l’histoire, je pense. […] Il y a eu 61000 décès excédentaires. […] 58.000 personnes sont mortes dans la guerre du Vietnam”.

Il cite en réalité une analyste des assurances et associe cette surmortalité aux campagnes de vaccination et aux obligations vaccinales. C’est troublant mais cela n’explique pas pourquoi nous n’obtenons pas les mêmes résultats dans différents pays fortement vaccinés. 

Il est intéressant de rapprocher cela avec une présentation de Patrick Meyer lors du CSI n°46 : “Surmortalité et vaccination en Europe”. 

Il serait vain de référencer tous les témoignages d’effets secondaires ou d’articles qui ont relaté les décès de sportifs, ou d’enfants, suite à une injection. 

Ci-contre un témoignage au Capitol du Dr Joel Wallskog, chirurgien orthopédique (Mequon, Wisconsin) qui a reçu un diagnostic de myélite transverse après la vaccination Moderna “Ma carrière de 19 ans, pour laquelle j’ai mis près de 14 ans à m’entraîner, est probablement terminée“. Vidéo complète sur YouTube.

De son coté, on apprenait le 17/01/22 que la Thaïlande avait déjà dédommagé 2264 familles pour un membre de la famille décédé ou handicapé à vie par le vaccin Covid. 26 millions d’euros (1 milliard de baht) réservés pour les victimes des vaccins en Thaïlande. 9551 plaintes avaient déjà été reçues à cette date.

Dans le 15e numéro de “Science en Conscience”, Jérémie Mercier recevait le médecin généraliste luxembourgeois Benoît Ochs, membre du collectif ReinfoCovid Luxembourg. Ce dernier conseille de faire mesurer 5 marqueurs chez toute personne s’étant prêtée aux injections expérimentales :

  • D-dimères
  • CRP
  • CPK
  • Troponines
  • Ferritine

Il expliquait ces notions dans une vidéo YouTube qui fut rapidement censurée. Certains sites comme Odyssée ou CrowdBunker peuvent en avoir une copie. 

Une nouvelle étude de Steven R Gundry, sortie le 8/11/21, établit que le vaccin à ARNm augmente considérablement l’inflammation de l’endothelium et l’infiltration des cellules T du muscle cardiaque et serait la cause de l’augmentation importante des accidents cardiaques tels thromboses péricardites, etc.

Ci-dessous le témoignage d’une dame atteinte de paralysie faciale suite à la vaccination. La vidéo ci-contre présente une intervention de Mislav Kolakusic s’adressant à Emmanuel Macron au parlement européen. Ce député est un ancien juge, militant non affilié pour l’État de droit et combattant contre la corruption. Il accuse clairement la politique de Macron d’être un crime compte tenu des effets secondaires des vaccins.

On sait aujourd’hui que la protéine Spike vaccinale persiste au moins 60 jours chez le vacciné. Elle pénètre dans le noyau des cellules et bloque à 90% le processus de réparation de l’ADN (via p53/BRCA1). Certaines publications évoquent cela. 

John O’Looney, directeur de pompes funèbres en Angleterre est interviewé le 21 janvier 2022. Il explique qu’il n’a jamais vu autant de morts liés aux thromboses. Il parle d’une augmentation de 500 à 600% par rapport aux années précédentes. Lien complet sur kla.tv. Les détracteurs diront que le virus lui-même peut causer ces thromboses mais il semble qu’il s’agisse ici des conséquences des vaccins.

Le Dr Roger Hodkinson, ancien président de la commission Covid du Collège Royal (CA), prévoit d’énormes révoltes dans les années à venir quand les gens se rendront compte à quel point on leur a menti et surtout, quand ils se rendront compte des effets graves des sur leurs enfants.

20 Janvier 2022 : France Info, qui ne publie que des informations provax, proposait un podcast sur l’effet nocebo. Des chercheurs américains ont souhaité quantifier l’effet nocebo après la vaccination contre le Covid-19. Ces scientifiques d’un hôpital de Boston, en lien avec l’université de Harvard, se sont intéressés aux déclarations d’effets indésirables de 45.000 volontaires impliqué dans douze essais cliniques de vaccination contre le Covid-19, tous vaccins confondus. Pour vérifier l’efficacité de l’injection, la moitié des volontaires ont reçu un vrai vaccin et l’autre moitié un placebo. Les résultats montrent que ceux qui n’ont reçu qu’une injection neutre ont quand même ressenti des effets secondaires dans les jours qui ont suivi l’injection. Après l’analyse de l’ensemble des données, ces chercheurs concluent que 76% des effets indésirables survenus après la première dose du vrai vaccin contre le Covid-19 sont dus à cet effet nocebo. C’est aussi le cas de 52% des réactions après la deuxième dose. Effectivement, l’effet nocebo doit être pris en compte. Notre conscience étant “créatrice de notre réalité”, elle peut affecter le corps en bien ou en mal. En revanche, bien des personnes se sont fait vacciner volontairement et croyaient aux bienfaits du vaccins et ont connu des effets secondaires plus ou moins grave, allant jusqu’au décès. 

Ci-contre, les décès constatés concernant la variant omicron (chiffres DREES du 16/01/22).

D’un point de vue mathématique, il est vrai qu’il ne faut pas tomber dans le paradoxe de Simpson. Lorsque 100% des français seront vaccinés, il n’y aura effectivement que des décès de gens vaccinés – le vaccin ne protégeant pas tout le monde de la même façon. 

Cependant, avec un peu d’honnêteté intellectuelle, si les vaccins étaient efficaces, on aurait du constater un croisement de la courbe des décès avec celle de la progression de la vaccination. Il n’en est rien. 

La tyrannie macronienne jusqu’au-boutiste enfoncera le pays dans la division, dressant les français les uns contre les autres. 

A mesure que le temps passait, les centres de vaccination, ouverts pour la 3e dose, se sont vidés. En janvier 2022, certains étaient déjà déserts. Une partie de la population s’est effectivement sentie arnaquée. Les promesses des médecins de plateau, tous plus ou moins corrompus ou en conflit d’intérêt, n’étaient pas tenues. Le gouvernement s’est laissé influencer par le cabinet Mc Kinsey et par son conseil scientifique douteux. Le prise de conscience des français avait commencé. Ceux qui avaient été contraints à se faire vacciner refusaient une troisième injection de cet inoculât aussi inefficace que dangereux, d’autant plus qu’il était devenu clair que ce système devait perdurer dans le temps avec une injection tous les 3 mois. Cela dans le contexte omicron, variant contagieux mais peu virulent. 

Le ras-le-bol général commençait à s’installer. Le Syndicat des navigants du groupe Air France (SNGAF) a déposé un préavis de grève illimité pour protester contre la mise en place du pass vaccinal, entrainant une « rupture d’équité » entre les PNC travaillant sur des vols domestiques et ceux sur les lignes internationales, et empêchant désormais de travailler ceux qui ne voulaient pas se faire vacciner.

Responsabilité juridique

Pfizer ne fournira pas de vaccins ARNm aux pays où ils font face à des responsabilités légales pour des effets secondaires : “Pfizer a hésité à se rendre dans certains pays en raison des problèmes de responsabilité, ils n’ont pas de protection de responsabilité.” – David R.Malpass, président de la Banque mondiale.