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Equipements blindés DANELL

by 25 octobre 2015

Bloc DANELL

Lorsqu’on veut se protéger des champs électromagnétiques dans l’habitat, on peine à trouver des fabricants. Personnellement, j’utilise des gaines et câbles blindés de chez Flex-a-Ray pour l’installation électrique et lorsque c’est nécessaire, j’utilise des rallonges et multiprises DANELL. Je souhaitais dans cet article présenter un produit de ce fabricant. Il s’agit d’un bloc blindé de 4 prises (réf. 4 41-6700).

Comme toujours, c’est cher ! il faut compter 50 € pour se procurer un tel produit. On se dit, pour un bloc multiprises, je vais chez Casto-Brico-Merlin et j’en achète un pour quelques euros… Comparons ce qui est comparable. Les blocs traditionnels ne sont absolument pas blindés et leur conception fait appel systématiquement à des matériaux bons marchés. Chez DANELL, petit fabricant allemand, on est incontestablement dans la qualité.

L’efficacité du blindage a été vérifiée et mesurée d’après les normes TCO’99, Band I (MPR II, DIN prEN 50279) et les valeurs de mesure sont largement inférieures à ces préconisations.

Le bloc est en profilé aluminium, et non en plastique, ce qui permet encore un meilleur blindage. Le câble de 2 mètres est blindé, les trois fils de 1,0 mm2 (phase, neutre et terre) sont enveloppés d’un feuillet métallique, qui, mis à la terre, supprime les champs électriques. Ces fils sont également vrillés sur eux-mêmes 15 fois au mètre pour atténuer très fortement les champs magnétiques. Rien de bien innovant en soit, puisqu’on utilise déjà ces deux techniques pour les câbles de réseaux informatiques (FTP, F/FTP et S/FTP). Sur ce bloc, la fiche de branchement est également blindée.

L’interrupteur est bipolaire, c’est à dire qu’il coupe à la fois la phase et le neutre. Cela permet de complètement la pollution électromagnétique. Il est équipé de protection enfant. Charge électrique max de 10A (d’après IEC 884) et une tension de 250V/50Hz. Certifié aux normes VDE et CE. Dimensions : L317xl52xH45mm (sans le câble). Vous noterez qu’il n’y a pas de broches de terre sur aucune des 4 prises car c’est l’ensemble qui est à la terre.

Test d’un surmatelas de mise à la terre

by 25 octobre 2015

Comme je suis toujours curieux des nouveautés concernant la santé et le bien-être, j’ai testé un surmatelas Es-Prävent. Ce surmatelas se place sur le matelas, sous l’alaise et le drap-housse. Aucun contact corporel n’est nécessaire contrairement à la technologie Earthing des produits américains. (draps, demi draps, draps housse, plaid, drap cocon…). En effet, la technologie Earthing draine votre charge électrique corporelle par contact tandis que le surmatelas Es-Prävent vous protège par isolement. Il convient pour les matelas à mémoire de forme. A l’extrémité du surmatelas, une simple broche reliée à un fil, lequel se termine par une prise que vous branchez sur une prise de terre.

Selon les données du fabricant allemand, cet équipement vous permet de dormir à l’abri de l’électrosmog et de protéger la glande pinéale pour une bonne production de mélatonine. Une fois connecté à la terre, sa présence active génère un champ exempt de pollutions électromagnétiques de toutes natures (électriques, hautes fréquences, telluriques et géopathogènes telles que source, faille ou perturbation du réseau Hartmann sous votre lit).

Ce surmatelas est certifié par l’IGEF (Société internationale de recherche sur la pollution électromagnétique IGEF Ltd.) qui ne semble être qu’une association non officielle et reconnue que des fabricants de produits “anti-ondes”. Ce surmatelas existe en 4 tailles : 80×200 cm / 90×190 cm / 140×190 cm / 160×200 et est fourni avec cordon et prise. Il est composé de coton et de carbone conducteur.

