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COVID19 – Les recherches en cours

by 9 janvier 2022

En fait, que ce soient pour les traitements, pour les solutions de protection ou pour les mesures de déconfinement, il n’y a pas un jour sans que nous soit révélé un traitement miracle tout de suite contredit.

Les chercheurs sont sur le pied de guerre car il y a évidemment de forts enjeux financiers. Dans le n°1234 de Science & Vie (août 2020), on dénombrait 28.000 études scientifiques consacrées en 5 mois au SARS-CoV-2.

Certains recherches s’orientent sur un médicament, d’autres sur un vaccin. D’autres sont encore plus générales.

Des recherches générales

Début janvier 2021, un article nous apprenait que des scientifiques français avaient réussi à leurrer le virus SARS-CoV-2 et à le neutraliser à l’aide de vésicules extra-cellulaires. Cela semble une piste de traitement intéressante contre la Covid-19.

Début aout 2021, des chercheurs suisses annonçaient que les personnes affectés par la Covid avaient toutes un indice glycémique problématique. « Une glycémie élevée favorise pratiquement chaque étape de l’infection virale, depuis son apparition dans les poumons jusqu’ aux complications graves telles que le syndrome de détresse respiratoire aiguë, la défaillance multiple d’organes ou les accidents thrombotiques ». 

Des études scientifiques ont exploré la piste génétique. Elles cherchaient à comprendre pourquoi certaines personnes sont plus affectées que d’autre par le Covid19. Une étude avait mis en évidence un gène qui multiplie par deux les risques de mourir d’une contamination par le SARS-CoV-2. Ce gène est présent chez 61 % des Asiatiques tandis qu’il est présent chez seulement 16 % des Européens. Une autre étude suggérait que les personnes qui expriment le plus les gènes TYK2 et CCR2, impliqués dans la réponse inflammatoire, ont plus de risques de mourir de la Covid-19.

Un nouvel article, publié le 13 janvier 2022 dans la revue Nature, explique que c’est un segment d’ADN codant pour des gènes du système immunitaire qui protègerait des formes graves de la Covid-19. Le segment d’ADN concerné serait situé sur le chromosome 12, dans la région chromosomique 12q24.13. Posséder le segment protecteur réduit de 23 % le risque de faire une forme critique de la maladie. Plus intéressant encore, 80 % des personnes d’origine africaine seraient porteuses du fragment protecteur. Ce qui pourrait expliquer pourquoi le virus est moins dévastateur sur ce continent. Le segment protecteur fait 75 kb et code pour trois gènes : OAS1, OAS2 et OAS3, des gènes du système immunitaire. Chez les personnes porteuses de la variante protectrice, la protéine issue du gène OAS1 serait 60 % plus longue. Celle-ci a pour mission de décortiquer le SARS-CoV-2. Plus elle est longue et plus elle est efficace dans son combat contre le virus. Ces résultats intéressants restent à confirmer par d’autres études et peut-être par une analyse génétique des personnes infectées classées par mutation.

Le 17 février 2022, une étude européenne et canadienne (en préprint) découvre un nouveau récepteur hôte humain du SRAS-CoV-2 appelé LRP1 et le considère comme un facteur hôte qui prend en charge diverses étapes du cycle d’infection d’un large spectre de virus à ARN.

Les médicaments

Une des pistes initiales de traitement, en début de pandémie, reposait sur un médicament, baptisé « Remdesivir ». Initialement conçu pour lutter contre le virus Ebola, il avait montré des signes encourageants sur des patients infectés par le coronavirus dans des études financées… …par les labos. Anthony Fauci, le directeur de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAD) annonçait au début de la pandémie que le Remdesivir aurait des effets bénéfiques significatifs chez les patients Covid-19. Cependant, une autre étude publiée dans le même temps dans le journal The Lancet par une équipe chinoise est venue légèrement tempérer cette annonce : le Remdesivir n’aurait pas d’efficacité significative chez les patients sévères. Le traitement est passé par la phase d’essais cliniques mais n’a pas donné de résultats probants. Pourtant, d’autres études qui sont sorties plus récemment et pour lesquelles les auteurs ne sont pas totalement « indépendants » tentent de prouver le contraire.

La Haute Autorité de Santé a déclaré le 26 septembre 2020 qu’aucun bénéfice clinique n’a été suggéré avec le Remdesivir. La Commission Européenne avait commandé au laboratoire GILEAD en juillet 2020 pour 63 millions d’euros de doses de Remdesivir afin de soigner le COVID-19, même si aucune étude ne prouvait son efficacité et même que certaines études ont prouvé son inefficacité. Un nouvel article sorti le 08 octobre 2020 détaille cette commande de 500.000 doses. Le Remdesivir ne sera donc plus pris en charge par notre système de santé. L’OMS a même déconseillé le traitement des malades du Covid19 par ce médicament. En juin 2021, on apprenait même qu’il serait à l’origine de problèmes cardiaques.

Pourtant, même jugé inefficace, il pourra être délivré aux Français, et sera distribué à titre gratuit aux pays les plus touchés par la Covid-19 ! Etonnant, non ? L’industrie pharmaceutique aurait-t-elle oublié la devise « Primum non nocere » ?

Fin juillet, on apprenait qu’à Lyon, des pistes sont dignes d’êtres suivies pour la mise au point de certains médicaments, notamment une association de deux médicaments.

Un essai clinique visant à transfuser du plasma sanguin de patients guéris à des malades en phase aiguë de la maladie a été mené en France (après la Chine et l’Italie). De nombreux essais d’antiviraux connus ont été réalisés dès le début de l’épidémie, en Chine. Le Remdesivir et l’association lopinavir/ritonavir avec de l’interféron (ou non) furent au cœur de l’essai européen Discovery débuté le 22 mars 2020, piloté depuis la France et qui devait inclure 3 200 patients (dont au moins 800 Français).

Enfin, d’autres pistes sont examinées, comme celle consistant à tester l’efficacité d’autres médicaments contre la Covid-19. Parmi les candidats possibles, la chloroquine, généralement utilisée contre la malaria, a été l’objet de nombreux débats. L’hydroxychloroquine a été incluse au dernier moment dans l’essai, notamment en cours au CHU de Nantes. Ce dérivé de la quinine est actuellement l’objet de nombreuses études, dont celles réalisées à Marseille par le Pr Raoult.

les premiers débats critiquaient le manque de rigueur de la méthodologie du professeur Didier Raoult, infectiologue, patron de l’IHU Méditerranée Infection de Marseille. Le débat est vite devenu passionné et politique, le tout dans un climat d’hystérie. La plupart des détracteurs semblaient avoir plutôt pour objectif de casser la réputation du professeur Raoult, que de produire des arguments scientifiques de qualité.

Bien souvent, les « solutions scientifiques » proposées par les labos sont pour le moins discutables. Big Pharma oriente clairement la production des articles de recherches pour satisfaire ses propres intérêts.

Les médecins eux-mêmes, souvent invités sur les plateaux TV, ont parfois quelques intérêts dans telle ou telle solutions. A titre d’exemple, et ce n’est pas le seul, le Dr Martin Blachier fait partie d’une société spécialisée dans la modélisation des stratégies médicales et sanitaires, Depuis sa création en 2012, Public Health Expertise a reçu exactement 882.205 € des grands groupes pharmaceutiques dont 120.600 € de Gilead, le fameux promoteur du Remdesivir. Des sommes publiées sur Eurofordocs. Rappelons d’ailleurs l’implication financière de Gilead dans la Spilf, structure qui a récemment porté plainte contre le Pr Raoult…

Voir ce mini reportage sur ce sujet.

Cependant, ce même Dr Blachier exprime aussi des doutes sur les chiffres communiqués par la propagande gouvernementale et ne trouvait pas d’explication rationnelle au couvre-feu instauré dans quelques grandes métropoles.

D’autres médecins, comme Nicole Delépine, expriment un point de vue contraire aux positions du gouvernement : « 90% des tests dits positifs ne sont pas des gens symptomatiques, ce sont dans 90% des traces de virus qu’on a rencontrées un jour. Et ce n’est pas moi qui le dis, je ne suis pas la complotiste qu’on veut bien dire. Je répète ce qu’a dit le New-York Times. Y’a des jeunes qui y vont trois ou quatre fois dans la semaine, ça ressemble à rien. On a quand même conditionné une phobie de ce virus« .

On est loi de la décision rationnelle partagée par tous. Le « 1+1=2 » n’existe pas en médecine et encore moins dans les décisions de nos dirigeants. Rappelons aussi qu’un préfet, représentant de l’Etat, a accepté un rassemblement de 700 évangélistes venant de toute la France…

Le 22 mai 2020, la revue scientifique « The Lancet » publiait une étude mettant en exergue la dangerosité de la chloroquine, ce qui a conduit l’OMS a arrêter les essais. Cette étude, basée essentiellement sur le Big Data a fait l’objet de nombreuses controverses. Le 3 juin 2020, The Lancet émettait des doutes sur la fiabilité de l’étude publiée… Les scientifiques se sont décrédibilisés une fois de plus avec cette étude publiée dans la précipitation. Après enquête, la société qui produisait les données a été considérée comme « douteuse » et les analystes comme étant des détracteurs de la chloroquine puisqu’ils avaient des intérêts dans le développement du médicament concurrent. On apprenait le 29 octobre 2020 que cette affaire se réglera en justice. le Pr Raoult reproche aux autorités sanitaires et politiques de « cacher quelque chose » et de favoriser l’antiviral Remdesivir (Gilead) au détriment de l’hydroxychloroquine, ce que démentent les organismes et personnalités visés. Un juge pénal interviendra pour savoir s’il n’y a pas quelques accointances de membres de l’ANSM avec des gens du laboratoire Gilead [qui commerciale le Remdesivir]. L’ANSM fait souvent l’objet d’articles pointant du doigt différents scandales, comme celui du Levothyrox.

Pour autant, l’affaire de l’hydroxychloroquine n’est pas terminée. Un chercheur montpelliérain, Hervé Seitz, biologiste moléculaire, publie en mai 2021 une synthèse démontant les études du professeur marseillais. Il faut historique un de ses premiers détracteurs. C’est bien connu, les experts ne sont jamais d’accord entre eux. Les faits ont montré que l’IHU de Marseille a obtenu de très bon résultats. Il en est de même à New York avec le Dr. Zelenco.

Les intérêts financiers étaient tels, dans cette crise sanitaire que les grands labos n’ont pas hésité à rendre un produit subitement toxique alors qu’il était administré des milliards de fois ! Un billet de MediaPart écrit par le toxicologue Jean-Paul Bourdineaud conteste la supposée toxicité de l’Hydroxychloroquine et de l’Ivermectine, explique la raison de leur bannissement, et développe la notion de controverse scientifique ; il met en lumière le rôle des conflits d’intérêts et le problème de l’évaluation des risques par les agences de régulation, qui ont abouti à l’unique solution vaccinale.

Parmi les pistes solide d’un médicament, le XAV-19, développé à Nantes par la startup Xenothera, permettrait de limiter les effets pulmonaires du coronavirus. Il serait basé sur une technologie de production d’anticorps polyclonaux protecteurs, qui se rapprochent de la réponse naturelle de l’homme. Ce médicament protégerait durant plus de dix jours, il diffuse dans les poumons, et empêche en particulier la pneumonie. La France en aurait commandé 30 000 doses.

Cela ne devrait pas nous surprendre car selon les récentes révélations de Médiapart, plusieurs médecins issus des deux conseils scientifiques présentent des conflits d’intérêts avec divers laboratoires pharmaceutiques. Les laboratoires Roche, BioMérieux, Sanofi, et AbbVie sont notamment cités. Comment le gouvernement pourrait-il ignorer cela ? De « mauvais esprits » pourraient y voir une forme de complicité.

Début juillet 2020, une autre étude américaine concluait dans le sens de l’hydroxychloroquine. L’article publié dans International Journal of Infectious Diseases est disponible sur ce lien. On notera que cet article a été moins relayé par la presse que ne l’a été la première étude du Lancet qui critiquait le même produit. Mais n’en tirons aucune conclusion désagréable.

Début aout 2020, un dossier de France Soir analyse les attaques subies par l’hydroxychloroquine. En résumé, soyons clair, c’est un médicament probablement efficace qui n’est pas assez cher donc qui n’intéresse pas l’industrie pharmaceutique qui voudrait nous faire payer évidemment une fortune pour un traitement bidon, comme ils savent le faire pour le cancer. Un traitement à base de Remdesivir coûte 2500€ par personne alors que l’hydroxychloroquine ne coûte pas cher. On comprend donc l’intérêt de l’industrie pharmaceutique dans cette affaire.

Selon un autre article de France Soir, il n’est pas impossible que certains de nos dirigeants nous ait caché des choses… L’hydroxychloroquine était un médicament utilisé depuis des années. Subitement, il devient toxique. L’ANSM a même refusé une recommandation temporaire d’utilisation. Le Docteur Renaud Muselier et Président de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur est monté au créneau et a adressé une lettre à Olivier Véran. Il écrit notamment qu’en refusant d’accorder une recommandation de hydroxychloroquine contre la Covid-19, l’ANSM va à l’encontre des principes fondamentaux de la médecine.

Le 23 février 2021, France Soir, dont les articles dérangent, publiait une information sur une étude qui révélait aussi un effet important de l’hydroxychloroquine.

Un article de JAMA, datant du 13 avril, montrait que les pistes de traitements proposées jusqu’alors ne semblaient pas efficaces. Que ce soit la chloroquine ou l’hydroxychloroquine, la combinaison lopinavir/ritonavir et les autres anti-rétroviraux, les anti-viraux classiques, les immunomodulateurs, les corticostéroïdes ou encore le plasma de personnes convalescentes, aucun de ces traitements n’a fait ses preuves de manière suffisamment robuste pour que l’on puisse clairement le généraliser et avoir une idée précise de sa balance bénéfices/risques.

De son côté, Ancha Baranova, biologiste à l’Université américaine George Mason, explique qu’un nombre suffisant de personnes disposera d’anticorps aptes à faire face au virus lorsque 70% environ de la population sera tombée malade et aura guéri. Les cas de contamination ne seront alors plus aussi massifs, la population ayant développé une immunité.

Ce point de vue ne semble pas partagé par tout le monde. En date du 17 avril 2021, les dernières découvertes sur le coronavirus laissaient à penser que les anticorps développés par les malades n’auraient pas forcément d’effet protecteur durable et efficace contre la Covid-19… En effet, le Pr Jean-François Delfraissy, immunologiste et président du Conseil scientifique, avait émis des réserves sur la capacité de l’organisme des personnes infectées à développer des anticorps les protégeant efficacement et durablement du coronavirus. « Ce virus est très particulier. Nous avons remarqué que la durée de vie des anticorps protecteurs contre la Covid-19 est très courte. Et nous constatons de plus en plus de cas de récidives chez des personnes qui ont déjà eu une première infection ». Cependant, une expérience chinoise récemment publiée montre qu’il y aurait globalement une bonne réponse immunitaire humorale (anticorps) et cellulaire (lymphocytes) chez les patients guéris de la Covid-19. De quoi réduire un peu les incertitudes à ce sujet. deux études indépendantes, canadienne et américaine, publiées le 8 octobre 2020 dans la revue Science Immunology, indiquaient que les anticorps spécifiquement dirigés contre le SARS-CoV-2 persistent au moins trois mois chez des patients Covid-19 après le début des symptômes.

de nouvelles données étaient disponibles sur la persistance des anticorps anti-SARS-CoV-2. Fin octobre 2020, une étude nous apprenait que les personnes asymptomatiques perdent plus rapidement leurs anticorps.

Depuis, la presse scientifique nous apprenait le 4 aout 2021 que l’efficacité du vaccin Pfizer/BioNTech diminuerait de 6 % tous les deux mois.

Le 27 avril 2021, l’APHP annonçait que le tocilizumab, un médicament modulant l’immunité, améliorerait le pronostic des cas sévères de Covid, selon des résultats préliminaires. Des essais cliniques sont en cours pour freiner la production massive et toxique de cytokines chez certains patients.

Mi juin 2021, nous apprenions que dans le cadre du vaste essai clinique Recovery, un puissant anti-inflammatoire, la dexaméthasone, a montré des résultats très encourageants en réduisant le risque de décès chez les patients présentant de graves complications respiratoires. Déjà disponible et peu coûteux, ce médicament, d’ores et déjà administré au Royaume-Uni, devrait servir de traitement de base pour soigner la Covid-19. Affaire à suivre.

Autre recherche en cours : Une étude réalisée au Royaume-Uni et publié début septembre suggère que l’hydrocortisone permettrait d’augmenter « les chances de survie ».

le 22 novembre 2020, l’Agence américaine des médicaments (FDA) approuve en urgence le REGENERON, cocktail d’anticorps de synthèse qui aurait été administré à Donald Trump. Une thérapie similaire développée par le laboratoire américain Eli Lilly avait déjà obtenu ce statut le 9 novembre. Regeneron a déjà conclu plusieurs contrats avec le gouvernement américain, dont un à 450 millions de dollars, pour fabriquer des doses à grande échelle aux Etats-Unis. Le gouvernement a aussi annoncé fin octobre l’achat de 300.000 doses du traitement de Lilly pour 375 millions de dollars, soit 1250 dollars la dose… No comment.

