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Les champs d’énergie de la Terre

in Geobiologie

On dit que l’équilibre entre les rayonnements du cosmos et les rayonnements de la Terre fait la santé de l’homme. Des expériences ont montré que des souris placées sous une plaque de plomb, les isolant des rayonnements, meurent en une semaine.

Les rayonnements de la Terre proviennent des radiations des métaux présents dans notre Planète.

La Terre se comporte comme une sorte de dynamo auto-entretenue qui génère un champ magnétique considérable (c’est ce champ qui dévie l’aiguille de la boussole et qui nous protège de certaines perturbations cosmiques tel que les vents solaires). Ce champ est variable dans le temps et il s’est même inversé des centaines de fois depuis l’origine de la Terre.

Si on s’intéresse à la structure de notre planète, elle est constitué de plusieurs « couches ». Parmi elles :

– L’écorce terrestre, subdivisée en croûte continentale et en croûte océanique : La croûte continentale est composée essentiellement de granite. Elle a une épaisseur de 30 km à 100 km sous les massifs montagneux. La croûte océanique a une épaisseur d’environ 5 km. Elle est essentiellement composée de roches basaltiques. L’aluminium est le métal le plus abondant de cette écorce terrestre. On y trouve aussi beaucoup de silicium.

– Les manteaux supérieur et inférieur : le manteau supérieur est formé essentiellement de roches telles que la péridotite (ses minéraux sont : olivine, pyroxène, grenat). Le manteau terrestre total (supérieur + inférieur) représente 84 % du volume terrestre. On trouvera surtout du silicium et du magnésium.

– Les noyaux externe et interne : le noyau externe est essentiellement composé de fer à 80-85 %, plus environ 10-12 % d’un élément léger non encore déterminé parmi le soufre, l’oxygène et le silicium, et enfin de l’ordre de 5 % de nickel. Le noyau interne est essentiellement métallique, composé d’un alliage de fer (80%) et de nickel (environ 20 %). Les noyaux externe et interne représentent 15 % du volume terrestre.

Schema de la croute terrestre

Rappelons nous la loi de Planck : « tout métal chauffé irradie, et cela d’autant plus qu’il est chauffé davantage ». La Terre étant constituée de ces métaux chauffés à très forte température, cela provoque des rayonnement. On a pu ainsi mesurer par exemple que la température des roches atteint environ 300 °C à 10 kilomètres de profondeur. Plus on se rapproche du noyau, plus la température est élevée. Des calculs récents ont d’ailleurs revus à la hausse les températures du noyau, qui évolueraient entre 3 800°C et 5 500°C selon la profondeur. Une partie de la chaleur interne de la Terre (50 %) est produite par la radioactivité naturelle des roches par désintégration de l’uranium, du thorium et du potassium.

Les rayonnements venus de la Terre ne nous parviennent pas uniformément. Ils viennent sous la forme de maillages d’énergie (à l’image d’un filet). Chaque métal a son propre maillage et ses dimensions sont fonction de sa quantité présente sur notre planète. Chaque maillage est unique par ses dimensions : longueur, largeur et épaisseur. Par exemple, le nickel, métal très répandu, a sous nos latitudes, un maillage de 2 mètres par 2 mètres 50 et une épaisseur de 20,7 cm. Le fer a les dimensions 4 mètres sur 4 mètres et une épaisseur de 39,6 cm. Le cuivre a les dimensions 10 mètres sur 10 mètres et 29,7 cm d’épaisseur. L’argent, plus rare, a 350 km sur 400 km et une épaisseur de 36 cm. L’or, encore plus rare, a un maillage de 400 km par 350 km (555 au niveau de l’équateur) et une épaisseur de 72 cm.

Certains métaux ont un maillage orienté parallèlement à l’équateur et à l’axe de la Terre. D’autres ont leurs maillages orientés à 45°. Le nickel et l’or suivent les méridiens et les parallèles terrestres. Le fer et l’argent sont à 45°. L’or et l’argent ont des maillages couplés et les mêmes points de rencontre. D’ailleurs, une majorité des temples et autres cathédrales sont installés sur des croisements simples ou doubles du maillage de l’or.

Il existe certains métaux rares dont les radiations sont bénéfiques aux êtres vivants. Parmi eux, le platine, l’uranium, le sélénium, le palladium, le lithium, le magnésium, l’antimoine (élément chimique semi-métallique de la famille des pnictogènes), le titane…

Les maillages sont donc carrés ou rectangulaires. Tous ont un commun cette caractéristique : après 9 rayonnements normaux, il y a un rayonnement double (dans les deux sens). Ainsi, l’or peut passer de 72 cm à 144 cm, celui de l’argent de 36 et 72 cm, etc.

L’Homme possède en très petite quantité chacun de ces métaux dans le corps. On les utilise d’ailleurs par se soigner par les oligoéléments ou en homéopathie.

Le nickel et le fer sont les maillages qui nous apportent presque entièrement cette énergie nécessaire venue de la Terre.  Les autres métaux, dont le maillage est plus espacé, ne sont pas indispensables en permanence à notre santé.

Les courants telluriques se forment à environ 100 km au-dessous de l’écorce terrestre et montent vers la surface de la Terre en suivant les failles géologiques de grande profondeur et les cours d’eau souterrains. Ces courants telluriques sont dus à l’effet d’induction produit sur le sous-sol par les variations du champ magnétique terrestre. Les courants telluriques traversent les couches concentriques terrestres et viennent former en surface un vaste quadrillage. Ils forment une énergie ressentie par les organismes vivants.

Schema de la structure de la Terre

Vous avez peut-être entendu parler des réseaux Hartmann, Curry et Peyré ?

  • – Le réseau Hartmann est celui du nickel.
  • – Le réseau Curry est celui du fer.
  • – Le réseau Peyré est celui du cuivre.

Voila la géobiologie démystifiée.

Parfois, sur certains endroits, on ne peut recevoir correctement cette énergie indispensable du nickel et du fer. Cela est souvent dû à la présence de courants d’eau souterrains et de failles géologiques. De ce fait, il peut être utile de demander conseil à un géobioloque avant d’implanter votre maison.

Cet article est une synthèse des informations extraites de Wikipédia et du livre de Georges Prat « Précis cartésien de géobiologie », éditions Arkhana Vox, ISBN : 978-2-906588-52-3.