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COVID19 – Quelques scientifiques hostiles à la vaccination

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Depuis plusieurs années, la France reste l’un des pays où la population se méfie le plus de la vaccination. Même avec la pandémie actuelle, nombre de Français (26%) seraient opposés à la vaccination contre le coronavirus si un vaccin existait, selon une étude réalisée fin mars 2020 par l’Institut de sondage Ifop. Consultez le site de l’AIMSIB pour vous forger une opinion.

Sur ce lien, une autre étude plus récente sur le ressenti de la population sur le Covid-19. 15% des répondants indiquent qu’ils ne se feraient “probablement pas” vacciner, et 8% “certainement pas”. Parmi les plus âgés, qui sont les plus exposés à des formes graves de la maladie, le rejet est plus faible sans être minime, avec 12% de sceptiques. Tandis que la proportion de refus dépasse 30% parmi les 26-55 ans. Des sondages FaceBook vont encore plus dans le sens de la résistance au vaccin. 

La suspicion générale vis à vis des gouvernements ou de l’industrie pharmaceutique est importante. D’après un sondage de l’IFOP, 55% des français croient à un complot entre le Ministère de la Santé et les laboratoires. Il est évident que si BigPharma finance des compagnes électorales, il faut un retour… …et l’argent permet probablement beaucoup de choses, même de corrompre certains scientifiques ou certains dirigeants.

Nous avons appris fin mars 2022 que l’Etat aurait confié au cabinet McKinsey la gestion de la crise sanitaire. C’est d’autant plus étonnant que ce cabinet a déjà organisé le plus gros scandale sanitaire du 20e siècle. Ce cabinet a du payer une énorme amande dans la crise américaine des opioïdes. Ce cabinet est bien connu pour grenouiller auprès des politiciens. parmi ces personnes travaillant chez McKinsey : le fils Fabius, le fils de Van der Leyen, le DG du parti LREM, etc. Ce cabinet est intervenu pour conseiller plusieurs pays dans la crise du Covid, alors qu’ils ne possédaient pas de compétence particulière dans ce domaine et alors même que nous avions des experts à disposition en France : Pr, Péronne, Pr Raoult, etc. Ce cabinet a conseillé également les grands laboratoires et a même pris des actions PFIZER. Nous sommes donc en présence d’une entreprise qui conseille une vaccination “quasi-obligatoire” et qui fait une fortune avec les actions PFIZER. 

Cette animosité contre les vaccins n’est d’ailleurs pas nouvelle en France. Le niveau de défiance y serait même un des plus forts au monde, à en croire une étude internationale publiée en juin 2019 : 33% des Français y affirment douter de la sûreté des vaccins, une proportion supérieure à celle de tous les autres Etats. Le pays de Pasteur s’y classait aussi sur le podium des nations qui contestent le plus leur efficacité (19% des Français répondent en ce sens), et l’importance de les inoculer aux enfants (10%). Ces réticences persistantes ont conduit le gouvernement à élargir la liste des vaccins obligatoires pour les enfants, passée de 3 à 11 maladies couvertes en 2018.

Contrairement à ce que laisseraient penser les médias mainstream, une partie des médecins se déclarent sceptiques à propos des vaccins. Début mars 2021, à l’hôpital Bichat, à Paris, les propos d’Olivier Véran, qui envisageait d’obliger les soignants à se faire vacciner, divisaient le personnel. Certains estiment l’option envisageable mais d’autres s’agacent d’être montrés du doigt par l’exécutif. Parmi les personnes interrogées, on peut noter des propos tels que “S’ils m’obligent à me faire vacciner, je démissionne”… En effet, le panel de la société se retrouve aussi dans l’hôpital, il y a des complotistes, des réfractaires, d’autres qui souhaitent s’immuniser naturellement…

De nombreux labos ont travaillé d’arrache-pied pour décrocher le jackpot à plusieurs milliards. Les russes se sont engagés également dans la course aux vaccins. Des recherches ont lieu notamment dans un laboratoire hérité de l’URSS et situé près de Novossibirsk, en Sibérie. Ce centre appelé « Vektor » est longtemps demeuré secret. Il fut créé à l’origine pour préparer une guerre bactériologique, et sur lequel peu d’informations sont disponibles. 