En décembre 2020, une nouvelle piste semblait prometteuse : le molnupiravir. Il s’agit d’un antiviral, aussi appelé MK-4482 / EIDD-2801. Ce médicament est, à l’origine, un antiviral utilisé pour combattre la grippe. Des recherches ont été menée, notamment à l’Institut des sciences biomédicales de la Georgia State University. En octobre 2021, on apprend que le Molnupiravir agirait en favorisant la mutagenèse du SARS-CoV-2, ce qui signifie que ce médicament favoriserait la modification de l’information génétique d’un SARS_CoV_2 par la production d’une mutation. Il s’agirait d’un traitement oral. Problème : « Ce médicament fonctionnant en perturbant la mitose ou la méiose de l’hôte, il est à craindre que « des mutations dans l’ADN de l’hôte puissent contribuer au développement de cancers ou provoquer des malformations congénitales soit chez un fœtus en développement soit par incorporation dans les cellules précurseurs du sperme… » (Wikipedia). En outre, Raymond Schinazi, chimiste de l’Université Emory, a longuement étudié l’ingrédient actif de l’EIDD-2801. Interrogé par la revue Science, il rappelle que Pharmasset a abandonné en 2003 cette molécule, parce qu’elle était mutagène. Un article publié le 01/08/21 dans The Journal of infectious Diseases explique effectivement que ce médicament est mutagène pour les cellules de mammifères ».

Début juin 2021, une étude approfondie identifie 13 médicaments anti-COVID potentiels. Israel semble avoir mis au point un médicament intéressant à base de cellules souches, qui nécessiterait trois injections. Dans la première phase des essais cliniques de l’hôpital Rambam de Haïfa en Israël, le nouveau médicament a montré sa capacité à soulager le choc cytokinique, à normaliser le système immunitaire et à prévenir les conséquences graves de la maladie, a déclaré le Dr Shadi Hamoud, qui a effectué les tests.

Le 11 aout 2021, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé le lancement prochain de nouveaux essais cliniques dans le monde pour mesurer l’efficacité contre la COVID-19 de trois traitements supplémentaires : l’artésunate, l’imatinib et l’infliximab.

Le 24/09/21, l’OMS recommandait un troisième traitement, celui de Regeneron. Selon un avis des experts de l’Organisation mondiale de la santé publié dans le « British Medical Journal », ce traitement est recommandé seulement dans des cas bien précis.

En novembre 2021, la presse scientifique nous apprenait que le Paxlovid (molécule développée par Pfizer) serait efficace à 89 % pour prévenir le risque d’hospitalisation ou de décès après une contamination au SRAS-CoV-2. Ces chiffres sont évidemment produits par Pfizer, entreprise déjà condamnée pour pratiques frauduleuses et bien connue pour sa générosité envers les partis politiques.  

Dans l’attente d’un médicament plus spécialisé, tous les patients qui ont été pris en charge par un cocktail d’Ivermectine, d’Azithromycine, de Rubozinc (ou autre complément à base de zinc) et de Cholécalciférol (ou autre forme de vitamine D) se sont très bien rétablis et les témoignages sont légion. 

Les vaccins

On comptait à une époque 237 projets de vaccins contre le Covid-19 dans le monde, développés selon des techniques très différentes (vaccins à virus, vaccins à vecteur viral, vaccins à protéines, vaccins à matériel génétique). Tous n’ont pas abouti, non pas en raison d’un échec scientifique mais plutôt en raison d’un manque de puissance économique pour contrer les « mastodontes » qui étaient déjà en place. 

En début de pandémie, les États-Unis ont proposé un vaccin, reposant sur l’information contenue dans « l’ARN messager », une copie d’une portion d’ADN servant à la synthèse des protéines des cellules.  

Des travaux de recherche se sont lancés dans de nombreux pays. C’était le cas, en France, avec le groupe pharmaceutique Sanofi. Les recherches portaient sur une « technologie de recombinaison de l’ADN », déjà utilisée pour son vaccin contre la grippe.  

Jusqu’alors, il fallait 10 ans pour développer un vaccin et le mettre sur le marché. Compte tenu de « l’urgence » de la situation, on a demandé aux industries pharmaceutiques de produire une solution en moins de 18 mois. Bien entendu, il n’est pas possible de tester tous les effets secondaires en aussi peu de temps. De ce fait, une loi protège le gouvernement de toute action en justice. L’industrie pharmaceutique européenne a également assuré ses arrières en obtenant une protection financière de l’UE en cas de problèmes avec les futurs vaccins. Les fabricants seront donc à l’abri de toute action entreprise contre d’éventuels effets secondaires. Au Brésil, il en est de même, Le Guardian révélait une fuite d’un document d’approvisionnement évoquant des clauses pour protéger la société pharmaceutique américaine PFIZER d’une action en justice en cas d’effets secondaires graves. Dans son accord de 1 milliard de dollars avec Pfizer Export BV, signé en mars, malgré ses plaintes antérieures, le gouvernement brésilien a accepté qu’une décharge de responsabilité soit signée pour tout effet secondaire possible du vaccin, exemptant Pfizer de toute responsabilité civile.

Des rumeurs ont parlé d’une vaccination probablement obligatoire en Espagne et en Belgique. Finalement, on apprenait le 23/10/21 que non seulement la Cour constitutionnelle en Espagne a retoqué le Pass et l’obligation vaccinale, mais en plus la justice a exigé le remboursement de toutes les amendes dressées aux Espagnols lors de l’Etat d’urgence.

En France, trois décrets publiés début décembre 2020 au Journal Officiel créent la polémique et l’inquiétude des défenseurs des libertés : surveillance actée des activités sur ces réseaux avec possibilité de recueil des pseudonymes et identifiant, pas les mots de passe, uniquement les informations mises en ligne volontairement en source ouverte…

Ceux qui passaient pour des « conspirationnistes » ont fait remarquer que nous allions arriver très rapidement à une obligation de vaccination fait, puisque sans cette vaccination, il ne serait plus possible de voyager, d’aller au théâtre ou même d’inscrire ses enfants à l’école, etc. L’histoire leur a donné raison puisqu’un pass vaccinal a été mis en place en France et qu’un projet de loi, porté par M. Jomier, sur la vaccination obligatoire fut débattu au Sénat (finalement rejeté). Les parlementaires socialistes prônaient depuis l’été 2021 « l’obligation progressive d’une vaccination universelle » contre ce virus. Le texte, examiné en première lecture dans le cadre d’une « niche » parlementaire du groupe, entendait compléter l’article du code de la santé publique relatif à l’obligation des vaccinations antidiphtérique et antitétanique pour y ajouter la vaccination contre le Covid-19. Trompés par les études financées par les grands laboratoires, les sénateurs socialistes partaient de l’axiome « les vaccins sont efficaces et sans danger ». Ils évoquaient notamment le côté « altruiste » du vaccin, ce qui sur le fond pourrait être un argument à retenir, mais dans la pratique pas adapté aux vaccins proposés actuellement. En effet, on sait depuis des mois que les personnes doublement vaccinées ne sont que très peu protégées contre le virus et qu’elles ne participent pas à la réduction de la transmission. Le lobbying des grands labos est encore particulièrement puissant. Rappelons que Pfizer a financé le parti socialiste depuis des années. 

Attention aussi aux « analyses rapides » des réseaux sociaux. On trouve par exemple des critiques sur le fait que la vaccination ne soit pas obligatoire à l’Assemblée ou au Sénat. C’est exact mais car on ne peut empêcher un parlementaire d’accéder à l’hémicycle, pour éviter un dysfonctionnement démocratique. Ce n’est pas nécessairement parce que nos « élites » veulent éviter la vaccination. En revanche on a récemment interdit l’accès au Parlement Européen à certains députés non vaccinés. 

Les vaccins qui sont produits (voir comment l’entreprise Moderna utilise l’ARN modifié pour reprogrammer une cellule souche du corps pour en modifier la fonction) ne font pas que proposer une souche de virus à votre corps pour qu’il produise des anticorps. Certains spécialistes explique que c’est beaucoup plus technologique qu’il n’y parait. Des nanotechnologies figureraient dans ces nouveaux vaccins qui permettraient de capter et d’envoyer des informations à votre corps. Difficile de savoir pour le moment qui dit vrai.

On nous a expliqué en début de pandémie que le vaccin à ARN était sans danger, puisqu’il ne pénétrait pas dans le noyau de nos cellules. En théorie, c’est vrai mais sur des centaines de milliers de personnes vaccinées, un doute a rapidement émergé. Une sécurité à 100% n’existe probablement pas. En juin 2020, Alexandra Henrion-Caude, généticienne, directrice de recherche à l’IRSEEM avait émis un doute. En Février 2022, un article de recherche Il s’est avéré qu’un cas a fait l’objet d’un article prouvant que c’était possible. 

Les députés européens ont réclamé de la transparence et ont demandé la communication de la composition des vaccins. Leur demande est restée lettre morte. Des virologues ont cependant travaillé sur ce sujet et ont pu produire le document ci-contre, présentant la composition très probable des vaccins ainsi que leur dosage. 

Le site PHMT (Public Health and Medical Professionals for Transparency Documents) s’est monté partageant des données PFIZER pour le « grand procès ».

Autres documents intéressants, les analyses de Christine COTTON, biostatisticienne sur les essais PFIZER.

Quant au dosage des vaccins, un cabinet d’avocats américain a étudié les documents que Pfizer a été contraint de rendre public, sur ordre de la justice. Il a été découvert le principe actif varie de 3 à 100 selon les numéros de lot. Cela pourrait expliquer pourquoi certains ont des effets secondaires et d’autres pas. Dans le cadre d’une expérimentation, il est en effet normal que les labos tentent différents dosages en parallèle d’un groupe placebo. Les tests avant mise sur le marché d’un nouveau médicament coûtent très chers aux labos. Ce qui semble le plus choquant, c’est que l’expérimentation est cette fois à l’échelle mondiale et gratuite ! Nous sommes les cobayes et nous ne pourrons poursuivre personnes en cas d’effets secondaires (selon les contrats signés au niveau européen). Nous sommes témoins de la plus grande escroquerie sanitaire de tous les temps avec un système de lobbying puissant au niveau mondial (et très probablement un niveau de corruption encore jamais atteint). 


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Composition et dosage des vaccins

Le principe général de la vaccination par ARNm est expliqué dans une vidéo du journal Le Monde (ci-contre). Il est expliqué qu’il n’y a pas de danger pour l’ADN. L’INSERM l’affirmait également. Une étude viendra démentir ces affirmations. Elle a permis d’établir la capacité du vaccin Pfizer de modifier le génome humain avec de très graves conséquences. En moins de 6 heures il pénètre et modifie les cellules à l’origine de l’hépatite C et du cancer du foie… L’ARN peut devenir ADN chez des personnes porteuses d’un rétrovirus qui donne la reverse transcriptase. 

On parle de Transcription inverse intracellulaire quand de l’ARN viral  infecte et transforme l’adn du contaminé. Concrètement, l’Arn de la spike injecté via le vaccin pour permettre la création d’anticorps aurait un effet très grave, il infecterait l’ADN du malade comme le fait le virus du sida.

https://www.youtube.com/watch?v=3W7qxUGB5ZQ

Cet article publié dans le PNAS décrit l’intégration du SARS-COV-2 dans le génome de cellules humaines, in vitro. Ce travail est à confirmer chez des patients infectés. Il interroge sur l’éventuelle intégration de l’ARNm utilisé par certains vaccins.

Il est intéressant de comprendre le mécanisme du vaccin. Une page de Heidi News présente un article intéressant sur le sujet. Une autre vidéo est proposée sur ce lien par l’Association des Victimes du Coronavirus.

L’homme est capable aujourd’hui de provoquer ces changements génétiques. A titre d’exemple, un test a été réalisé récemment sur des moustiques génétiquement modifiés, d’abord en Afrique puis plus récemment en Floride. C’est probablement une première étape pour tester le concept. On est aujourd’hui capable d’exterminer une espèce complète par la reconnaissance de son ADN. Méfiance donc sur l’usage de ces nouveaux vaccins car nous n’avons aucune recul sur les effets secondaires à moyen ou long terme.

Comment justifier l’usage massif d’un vaccin ? en bloquant toutes les recherches sur un médicament qui permettrait de trouver une parade contre le virus ou en discréditant ceux qui proposent une autre solution peu onéreuse comme Didier Raoult.

Comment savoir si vous vous administrez le vaccin ? Certains évoquent une enzyme bioluminescente. Grâce à un simple détecteur, on pourrait obtenir une emprunte génétique (un modèle numérique) qui permettra de savoir ou pas si vous avez été vacciné. Cela vous donne une identification numérique, une sorte de code-barre.

Cela ne sera pas nécessaire car le passeport vaccinal entre en vigueur en France à l’été 2021, même s’il a été retoqué par l’Assemblée Nationale en premier lieu. On remet aujourd’hui aux personnes vaccinées un certificat composé d’un code barre, codant nom, prénom, date de naissance et date de vaccination. Sputnik écrivant en gros titre « Le pass sanitaire français ressemble beaucoup à ce que propose Davos, qui est la mise en place d’un système de traçage ». De nombreux partis politiques, dont le RN, s’y opposent. Des manifestations ont eu lieu dans toute la France regroupant des antivax, des vaccino-sceptiques et même des personnes vaccinées qui souhaitent défendre les fondamentaux de la liberté. Des soignants et des pompiers participent aux manifestations. 

Ha, ces merveilleux vaccins… Pendant que les autres industries s’écroulent, l’industrie pharmaceutique est en pleine croissance.

Des chercheurs de plusieurs pays ont lancé, ou s’apprêtent à le faire, des essais cliniques de grande ampleur afin de déterminer si la vaccination par le BCG (appellation courante du vaccin bilié de Calmette et Guérin) offrirait une protection – au moins partielle – contre la Covid-19.

Mettre au point un vaccin nécessite du temps et une rigueur méthodologique. Actuellement, les étapes sont raccourcies, notamment pour des enjeux politiques.

A ce jour, dans la recherche d’un vaccin, sur les 169 candidats vaccins développés dans le monde, 5 entreprises sont en tête : l’Anglais AstraZeneca, deux Américains Moderna et Pfizer, deux sociétés chinoises, Sinovac et Sinopharm. Elles ont commencé les essais sur de très grands échantillons et sont entrées en phase 3, une étape essentielle pour vérifier l’efficacité d’un vaccin.

Le 13 juin, on apprenait que quatre pays européens ont signé un accord de principe avec le groupe pharmaceutique AstraZeneca afin de garantir la fourniture à l’ensemble de l’UE de plusieurs centaines de millions de doses, en cas de découverte d’un vaccin… Donald Trump, souhaitait un vaccin pour début novembre 2020 en raison de la proximité des élections.

Manque de chance, le laboratoire AstraZeneca annonçait le 08 septembre 2020 une mise en pause des essais cliniques de son vaccin expérimental contre le coronavirus développé en partenariat avec l’université d’Oxford, qui venait de démarrer sa phase 3 dans plusieurs pays. Selon le laboratoire, il s’agissait « d’une action de routine qui se produit quand il y a une possible maladie inexpliquée lors d’un essai clinique ». Cette annonce était donc un coup dur pour Donald Trump. Les Etats-Unis en avaient acheté 400 millions de doses. Mais comment peut-on passer des précommandes d’un produit donc on ignore tout ? Les recherches sur ce vaccin se sont néanmoins terminées.

A noter qu’il en est de même pour un médicament, l’anakinra (nom commercial Kineret), qui avait donné des résultats « encourageants » : des essais sont arrêtés en France le temps d’expliquer une surmortalité (annonce du 29/10).

Notons aussi une autre piste de recherche : La start-up Codagenix envisage d’injecter un virus vivant mais « désoptimisé » dans l’organisme pour induire une réponse immunitaire plus forte qu’avec un vaccin classique. Cette approche présente beaucoup d’avantages mais certains la jugent trop risquée.

A noter qu’au 19 avril, des chercheurs, originaires d’Australie et de Taïwan ont commencé à suspecter des mutations possibles du virus. On apprenait le 29 avril que des chercheurs chinois de l’université de Zhejiang en Chine avait découvert que, non seulement le virus a une propension importante à muter, mais que certaines mutations induisent une dangerosité bien plus élevée. Certaines ainsi 270 fois plus agressives que d’autres.

Le 01 sept 2021, la presse évoquait les déclarations d’un scientifique de Singapour qui estimait qu’une mutation aurait rendu le virus plus infectieux mais moins virulent. Encore une fois, les avis des scientifiques divergent.

Certaines mutations, comme la 20A.EU1, provenant d’Espagne, semblent virulentes. C’est en tout cas ce qu’affirment des chercheurs Suisse dans une publication de MedXRiv.

Le 09 septembre 2020, le Professeur Didier Raoult, expliquait qu’il avait déjà identifié 7 « mutants » qui ont circulé, ce qui n’est d’ailleurs « pas forcément une mauvaise nouvelle », résumant la situation par ces mots : « ça va mal pour la bestiole ». Il dit s’interroger sur un possible lien entre la modification des génomes depuis juillet et la mortalité plus faible qu’en mars.

Le 06 octobre 2020, le directeur de l’IHU Méditerranée Infection a évoqué sur CNews une nouvelle variante du coronavirus, «moins bénigne que la précédente» qui datait de «juillet-août».