Comme tous les produits de santé (médecine conventionnelle comme médecine alternative), il faut casser sa tirelire pour s’équiper.

Sur la partie “bonne production de mélatonine”, il m’est impossible de vous le certifier, n’ayant pas les outils pour cela, ni les compétences. Sur la partie “réduction de l’exposition aux ondes géopathogènes”, on ne peut que le tester sur le plan “sensible”, sans qu’aucun appareil existant ne puisse le confirmer. En revanche, sur la partie “réduction de la tension induite”, je peux tester avec mes équipements. Je sors donc mon testeur de courant. Personnellement, j’utilise le Digitech QM1524. Au lieu de brancher les fiches classiques rouge et noire, j’opte pour la rallonge spirale qui permet de tester sa tension à partir de son doigt et un long fil qui permet de brancher directement sur la fiche de terre d’une prise de courant standard. C’est simplement plus commode. Ce testeur est un appareil de mesure qui permet de mettre en évidence la tension induite au niveau du corps par les champs électriques ambiants. Il permet donc de connaître l’impact réel de l’environnement électrique sur le corps humain. Le testeur mesure la différence de charge entre la terre d’un côté, et votre charge corporelle de l’autre. Le résultat indique la mesure du stress basse fréquence que vous subissez dans un environnement donné (lit, poste de travail informatique, etc.).



Tapis de mise à la terre

Un article a déjà été publié sur les recommandations de champs électriques dans l’habitat. Pour rappel, les recommandations sur la valeur de la tension induite au regard de l’habitat sain exprimée en millivolts (mV) :

  • <10 mV = pas d’anomalie
  • 10 – 100 mV = faible anomalie
  • 100 – 1000 mV = forte anomalie
  • > 1000 mV=1 V = anomalie extrême

Je teste au préalable la qualité de ma prise de terre avec un Catohm DT300, j’obtiens 20 ohms. Rien d’étonnant.

Mes contraintes d’espace me contraignent à utiliser une rallonge. J’utilise le bloc multiprise blindé DANELL pour minimiser les perturbations électromagnétiques.

Résultat de la mesure : en ce qui me concerne, passant pas mal de temps à proximité des ordinateurs, je mesure ma tension induite, sans contact avec le surmatelas, à environ 0,7V, ce qui est déjà important. Je m’allonge sur le surmatelas et je mesure 0,069V, soit une tension induite divisée par 10.

J’ai renouvelé ultérieurement le protocole de test dans un autre contexte : Mesures réalisées allongé sur un lit (juste un sommier métallique avec lattes bois sur pieds en bois) :

Individu n°1 :

sans surmatelas : 1,95V
avec surmatelas mais non relié à la terre : 2,4V
avec surmatelas relié à la terre : 0,1V
Individu n°2 :

sans surmatelas : 1,87V
avec surmatelas mais non relié à la terre : 2,4V
avec surmatelas relié à la terre : 0,06V
On peut donc en déduire que cela fonctionne bien, au moins sur la partie “tension induite”. Attention cependant, les mesures montrent que, si vous installez ce surmatelas, il faut le brancher en permanence sur la terre car s’il n’est pas branché, il semble qu’on obtienne l’effet inverse, la tension induite semble augmenter. Sans mise à la terre, le surmatelas doit probablement se comporter comme une antenne et capte différentes fréquences de l’environnement, ce qui génère au contraire de l’électricité…

Pour prolonger cette expérience, j’ai testé un tapis de mise à la terre. On le place sous les pieds ou sous le clavier de l’ordinateur. Le contact direct permet de relier son corps à la terre et de ne plus subir la tension induite provoquée par la présence proche d’un ordinateur. J’ai conduit les mêmes tests avec le voltmètre. C’est également efficace.