Le 12 août, Vladimir Poutine tente une opération marketing pour redorer son blason après sa gestion désastreuse du début crise : un nouveau vaccin. Le Spoutnik V est apparu rapidement. La Russie a déposé un dossier à l’Agence Européenne du Médicament le 21 janvier 2021 pour obtenir l’autorisation de le commercialiser en Europe. Le 4 mars, la Russie est informée que l’examen de la demande du Sputnik V avait commencé mais il sera classé sans suite. Poutine mettra en cause le lobbying des laboratoires et la corruption au niveau de la Commission Européenne.

On peut cependant rester prudent sur l’efficacité réelle de ces vaccins spécialisés contre la grippe. Les autorités sanitaires mettent chaque année l’accent sur la campagne de vaccination antigrippale, en particulier chez les personnes fragiles et âgées, sans se préoccuper des résultats scientifiques solides concluant qu’elle ne diminue ni l’hospitalisation ni la mortalité chez les 55-75 ans. Encore plus gênant : une étude américaine, auprès des personnels du département de la Défense, met en lumière une augmentation de 36 % du risque d’infection par un coronavirus chez les personnes vaccinées contre la grippe…

Tout est dans l’art de présenter les chiffres car cette « efficacité » est la réduction du Risque Relatif de faire la forme grave de la maladie Covid-19 et les chiffres produits par les services marketing, dépendent évidemment de la population choisie pour les tests. Si les personnes sélectionnées avaient été plus âgées, avec plus de comorbidités ou si l’essai avait été effectué pendant une période de forte circulation du virus, comme en Inde aujourd’hui, l’efficacité relative de ce même vaccin aurait été beaucoup plus faible.

Les labos utilisent la valeur de Réduction du Risque Relatif et non pas Absolu pour produire des chiffres comme “95% d’efficacité”. Cette donnée de réduction du risque relatif est utilisée pour le marketing et la propagande car elle exagère le bénéfice réel attendu. En revanche, ces mêmes labos utilisent la valeur de Réduction du Risque Absolu pour minimiser l’importance des effets secondaires !

Un autre paramètre important est le NNT, qui est le nombre de personnes qui doivent être vaccinées, pour qu’une seule personne puisse avoir un bénéfice du vaccin. Si on prend les chiffres du taux de mortalité de l’Institut Pasteur, dans le cas du vaccin de Moderna, par ex : NNT = 1 / ARR = 1 / 0.011 = 91. Il faudra donc vacciner 91 personnes pour qu’une seule en tire les bénéfices. Les 90 autres auront pris le risque des effets secondaires, voire de mourir sans aucun bénéfice ! Dans le cas du vaccin de Pfizer : NNT = 1 / ARR = 1 / 0.0071 = 141. C’est à dire que sur 141 personnes vaccinées avec Pfizer, 140 personnes vont prendre le risque des effets secondaires sans en tirer aucun bénéfice !

Présenté ainsi, ca donne moins envie ? 

Sur la question de l’efficacité des vaccins, je vous laisse vous forger votre propre opinion. C’est devenu un sujet tabou car des intérêts économiques gigantesques sont en jeu et comme si le jackpot d’aujourd’hui ne suffisait pas, les labos annoncent maintenant qu’il faudra faire une troisième injection, puis peut-être une par an, en raison des variants (ou en raison d’une extraordinaire rente financière) ?

De nombreuses personnes ne souhaitent pas servir de cobaye. La prudence est de mise. Cet avis est partagé aussi par le Pr Caumes mais aussi par de nombreuses personnes du milieu médical. Le 17 décembre on apprenait que deux soignants aux USA avaient eu des réactions allergiques sévères lors de l’administration du vaccin PFIZER, ainsi que de nombreuses autres personnes (sur une durée limitée).

Pour se détendre une petite vidéo du Dr Louis Fouché mettant en scène un dialogue entre un médecin et son patient. 