Une mutation génétique du Sars-CoV-2 (20A.EU1) se propage rapidement en Europe depuis cet été. Provenant d’un événement super-propagateur en Espagne, elle s’est diffusée via les touristes et c’est désormais la souche dominante dans la plupart des pays qui enregistrent une forte deuxième vague. Les auteurs de l’étude expliquent qu’il a suffi de quatre introductions initiales de 20A.EU1 dont trois directement originaires d’Espagne pour aboutir au résultat que l’on connaît aujourd’hui.

L’application Covid Symptôme Study, éditée par la société Zoe en partenariat avec le King’s College de Londres et disponible au Royaume-Uni, aux États-Unis et en Suède, enregistre tous les symptômes rapportés par les utilisateurs. À partir des données de 1.653 patients, les chercheurs du King’s College ont pu identifier des « clusters » de symptômes reflétant chacun une forme particulière de Covid. Selon leur étude publiée sur le serveur MedRxiv, il existerait six formes de Covid-19 en fonction des symptômes et de leur durée, allant de la plus bénigne à la plus sévère. Plus d’info sur le site Futura Santé.

A ce propos, les informations sont également contradictoires. Le 25 juillet 2020 : deux jeunes étudiants de l’École Polytechnique de Grenoble, encadrés par l’INRAE, ont mis au point un site web permettant de comparer l’analyse génomique du Covid-19 avec d’autres virus ou… d’autres versions de lui-même. En se focalisant sur les séquences codantes et régulatrices du virus pour gagner du temps lors de leurs comparaisons, ils ont découvert une apparente stabilité ne permettant pas au Covid-19 de muter rapidement ! Euh…

Pourtant, on parle bien de mutation assez régulièrement depuis le début de cette crise. Une des dernières variantes serait actuellement présente en Angleterre.

Il est donc EVIDENT qu’un vaccin sera totalement inutile si le virus mute souvent. Il faut des années pour s’assurer non seulement de l’efficacité mais aussi de la quasi absence d’effets secondaires d’un vaccin. Au mois de mars, on nous promettait déjà un vaccin pour le mois de… septembre : c’est évidemment peu crédible. Dans un tel contexte, d’ici à ce qu’on ait un vaccin efficace, le virus aura déjà probablement muté 20 fois ! D’ailleurs même l’OMS n’y croit pas vraiment. Dans un communiqué du 21 aout, l’OMS annonçait qu’un vaccin ne mettrait pas fin à la pandémie.

En outre, même si un vaccin efficace existait, il n’est pas évident que cela suffise pour arrêter cette pandémie.

En effet, la population n’est pas forcément favorable à s’injecter un vaccin dont « nouvelle technologie ». En outre, on ne sait pas grand chose sur son efficacité  réelle (peut-on tenir compte des chiffres annoncés par les principaux intéressés ?).

Durant des mois, les labos et les gouvernements (conseillés eux-mêmes par des scientifiques impliqués de près ou de loin dans des labos) ont soutenus que les vaccins étaient efficaces et sans danger. Les nombreux effets secondaires (la mort est-elle un effet secondaire ?) ont été rapportés. Des études ont également montré que l’efficacité des vaccins déminuait de 6% tous les deux mois, ce qui permet alors aux labos de vendre une nouvelle dose. Une mécanique bien rodée. 

Il était aussi affirmé que les personnes vaccinés n’étaient plus contagieuses. Plus tard, lorsqu’on s’est aperçu que ce n’était pas le cas, on a simplement maintenu que les vaccins évitaient les formes graves. Il faut quand même justifier leur usage ! Le professeur Luc Montagnier a lancé un appel aux dirigeants qui prônent la vaccination massive. Il explique que « Les vaccins Pfizer, Moderna, Astra Zeneca n’empêchent pas la transmission du virus de personne à personne et les vaccinés sont aussi transmetteurs que les non-vaccinés« . Par conséquent l’espoir d’une « immunité collective » par une augmentation du nombre de vaccinés est totalement vain.

Le professeur propose aux autorités des solutions salvatrices :

  • Une vaccination par un vaccin générant une forte immunité cellulaire de type T tel le BCG (les pays pratiquant cette vaccination ont une faible incidence de Covid19),
  • Le traitement précoce de l’infection par ivermectine et antibiotique bactérien car il existe un cofacteur bactérien amplifiant les effets du virus. »

A cette même date, on apprenait que la Commission européenne avait annoncé avoir signé un contrat d’achat anticipé pour 100 millions de doses avec le laboratoire américain Novavax, « avec une option pour 100 millions d’unités supplémentaires en 2021, 2022 et 2023 ». 

Pour le fun, une petit vidéo du Dr. Louis Fouché, invité de CNEWS, à propos des nouveaux vaccins.

Dans un sondage mené par l’Ifop, 74 % des participants ont indiqué vouloir se vacciner contre la Covid-19 lorsqu’un vaccin sera disponible. Cependant, en France, c’est seulement 59 %. Dans ce contexte, est-ce que cette couverture vaccinale serait suffisante pour limiter significativement la propagation du virus ?

Le sondage est résumé ci-dessous par ces deux infographies :


Un autre sondage mené mi-novembre 2020 mettait en exergue la méfiance des français. 60% des français se déclaraient réticents à la vaccination (dans le contexte Covid19 où la vaccin a été préparé dans la précipitation). Les politiciens ont donc débattu sur l’opportunité de rendre cette vaccination obligatoire dès la fin 2020. Fin 2021, le passe sanitaire était transformé en pass vaccinal. Ceux qui avaient anticipé cette situation il y a quelques mois étaient taxés de conspirationnistes. Ils avaient raison.

Le 17 mars 2021, la Commission européenne a officiellement lancé le certificat sanitaire… Plutôt que d’imposer frontalement à tous l’injection d’un vaccin, ce qui serait en soit illégal, ils ont opté pour une méthode plus sournoise : ils ont imaginé le “certificat sanitaire” ou “passeport vaccinal”. Ce document dira si vous êtes vacciné contre le covid-19 et si vous avez été testé négativement. Sans ce passeport, vous allez être interdits de séjour à peu près partout. C’est donc une vaccination obligatoire déguisée.

Cela peut sembler paradoxal car personne ne peut garantir qu’un vaccin empêche une réinfection à ce jour et il est encore peu clair de garantir une réelle efficacité. Le matraquage quotidien « Vaccin = immunité » semble parfaitement fonctionner en tout cas. Ces techniques de contrôle mental sont à présent bien connues et les gouvernements les utilisent parfaitement.

Rappelons aussi que les laboratoires ont assurés leurs arrières : juridiquement, ils ne pourront être poursuivis en cas d’effets secondaires. Nos dirigeants ? eh bien, ils se préparent une belle protection. Le 29/09/21, Le Monde nous apprenait que « Le Conseil d’Etat propose donc que la responsabilité pénale ne puisse être mise en cause à raison de l’inaction de la personne concernée, que si le choix de ne pas agir lui est directement et personnellement imputable ». Autrement dit, personne se sera responsable de rien en cas d’effet secondaire grave. Les autorités sanitaires considèrent actuellement que la vaccination est un acte volontaire (même si on nous fait du chantage pour le faire), le patient assume donc l’entière responsabilité. Mais « gardez confiance, le vaccin est efficace et sans danger » entend-t-on.

Selon l’agence Reuter, aux USA, les plaintes pour effets secondaires graves augmentent, mais le gouvernement exige des demandeurs qu’ils prouvent que ceux-ci sont « le résultat direct » d’un vaccin COVID-19, et refuse l’indemnisation.

Le 08 janvier 2021, on apprenait que l’Union européenne avait commandé 300 millions de doses supplémentaires du vaccin Pfizer-BioNTech.

Le graphique suivant présente les commandes de vaccins des états en date du 28 février 2021 :

Avec un peu de recul, il est probable qu’un vaccin sérieux ne voit jamais le jour, compte-tenu des nombreuses mutations mais il y a tels intérêts économique en jeu pour l’industrie qu’il faut que les populations y croient. Quant au vaccin russe Sputnik V, il a été moqué dès sa sortie, pourtant, une étude publiée le 04/09 dans « The Lancet », évoquait des résultats préliminaires encourageants. A l’heure où les grands labos ne peuvent plus fournir les doses commandées par l’Europe, les différents gouvernements européens commencent à étudier la piste du vaccin russe mais les relations politiques entrent en jeux dans les discussions. Idem avec le vaccin chinois.

Devant l’appât du gain, les grands labos n’ont pas hésité à signer n’importe quel contrat, quitte, à ne pas pouvoir l’honorer. C’est le cas avec Astra-Zeneca qui n’est pas parvenu à livrer les nombreuses doses commandées par l’Europe. Astra-Zeneca n’a livré que 50 millions de doses de son vaccin contre le Covid-19 sur les 300 millions commandées d’ici fin juin par la Commission européenne. Cette dernière a annoncé ce lundi 9 mai qu’elle déposerait une plainte pour obtenir indemnisation de la part du laboratoire anglo-suédois. C’est le deuxième procès contre ce laboratoire. Dimanche 9 mai 2021, le commissaire européen chargé de l’industrie, Thierry Breton, a affirmé que la Commission ne renouvellera pas son contrat avec Astra-Zeneca. Un nouveau contrat portant sur 1,8 milliard de doses a en revanche été passé avec les laboratoires Pfizer et BioNTech.

Alors qu’en avril 2021 les vaccins à vecteur viral – essentiellement celui d’AstraZeneca mais aussi Janssen – représentaient un tiers des vaccins contre le Covid-19 livrés dans l’Hexagone, pas un de ces produits n’est parvenu sur le sol français de tout l’été 2021. Le pays s’est converti entièrement à l’ARN messager de Pfizer et de Moderna, à la faveur de la montée en charge de ces laboratoires et des déboires essuyés par leurs concurrents. Aujourd’hui, le vaccin d’AstraZeneca sert désormais exclusivement à alimenter le dispositif Covax. La France a envoyé quasiment ses 12 millions de dose d’AstraZenecca dans les pays « pauvres » (les pauvres peuvent bien entendu se contenter de vaccins réputés dangereux et peu efficaces ? Ethique, vous avez dit éthique ?)

Fin octobre 2021, le vaccin Valneva semblait toujours victime d’entrave des Etats et de l’OMS pour sa mise sur le marché, tout comme le vaccin traditionnel Covaxin, fabriqué par l’Inde, à base de virus atténués. Satisfaire les contraintes de sécurité est déjà très contraignant mais surmonter les contraintes administratives l’est encore plus.

A ce jour, encore trop peu de résultats prouvent que le vaccin protège efficacement contre une infection par le nouveau coronavirus. Certaines études concluent cependant à une certaine efficacité des vaccins concernant la transmission du virus mais des chercheurs semblent annoncer que les différents variants rendent nettement moins efficaces les vaccins sortis à ce jour.

Israël a été l’un des premiers pays à vacciner massivement. Mi-janvier, le coordinateur de la campagne de vaccination avait déclaré qu’une seule dose était « moins efficace que nous le pensions ». Selon les autorités et selon Pfizer, une dose du vaccin n’apportait qu’une immunité de 52 % contre le coronavirus. On a pu constater que le nombre de morts n’était pas en recul en Israël, contrairement à ce qu’annonçaient certains médias « officiels ». Pourtant, des scientifiques britanniques annoncent le 06 février que la première dose du vaccin protège déjà à 90% au bout de trois semaines à la personne vaccinée, Ces déclarations contredisent ce qu’avaient précédemment annoncé les autorités israéliennes concernant l’efficacité du vaccin. Il semble que les annonces soient distillées en fonction de l’intérêt politique ou économiques du moment ? Cette vaccination de masse n’est pas du goût de tout le monde. Un cabinet israélien a déposé plainte contre le gouvernement d’Israël auprès de la Cour Pénale Internationale à la Haye, accusé d’avoir violé le code de Nuremberg et de participer à un crime contre l’humanité… Certaines personnes ont en effet choisi « d’exercer leur droit démocratique de ne pas recevoir le traitement médical expérimental (vaccin contre le Coronavirus) » et n’en peuvent plus de subir « des pressions graves et illégales ». Le ministère israélien de la Santé a déclaré le 01/06/2021 qu’il avait constaté qu’un petit nombre de cas d’inflammation cardiaque observés principalement chez des hommes jeunes ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 de Pfizer en Israël était probablement lié à leur vaccination.

Mi-juillet 2021, alors que près de 60% de la population israélienne est vaccinée, le premier ministre Naftali Bennett évoque la possibilité d’un reconfinement… Parmi les personnes infectées, une proportion importante de personnes vaccinées, jetant ainsi le doute sur l’efficacité du vaccin. Il en sera de même au Royaume-Unis. Le Pr Peter McCullough n’y va pas de main morte et parle très clairement d’inefficacité des vaccins sur les variants.

On sait aujourd’hui que ces vaccins ne sont pas efficaces contre les variants mais plutôt que d’orienter les recherches vers d’autres solutions, les états acceptent d’acheter encore de nouvelles doses de vaccins. Israel a commencé à injecter une 3e dose de PFIZER aux personnes les plus vulnérables, la Grand Bretagne fait de même, l’Allemagne également. La France devrait le proposer à partir de septembre 2021.

Au passage, les fabricants ont augmenté leurs prix. Une dose de Pfizer augmentera de quatre euros pour atteindre 19,50 euros et celle de Moderna de deux euros pour s’établir à 21,50 euros dans le cadre des nouveaux contrats d’approvisionnement de l’Union européenne. Avec le surendettement des états, nous ne sommes plus à ça près ? C’est d’autant plus scandaleux que Moderna s’est empressé de mettre ses profits dans des paradis fiscaux (Delaware notamment).

Une partie de nos médecins et infirmiers semblent réticents à se faire vacciner. Les réticences s’expliquent aussi par plusieurs semaines de confusion sur l’efficacité d’Astra-Zeneca qui ont brouillé le message du gouvernement. D’abord interdit par la Haute autorité de santé (HAS) sur les personnes âgées de plus de 65 ans en raison de données manquantes pour cette tranche d’âge, il est finalement autorisé le 1er mars pour toutes les classes d’âge. Cela a contribué à abîmer la confiance des professionnels en ce sérum britannique, en dépit des efforts de l’exécutif pour redorer son image.

L’Union européenne annonçait le 16 avril 2021 qu’elle pourrait ne pas renouveler son contrat avec Astra-Zeneca, selon la ministre de l’Industrie Agnès Pannier-Runacher. Une décision « normale », juge Anne Sénéquier, codirectrice de l’Observatoire de la Santé à l’IRIS.

Pfizer joue sur la loi de l’offre et de la demande en ajustant dynamiquement le prix de son vaccin… De 12 euros, la dose de vaccin Pfizer est passé à 15,50 €, puis à 21,50€… Les grands gagnants de cette crise sanitaire sont bien les labos. On pourrait se demander à qui profite le crime ?

Quoiqu’il en soit les laboratoires restent concurrents. Vous trouverez sur ce lien une page expliquant les différences entre les vaccins PFIZER et MODERNA.

En décembre 2020, le laboratoire Sanofi annonçait que son vaccin avait pris du retard et ne serait prêt que fin 2021. L’Institut Pasteur annonçait lundi 25 janvier 2021 qu’il arrêtait le développement de son principal projet de vaccin contre le coronavirus car les premiers essais ont montré qu’il était moins efficace qu’attendu. Le 17 mai 2021, pourtant, le laboratoire français se relance dans la course, jugeant qu’il restait tout de même 90% de la population mondiale à vacciner. D’après les premières informations marketing délivrées par la firme, des anticorps seraient produits dans 95 à 100% des cas après l’injection de deux doses (chez les 18-95 ans). Il pourrait être disponible pour la fin d’année et probablement utilisé en « rappel » de vaccin. La recherche se poursuit en parallèle sur d’autres produits.

Sanofi aidera à produire les vaccins Pfizer / BioNTech à partir du mois d’aout, comme sous-traitant. En parallèle l’entreprise française lance les premiers essais sur l’homme de son second vaccin. Sanofi réalisera ces premiers essais sur 415 personnes, et attend de premiers résultats pour le troisième trimestre en vue du lancement de la phase suivante. Ce projet de vaccin fonctionne sur le principe de l’ARN messager, une technologie novatrice qui est aussi à la base des vaccins Pfizer/BioNTech et Moderna, déjà autorisés dans l’Union européenne et aux Etats-Unis. Il semble que la France soit dans l’incapacité de mobiliser davantage son industrie. On le sait, notre industrie ne peut rivaliser avec les bas coûts de l’Orient et nous avons détricoté notre tissu industriel depuis de nombreuses années. En outre, notre modèle administratif ralentit considérablement la prise de décision.