D’après le livre “Connectez-vous à la Terre”, que vous retrouverez dans la bibliographie, se mettre à la terre favorisait le bon sommeil, réduirait les inflammations corporelles, diminuerait les tensions corporelles (dos, articulations…). Une synthèse de ce livre est accessible ici.

Bilan après quelques semaines d’utilisation : je n’ai pas constaté de réduction sensible d’un phénomène inflammatoire mais je reconnais que mon sommeil est un peu plus profond. C’est un début.

Bilan après quelques mois d’utilisation : certes, la mesure physique a permis de constater que le corps est à quasiment 0 volt durant la nuit mais dans la pratique, ma vie n’a pas changé.

Cuisson à la vapeur douce

by 25 juillet 2015

VitaliseurLe type de cuisson des aliments fait beaucoup débat aujourd’hui (à la vapeur, au four…). Tous les articles de journaux ne sont pas écrits en s’appuyant sur des vérités scientifiques. Faisons un point rapide sur la question.

Pour cuire dans des conditions optimales, l’aliment doit garder sa texture et sa tenue, ses vitamines, minéraux et oligo-éléments. Il est préférable d’éviter de dépasser le seuil de 95°C à cœur de l’aliment. La cuisson doit détruire les enzymes, les bactéries, éliminer les produits toxiques de surface comme les pesticides, tout en préservant la texture, les éléments nutritifs et le goût. Les effets ne sont pas du tout les mêmes selon qu’on utilise l’eau, la vapeur, l’ huile, ou le four. D’un point de vue scientifique, le facteur temps et le taux d’humidité lors de la cuisson est plus important que le facteur température.

Selon le professeur Marc Henry, dès lors qu’on déracine un aliment naturel ou qu’on le cueille, les enzymes qu’il contient et qui lui permettaient de mûrir, commencent à le détruire. C’est un processus naturel de destruction. “Les enzymes n’ont en elles-mêmes aucun intérêt nutritif et sont même plutôt nuisibles, car ce sont elles qui favorisent la perte des qualités nutritives lors du stockage en fonction des conditions d’humidité ou d’oxygénation. Par exemple, l’acide ascorbique oxydase AAO est responsable de la transformation de l’acide ascorbique en acide déhydroascorbique, DHAA lorsqu’on monte en température. Si on place l’aliment directement à une température qui permette de le saisir, il y aura plus de vitamine C après cuisson, car on inactive l’AAO. A noter qu’en l’absence d’AAO, la vitamine C est relativement stable thermiquement et ne se dégrade pas avant 220°C. Ceci est valable pour les autres vitamines. Ce n’est donc pas la température en elle-même qui entraîne une dégradation des vitamines, mais plutôt l’action conjuguée des enzymes, de l’augmentation progressive de la température, de la quantité d’oxygène disponible et du taux important d’humidité. »

Concernant la cuisson à la chaleur intense, les grillades au barbecue, notamment, entraînent le brunissement de l’aliment et la formation de molécules toxiques comme la réaction de Maillard, qui est connue comme cancérigène impliquant graisses et sucres. Quand on va plus loin encore dans le processus de cuisson, on se trouve des goudrons comme les benzopyrènes et les méthylcholantrènes qui, associés, sont fortement cancérigènes. On évitera donc ce type de cuisson régulièrement. On peut néanmoins se faire plaisir et s’autoriser une grillade occasionnelle l’été.

Quant à la cuisson au four, on préférera les fours à chaleur tournante qui permettent une meilleure répartition de la chaleur. Cependant, au four, les aliments doivent cuire plus longtemps pour être cuits suffisamment et les éléments nutritifs vont se dégrader.

La cuisson à la poele sera aussi très dépendante de la chaleur générée. En général, on cherche à saisir l’aliment donc on se retrouve avec les méfaits de la cuisson à la chaleur intense, décrits ci-dessus. 