S’il est louable de vouloir apporter une solution à cette crise sanitaire, il faut rester prudent sur les nouvelles techniques vaccinales. Il est envisageable que les variants britanniques, sud-africains, brésiliens et américains soient des effets secondaires des essais cliniques du vaccin AstraZeneca. Nexus a enquêté : parmi les plus de deux cent projets de vaccins antiCovid en cours de développement clinique et pré-clinique, il existe à ce jour (mars 2021) 14 projets de vaccin à vecteur viral, d’après le site d’information suisse Infovac, dont seulement 4 ont atteint la phase 3 des essais cliniques.

L’approche “recombinante” de certains vaccins, qui bricole des « chimères OGM », c’est à dire des organismes viraux qui n’existaient pas auparavant, est instable, donc propice à se mélanger plus facilement à d’autres séquences génétiques virales. Elle laisse aussi des traces, des résidus de code génétique dans nos tissus. Elle peut aussi parfois intégrer le génome de l’organisme infecté.

Comme le rappellent deux chercheurs d’une unité INSERM/CNRS en 2016 : « Les vecteurs adéno-associés recombinants (AAVr) sont des outils particulièrement efficaces pour le transfert de gènes in vivo. […] Les AAVr sont capables de persister à long terme dans les tissus transduits, sous une forme transcriptionnellement active et majoritairement extra-chromosomique (ou épisomale). […] plusieurs études ont montré qu’une fraction non négligeable du génome AAVr pouvait également s’intégrer de façon non spécifique dans le génome de la cellule hôte, soulevant ainsi la possibilité d’évènements de mutagenèse insertionnelle. »

Cette « mutagénèse insertionnelle » et le potentiel explosif de ces cocktails génétiques, réaction inflammatoire et réponse auto-immune incluses, sont les grands risques pointés par le Dr Christian Velot, généticien moléculaire à l’université Paris-Saclay et président du conseil scientifique du Criigen, dans sa note d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM, diffusée en septembre 2020. Le risque d’apparition de virus recombinant « est encore plus grand dans le cas du recours à des virus génétiquement modifiés car ceux-ci apportent non seulement l’ADN ou l’ARN viral d’intérêt mais également une partie de leur propre génome, explique le chercheur de Saclay. « Il résulte de ces recombinaisons, entre matériels génétiques viraux, des virus dits “recombinants” dont le ou les gène(s) qui a (ont) été le site de ces échanges sont dits « mosaïques », c’est-à-dire constitués en partie de séquences provenant du virus 1 et de séquences provenant du virus 2. […] Dans un certain nombre de cas, ces virus recombinants sont beaucoup plus virulents que les virus d’origine et peuvent donc provoquer des viroses aggravées. »

Il est encore trop tôt pour en tirer des conclusions mais ces alertes doivent nous inciter à la prudence. Maintenons donc une veille technologique sur ces sujets. 

En parallèle, on notera que des vidéos comme “Plandemic” réalisée par la chercheuse en épidémiologie, Judy Mikovits ont été retiré rapidement des serveurs (plus de 7 millions de vues en seulement 3 jours). Parfois, les chercheurs dérangent…

Le 10 aout, la revue Nexus publiait un article “Médecins pour la vérité » : des médecins appellent à la mobilisation pour rétablir les faits sur l’épidémie de Covid-19″ qui est intéressant à lire. Une partie des vidéos a déjà été censuré par YouTube. 

Le 10 et 11 décembre 2021, 250 médecins ont fait le point de la situation COVID-19 à l’occasion du Doctothon : 24H de Live. Depuis le début de cette “crise sanitaire”, de nombreux scientifiques tentent de réinformer le public mais face à la propagande massive du gouvernement et des grands laboratoires, ces vidéos qu’on fait passer pour des “fakenews” sont effacées des serveurs YouTube, Facebook, LinkedIn, etc. 

La censure est rapide, dès qu’on ne va pas dans le sens de la doxa officielle. Voici quelques vidéos de scientifiques “dissidents”. Notre santé étant en jeu dans ce contexte de crise sanitaire, la science mérite un débat. A chacun de se forger une opinion. 

Mi janvier 2022, un doctothon plus centré sur les enfants fut organisé. Il était évoqué une augmentation de 300% des suicides chez les adolescents et une augmentation de 7000% des myocardites.