Bien entendu, les regards sont tournés vers Israël, qui a atteint à mi-mars 55% de personnes vaccinées. Le 11 mars 2021, Pfizer/BioNTech et le ministère de la santé israélien ont publié un nouveau set de données sur l’efficacité des vaccins. Le fabricant étant impliqué dans l’étude, il est prudent « d’interpréter » les résultats: l’étude publiée récemment annonce que le vaccin de Pfizer est efficace à 94 % pour prévenir les infections symptomatiques. S’ajoute une deuxième étude, non encore publiée quant à elle, suggérant 97 % d’efficacité… Les résultats semblaient déjà contradictoires avec cet article qui expliquait que malgré cette vaccination massive, Israël était confronté à une nouvelle hausse des infections avec un R0, le taux de reproduction du virus, qui repartait à la hausse. Quelques semaines après, Israel annonçait que la protection tombait à 66%, puis à 33%…

Une étude de l’Institut Pasteur publiée le 29/05/21 montrait que le vaccin à ARN messager Pfizer-BioNTech, demeurait efficace contre le variant britannique, mais avait cependant une efficacité « légèrement diminuée » contre le variant indien. Le ministre de la Santé, Nguyen Thanh Longous avait déclaré qu’il s’agirait d’un variant hybride combinant le virus indien et le britannique. En juillet 2021, Israël annonçait que l’efficacité du vaccin PFIZER tombait à 39% contre le variant Delta.

Qu’à cela ne tienne, si deux doses semblent inefficaces, les labos ont vite proposé de vendre une 3e dose. Israel imposera cette 3 injection à sa population. Un article du NY Times du 16/09/21 expliquait déjà que la 3 dose étendait la protection dans la tranche des > 60 ans pour 12 jours ! Malgré cela, Israel prônera même la 4e dose.

Des statistiques tendent à montrer que contrairement à la plupart des vaccins, qui s’avèrent plus efficaces chez les femmes que chez les hommes, les vaccins à ARN comme Pfizer ou Moderna seraient moins opérants chez les sujets de sexe féminin. En cause, peut-être les nanoparticules utilisées dans ces vaccins…

C’est plutôt une bonne nouvelle, mais le virus mutant régulièrement, personne ne peut véritablement être à l’abri. On apprenait d’ailleurs le même jour qu’un nouveau variant avait été identifié au Vietnam.

Déjà, la question de la meilleure date d’injection de la seconde dose faisait débat. Une étude menée par l’Université de Birmingham en collaboration avec Public Health England révélait que les anticorps contre le Covid-19 sont trois fois et demi plus élevés chez les personnes ayant reçu leur deuxième injection vaccinale après douze semaines, plutôt que trois. En France, pour accélérer la stratégie vaccinale en juillet 2021, on a réduit à une semaine l’écart entre les deux doses.

Pourtant, une nouvelle étude prépubliée le 5 ­juillet 2021 sur le site MedRxriv et relayée par Nature, annonce qu’un mini-dose du vaccin Moderna entraînerait la production d’anticorps neutralisants durables et de ­cellules T combattant le virus à des niveaux comparables à ceux des patients rétablis après une ­infection au Covid-19. L’idée serait donc de fractionner les doses pour en faire bénéficier plus rapidement les pays pauvres.

Dès le mois de juin 2021, en France a été évoqué l’opportunité d’une 3e dose (pour le moment cela concernerait uniquement les personnes à risque). Le gouvernement va t-il négocier bientôt une carte d’abonnement avec la dixième injection gratuite ?

Dans un info du 11 mars 2021, on apprenait que La Haute Autorité de Santé (HAS) avait donné son accord concernant l’utilisation du vaccin Janssen (filiale de Johnson & Johnson). Ce sera donc le 4e vaccin autorisé en France contre la Covid-19. Le 20 avril 2021, le New-York Times nous apprenait déjà que la FDA stoppait la production du vaccin Johnson & Johnson dans une usine aux USA. 15 millions de doses déficientes auraient été produites. Des cas d’effets secondaires graves ont été recensés depuis. Voilà des informations qui ne contribuaient pas à rassurer les réfractaires au vaccin alors même que des premiers cas de thrombose furent rapidement signalés avec celui-ci.

Finalement, après avoir tenté de convaincre les français de se faire vacciner, la France lâchera Astra Zenecca et Johnson&Johson en raison de nombreux problèmes liés aux effets secondaires mais aussi à des difficultés dans l’exécution des contrats. La base de données EudraVigilance indiquait déjà au 25 septembre 2021 un total des réactions pour le vaccin COVID-19 JANSSEN (AD26.COV2.S) de Johnson & Johnson : 1.304 décès et 78.774 blessés. Les autorités avaient pourtant garanti que Astra et J&J étaient efficaces et sans danger.

On se souviendra aussi des déboires rencontrés par J&J. L’entreprise pharmaceutique a été condamnée à plusieurs reprises, notamment en 2018 par un jury qui avait consolidé plusieurs dossiers et lui avait ordonné de verser 4,7 milliards de dollars de dommages et intérêts à vingt-deux plaignantes. En juin 2020, une cour d’appel du Missouri avait réduit cette somme, considérant que certaines plaignantes, n’ayant pas de liens avec l’Etat en question, n’auraient pas dû être incluses dans le procès. Mais elle avait bien estimé que le groupe avait « sciemment vendu aux consommateurs des produits contenant de l’amiante », suscitant une forte « angoisse physique, mentale et émotionnelle ». En juin 2021, le journal Le Monde nous apprenait que l’entreprise pharmaceutique américaine devait payer 2,1 milliards de dollars de dommages et intérêts pour la vente de son talc, accusé de contenir de l’amiante qui aurait causé des cancers des ovaires…

Quant au vaccin chinois, les articles disent une chose et son contraire. Selon les résultats préliminaires d’une étude uruguayenne de fin mai 2021, le vaccin chinois CoronaVac réduirait la mortalité du Covid-19 de 97 %, contre ne efficacité de 80 % pour PFIZER. Cette étude montre par ailleurs une plus grande efficacité du vaccin américain pour empêcher les contaminations et les hospitalisations. L’étude précise elle-même que ces chiffres préliminaires « doivent être interprétés avec prudence, car ils ne prennent pas en compte l’âge des personnes, leurs comorbidités et les groupes à forte exposition », tels que le personnel de santé. Or, ces facteurs sont primordiaux en termes de mortalité et cela peut donc biaiser les résultats. Là encore, les articles semblent aller dans le sens du fabricant subventionnant directement ou  indirectement l’étude. De nombreux scientifiques sont devenus des miséreux en recherche perpétuelle de financement.

Alors que penser des vaccins ? On nous présente cela comme LA super solution pour atteindre rapidement l’immunité collective. Force est de constater qu’il n’en est rien. Au début, on nous vendait ces vaccins comme une super protection. Ensuite, on a restreint aux « formes graves ». L’autorisation AMM a pourtant été délivrée dans l’indication « Prévenir la Covid » et pas seulement prévenir les formes graves. Curieusement, le Vidal évoque seulement des formes symptomatiques légères à modérées… Il faudrait savoir ?


Longtemps, des personnes vaccinées avec deux doses n’avaient pas le droit de se rencontrer sans masque et distance de sécurité. Le 07 juin 2021, la presse nous apprenait qu’un avocat fut obligé de rester à son domicile à son retour de Guyane alors qu’il avait bien reçu ses deux doses de vaccins et effectué quatre tests PCR en une semaine, avec un résultat négatif. 

Le 17 juillet 2021, on apprenait qu’un cluster avait été repéré à Bordeaux, après une soirée qui avait réuni 670 personnes le 9 juillet. L’Agence régionale de Santé (ARS) a annoncé un bilan provisoire de 21 cas positifs. L’établissement avait pourtant conditionné l’entrée à la possession d’un pass sanitaire, avec vérification d’un QR code pour les tests PCR négatifs ou les certificats de vaccination. Cela tendrait à prouver que les « vaccinés » peuvent être porteurs du virus ou que des personnes aient pu contracter le virus juste après leur test PCR ou bien qu’il y ait des fraudes au pass sanitaire ou encore un manque de rigueur au moment du contrôle.  Le gouvernement et les médias associés retiendront uniquement cette dernière hypothèse. 

Cette expérience rappelle un cas identique, début juillet 2021, dans un club d’Enschede, aux Pays-Bas. Après une soirée regroupant 600 personnes, plus de 165 cas de Covid avaient été détectés, alors que le pass sanitaire était là encore en vigueur. 

En octobre 2021, encore mieux, un cluster est détecté dans un EPAHD alors que tout le monde était triplement vacciné ! Nous attendons toujours une explication rationnelle des autorités et des laboratoires, qui se refusent à admettre que ces vaccins ne fonctionnent pas. 

NB : A noter que le Dr Amine UMLIL a annoncé dans le CSI n°44 qu’il y avait à cette date, 4 compositions du vaccin PFIZER. 

Multiplier les rappels ?

Les scientifiques ne sont pas d’accord sur l’intérêt d’administrer plusieurs doses par an. Les covidistes vaccinolâtres poussent à l’injection régulière de doses de rappel mais des scientifiques plus prudents appellent à plus de réserve. 

Le Pr Peyromaure expliquait sur la chaine CNews que selon des études menées au Danemark et en Allemagne, il semblerait qu’après un certain nombre de doses les anticorps facilitant puissent prendre le dessus et donc générer des infections. Ce n’est a priori pas le but recherché. 

https://cho-ku-rei.fr/wp-content/uploads/2022/01/PeyromaureAnticorpsFacilitants.mp4

Un mélange de vaccins ?

Le 27 juillet 2021, la presse nous informe que « Mélanger les vaccins AstraZeneca et Pfizer multiplierait par six la réponse immunitaire ». 

Une étude sud-coréenne de juillet 2021, encore non publiée et relayée par Reuters montrait qu’une dose d’AstraZeneca suivie d’une dose de Pfizer/BioNTech multiplierait le niveau d’anticorps neutralisants par six par rapport à deux doses d’AstraZeneca. Les patients ayant reçu deux doses de Pfizer ont en revanche un niveau d’anticorps similaire à celui du schéma de vaccination mixte. Ce résultat corrobore celui de plusieurs autres études. En juin dernier, une étude britannique (en pré-publication) avait par exemple montré qu’une injection d’AstraZeneca suivie de Pfizer entraînait une meilleure réponse aux lymphocytes T que toutes les autres combinaisons. Une autre étude menée en Espagne en mai suggère elle aussi une réponse immunitaire « fortement augmentée » par rapport au groupe témoin (n’ayant reçu qu’une dose d’AstraZeneca).

Selon Daniel Altmann, immunologiste à l’Imperial College de Londres, « Les doses répétées de vaccins à base d’adénovirus tels que celui d’Oxford-AstraZeneca ont tendance à être de moins en moins efficaces, car le système immunitaire développe une réponse contre l’adénovirus lui-même« .

De son côté, Pierre Saliou, professeur agrégé au Val-de-Grâce et spécialiste de la vaccination explique que les deux techniques induisent une réponse immunitaire différente : « Les vaccins comme AstraZeneca sont connus pour stimuler nos lymphocytes T, dits tueurs, qui détruisent les cellules infectées. Les vaccins à ARN messager, eux, sont bons pour produire des anticorps« ,  

A noter qu’au mois de mai 2021, on nous expliquait que mélanger les deux vaccins provoquait davantage d’effets secondaires… 

Dans la pratique, les vaccins Astrazeca, J&J et maintenant Moderna ayant été interdits, il ne restait plus que Pfizer en choix possible pour une 3e dose. La version officielle reposerait sur la « concentration » : Moderna serait 3 fois plus dosé que Pfizer. Pfizer a probablement été plus habile que Moderna pour cacher certains effets secondaires. Pour autant, l’Etat observant les dates limites d’utilisation approcher ont accepté de proposer à nouveau du Moderna pour certaines tranches d’âge. 

Lorsqu’on analyse les chiffres du CDC (18/08/21), les différences entre Pfizer et Moderna sur le taux de myocardites pour les tranches d’âge [18-24] et [25-29] ne semblent pas significatives. En France, Moderna n’a pas été approuvé pour les moins de 18 ans, en raison d’un facteur de 1 à 10 entre dose 1 et dose 2. Taiwan a d’ailleurs suspendu la 2e dose Pfizer pour les 12-17 ans en attendant des études plus poussées sur le risque multiplié par 10 de faire des myocardites à la 2e dose.

Finalement, la HAS interdira Moderna en France pour les moins de 30 ans dès Novembre 2021. Les autorités se veulent pourtant « rassurantes » et nous invitent à de nouvelles doses tous les 6 mois (doses déjà commandées de longue date par l’Europe, ce qui est pour le moins étrange puisque cela laisserait penser que les acheteurs savaient dès le début que l’efficacité serait modérée). 

« Il reste de nombreuses questions sans réponse. On ne peut pas dire aujourd’hui qu’il ne faudra pas faire de troisième dose pour toute la population. Mais à l’inverse, on ne peut pas non plus affirmer qu’il faudra une quatrième dose dans six mois […]. Il faudrait une étude sur 30.000 personnes en France, à qui l’on ferait un dosage d’anticorps un mois puis quatre mois après la vaccination. Actuellement, on agit un peu à l’aveugle. »

Eric Billy, chercheur en immuno-oncologie à Strasbourg

Les scientifiques étaient divisés sur l’opportunité d’une 3e dose. Pour simplifier, notre système immunitaire se divise en deux parties : Des lymphocytes B produisent des anticorps tout de suite, mais il y a également des lymphocytes « mémoires », qui servent de réserve pour plus tard dans la moelle osseuse. Ce qu’on ne sait pas, pour le moment, c’est combien de « lymphocytes B mémoire » sont produits par cette troisième dose. Mais des études montrent que la deuxième dose permet la production de « lymphocytes B mémoire » dans la moelle osseuse. 

Toujours est-il que devant le constat de l’augmentation considérable des effets secondaires et la faible efficacité des vaccins actuels, même l’OMS demande à ne vacciner les enfants qu’en dernier recours (article Le Point en date du 08/12/21). 

Mars 2022, la note DGS-URGENT N°2022-35 nous apprend que NUVAXOVID, le vaccin de NovaVax à protéine recombinante (spike) et adjuvant Matrix était autorisé en primo-vaccination mais pas en dose de rappel. Il nécessitera deux doses à 3 semaines d’intervalle puis une dose de rappel obligatoirement avec un vaccin ARNm ! Les personnes qui redoutaient le vaccin ARNm ne trouveront donc pas en NovaVax une solution alternative. En réalité, pour obtenir un schéma vaccinal complet il faudra soit contracter la Covid soit recevoir au moins une dose d’un vaccin à ARN messager.

Quant à l’administration des vaccins pour les femmes enceintes, le débat a fait rage de nombreux mois. Début mars 2022, un rapport de surveillance UKHSA du vaccin Covid fournissait un chiffre qui suggérait qu’il n’y avait pas de risque accru de mortinatalité chez les femmes vaccinées. Mais les personnes vaccinées avant la grossesse étaient incluses dans la catégorie « aucune dose pendant la grossesse » alors qu’une prise antérieure à une grossesse peut avoir un effet sur le bon déroulement de la grossesse. Cela a été démonté par Norman Fenton dans une vidéo YouTube « Another common statistical illusion arising from a drug trial ». Une des façons de manipuler les données est d’inclure dans le groupe contrôle des personnes vaccinées!

Des vaccins, pour quelle efficacité ?

Il est étonnant de constater à quel point le plupart des médecins ont été influencé lors de leur formation médicale par quelques chiffres de la vaccination, fournis pas les laboratoires eux-mêmes. Dans une vidéo du CSI, Jean-Dominique Michel rappelle qu’en réalité, « Les médecins sont très peu formés aux vaccins. Quelques heures de cours dans leur cursus de formation où on leur apprend que les vaccins, c’est magnifique, qu’il ne faut surtout pas les contester. L’immunologie est très mal comprise. Des ignorants qui se présentent comme des sachants.« . 

https://cho-ku-rei.fr/wp-content/uploads/2022/01/JD-Michel-CSI-Formation-Vaccin.mp4

Déjà, fin août 2020, on apprenait que des chercheurs de Hongkong avaient découvert un premier cas de réinfection au Covid-19. Selon les chercheurs, une analyse génétique a montré que ces deux infections successives du même patient avaient été causées par deux souches différentes du virus SARS-CoV-2, responsable du Covid-19. « Nos résultats suggèrent que le SARS-CoV-2 pourrait persister dans la population, comme c’est le cas pour d’autres coronavirus responsables de banals rhumes, même si des patients ont acquis une immunité, poursuivent les chercheurs de la HKU. Puisque l’immunité peut ne pas durer longtemps après une infection, la vaccination devrait être envisagée, même pour des gens qui ont déjà été infectés. ». La conclusion pouvait surprendre puisqu’au aucun vaccin n’avait jusqu’ici démontré son efficacité pour prévenir une grippe ou un simple rhume. De plus, de nombreuses recherches ont montré que les défenses naturelles sont largement plus efficaces dans le temps. Par exemple, « Anti-spike antibody response to natural SARS-CoV-2 infection in the general population » publiée dans Nature le 29/10/211.

Le principal « rat de laboratoire » était Israël, premier pays a avoir vacciné massivement. Ce pays était mis sur un piédestal et cité en exemple par tous les grands laboratoires et les médecins pro-vaccination. L’histoire à montré que ce pays a connu une explosion des cas, suite à la deuxième dose. Ce phénomène s’est reproduit en Angleterre, en Ireland, en Islande, etc. Des études scientifiques ont été conduite pour tenter de comprendre le mécanisme sous-jacent qui pourrait expliquer cette très faible efficacité des vaccins et la multiplication des cas. 

Une étude proposée le 6 octobre 2021 dans « The new england journal of medicine » (DOI: 10.1056/NEJMoa2114114) montrait que l’efficacité n’était plus que de 20% cinq mois après l’injection. Cette étude fut menée au Qatar, le pays le plus vacciné.