La cuisson à la casserole et à l’eau bouillante reste un bon mode de cuisson. Il faut veiller à plonger les aliments que lorsque l’eau bout à gros bouillons et pas avant. Grâce à cette règle les enzymes contenues dans l’aliment perdent leur activité de destruction et l’aliment est mieux préservé. Si possible on découpera les aliments en petits morceaux pour que la cuisson soit plus homogène. 

La cuisson à la vapeur reste le meilleur moyen de cuire les aliments. Mais pas n’importe quelle cuisson à la vapeur. Il faut cuisiner à la vapeur douce, sans pression. En effet, lors d’une cuisson à la vapeur sous pression, la vapeur monte progressivement passant du froid à la température où les enzymes sont activées et détruisent les principes nutritifs de l’aliment. La température peut ensuite dépasser 140° ce qui détériore, selon la dureté de la fibre, la structure du produit. Le temps que la soupape se mette en rotation et refroidisse légèrement, les enzymes et les vitamines hydrosolubles sont détruites. La cuisson à la vapeur sous pression n’est donc pas optimale. Un appareil de cuisson à la vapeur douce est donc un équipement à posséder dans sa cuisine. Il cuit ainsi les aliments sans les dessécher et conserve tous leurs éléments nutritifs. dans un appareil comme le vitaliseur, les mauvaises graisses, toxines et pesticides sont éliminés en tombant dans l’eau de cuisson.

Restons vigilant également sur la qualité des aliments que l’on achète. Bien entendu, préférer des aliments locaux bio car la cuisson ne permet pas de détruire les métaux lourds en provenance de la contamination environnementale.

Produits laitiers

by 28 juin 2015

Verre et bouteille de laitOn peut lire dans la presse ou entendre sur les ondes beaucoup de choses contradictoires sur les produits laitiers. Vous vous souvenez probablement du slogan “les produits laitiers sont nos amis pour la vie” ? Selon les sources officielles et l’industrie agroalimentaire, ils seraient très favorables à notre bon développement et à notre santé. Pourtant, la plupart des adultes ne digèrent pas le lait et il existe de nombreuses régions du monde dans lesquelles les habitants ne consomment pas du tout de lait, ce qui ne les empêche pas de demeurer en excellent santé et de vivre plus longtemps que nous. Le journaliste Thierry Souccard dresse un bilan peu flatteur de cette surconsommation de lait dans son ouvrage « Lait, mensonges et propagande ». Préfacé par le Pr. Henri Joyeux, ce livre dénonce les lobbies et les contrevérités avancées par l’industrie laitières depuis de nombreuses années. Il présente les réels effets du lait sur la santé, études scientifiques à l’appui. Il remonte aux faits historiques (Angleterre, France, USA…) qui ont contribués à promouvoir cette industrie, comme la distribution au cours de la première guerre mondiale de produits laitiers en conserves pour les soldats ou la circulaire de Pierre Mendès-France qui a institué la distribution de lait et de sucre dans les établissements scolaire à partir du premier janvier 1955. Il retrace ensuite la toute-puissance du marketing, venue alors renforcer l’effet de ces campagnes. Les industriels savent qu’instaurer des habitudes alimentaires à des enfants est hautement profitable puisqu’elles perdureront en général tout au long de leur vie d’adulte.

Je laisse le soin aux lecteurs de réagir dans le forum.

Eczema

by 29 avril 2015

Ce terme signifie « bouillir » en grec. C’est la maladie de peau la plus fréquente qui occupe 30% du temps des dermatologues. Ce sont le plus souvent les enfants qui en souffrent. Les spécialistes estiment que 20% de la population mondiale pourraient être touché. C’est trois fois plus qu’il y a 30 ans. L’eczéma peut altérer la qualité de vie et dans certains cas, engendrer des troubles respiratoires comme l’asthme ou des rhinites.

L’eczéma se présente sous différentes formes : plaques rouges, petites vésicules… La peau peut paraître un peu gonflée, les démangeaisons sont pénibles. Un liquide translucide peut humidifier les endroits touchés. Souvent, des petites croutes se forment.