De scientifiques de renommée internationale mettent en garde également contre les vaccins à ARNm et sur la gestion de cette crise sanitaire. Parmi eux, Robert Malone et Luc Montagnier.

Robert Malone, se présente comme l’inventeur de la technologie ARNm mais il convient de relativiser un peu ses propos. Dans un article de l’institut Pasteur au sujet de cette technologie et ses origines, on lit que ce sont les chercheurs Jacques Monod et François Jacob qui ont, pour la première fois, émis et démontré le concept de ce mécanisme, dans un article publié en 1961, qui leur valut le Prix Nobel. Cependant, celle qui décidera de faire appel à cette technique à des visées thérapeutiques, c’est Katalin Kariko. Née en Hongrie en 1955, elle est, avec Drew Weissman, la première à avoir maîtrisé les réactions immunitaires liées à la transcription de l’ARN messager. Aujourd’hui c’est donc plutôt à elle qu’on attribue cette découverte.

Malone a effectivement été l’un des pionniers de cette technologie, dont la paternité est évidemment partagée par de nombreux chercheurs. Comme en atteste ce papier publié en août 1989, il fait partie de ceux qui ont essayé, au début des années 90, d’utiliser l’ARN afin qu’il puisse délivrer un message au système immunitaire. S’il a participé au développement de cette technologie via ses recherches, il n’est donc pas “l’inventeur” du mécanisme utilisé pour les vaccins contre le coronavirus mais on ne peut contester sa bonne maitrise du sujet. 

Malone alerte sur la protéine Spike. Pour rappel, cette protéine de pointe (“spike” en anglais) se trouve normalement à la surface du virus responsable du Covid-19. Or, les vaccins utilisant la technologie ARNm envoient une instruction génétique chez la personne inoculée afin qu’elle produise cette fameuse protéine de pointe. Malone fait référence à une étude réalisée sur des hamsters. Un document déjà utilisé par le passé pour alerter sur la potentielle toxicité des vaccins. Cette étude ne montre pas véritablement la dangerosité des vaccins ARNm. Elle montre que la protéine de pointe du covid-19 est “cytotoxique”. Les chercheurs écrivent ainsi que “les anticorps générés par la vaccination et/ou les anticorps exogènes” protègent non seulement contre l’infectivité, mais également “contre les lésions endothéliales provoquées par la protéine Spike”.

Cela dit, les mois de recul sur l’injection des vaccins ARNm montrent que ces derniers sont globalement inefficaces et parfois dangereux. Le gouvernement a pourtant fait le choix d’une politique sanitaire 100% axée sur la vaccination ARNm. Pire, il a interdit aux médecins de soigner avec d’autres médicaments en bloquant l’Hydroxychloroquine, l’Ivermectine et l’Azithromycine, qui on pourtant donné de bons résultats partout où ils ont été utilisé. C’est à se demander si notre gouvernement souhaite vraiment que les Français se soignent ou s’il souhaite juste nous forcer à nous injecter ce sérum. 

Luc Montagnier, biologiste, virologue et Prix Nobel de médecine alerte également depuis le début de cette crise sur les dangers de la vaccination. Il signale notamment un risque d’augmentation de la maladie de Creutzfeldt-Jakob si on poursuit les injections. Cette maladie est pourtant très rare mais augmente considérablement depuis la vaccination ARNm. On peut la mettre en évidence uniquement en procédant à une autopsie. Evidemment, on décourage vivement les familles de demander une autopsie. 

Le Pr Montagnier parle de “bombe à retardement”, tout en soulignant que la vaccination actuelle ne fonctionne pas. Ce n’est pas le virus qui provoquera la chute de l’humanité par la corruption généralisée. 

Ci-dessous, une interview de Jean-Michel Claverie, virologue et fondateur de la Société Française de Virologie, et de Stéphane Gayet, médecin infectiologue et hygiéniste au CHU de Strasbourg.

Ci-contre une déclaration du Dr. Ryan Cole. Il critique le lien entre certains grands labo et le domaine public et témoigne de l’efficacité de l’Ivermectine. Il précise que la mortalité diminue de 70% à 90% avec ce médicament, si celui-ci est donné à temps.