En France aussi, on constate une très faible efficacité de la vaccination, malgré les discours propagandistes de l’Etat. Les chiffres de la DREES de fin octobre 2021 montraient déjà que le nombre d’hospitalisés vaccinés était supérieur à celui des non vaccinés. Certes, à cette date, 75% de la population française était vaccinée, donc mathématiquement, il est normal de voir le nombre de vaccinés hospitalisés augmenter. Cependant, si les vaccins avaient tenu leur promesse, on ne rencontrerait pas une telle proportion. 

Même Guillaume Rozier expliquant dans un tweet le 5/11/2 que l’efficacité de la vaccination diminuait. « Il semblerait que la réduction du risque d’admission à l’hôpital induite par le vaccin soit de plus en plus faible chez les plus de 80 ans. La réduction du risque était de 10 fois avant l’été, elle n’est plus que de 4 fois sur cette tranche d’âge. ». Le seul argument encore en faveur des vaccins étaient soi-disant de protéger contre les formes graves. Cet argument risque lui aussi de tomber à l’eau. L’industrie pharmaceutique a engrangé des milliards en vendant des produits inefficaces (avec l’argent des contribuables) grâce à des contrats douteux passés avec l’Europe.

Les données du cas actuelles sont très largement gonflées. Par ex, (c’est du vécu), les écoles utilisent des tests salivaires, réputés bien peu fiables mais peu onéreux. 8 cas sont détectés chez des enfants et 1 cas chez un enseignant. Chacun devra refaire un test de prélèvement nasopharyngé. Tous se sont révélés négatifs. Pour autant, s’il est possible de remettre son enfant au périscolaire, il n’est pas possible de le remettre à l’école. Le second test (plus fiable) n’invalide pas le premier (encore moins fiable) et ces cas seront comptés officiellement comme positifs dans les statistiques par l’ARS. 


D’autres études concluent à l’absence de corrélation entre l’évolution des contaminations et la vaccination. Exemple : Article du Européen Journal of Epidemiolgy, 30/09/21, doi: 10.1007/s10654-021-00808-7 par S. V. Subramanian et Akhil Kumar, « Increases in COVID-19 are unrelated to levels of vaccination across 68 countries and 2947 counties in the United States ».

En outre, Philippe de Wals écrit dans un article publié sur INSPQ (Centre d’expertise et de référence en santé publique du Québec) que « l’infection naturelle par le SRAS-CoV-2 produit des anticorps neutralisants qui persistent chez une majorité des individus jusqu’à 12 mois suivant l’infection. Cette protection conférée par l’infection semble être plus large et plus robuste que la protection conférée par la vaccination avec 2 doses de vaccin contre la COVID-19″. Or, avant le variant omicron qui s’est propagé très vite (tout en étant peu virulent), de nombreuses personnes vaccinées ou non l’ont attrapé. Il est donc inutile d’ajouter des doses de vaccins supplémentaires, suite à une infection naturelle (sauf cas particulier d’immunodéficience).

Le professeur Martin Neil, Université Queen Mary à Londres, a analysé les données de l’ONS pour le mois de novembre 2021. Article 10.13140/RG.2.2.14176.20483 de décembre 2021 disponible dans le ResearchGate. 

En première lecture, la courbe (Figure 9) semble montrer que la mortalité des vaccinés est moins importante que la mortalité des non vaccinés. Certaines courbes produites par les organismes de santé, laissent donc penser à un léger avantage en faveur de la vaccination. Mais, lorsqu’on retraite ces chiffres bruts plus objectivement, on constate au contraire que les vaccinés sont davantage contaminés que les non vaccinées et connaissent autant de formes graves en cas d’infection.

Il faut rappeler que les personnes vaccinées qui meurent dans les 14 jours suivant la vaccination sont considérées comme non vaccinées. Il en est de même pour la 1ere, 2e ou 3e dose ! Dans les 2 semaines après une injection, la personne est comptabilisée comme non vaccinée.  Les pics de mortalité qui semblent se produire peu de temps après la vaccination peuvent être dus au fait que les personnes infirmes, moribondes et gravement malades sont vaccinées d’abord et cela accélèrerait les décès qui auraient pu survenir plus tard dans l’année. Après la vaccination, les personnes subissent une réponse immunitaire affaiblie pendant une période pouvant aller jusqu’à 28 jours et peuvent être exposées à un risque d’infection par le Covid ou un autre agent infectieux à tout moment au cours de cette période.

Compte tenu de ces éléments, il est logique d’examiner la date d’infection plutôt que la date d’enregistrement du décès. Les données peuvent ainsi être ajustées en utilisant un décalage temporel (Figure 16) et dès lors, on peut constater un pic important de mortalité pour tous les groupes d’âge au cours des premières semaines soit lorsque la prévalence du covid était élevée et lorsque le déploiement de la première dose de vaccination a atteint son maximum. Après ajustement de compensation, aucun avantage significatif des vaccins à court terme ne peut être conclu. Les vaccins semblent au contraire exposer à une mortalité accrue, conformément à ce que nous savons de l’exposition immunitaire ou des risques de pré-infection. Les données de l’ONS pour le mois de novembre 2021 (Angleterre) ne fournissent donc aucune preuve fiable que les vaccins réduisent la mortalité toutes causes confondues.

https://www.youtube.com/watch?v=guoYPK0XmC8

Pourtant, d’autres recherches montrent que les vaccins restent assez efficaces. Parmi elles, un article publié le 12 janvier 2022 dans le journal NEJ. Malgré une chute rapide du nombre d’anticorps quelques mois après la deuxième dose, d’autres volets de la réponse immunitaire resteraient élevés pendant au moins neuf mois, protégeant contre les formes graves du Covid-19 et contre l’infection par Omicron. Cela serait lié à l’action des lymphocytes T. Ces cellules immunitaires restent mobilisées longtemps après la vaccination et nous protègent aussi du variant Omicron : il échappe aux anticorps mais pas aux lymphocytes.

Début novembre 2021, le vent tourne. L’accumulation de preuves concernant les effets secondaires et la faible efficacité des vaccins provoque un émoi même auprès de ceux qui avaient soutenu dans leurs tribunes la vaccination de masse. L’ampleur du désastre ne peut plus être niée. Le Los Angeles Times évoque à son tour la chute dramatique de l’efficacité des vaccins. Ces vaccins qu’on disait sûrs et efficaces, ceux-là même qui étaient mis sur un piédestal par des scientifiques imprudents qui disaient avoir beaucoup de recul sur cette technologie « maitrisée » depuis 15 ans, se sont révélés aussi dangereux qu’inefficaces. 

Cela n’a pas empêché notre gouvernement de continuer à nier la situation et à poursuivre la promotion de ces produits. 

Des scientifiques pensent que la perte d’efficacité serait due à l’absence de mémoire immunitaire. Des recherches sont toujours en cours. 

le 01/12/21, on apprenait par le journal The Independant qu’un médecin vacciné trois fois contre le Covid venait d’attraper le Covid. En effet, à en croire ce média, le cardiologue, du nom de Elad Maor, a été testé positif en Grande-Bretagne. Toujours selon la même source, le médecin a lui-même reconnu avoir contaminé un ami qui avait également pris ses trois doses. L’information a été relayée par le média britannique, The Guardian.

A mesure que les Etats constatent la faible efficacité des vaccins contre les variants, les grands laboratoires, loin d’être affaiblis, en profitent pour suggérer d’injecter davantage de doses. Business is business. « Les personnes ayant reçu le vaccin de Pfizer auront probablement besoin d’une troisième dose d’ici six mois à un an, puis sans doute d’une injection chaque année« , a affirmé Albert Bourla, le PDG du géant pharmaceutique américain. Une rente extraordinaire. Un coup de maître. Non seulement, nos états ne protestent pas contre cette quasi-escroquerie mais achètent avec l’argent des contribuables des nouvelles doses à ces mêmes laboratoires, au lieu de privilégier une autre piste thérapeutique. Un complotiste pourrait penser à une immense corruption.

Un article en preprint du Lancet, posté le 25/10/21, et portant sur une étude menée en Suède, expliquait que « L’efficacité du vaccin de BNT162b2 contre l’infection a diminué progressivement de 92 %.. au jour 15-30 à 47 % … au jour 121-180, et à partir du jour 211 et au-delà, aucune efficacité n’a pu être détectée ».

Les chiffres produits par certaines études, y compris celles de l’Institut Pasteur, comparent des chiffrent sur des mois qui ne sont pas objectivement rapprochables. En effet, un virus, comme la grippe, ne sera pas aussi présent an hiver qu’en été par exemple. Si on rapproche les chiffres de saison à saison, l’efficacité de la vaccination de ressort pas clairement. 

Puisque la faible efficacité des vaccins et des tests était à présent démontrée, il s’en suit un débat sur l’annulation du pass sanitaire chez les personnes doublement vaccinées. Le 22 octobre 2021, le directeur du CDC Rochelle Walensky déclarait déjà : « We have not yet changed the definition of ‘fully vaccinated.’ We will continue to look at this. We may need to update our definition of ‘fully vaccinated’ in the future. »

Le 06/12/21, le Pr Annane chef de Service Réa Hôpital Raymond Poincaré a déclaré : « il faut être transparent, dans mon service 2/3 des patients sont vaccinés 2 doses ». Cela est en total contradiction avec les annonces gouvernementales qui continuent d’accabler les non vaccinés adultes. Seulement, les adultes non vaccinés devenant de plus en plus rares, il fallait trouver une autre cible pour justifier l’absence de résultat de la politique actuelle.

Justement, alors que les grands labos obtenaient l’autorisation de proposer les vaccins aux enfants à partir de 5 ans, coïncidence du calendrier, le gouvernement et les médias main stream commençaient à accabler les enfants. Subitement, les enfants (essentiellement non vaccinés) devenaient « responsables » de l’explosion des cas. Puisque les tests salivaires (non fiables) se sont multipliés dans les écoles, il était normal que les faux positifs augmentent. Même en fournissant un test contradictoire plus fiable, ces mêmes enfants resteront comptés positifs dans les statistiques. La grande arnaque pouvait donc se poursuivre. Même Martin Blachier qui faisait partie des « alarmistes provax » en début de crise commence à se rendre compte de la supercherie. Il déclarait le 06/12/21 sur Twitter : « Le taux de positivité n’est pas plus haut chez les enfants que chez les adultes. Les enfants ne sont pas le moteur de cette vague ! L’incidence est dopée par le testing massif. Pourquoi l’inconscient collectif veut faire porter le chapeau aux enfants ?« .

Très vite, sans la 3e dose, le pass ne sera plus valable, ce qui va contraindre à nouveau à se faire injecter de façon récurrente ce merveilleux sérum. Israel évoque déjà la 4e dose au mois d’octobre 2021. Viendra ensuite une 5e, etc. L’Europe a recommandé plus d’une milliard de dose. Avec le stock actuel, il y a de quoi vacciner 7 fois chaque européen. Peut-on encore croire que la 3e dose sera la dernière ? Jackpot pour Pfizer. 

La vidéo ci-contre montre une intervention de Peter Doshi (convoqué par le sénateur Johnson du Wisconsin) sur les injections expérimentales à visée immunogène. Doshi est éditeur au BMJ, la prestigieuse revue médicale. Il remet en cause l’efficacité des injections et critique les mesures qui les imposent. Au moins un scientifique qui fait preuve d’un peu d’esprit critique et qui n’entre pas aveuglément dans le dogme de la vaccination.

La plupart des scientifiques « covidistes vaccinolâtres » ne se sont même pas posés la question de l’efficacité réelle des vaccins. Certains ont été convaincu par les chiffres émanant des labos et d’autres ont été convaincus par des moyens moins licites. Ces provax, qui n’hésitent pas une seconde avant de vous proposer une injection ne savent même pas ce qui est contenu dans le vaccin mais vous garantissent qu’il est sans danger. 

https://www.youtube.com/watch?v=yvopgJ_3F-8

Cette vidéo a manifestement été censurée par YouTube. Nous sommes entrés dans le monde de la pensée unique.

De nombreuses études ont montré que l’immunité acquise naturellement est beaucoup plus efficace que celle induite par la vaccination (106 études à début 2022).

Chaque jour, les preuves s’accumulent. Les vaccins proposés actuellement contre le Sars-Cov2 semblent être une pure escroquerie. Pour autant, le rouleau compresseur de la pensée unique continue et la propagande des laboratoires et des gouvernements s’intensifie. 

Le 02/12/21, alors qu’on tente encore de nous effrayer avec le nouveau variant Omicron, on apprend que les personnes contaminées étaient toutes vaccinées. Les autorités néerlandaises ont découvert que 90% des passagers infectés étaient vaccinés et que 100% des infectés par Omicron étaient vaccinés. Elles préconisent que tous les passagers soient testés quel que soit leur statut vaccinal. Il semble donc légitime de remettre en question la légitimité du pass sanitaire ? 

Alberto Donzelli, professeur à Institut d’hygiène et de médecine préventive de l’Université de Milan déclarait « Les vaccins n’empêchent pas la transmission du Sars-CoV-2. Les personnes vaccinées continuent à être plus atteintes que les non-vaccinées« .

Quant au mythe de l’immunité collective, les experts avaient annoncé initialement que 70% de personnes vaccinées permettraient d’atteindre l’immunité collective. Début novembre 2021, la France était à 75% de personnes vaccinées et les autorités effrayaient encore avec une 5e vague qui « pourrait faire des ravages ». Les spécialistes ont réévalué leurs chiffres en évoquant plutôt le chiffre de 90% de vaccination pour atteindre l’immunité collective. Ce n’est pas de la science. Les « spécialistes », invités des plateaux de TV, utilisent plutôt la technique du doigt mouillé pour tenter de prédire l’avenir de l’épidémie. Consternant. 

Dans l’émission « À votre santé » le Dr Eric Loridan reçoit le Dr Laurent Montesino et Kler éclaire. Le Dr Laurent Montesino montre des images du contenu de deux « vaccins » Janssen et Pfizer filmées au microscope. Les vidéos sont surprenantes.

COVID19 – Les mesures

by 9 janvier 2022

Pour lutter contre le Sars-Cov-2, les stratégies des gouvernements ne sont pas toutes identiques. Certaines sont plus souples que d’autres et chaque Etat avance en aveugle.

Le journal Le Monde a publié un article, écrit par Jonathan Parienté, William Audureau, Gary Dagorn et Assma Maad, le 30 septembre 2020. Le journal a interrogé plusieurs dizaines de spécialistes hospitaliers, de l’Inserm ou de l’OMS, pour faire le point sur ce qui fait consensus et ce qui divise encore la communauté scientifique, après la première vague de Covid-19. L’enquête a été envoyée à 200 scientifiques. 54 ont répondu. Des questions comme « faut-il porter le masque en extérieur » a particulièrement divisé les scientifiques. Il existe aussi de nombreux autres points de divergence.

Début octobre 2020, le débat portait sur la nécessité ou non de confiner les enfants, fermer les écoles, etc. Les différents gouvernements ont avancé en aveugle. Les décisions furent parfois contradictoires ou à la limite de l’absurde. 

Les premières révisions de cet article proposait une vidéo, extrait d’une intervention de Martine Wonner, psychiatre de formation et députée à l’Assemblée Nationale mais manifestement les gouvernements occidentaux ont pris modèle sur la Chine et ont censuré les informations qui n’allaient pas dans leurs sens. Le débat n’a plus sa place, y compris dans le domaine scientifique et nous sommes entrés dans l’ère de la pensée unique. Il devient nécessaire de sauvegarder toutes les sources d’information avec qu’elles ne disparaissent. 

Respect pour le courage de cette député de s’opposer à la position actuelle du gouvernement. Une partie de son propos avait cependant été balayé dès le lendemain pour une nouvelle publication du CDC. Cet organisme américain écrit le lundi 5 octobre 2020 que « le virus pouvait parfois se diffuser par les voies aériennes ». On notera la prudence dans ce propos lors de cette déclaration. Après quelques mois, il s’avère que le virus se diffuse effectivement en aérosol. 

Le confinement est un choix qui a été fait par certains pays et pas par d’autres. En Suède ou au Japon par exemple, le confinement n’a pas eu lieu et le nombre de décès était resté relativement faible, en tout cas jusqu’au début 2021. Il semble que depuis le début d’année, la propagation devienne plus préoccupante dans ces deux pays, bien que la Suède n’ait pas, proportionnellement, plus de décès que la France qui a confiné. 

En effet, en date du 28 janvier 2021, contrairement à la désinformation des médias français qui circulait au début 2021, la situation sanitaire n’était pas si catastrophique en Suède. Les restaurants étaient ouverts et la majorité des Suédois ne portaient pas le masque qui n’est pas obligatoire dans les lieux publics. Voici les chiffres officiels au 22 janvier 2021 :

  • Suède : nombre de morts du Covid-19 : 10 921, pour 10 230 000 d’habitants, soit une mortalité de 0,106 %.
  • France : nombre de morts du Covid-19 : 71 998 pour 66 990 000 d’habitants, soit une mortalité de 0,107 %.

En août 2021, la Suède ne semblait toujours pas inquiétée outre mesure par l’épidémie. 