L’eczéma existe sous des variantes diverses : vésiculeux, suintant ou sec avec de petits morceaux de peau qui se détachent. Il se localise à des endroits différents selon les personnes, souvent sur des plis (genou, coudes, paupière…)

Il peut s’installer, disparaître puis revenir par poussées. Les origines peuvent être allergiques ou psychologiques. Dans le premier cas, il peut-être atopique (terrain allergique comme asthme, rhume des foins), variqueux (complication d’une insuffisance veineuse) ou allergique de contact (réaction à un produit cosmétique, ménager, à un métal tel un bijou…).

Dans le second cas, c’est souvent relié au fait de ne plus avoir de contact avec un être aimé (source : « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies » de Jacques Martel). Cela arrive lors d’une séparation ou d’un déménagement, par exemple. Cela peut traduire un besoin d’amour et d’attention. Il n’est pas rare que les crises d’eczéma surviennent en cas de période de stress auquel cas un massage du corps de 10 minutes plusieurs fois par semaine peut être un bon complément aux traitements entrepris (en évitant de toucher les zones affectées).

Les recherches continuent pour trouver un traitement. Une piste intéressante de la recherche est la création de lotions personnalisées à partir de nos propres bactéries.

L’eczéma est souvent difficile à traiter et les traitements dermatologiques actuels s’avèrent parfois inefficaces, sauf à utiliser la cortisone mais cela doit rester ponctuel. En naturopathie, on conseillera plutôt de surveiller son alimentation, d’éviter notamment les laitages et le blé qui peuvent aggraver la situation. Il est conseillé de commencer un traitement « light » avec de l’homéopathie puis de passer ensuite à la phytothérapie si les résultats ne sont pas au rendez-vous.

Dans tous les cas, il faut bien entendu respecter une très bonne hygiène (pains surgras et sans savon avec eau thermale comme Avène, La Roche-Posay, Tolériane… ) Eviter les pommades cicatrisantes sur la peau lésée car cela ne fera qu’engendrer une macération. Ne pas se doucher à l’eau trop chaude. Limiter les produits cosmétiques, éviter les éléments qui peuvent irriter comme le sable, la laine, le parfum, certains savons… et éviter de gratter autant que possible.

 

Approche par homéopathie

Les propositions de traitements homéopathiques suivantes sont extraites du livre « ma bible de l’homéopathie » de Albert-Claude Quemoun, qui est ma référence. Le mieux est toujours de consulter un homéopathe qui ajustera le traitement en fonction de la morphologie du patient, de son comportement, de ses allergies, de son état général…

Symptômes

Médicament

Posologie

Eczéma sec avec sensations de brulures soulagées par la chaleur locale (compresse chaude ou bouillote)

Arsenicum album 5CH

2 granules 3 fois par jour

Eczéma sec avec démangeaisons, peau desquame

Berberis aquifolium 5CH

2 granules 3 fois par jour

Eczéma sec aggravé en bord de mer

Natrum muriaticum 5CH

2 granules 3 fois par jour

Eczéma sec, peau jaune et ridée

Sepia 5CH

2 granules 3 fois par jour

Eczéma légèrement suintant formant des croutes en séchant. Patient frileux et qui cicatrise mal.

Graphites 5 CH

2 granules 3 fois par jour

Eczéma suintant et infecté

Staphylococcinum 5CH ou Pyrogenium 9CH

2 granules 3 fois par jour (pour l’un ou pour l’autre)

Eczéma d’hiver douloureux et fissuré de noir

Petroleum 5CH

2 granules 3 fois par jour

Eczéma situé au niveau des parties génitales

Lilium tigrinum 5CH

2 granules 3 fois par jour

Eczéma situé au niveau des parties génitales et accompagné de démangeaisons intenses et de brûlures avec des vésicules. Alterné avec des diarrhées.