Il est donc légitime de se poser la question sur l’efficacité d’un confinement. D’ailleurs la généticienne Alexandra Henrion-Caude estime que « les confinements ne font que retarder la propagation de l’infection ». En effet, il ne peut s’agit d’un confinement strict. Chacun doit au moins sortir pour se réapprovisionner.

Le France a cependant fait le choix du confinement. Ainsi, dans notre pays, les écoles et autres zones de rassemblement tels que les clubs de sport, furent officiellement fermées le 16 mars 2020. Le premier confinement fut imposé en France entre le mardi 17 mars et le 11 mai. Dès le 18-03-2020, la moitié des écoliers et étudiants était privée d’établissement scolaire dans le monde.

Depuis la fin du premier confinement, les « alarmistes » nous annonçaient tous les 15 jours une nouvelle vague depuis le mois d’avril 2020 qui n’est pas venue qu’en octobre 2020. Les « rassuristes » nous disaient qu’il n’y aurait pas de deuxième vague. Quant aux modèles mathématiques qui tentent de modéliser la pandémie et d’anticiper son développement, ils restent à perfectionner. 

Quoiqu’il en soit, le 14 octobre 2020, le Président Macron annonçait un couvre-feu dans certains grandes métropoles, applicable à partir du 17 octobre. Le 28 octobre le Président Macron reprend la parole pour annoncer un nouveau confinement, un peu moins contraignant que le premier. 

Les attestations de déplacement redevenaient obligatoires (bien que le 22 décembre 2020, une décision du juge des référés du Conseil d’Etat affirmait que l’attestation de déplacement dérogatoire, dont les Français ont dû se munir pour sortir de leur domicile pendant les confinements acte I au printemps et acte II à l’automne, n’avait aucun caractère obligatoire).

Le 24 novembre 2020, il est un peu assoupli. Un nouvel allègement du confinement a eu lieu le 15 décembre.

En fin décembre 2020 et janvier 2021, un couvre-feu est instauré dans de nombreux département à partir de 18h00 et à 20h00 dans les autres.

Le 28 octobre 2020, le président de la République annonçait un deuxième confinement sur l’ensemble du territoire national à compter du 29 octobre 2020 minuit.

Le 14 janvier 2021, le Premier ministre annonçait l’avancée du couvre-feu de 20h00 à 18h00 sur l’ensemble du territoire métropolitain. Fin janvier 2021, le débat portait également sur l’efficacité de ce couvre-feu car les chiffres ne semblaient pas particulièrement s’améliorer. 

Il est intéressant d’étudier après coup, les résultats du précédent confinement dans cet article, écrit par Gérard et Nicole Delepine. Là encore, l’analyse ne va pas dans le sens de la version officielle du gouvernement. Une tribune signée de 300 universitaires, scientifiques et autres professionnels de l’éducation et du social ferait même penser qu’un confinement est un remède pire que le mal. Cela fait régulièrement l’objet de débats.

Les chiffres ne sont pas nécessairement comparables car selon deux études, britannique et américaine, en mars, les malades du Covid-19 étaient plus de trois fois plus susceptibles de décéder des suites de la maladie que ceux hospitalisés en août, rapporte le site scientifique Trustmyscience. Ces deux études médicales récentes concluent à une chute spectaculaire du taux de mortalité hospitalière lié au Covid-19, d’environ 70%.

Les indicateurs comme le taux de personnes positives ne sont pas toujours pertinents, compte tenu de la fiabilité douteuse du test PCR (il semble fiable que dans une période très précise de quelques jours par rapport à la contamination). Il faut plutôt observer l’évolution du nombre de personnes hospitalisées ou le nombre de décès. Sur le dernier trimestre 2020, les autorités annonçaient justement une élévation du nombre de personnes hospitalisées et des décès également en forte croissance. En novembre 2021, le CDC recommandait à l’avenir des multiplex = PCR pour plusieurs virus à la fois à faire sur un seul prélèvement Auparavant, il fallait plusieurs prélèvements spécifiques de chaque virus.

Au moment des prévision de la troisième, le premier ministre Jean Castex a annoncé le 29 janvier 2021, non pas un nouveau confinement, mais des mesures durcies dont a fermeture des frontières avec les pays hors de l’Union européenne et la fermeture des grandes surfaces non alimentaires de plus de 20 000 mètres carrés. A compter du 20 mars 2021, un 3e confinement (osons l’appeler ainsi) est imposé dans 18 départements. Il sera couplé avec un couvre-feu à 18h00 puis à 19h00. Le couvre-feu est fixé à 21h00 à partir du 19 mai 2021. Il faudra attendre le 09 juin pour qu’il soit repoussé à 23h00.

De son coté, l’Italie annonçait le 12 mars 2021 être confrontée à une troisième vague épidémique. Elle a passé la deuxième semaine de mars la barre des 100.000 morts dus à la pandémie de Covid-19 et enregistrait une forte hausse des contaminations et des décès, liés en grande partie au variant britannique. Un nouveau confinement était envisagé sur une grande partie du pays à partir du 15 mars 2021.

En juillet 2021, on nous parlait en France d’une 4e vague mais son pic ne semble pas monté très haut, ce qui n’empêche pas les politiciens, de droite comme de gauche, de continuer dans la stratégie 100% vaccinale, alors que même des scientifiques pro-vaccin ne croient plus en cette utopie d’immunité collective. Voir l’intervention de Monsieur Vaccin (Cohen) devant Olivier Véran début septembre 2021 sur la chaine n°5. Cette chaine deviendrait-elle complotiste ? 

On apprenait le 02/09/2021 que dans le prolongement de ses positions exprimées cet été, le groupe socialiste du Sénat préparait un texte pour rendre la vaccination pour tous contre le covid-19 obligatoire. Le débat parlementaire s’est tenu le 13 octobre. Cette initiative a scandalisé de nombreuses personnes, notamment chez les socialistes, autrefois attachés à une certaine notion de démocratie et de liberté. 

Le gouvernement a également incité les lycéens à se faire vacciner mais cette tranche de population est très faiblement à risque et la balance bénéfice/risque penche plutôt pour l’absence de vaccination. Cette opération n’a pas eu le succès escompté, selon le journal Le Monde. La vaccination des plus jeunes n’a pas non plus été couronnée de succès. On savait déjà à cette date que les grands labos nous avaient menti sur l’efficacité de leurs vaccins. 

Les pays réagissent différemment à ces évolutions de l’épidémie. Le confinement ou le couvre-feu n’ont pour le moment pas démontré leur efficacité mais c’est en tout cas une réponse politique à une situation sanitaire instable. 

NB : Il semble évident que les chiffres initiaux communiqués par la Chine concernant la mortalité liée au coronavirus étaient très en dessous de la réalité. Les derniers chiffres officiels étaient de 3326 décès en Chine avant le 03 avril 2020. Pour Marie Holzman, présidente de Solidarité Chine, les informations qui filtrent par la diaspora évoquent plutôt 60.000 en date du 04 avril. Prudence donc à la lecture des chiffres officiels. La manipulation étant flagrante, il est préférable de ne pas se baser sur les chiffres émanant de la Chine. Globalement, au 8 juillet, les autorités chinoises annonçaient au total, depuis fin 2019, 83.585 cas confirmés en Chine continentale dont 342 malades encore en traitement ; 4.634 personnes décédées, très majoritairement dans la province du Hubei. 

Au 15 juin 2020, la Chine se préparait à une deuxième vague. Plus de 11 millions de personnes ont été testées, et 5.000 ont été placées en quarantaine. Le 9 juillet, la Chine annonçait par la suite la maîtrise complète de la « 2ème vague ». Il s’avère que de nouveaux cas sont signalés en janvier 2021 et que la Chine confine deux villes entières.

Il est difficile d’avoir des chiffres exacts car les autorités chinoises bloquent l’information ainsi que les experts de l’OMS chargés d’enquêter sur l’origine du virus. Il semble qu’en date du 11 janvier, la Chine ait autorisé ces enquêteurs à entrer sur leur territoire. Les preuves ont eu tout le temps de disparaitre. Des proches de victimes disent recevoir des pressions pour ne pas parler aux experts de l’OMS.

Les courbes sur la propagation du virus ne doivent pas faire l’objet d’une attention soutenue. En revanche, il faut s’intéresser au nombre de personnes en réa et au nombre de décès.

Le 31 août 2020, le professeur Toussaint déclarait sur RFI : « Sur les 500.000.000 d’habitants en Europe, il y a eu précisément 136 décès (le 31/08). On a eu des taux 100 fois plus élevés au printemps ». Il évoque le notamment le taux de tests « faux positifs » de 1 à 3%, ce qui fait qu’on évalue le nombre à 4500 faux positifs par semaine (sur une moyenne de 1 millions de test la semaine) alors qu’on a détecte 5500 personnes en date du 31 août. Le professeur explique que le port du masque est une mesure « politique » plus qu’une recommandation scientifique sérieuse, en tout cas en Europe car la maladie décroit largement, ce qui n’est pas le cas en Inde par exemple. Il évoquait à la situation à cette date, bien entendu. Fin octobre, la situation ressemblait effectivement davantage à une deuxième vague. Les interventions du professeur Toussaint se sont fait plus discrètes à compter de cette période.

Le virus ayant des propensions à muter, les regards sont tournés début novembre 2020 vers le Danemark. En effet, après une mutation problématique du coronavirus provenant des visons qui pourrait menacer l’efficacité d’un futur vaccin humain, le Danemark a annoncé des mesures de restrictions spécifiques pour plus de 280.000 habitants du Nord-Ouest du pays, afin d’empêcher de nouveaux cas de ce « Cluster 5 ».

Si donc, comme l’explique Étienne Decroly, les mutations sont le fait d’une absence de contrôle de la propagation du virus, d’autres scientifiques, dont Didier Raoult, avancent l’hypothèse que les traitements, notamment au remdesivir, seraient la cause indirecte –par une pression supplémentaire à la sélection naturelle– de ces nouvelles souches.

Un point complet sur les recherches portant sur les modes de propagations est proposé dans un article de l’Internaute. La transmission par les microgouttelettes reste une certitude, à ce la s’ajoute la transmission par les objets touchés ou, dans une moindre mesure, par l’air (via l’expiration donc cela revient aux microgouttelettes).

Alors qu’en France c’est la distance d’un mètre qui a été retenue, une étude montpelliéraine soutient que cette distance de deux mètres est nécessaire, notamment lors de la prononciation de certains mots. Par exemple, les syllabes qui commencent par le son « p » « envoient des jets d’air qui atteignent un mètre en une seconde ». Néanmoins, pour Simon Mendez, chercheur au CNRS qui s’est confié à France 3, « il ne suffit pas de respirer le virus une fois pour être malade. La distance n’est pas pertinente si on ne prend pas en compte le temps et la circulation de l’air dans l’espace ».

Une étude parue le 6 aout 2021 dans la revue Clinical Infectious Disease suggère que les aérosols infectieux contenant des particules de petites tailles seraient majoritairement responsables des contaminations par le SARS-CoV-2. Il semble donc que des mesures telles que l’arrêt du port du masque dans les lieux où le passe sanitaire (ou ce qu’il en reste) est obligatoire semblaient grandement prématurées, surtout avec l’émergence du variant Delta. Manifestement, le gouvernement français ne va pas toujours dans le sens des études scientifiques, et parfois même est totalement à contre-courant. 

En fin d’année 2020, une étude chinoise portant que 10 millions de personnes montrait que les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettaient pas la Covid19. L’hypothèse de la transmission par des cas asymptomatiques aurait-t-elle été instrumentalisée pour justifier et fabriquer un consentement pour des mesures de confinements extrêmes, portant sur des populations entières, y compris des décrets autoritaires de restriction des libertés ? C’est d’autant plus étonnant que quelques mois plus tard, les scientifiques nous apprenaient que même les personnes vaccinées pouvaient aussi bien transmettre le virus que les personnes non vaccinées.

Le 22/01/21, l’artiste Francis Lalanne s’est positionné sur ce sujet mais n’étant pas un spécialiste, sa position n’a pas eu particulièrement d’influence. L’article de France Soir explique que le gouvernement est en train de commettre insidieusement un coup d’État au nom de la Covid et s’apprête à instituer la tyrannie comme un avatar de la République, à l’insu du peuple français.

En mai 2021, on découvrait un article du général Dominique Delawarde « Rapport de situation planétaire Covid du 8 mai 2021″. L’interprétation des chiffres semble très éloignée de la version officielle.

Enfin, début mai encore, la propagande pro-vaccinale actuelle vantait les résultats aux Seychelles. C’était la zone la plus vaccinée (61% des 100.000 habitants avec Astra-Zeneca et Sinopharm), qui avait soi-disant « vaincu » le virus. Le 18/05/21, on apprenait que, malgré le fort taux de vaccination, l’épidémie repartait à la hausse : « Selon le ministre de la Santé Seychellois, 33 % des malades recensés avaient été entièrement vaccinés, rapporte CNN. Toujours selon le média, les experts et les responsables locaux affirment que le retour de l’épidémie n’est pas un signe que les vaccins ne fonctionnent pas. Ils rappellent cependant qu’un haut niveau de vaccination ne doit pas inciter à baisser la garde. »

Lors de son allocution du 12 juillet 2021, Emmanuel Macron a fait un pas de plus vers le totalitarisme en imposant la vaccination au personnel soignant et en l’imposant indirectement à toute la population. Immédiatement, des manifestations ont eu lieu dans toute la France. Les antivax invoquent notamment la loi Kouchner. Ces manifestations ne regroupaient pas seulement les antivax mais aussi les vaccinosceptiques et certaines personnes vaccinées qui rejettent elles aussi cette dérive liberticide et totalitaire. Des soignants, des pompiers se sont joints au mouvement. Alors que quelques semaines plus tôt, le gouvernement avait annoncé que la vaccination ne serait pas obligatoire, elle l’a malgré tout rendu obligatoire pour les professions étant en contact avec le public. Un mensonge de plus dans cette crise sanitaire.

Rappelons d’autre mensonges : Olivier Véran le 26 août 2021 : « Il n’y aura pas d’impact de la 3eme dose sur le pass sanitaire », ou Macron au 20h00, « Que vous alliez prendre votre rappel ou non, vous garderez le bénéfice du passe sanitaire ». Déjà le 19/04/21, ce dernier clamait « Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différentie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis. » 

Comme à chaque fois, la stratégie est de diviser les français et d’imposer des mesures strate par strate, comptant sur l’individualisme. Le pass sanitaire a été imposé dans tout le pays, en partie grâce à une étude scientifique plus ou moins bidon. Est-ce que ca nous surprend encore ? Rappelons-nous que la guerre du Golf était justifiée par des armes de destruction massives qui n’existaient pas et le nuage radioactif de Tchernobyl n’a jamais franchi la frontière de la France. 

Le Dr McCullough, spécialiste américain qui a témoigné sous serment devant le Sénat américain, a passé en revue les assertions de notre Président. Une vidéo de 25mn est disponible sur le site de France Soir qui démonte chaque point. En synthèse de ses propos : les vaccins ont été créé pour la souche originelle du Sars-Cov-2 mais sont INEFFICACES pour les mutations et que la prise de risque n’est pas conseillée. 

Aux USA, des actions en justice ont émergé dans tous les états. Le 21/01/2022, un juge fédéral du Texas émet une injonction nationale bloquant le mandat de vaccination de Biden pour les employés fédéraux.

Début aout 2021, le plan blanc est déclenché en PACA. Ci-dessous une vidéo Twitter de BFM TV PACA dans laquelle une infirmière se demande où sont les patients COVID. Dans cette même vidéo, un chirurgien s’interroge sur les vaccins. Puisque les vidéos ont tendance à disparaitre des sites de streaming en ce moment, j’ai décidé de l’héberger localement. 

Comment arriver à se forger une opinion fiable avec autant de spécialistes qui annoncent des choses diamétralement opposées ?

Le 05/10/21, l’Europe autorisait la 3e dose pour les plus de 18 ans, alors même que la FDA et l’OMS n’y étaient pas favorables. Cela signifie que le pass sanitaire pour les personnes vaccinées double dose arriverait rapidement à expiration. C’était une mensonge de plus du gouvernement Macron. 

Mi janvier 2022, l’Assemblée Nationale et le Sénat approuvent le pass vaccinal. Un mensonge supplémentaire du gouvernement qui avait annoncé que ce pass ne verrait jamais le jour. Les théories complotistes de 2020 se trouvaient à présent votées par nos institutions ! Cette décision a été prise alors même que les pays voisins assouplissaient les mesures de restriction. Ce pass exigeait des restaurateurs le contrôle du QR Code mais aussi de la carte d’identité en cas de doute sur le pass. Le vice-président de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih) a affirmé lundi 17 janvier matin que les restaurateurs ne contrôleraient pas l’identité des détenteurs de passes vaccinaux. De même un syndicat de policiers s’est montré hostile à cette idée. Le gouvernement avait décrété la guerre aux non vaccinés, leur faisait porter le chapeau des contaminations, ce qui était totalement faux mais trouver un coupable est toujours moyen de détourner l’attention pour éviter d’avoir à se justifier de ces erreurs. Les résistants tentent de s’organiser. Des associations furent crées comme « Je ne suis pas un danger« . En parallèle, de nombreux français, plus éveillés, commencent à comprendre la supercherie et les réactions furent nombreuses sur les réseaux sociaux. A l’approche des présidentielles, le 20/01/2022, Gérard Larcher annonçait l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire qui visait à examiner « l’adéquation du passe vaccinal à l’évolution de l’épidémie de Covid-19 ». Le cabinet McKinsey était entendu le même mois pour justifier ses factures faramineuses dans la gestion de cette crise. 