Croton tiglium 5CH

2 granules 3 fois par jour

Eczéma situé dans le conduit auditif

Calcarea picrata 5CH

2 granules 3 fois par jour

Eczéma situé sur les mains

Actaea spicata 5CH

2 granules 3 fois par jour

Eczéma situé sur le cuir chevelu, le visage et accompagné de démangeaisons

Staphysagria 5CH

2 granules 3 fois par jour

Patient congestif avec extrémités rouges (oreilles, lèvres…)

A traiter pour draineur du foie, du rein et de la peau puis avec Sulfur 5CH

20 gouttes 3 fois par jour et 2 granules 3 fois par jour

Patient de constitution plutôt ronde

Calcarea carbonica 9CH

1 dose par semaine

Patient frileux, eczéma aggravé par l’eau et la chaleur. Il apparaît après une maladie parasitaire ou une MST

Psorinum 5CH

2 granules 3 fois par jour

Eczéma amélioré lorsque le patient mange

Anacardium orientalis 5CH

2 granules 3 fois par jour

Eczéma variqueux qui s’aggrave avec la chaleur

Sulfur 5CH

2 granules 3 fois par jour

Eczéma variqueux qui s’améliore avec la chaleur locale

Arsenicum album 5CH

2 granules 3 fois par jour

 

D’autres homéopathes conseillent de prendre 3 granules de chaque en alternance 3 fois par jour de : Apis Mellifica en 5CH, Arsenicum Album en 5CH et Rhus Toxicodendron en 5CH.

On peut aussi améliorer avec une application locale de pommade : pommade au graphites 4% (2 applications par jour) ou pommade au petroleum 4% si aggravé en hiver (2 applications par jour)

On peut bien entendu s’aider de l’antenne de Lecher ou du pendule pour ajuster en fonction du patient.

 

Approche par les huiles essentielles

Si le traitement homéopathique ne donne rien, on peut tenter avec les huiles essentielles (HE). Les informations suivantes sont extraites du livre « Ma bible des huiles essentielles » de Danièle Festy.

Un eczéma sec ou suintant peut être traité avec de la lavande aspic en appliquant directement 2 gouttes sur les plaques, 2 à 3 fois par jour (pour une application sur un bébé ou un enfant, consulter au préalable un médecin spécialisé car les huiles essentielles sont assez puissantes). On aussi peut appliquer une formule pour un lavage en douceur : mélanger ces trois hydrolats (HA) à parties égales dans un flacon de 100 ml : HA lavande, HA sauge et HA rose. Verser un peu de ce mélange sur une compresse stérile et appliquer matin et soir sur les plaques d’eczéma, pendant environ trois semaines. Arrêter pendant une semaine puis recommencer.

Autre préparation pour un eczéma sec :

Pour les bébés : 1 goutte de HE bois de Hô, 1 goutte de HE tanaise annuelle, 1 goutte de HE lavande officinale, 1 goutte de géranium rosat, 1 cuillère à café d’huile végétale (HV) de calophylle et 1 cuillère à café de HV onagre. Appliquer cette préparation avec douceur sur la peau lésée, juste après le lavage aux HA, pendant environ 3 semaines, puis arrêter 1 semaine, puis reprendre 3 semaines etc.

Pour les enfants ou les adultes, toujours pour l’eczéma sec, il est préférable d’utiliser la préparation suivante : 1 goutte de HE lavande officinale, 1 goutte de HE géranium rosat, 1 goutte de HE palmarosa, 1 goutte de HE tanaise annuelle, 2 gouttes de HV calophylle et 2 gouttes de HV millepertuis. Même application : alterner 3 semaines d’application / 1 semaine d’arrêt.

Autre préparation pour un eczéma suintant :

Pour les bébés : 1 ml de HE lavandula spica (lavande aspic), 0,5 ml de HE cistus ladanifera (ciste ladanifère), 1 ml de HE thymus vulgaris geranioliferum (thym à géraniol) et QSP 100 de gel neutre pour HE. Appliquer 2 ou 3 fois par jour.