Le gouvernement a tout misé sur la vaccination, en empêchant même d’autres remèdes d’être utilisés. D’une manière générale, plus les pays ont vaccinés, plus ils ont eu de cas. Il faut rappeler que les virus ARNm, tels que proposés, ne protégeaient ni de la contamination, ni de la transmission. Dès lors le pass, qu’il soit sanitaire ou vaccinal, n’avait plus aucune légitimité. Cette crise était devenue politique et non sanitaire. Le gouvernement français mettra un maximum de pression sur les non vaccinés, les accusant de tous les maux. Il faut toujours trouver un coupable pour se dédouaner soi-même. En réalité, les non vaccinés terrorisaient le pouvoir car ils formaient un groupe témoin qui aurait permis de mettre en évidence les effets secondaires de la « vaccination » Covid-19. Des études ont même montré que les vaccinés étaient plus affectés statistiquement que les non vaccinés. L’échec de la vaccination était total. 

Comme si c’était écrit depuis le début, certains pays décrètent la vaccination obligatoire. Le chancelier autrichien, Karl Nehammer, a annoncé dimanche 16 janvier 2022 qu’à partir de février, la vaccination contre le Covid-19 deviendrait obligatoire.

Lors de cette crise sanitaire, la France a dépensé plus d’un milliard d’euros par mois en tests, a dépensé l’équivalent de 7% de notre PIB, a fait voter des lois liberticides et a dépensé une somme astronomique en vaccins, en communication, en frais de personnel, en gardiens de sécurité à l’entrée des hôpitaux, etc. Avec ces dépenses, elle pouvait tripler les lits de réa, recruter plus de médecins et de soignants, ou encore bâtir 15 hôpitaux… Le gouvernement LREM s’est enfermé dans une stratégie 100% vaccinales et 100% répressive qui n’a pas porté ses fruits. 

Dès le début de la vaccination, les gouvernements et la presse (subventionnée par les gouvernements), s’est mise à répéter en boucle que les vaccins étaient formidables, très efficaces, sans danger, etc. 

Ce discours marketing des grands labos fut relayés gratuitement par nos médias. Les études payées à l’époque ont étonnamment  « conclus » à une efficacité de 96% pour ces vaccins qu’on attendait tous impatiemment. On clamait dans les spots TV « Protégez vous et protégez vos proches ». Evidemment, les médias n’avaient pas les moyens de vérifier les données annoncées par les grands labos, et les gouvernements non plus. 

En avril 2022, on constate que l’efficacité annoncée de 96% , est en réalité plus proche de 45%. Ces produits expérimentaux ne protègent que très peu, et seulement sur 30 jours (article NEJM). Ils n’empêchent pas de contracter le Covid et ne freinent pas la transmission. Lorsqu’on analyse les courbes de décès en libre accès sur OurWorldInData, on constate que les plus vaccinés ne sont absolument pas protégés non plus des formes graves et font partie au contraire des personnes les plus touchées par les décès. Les labos nous ont menti sur toute la ligne. Des fakenews étaient donc propagées par nos élites et nos organes de presse. 

21/01/22 : Alors que le gouvernement français restait dans le déni, le Professeur Eric Caumes, pourtant largement converti à la cause vaccinale, expliquait sur LCI que omicron était largement dominant dans les écoles mais que vacciner les enfants ne servait plus à rien. Les enfants s’immunisaient naturellement. Il expliquait que l’immunité naturelle était plus efficace que l’immunité vaccinale. 

De son coté, l’agence européenne du médicament (EMA) déclarait « Si nous avons une stratégie dans laquelle nous donnons des rappels tous les 4 mois, nous finirons par avoir potentiellement des problèmes avec la réponse immunitaire« …

https://cho-ku-rei.fr/wp-content/uploads/2022/01/EricCaumesLCI-0122.mp4https://cho-ku-rei.fr/wp-content/uploads/2022/01/EMA-Doses.mp4

Afin de ne pas remettre sa stratégie en question, malgré les preuves flagrantes d’échec, le gouvernement continuera de faire porter la responsabilité sur les non-vaccinés. Chez une partie de la population, à force de répétition, les esprits fragiles ne se posent plus la question et acceptent cela comme une évidence : « les vaccinés sont porteurs du virus et me veulent du mal« . Mais une autre partie de la population s’éveille. Les organisations SAF, Solidaires, LDH et CGT ont fait valoir leurs propres arguments devant le Conseil Constitutionnel. Des collectifs d’avocats s’émeuvent de la régression de notre démocratie. De nombreux médecins et scientifiques s’insurgent sur les réseaux sociaux contre un régime autoritaire ou totalitaire qui se met en place dans notre pays.

Début février 2022, on apprenait que l’obligation vaccinale pour tous venait d’être votée en Autriche! L’Autriche était la première démocratie occidentale à rendre obligatoire la vaccination contre le Covid pour la quasi-totalité de sa population adulte, une décision autrefois impensable qui est considérée comme un test pour d’autres pays aux prises avec des poches de résistance aux vaccins. D’après le Chancelier Nehammer: « Le chemin vers la liberté est l’obligation vaccinale ». Une rhétorique inversée que l’on à déjà entendue en France… Un mois après sa mise en place, l’Autriche reconnaissait l’inutilité de cette loi, son atteinte aux libertés fondamentales et retirait cette obligation vaccinale. Quant à l’Allemagne, le parlement a voté contre l’obligation vaccinale. 

Le 19/04/22, la Pologne a informé la Commission Européenne et Pfizer qu’elle résiliait les contrats de vaccins. Il lui en restait encore 25 millions en stock, et Pfizer devait lui en livrer 60 à 70 millions dont elle n’avait plus besoin. Cela est à mettre en perspective avec le fait que les variants présents étaient moins virulents et que de plus en plus d’études montraient la faible efficacité de la vaccination (et accessoirement, les remontées d’effets secondaires explosaient dans les bases de pharmacovigilance). 

Pendant ce temps, l’Europe préparait un texte de loi pour imposer la vaccination. Quand on connait les conflits d’intérêt au plus haut niveau de l’Europe, ce n’est pas surprenant. 

11 mars 2022, le Figaro rapportait que ACI Europe, qui revendique fédérer 500 aéroports du Vieux Continent, et l’Iata (Association du transport aérien international), représentant 290 compagnies du monde entier, réclamaient la fin des restrictions sanitaires, expliquant que « Le Covid-19, et en particulier le variant Omicron, est désormais tellement répandu dans toute l’Europe, et l’immunité de la population est telle que le risque d’hospitalisation et de décès a spectaculairement diminué, en particulier pour les vaccinés ». 

Mars 2022, la députée européenne Virginie Joran en appelle à plus de transparence. De nombreux autres députés ont formulé les mêmes demandes et n’ont rien obtenu de la présidence de l’Europe.

A cette date, l’Europe réfléchissait à imposer une vaccination obligatoire alors que des soupçons de corruption flottaient déjà dans l’air depuis plus d’un an, que les preuves de l’inefficacité des vaccins s’accumulaient et que le nombre d’effets secondaires s’envolaient. 

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Pour clôturer ce chapitre, quelques exemples de mensonges de nos dirigeants (pour mémoire) :

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COVID19 – La propagation

by 9 janvier 2022

La propagation d’une épidémie peut être mesurée mais il est toujours intéressant de tenter de prendre un peu d’avance et d’utiliser des modélisations mathématiques et informatiques. Bien entendu, ces modélisations se basent des des paramètres initiaux et des heuristiques de propagation qui sont parfois discutables. Toutes n’aboutissent pas aux mêmes résultats. 

Pour comprendre les principes d’une propagation virale, Les premières révisions de cet article proposaient une vidéo de Laurent Toubiana, Chercheur épidémiologiste à l’INSERM mais puisqu’il n’avait pas les mêmes idées que ses paires, son compte YouTube a été censuré. 

Du point de vue génétique, le COVID-19 présente « 80% de similarités » avec le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), dont la pandémie avait fait des centaines de morts en 2003. Cependant, il semble plus dangereux. Pour preuve, le taux de mortalité d’une grippe classique se situe souvent aux alentours de 0,8%. Le Sars-Cov2 se situerait aux alentours de 2 à 4%. En France, 86% des patients décédés de la grippe entre 2011 et 2019 avaient plus de 75 ans, contre seulement 50% pour les victimes du coronavirus.

A noter qu’une étude publiée par le New England Journal of Medicine (NEJM) et financée par le gouvernement américain, concluait que le virus aurait un niveau de viabilité à l’air libre comparable à celui du SRAS (plusieurs heures).

Note : Les pays cherchent à couvrir au mieux et de manière « quasi-immédiate » les décès attribuables au COVID-19. Mais les collectes, effectuées via des dispositifs d’observation spécifiques, ont des couvertures différentes. Trois éléments-clés sont susceptibles d’impacter les décomptes des pays et donc de jouer sur les différences observées : le lieu du décès (domicile, établissements pour personnes âgées, hôpitaux) ; le délai de la remontée ; l’identification de la cause du décès…
Les chiffres peuvent aussi être présentés en absolu ou proportionnellement à la population concernée.
Le risque est grand de tomber dans le fameux paradoxe de Simpson.
Il va s’en dire que la source de données est importante.
Il convient donc d’être prudent avec les chiffres.

20 janvier 2022 : Le Monde reconnait enfin les biais dans les informations anxiogènes annoncées par le gouvernement. Ils écrivent : « Plus de 25 000 personnes déclarées comme ayant le Covid-19 sont actuellement hospitalisées en France. Cependant, une partie non négligeable d’entre elles le sont pour une autre raison que les effets de la maladie. Ce biais, identifié depuis le début de l’épidémie – Libération le signalait en février 2021 –, tend à s’amplifier dans un contexte de forte circulation du virus.« 

Distribution des classes d’âge les plus touchées en France, au début de l’épidémie (Source : Santé publique France).

Le virus initial, jusqu’à son variant Delta, touchait principalement les personnes âgées et notamment les personnes dont le système immunitaire est déficient et en mauvaise santé. On constate sur le graphe que plus l’âge augmentait, plus le risque était important. Avec les variants successifs, omicron, notamment, des personnes plus jeunes furent touchées mais ce variant était moins virulent, les conséquences étaient moins graves. 


Distribution des classes d’âge les plus touchées en France, actuellement (Source : Santé publique France)

Le 11 mars 2020, l’OMS a officiellement parlé de pandémie.

Au 20 mars 2020, Worldometers comptabilisait 256.000 cas dans le monde et 10.500 décès. Précisons aussi que 90.000 personnes en étaient déjà guéries à cette date.

Le 16 avril 2020, les USA devenaient le pays comptabilisant le plus de décès avec plus de 30.000 personnes et un nombre de contaminations impressionnant.

Au 20 avril 2022, Worldometers comptait 506.154.386 cas dans le monde et 6.228.817 décès pour 458.341.428 rétablissements. Le nombre de décès aux USA atteignait 1.016.159.

A cette date, selon Worldometers, la France cumulait 27.816.299 cas de contaminations pour 144.387 décès. Selon France Info, la France comptait 53.397.777 personnes vaccinées (volontaires ou non), soit environ 80% de la population.

De nombreux graphiques sont disponibles sur le site Worldometers. Il existe bien d’autres sites qui recensent des données. Par exemple, les données indiennes sont reportées sur ce site.  

Il est à noter que les différents pays n’utilisent pas toujours la même façon de comptabiliser les données et même au sein d’un état, les différentes agences gouvernementales n’utilisent pas toujours les mêmes bases de données. La définition d’une personne vaccinée peut également changer d’un pays à l’autre ou même changer dans le temps…

Les chiffres sont en effet fortement manipulés. Le CDC américain par exemple, considère qu’une personne vaccinée est considérée comme telle dans les statistiques à partir de la date de la 2e dose + 14 jours. Ainsi, les décès post-vaccination à moins de deux semaines sont considérés comme non vaccinés aux USA ! Etonnant, non ? En France, une chef de service de réanimation (on taira ne nom ici pour éviter que la foudre ne s’abatte sur elle), a confirmé que les vaccinés morts moins de 10 jours après leur 2ème dose ne sont pas comptabilisés dans le fichier de pharmaco-vigilance en tant que décès suite au vaccin. Ils sont donc comptés comme non vaccinés, ce qui permet ensuite au gouvernement d’annoncer que ce sont les personnes non vaccinées qui encombrent les hôpitaux. 

Certains spécialistes évoquaient également 14 jours et non 10 jours. Ainsi, une personne qui décède dans les deux semaines après sa deuxième dose sera comptabilisée dans les « décès non vacciné ». A noter également que l’ANSM considère que 14 jours après le jour de la vaccination, il n’est pas possible d’établir une corrélation concernant les effets secondaires (la mort est intégrée dans les effets secondaires). De même, une personne doublement vaccinée mais en attente de sa 3e dose ne sera plus considérée comme vaccinée. Quant à la détection des cas, puisqu’on teste quasiment que les non vaccinés (les vaccinés étant censés être protégés), il est évident que les chiffres semblent importants ! Voila comment la France falsifie les chiffres et manipule les ignorants. 

Pour rappel, parmi les personnes hospitalisées, peu sont en réanimation et parmi celles qui sont en réanimation, certaines sont en « surveillance » seulement. Si le variant Delta s’est propagé rapidement, il semblait moins virulent que le virus originel. La manipulation des chiffres est assez flagrante. L’objectif du gouvernement est de générer la peur pour arriver à une vaccination massive mais même les épidémiologistes provax aujourd’hui ne croient plus en cette utopie d’immunité collective. Le vaccin ne pourra définitivement pas demeurer notre seule porte de sortie de cette crise. De nombreux blogs dénoncent ces manipulations. Extrait de l’un d’eux « Le gouvernement a planqué 50% des décès pour sous évaluer la part des vaccinés décédés. Les preuves de la magouille, le gouvernement communique 926 décès Covid entre le 31 mai et le 11 juillet , il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1880 décès Covid sur la même période.« . la DREES a confirmé ultérieurement avoir « oublié » des décès.

Il faut ensuite relativiser ces chiffres. Dans son livre, Marie-Estelle Dupont, psychologue, écrit qu’en 2020, « seulement 2% des hospitalisations étaient liées au Covid […], 5% en Réa. On a donné l’impression que les services étaient pleins à craquer de patients Covid et en fait ce n’était pas le cas. […] La peur a été disproportionnée« .

En absolu, les USA, l’Inde et le Brésil figurent dans le haut de la liste en matière de propagation et de décès. Il faut bien entendu rapporter ces chiffres au nombre d’habitants pour que l’analyse soit plus pertinente. Les chiffres annoncés par la Chine ne peuvent être sérieusement comptabilisés. Certains pays, comme l’Angleterre et la France ont émis rapidement des doutes sur la véracité des chiffres communiqués par la Chine. Déjà, le 17 avril 2020, le maire de Wuhan annonçait des morts supplémentaires : « Actuellement, n’étaient pas comptées les personnes décédées à leurs domiciles« . Depuis, de nombreux scientifiques ont émis des doutes sur les nouvelles informations communiquées par la Chine. Il est donc inutile de les prendre en considération. La Chine n’est pas un modèle de transparence. 

Le graphique ci-dessous présente les zones où il y a le plus de réanimation en France, liée à la Covid-19. Les zones blanches ne signifient pas qu’il n’y a pas de personnes en réa mais qu’elles sont éventuellement éloignées d’un hôpital ayant un service de réa .

Evolution des décès quotidiens en 2020 comparés aux cinq dernières années (2015-2019) et à la canicule de 2003 (source INSERM)


Répartition des dècès Covid à ce jour

Davantage frappés par le virus, les hommes constituent la majorité des personnes décédées depuis un an à l’hôpital (58%). Si la tranche des [90 ans et plus] semble plus petite que la tranche des [80-89 ans], c’est simplement parce que la mortalité (hors covid) intervient souvent avant 90 ans. 

Le graphique suivant est extrait du journal « Le Monde » du 22 novembre 2020. En synthèse, la deuxième vague de l’épidémie de Covid-19 se présentait de manière différente de la première. D’abord en raison de sa cinétique particulière : la circulation du virus s’était accélérée lentement depuis août avant de s’emballer au cours du mois d’octobre, pour atteindre à la mi-novembre 2020 un nombre de personnes hospitalisées légèrement supérieur au pic de la mi-avril. Pourtant, à hospitalisations quasiment égales, le nombre de personnes transférées en services de réanimation, présentant donc les formes les plus graves de la maladie, avait diminué entre les deux vagues.

Les personnes âgées, notamment dans les EHPAD semblaient particulièrement impactées avec une grande majorité des décès, dès le début de cette crise sanitaire. A noter que ces chiffres ne comptabilisaient que les décès en hôpitaux et en EHPAD. Les victimes décédées à leur domicile ne pouvaient être comptabilisées. Depuis, certains pays ont réévalués leurs chiffres puisque ceux-ci ne comptaient pas à l’origine les décès au domicile.