Pour les enfants ou les adultes : 1ml de HE lavandula vera (lavande officinale), 1ml de HE pelargonium asperum (géranium rosat), 1 ml de cymbopogon martinii (palmarosa), 1 ml de HE tanacetum annum (tanaisie annuelle) et QSP 30g de gel neutre pour HE. Appliquer 2 ou 3 fois par jour après lavage aux HA puis une fois par jour au long cours.

[QSP : Quantité Suffisante Pour – c’est-à-dire qu’on complète jusqu’à un certain volume]

 

Approche en phytothérapie

Il est possible d’essayer aussi une infusion : 2 cuillères à soupe de pensées sauvages (viola tricolor) sèches ou fraiches dans 1/4l d’eau. Laisser infuser 10 minutes. Sucrer au miel et boire 3 tasses par jour pendant au moins 3 semaines. On peut aussi badigeonner sur la peau de cette même préparation.

Autre possibilité : laver de l’alliaire officinale (alliaria officinalis), la broyer et appliquer sur la peau 2 fois par jour.

On propose souvent aussi :

  • Cassis fe. 30g
  • Plantain fe. 30g
  • Ortie fe. 20g
  • Pissenlit fe. 20g

1 cuillère à soupe du mélange par tasse. Infusion 5 minutes. Boire 3 à 4 tasses par jour.

Veiller à avoir un apport suffisant en oméga 3 (huile de noix par ex) et prendre de l’huile d’onagre ou de bourrache sous forme de complément alimentaire.

 

Approche en chromothérapie

On considère que c’est une maladie de la sécheresse. On traitera donc par un oligoélément de la famille du bleu, tel le cuivre, à dilution homéopathique qui apporte localement de l’humidité. On peut aussi utiliser un oligoélément de la famille du violet comme le zinc, toujours à dilution homéopathique. Globalement, les couleurs dans les bleus et violets sont adaptées car le bleu est décodé par l’organisme comme la sécheresse – il répond donc en générant de l’humidité. On peut aussi utiliser une irradiation de lumière « bleu prolongé » pendant 4 minutes et « orange bref » pendant 50 secondes (source, « Se soigner par les couleurs » de Christian Agrapart).

 

Approche en lithothérapie

Massage avec un lapis lazuli sur les zones pendant 15 minutes. Rhodochrosite sur le chakra du coeur et zincite ou blende sur zone pendant 20 minutes. On peut aussi essayer l’aventurine ou jade sur le chakra du cœur pendant 20 minutes, accompagnée d’une diète légère pendant deux jours et possibilité de boire de l’eau d’aventurine ou de jade. Si l’eczéma se situe au niveau des poignets, on peut aussi essayer de porter un bracelet d’ambre (mais il faudra contrôler le bon niveau vibratoire de la pierre car la plupart des bracelets vendus dans le commerce sont plus décoratifs que thérapeutiques). La sélénite peut aussi être utilisée en application. Enfin, quelques péridots pendant une douzaine d’heures dans un verre d’huile d’olive pressée à froid. Vous pourrez utiliser cette huile en application, en tamponnant matin et soir les parties du derme affectées par la maladie. Vous pouvez également réaliser un élixir directement avec de l’eau.

 

Approche en magnétisme

On traitera souvent le coté émotionnel mais on peut aussi utiliser la technique énergétique du “cataplasme”, qu’on arrache en conscience, comme on le ferait pour une épilation à la cire. 

 

Conseil d’un guérisseur

Jean Daurillac, dans “les secrets d’un guérisseur”, propose les huiles essentielles suivantes pour traiter l’eczéma : Camomille, Lavande et Marjolaine. Il propose aussi de l’eau argileuse en lotion, additionnée de 12 gouttes d’huile essentielle de genévrier. Laisser au moins 1 heure avant de rincer.

En complément, la petite prière suivante : Faire le signe de croix sur le mal avec le pouce humecté de salive et dites :

« Je te panse †

Que tu ne croisses †

Que tu n’augmentes pas plus que la rosée sur le pré au lever du soleil † »

 

Enfin, sans garantie de résultat, on peut tester les nombres de Grabovoi : celui lié à l’eczéma est 548132151. Il suffirait de se concentrer dessus quelques minutes par jour et de penser à la personne atteinte de cette maladie simultanément.

Le traitement NAET

by 20 avril 2015

NambudripadA l’origine, des livres écrits par le Dr. Devi Nambudripad « Living Pain free with acupressure », « You can reprogram your brain to perfect health » et « Say goodbye to illness ». Devi Nambudripad est d’origine indienne et installée à présent aux Etats-Unis. Elle exerce la médecine, l’acupuncture, la chiropractie et la kinésiologie.

NAET (Nambudripad’s Allergy Elimination Techniques) est une technique intégrant plusieurs méthodes thérapeutiques telles que l’allopathie, la nutrithérapie, la kinésiologie appliquée, la chiropractie et ma MTC (médecine traditionnelle chinoise). Elle s’adresse aux personnes de tous les âges.

Elle s’appuie sur le principe que la réaction allergique est provoquée par le cerveau, en fonction de la perception qu’il a de la substance en question et non selon sa réelle dangerosité. La perception faussée du cerveau est corrigée par la méthode NAET.

L’objectif de cette technique est d’éliminer définitivement les intolérances ou allergies de toutes natures (environnementale et alimentaire). Il peut s’agir par exemple du gluten, des produits laitiers, de la friture, des œufs, des champignons, poussières, pollens, composés pour la climatisation, parfums, produits chlorés, détergents, peintures…

En éliminant de son alimentation les produits mal acceptés par l’organisme, le corps dépense moins d’énergie pour digérer et il peut ainsi se consacrer davantage à l’élimination des blocages des méridiens.

Pour optimiser les résultats, les patients suivent l’ordre des traitements des allergènes tel qu’il est proposé par un programme. On note au fur et à mesure les allergènes traités, les résultats obtenus pour suivre le patient.

Ce traitement peut être proposé à toute personne victime d’allergies, de problème immunitaire, de fatigue chronique, d’asthmes, de fibromyalgie, de dépression bipolaire, d’hyperactivité, de certains autismes et de toutes autres affections chroniques…

Certains patients témoignent sur la disparition totale d’un eczéma qui durait depuis 15 ans, suite aux échecs à répétition des traitements proposés par des allergologues et dermatologues.

Lors d’une séance, le patient tient dans sa main un tube de verre contenant la substance allergisante. Le thérapeute va vérifier pendant ce temps l’effet produit par l’allergène sur le patient en testant sa réaction musculaire. Cela est expliqué sur la vidéo. Il va ensuite stimuler certains points d’acupuncture situés dans le dos. Cette stimulation relance l’énergie corporelle bloquée dans les méridiens par la réaction allergique et va envoyer un signal au cerveau pour normaliser la substance et rétablir une réaction raisonnable. Le thérapeute teste à nouveau la réaction musculaire. Il stimulera 8 autres points d’acupuncture situés aux avants bras, aux mains, aux jambes et aux pieds pour renforcer ce message envoyé au cerveau. Le patient reste enfin en contact avec l’allergène durant une quinzaine de minutes avant la fin de la séance. Ce dernier devra éviter tout contact avec l’allergène traité durant 25 heures après la séance.

A titre indicatif, il faut compter une douzaine de séances de 30 min une à deux fois par semaine pour traiter un patient allergique à deux substances.

A noter que la fondation NARF (Nambudripad’s Allergy Research Foundation) tient un symposium annuel pour les praticiens NAET.

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