A noter aussi que ces victimes sont classées « positives au virus », ce qui ne veut pas dire qu’elles sont nécessairement décédées « à cause du virus ». Les chiffres sont donc à interpréter. Nos médecins ont été « incité » à classer Covid-19, même les simples grippes saisonnières. D’ailleurs, nous n’avons eu aucun chiffre à l’hiver 2020-2021. Etonnant, non ? Certains articles tentent de le justifier en expliquant que les gestes de protection utilisés dans cette crise sanitaire du Covid-19 ont permis de s’en prémunir. 

Comme l’ont également fait d’autres pays d’Europe, la France a levé le premier confinement à partir du 11 mai 2020 avec un assouplissement plus sensible à partir du 02 juin 2020. Fin septembre 2020, le taux d’incidence par département redevenait plus préoccupant.


Pour rappel, le taux d’incidence correspond au nombre de personnes infectées sur une semaine, dans une population de 100.000 habitants. Deux seuils ont été fixés par le ministère de la Santé : le seuil de vigilance est atteint si plus de dix personnes sont infectées pour 100 000 habitants. Le seuil d’alerte se trouve à 50 personnes infectées.


Attention cependant à l’interprétation des chiffres car au début de l’épidémie en France, environ un tiers des tests étaient positifs, alors que pour les tests suivants, à partir de juillet 2020, nous étions à 1%.

En effet, au début de l’épidémie, la France réservait ses tests aux malades les plus graves. Impossible, dès lors, de recenser les nombreux malades légers ou asymptomatiques. Moins d’un cas de Covid-19 sur dix était donc détecté et comptabilisé pendant cette période, selon des études rétrospectives de l’Institut Pasteur et de l’agence de sécurité sanitaire Santé publique France (SpF).

L’augmentation du nombre de tests de dépistage est une autre explication possible de la hausse du nombre de nouveaux cas détectés. En effet, plus on teste, plus on a des chances de trouver des porteurs du virus. Si on ne parle pas de taux de positivité, il faut alors pouvoir rapprocher les deux données. Il est donc important de ne pas prendre les chiffres en absolu mais en relatif (i.e, par rapport au nombre de personnes testées). 

Une carte de la progression mondiale de la contagion est disponible sur le site de la Johns Hopkins University. Une carte pour la France est disponible sur le site ESRI France. Le journal Le Monde affiche régulièrement les courbes linéaires et logarithmiques. Ce même journal publie les courbes de l’infection.

Les chiffres peuvent être suivis en temps réel sur cette carte interactive :

Il est étonnant de constater qu’on ne peut affirmer aujourd’hui que les vaccins fonctionnent, même temporairement. Globalement, les pays qui ont le plus vacciné connaissent le plus grand nombre de cas. Un exemple et un contre-exemple montrent qu’on ne peut tirer de conclusion. Suite au « booster » (3e dose), les cas diminuent en Israel mais l’Islande restent haut. Selon les chiffres d’Israel, on pourrait penser que les cas diminuent suite à l’injection mais on ne trouve pas ce décalage temporel par rapport à la vaccination sur d’autres pays. D’ailleurs des chercheurs de Harvard sont arrivés à la même conclusion dans un article écrit par S.V. Subramanian et A. Kumar, publié en l’European Journal of Epidemiology (accepted 09/09/21)





Les chiffres sont très difficiles à interpréter depuis le début de la crise sanitaire. En étant objectif, il est délicat de tirer des conclusions sur l’efficacité des mesures gouvernementales (confinement, couvre-feu, vaccination, pass sanitaire…). Une chose est sure, si ces mesures étaient si efficaces que le déclare le gouvernement, les chiffrent le montreraient de façon significative et le débat n’aurait pas lieu. A partir des mêmes données, des spécialistes ne vont pas toujours tirer les mêmes conclusions, selon leurs croyances initiales. 

A partir des données de la DRESS, un ingénieur en génétique microbienne produit par exemple ce graphique qui tend à montrer que la vaccination de masse est inefficace sur le variant omicron, voire aurait un effet négatif. 

Autre exemple, en analysant les chiffres de l’INSEE 2020, il est étonnant de constater une surmortalité deux fois plus élevée chez les étrangers en France en 2020. En effet, les personnes nées à l’étranger ont connu en 2020 une surmortalité deux fois plus élevée que celles nées en France, accentuée par une très forte hausse des décès chez les ressortissants africains, pendant la première vague de la pandémie de Covid-19, selon des statistiques publiées début avril 2021. Il est difficile d’expliquer ces chiffres. 

Le site de l’INSEE rapporte que la hausse des décès est la plus forte pour les personnes nées en Afrique : + 21 % pour les personnes nées au Maghreb (Algérie, Maroc, Tunisie, avec 40 100 décès en 2020 contre 33 300 en 2019) et + 36 % pour celles nées dans un autre pays d’Afrique (7 400 décès contre 5 400, figure 1a, figure 1b). Elle est également très nette pour les personnes originaires d’Asie (+ 29 %, avec 6 300 décès contre 4 900). Pour les personnes nées en Europe et celles nées dans un pays d’Amérique ou en Océanie, l’augmentation des décès est proche de celle observée pour les personnes nées en France. L’explication de ces données n’a jamais été très claire. 

En juillet 2021, les autorités annonçaient des chiffres « prouvant » que le virus circulait moins chez les personnes âgées vaccinées et infectait désormais des personnes jeunes, en bonne santé et non vaccinées. On nous a expliqué ensuite que les jeunes n’étaient pas à l’abri des formes graves de la Covid-19. Il semblait pourtant que les infographies publiées quelques mois auparavant prouvaient le contraire. Le variant Delta (Indien) s’est avéré un peu plus contagieux mais pas plus virulent. La mutation L452R qui le caractérise était déjà présente dans 61,3 % des tests de dépistage au niveau national à mi-juillet 2021. Ces informations qui nous provenaient du gouvernement arrivaient en même temps que le souhait de vacciner tout le monde, par la contrainte. 

Ces chiffres sont sujets à interprétation car dans les mois précédents, on testait moins les jeunes. Pendant un temps, en 2021, les chiffres sur la mortalité étaient devenus difficiles à trouver, alors qu’ils étaient mis en avant depuis le début de la crise sanitaire. 

Les graphiques ci-dessus sont issus du site sante publique france :

Un dataset peut-être téléchargé sur le site de l’Office for National Statistics UK. Ces données brutes montrent qu’en novembre 2021, les personnes vaccinées ont deux fois plus de chance de décéder que les non vaccinées. C’est tout à fait étonnant mais les chiffres ont été vérifiés. Il serait intéressant de creuser davantage et de comprendre comment cela peut-être possible. Peut-être que les morts liés au vaccin lui-même ont été intégrés ?

Il est difficile de démontrer que le vaccin fonctionne ou ne fonctionne pas. Ci-contre, les données rapprochées de l’Inde, du Japon et de la France, par millions de cas et les taux de vaccination. En date du 15/01/22, les contaminations ont explosé en France, par rapport au Japon ou à l’Inde. Le France et le Japon sont pourtant au coude à coude quand à la vaccination (environ 80% de la population à cette date). Le différence pourrait-elle provenir de l’usage exclusive de la vaccination en France alors que l’Inde et je Japon ont autorisé d’autres traitements complémentaires comme l’Azithromycine ou l’Ivermectine ? Il serait intéressant d’étudier plus en détail les dates des vaccinations pour calculer un coefficient de corrélation entre les dates et les cas rapportés. Le Pr Didier Raoult expliquait dans une vidéo de janvier 2022 que dès qu’on vaccinait les cas augmentaient immédiatement. 



Début janvier 2022, le site CovidTracker affichait les courbes selon le statut vaccinal, rapporté à 10M° habitants pour chaque groupe. Il est étonnant de constater qu’il y a plus de cas positifs chez les vaccinés deux doses que chez les non-vaccinés. Est-ce qu’on peut en déduire que le vaccin à affaiblit le système immunitaire ? Peut-être que les vaccinés n’ont pas maintenu les gestes barrières ?

En revanche, les vaccinés avec le rappel (3e dose) semblent moins nombreux que les non vaccinés, toute proportion gardée, ce qui tendrait à montrer l’efficacité au moins temporaire du booster. 

Il faut aussi tenir compte du biais statistique car on va tester davantage les personnes non vaccinées. Il y a par exemple des campagnes de tests dans les écoles et la vaccination à cette date, n’était pas encore obligatoire. Il convient aussi de prendre en considération les nombreux faux positifs des tests effectués dans les écoles (tests salivaires notamment). De ce fait, les courbes sont à interpréter avec prudence. 

Tableau et graphes réalisées à partir des chiffres de la DREES du 3 au 9 janvier 2022. La vaccination n’a aucun impact sur les cas de Covid. On observe un léger impact sur les hospitalisations (sous réserve que ce soit des vraies hospitalisations Covid et non des hospitalisations « avec Covid »). Mi-janvier, Le Monde, Libération et même BFMTV commençaient à reconnaitre ce biais, parce qu’il a été publié par Santé Publique France et qu’il n’était donc plus possible de le nier. Ce biais existe depuis le début de cette crise sanitaire, y compris pour la mortalité. Bien entendu, les scientifiques qui avaient dénoncé cela au début ont été presque insultés avant d’être pris progressivement au sérieux. C’est toute l’histoire de la science !

Le 21/01/22, le rapport de l’Institut Robert Koch indiquait que 95,58% des cas Omicron en Allemagne étaient entièrement vaccinés (28% de ceux qui avaient un « rappel »).

A la lecture de ces chiffres, il est légitime de se poser des questions sur l’objectif réel de la vaccination ? Eviter les cas graves ? Comment savoir si le cas aurait été grave avant qu’on constate qu’il ne l’est pas ? La comparaison vacciné/non vacciné a ses limites, surtout quand des intérêts financiers sont en jeu. Des études ultérieures ont montré que même ces vaccins ne réduisaient que très peu les cas grave et pouvaient même dans certains cas avoir plus d’inconvénients que d’avantages. 

Dans une de ses vidéos hebdomadaires, le Professeur Raoult évoquait une étude publiée au NEJM qui estime l’efficacité de la quatrième dose à 45% et pendant 30 jours. On ne contrôle pas une épidémie avec un vaccin qui protège à 45% et pendant un mois !

Rappelons qu’en principe, on ne donne pas une AMM pour une efficacité de moins de 50%.

L’efficacité de ces vaccins est totalement consternante et il n’existe aucune justification scientifique sérieuse pour promouvoir ces produits. Le lobbying et le marketing (accessoirement  la corruption) permettent de maintenir la vente de ces produits. 

https://www.youtube.com/watch?v=iY04KqogOGs

Alors qu’on dispose de médicaments pour traiter les cas quelques cas graves, pourquoi un tel acharnement à injecter un vaccin à toute la population ? De nombreux témoignages de soignants ont à présent été rapportés. Il semble évident que les cas de Covid-19 ont été maximisés (en comptabilisant les comorbidités), surtout en début de crise et les cas d’effets secondaires des vaccins largement minimisés (le reconnaitre ferait exploser le nombre de recours en justice et freinerait la vaccination).  

N’oublions pas que les hôpitaux pouvaient surfacturer les cas Covid, ce qui les a incité mécaniquement à classer dans les Covid des cas qui n’étaient pas Covid.

D’après une analyse de dossiers électroniques de près de 5.000 admissions à l’hôpital avec Covid dans plus de 100 hôpitaux US, il s’avère que près de la moitié des personnes hospitalisées avec Covid ont seulement des cas légers ou asymptomatiques. Cela ne signifie pas que des malades n’ont pas eu d’effets graves ou que des malades ne sont pas décédés de la Covid-19. On peut se demander s’il n’y aurait pas un manque de finesse dans l’analyse des données. 

Quant aux chiffres annoncés par certains médias (qui ne propagent que le discours officiel), ils sont pour le moins surprenants en France. De ce fait, il est pertinent d’aller chercher des chiffres chez nos voisins anglais. Si on considère le document officiel « SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England, Technical briefing 19, 23 July 2021 » (Office Publique de Santé), à la page 19 de ce rapport est présenté un tableau expliquant que le variant Delta a provoqué 460 morts entre le 01/02/21 et le 19/07/21 dont seulement 165 n’étaient pas vaccinés. Le chercheur en biophysique moléculaire, Martin Zizi explique ces chiffres dans un vidéo accordée à France Soir avec un debriefing sur le site de BonSens.

Après une analyse des données par un statisticien, il a été révélé en septembre 2021 que la France (DRESS) a « oublié » de comptabiliser quelques centaines de décès. Voilà qui explique en partie bon chiffres de la France. Oublions donc le discours officiel relayé par les médias propagandistes qui disait « 85% des personnes en réanimation ne sont pas vaccinées ». Mensonge. Lorsqu’on corrigeait les données, le chiffre des personnes hospitalisées était évidemment fortement différent et pas en faveur de la vaccination. 

Bien au contraire, si on fait l’effort de chercher un peu, on découvre quasiment tous les jours que des clusters émergent dans les EHPAD. Par exemple, le 16 septembre 2021, la presse nous apprenait qu’un cluster de 51 cas dans une maison de retraite de Toulouse avait été identifié. La mairie de Toulouse a confirmé que les résidents étaient tous vaccinés depuis le début de la campagne de vaccination, en janvier 2021. Ils recevront une 3e dose de rappel à partir du 23 septembre. Le 18 novembre 2021, la presse nous apprenait qu’à Giromagny, près de Belfort, 18 résidents sont porteurs du covid-19 ainsi que 7 salariés de l’Ehpad Saint-Joseph. Le pass sanitaire est pourtant imposé aux personnels de santé ou de service et 95% des résidents avaient reçu les trois doses de vaccin.

Comme à chaque fois, les politiciens agissent tranche par tranche pas diviser la population, comptant sur l’individualisme. L’Europe aurait autorisé début octobre 2021 la 3e dose à toute personne majeure. La France l’a autorisé au début pour les personnes à risque.

Le 4/11/21, un nouveau cluster à l’hôpital Saint-André de Bordeaux était annoncé : 15 soignants d’une unité testés positifs et 9 patients hospitalisés. Tous étaient doublement vaccinés.

En octobre 2021, le taux de mortalité du variant delta est le suivant :

  • 0-9 ans : 0,00032%
  • 10-19 ans : 0,00035%
  • 20-29 ans : 0,00125%
  • 30-39 ans : 0,00430%
  • 40-49 ans : 0,01395%
  • 50-59 ans : 0,05054%
  • 60-69 ans : 0,18367%
  • 70-79 ans : 0,55290%
  • 80-89 ans : 1,43525%
  • >90 ans : 3,10548%

Alors que les scientifiques indépendants criaient déjà l’info depuis plusieurs mois, un article de Nature daté du 05/10/21 explique que les vaccins actuels sont effectivement bien peu efficaces : « Cet effet protecteur est relativement faible et diminue de manière alarmante trois mois après la réception de la deuxième injection« . En outre, on sait que certains vaccins peuvent protéger la personne vaccinée mais peuvent aussi empêcher ou en tout cas limiter la propagation – on parle alors de vaccin altruiste. Dans le cas présent, les vaccins COVID ne limitent en rien la propagation et il s’avère même, d’après certaines études, qu’ils auraient l’effet inverse. Un article du 18/10/21 en preprint sur MedRxiv, montre qu’il y aurait même 3 fois plus de chance d’être infecté par le variant delta chez les vaccinés par rapport à population générale. Des études antérieures ont également noté que les variants delta étaient plus fréquents parmi les infections post vaccinales. 

Comme disait Mark Twain, « Il est plus facile de duper les gens que de les convaincre qu’ils ont été dupés ». Le gouvernement ne pouvant pas revenir sur sa politique du tout vaccinal, il choisira de s’enfoncer dans son erreur, lui-même ayant probablement été dupé par les grands laboratoires. 

Lors de son allocution du 12 juillet 2021, Emmanuel Macron a fait un pas de plus vers le totalitarisme en imposant la vaccination au personnel soignant et en l’imposant indirectement à toute la population. Un pass sanitaire est instauré. Immédiatement, des manifestations ont eu lieu dans toute la France. Les antivax invoquent notamment la loi Kouchner. Ces manifestations ne regroupaient pas seulement les antivax mais aussi les vaccinosceptiques et certaines personnes vaccinées qui rejettent elles aussi cette dérive liberticide et totalitaire. Les syndicats de pompiers se sont joints au mouvement en déposant un préavis de grève à partir du 9 aout 2021. De même, pour marquer leur opposition au passeport sanitaire, la CGT, FO, et Sud santé du CHU de Bordeaux (Gironde) ont déposé le jeudi 5 août, un préavis de grève. Certains gendarmes et syndicats policiers ont également réagit. Une partie du personnel navigant manifeste aussi son mécontentement .

De nombreuses personnes se joignent au mouvement surtout pour la question d’atteinte aux libertés personnelles car selon le professeur de droit Serge Slama, cela pourrait ouvrir la voie à des restrictions durables des libertés. Ce mouvement anti-passe sanitaire est vu comme un dernier rempart face à l’autoritarisme

Le mouvement « Les mamans louves » s’est également créé pour protéger les enfants d’une vaccination aux nombreux effets délétères. Une lettre fut adressée à l’Elysée le 4/11/21. 

Chaque semaine, le mouvement prend de l’ampleur. Même début aout, en pleine période de vacances, avec un temps orageux, les manifestants étaient encore plus nombreux que la semaine précédente. L’exécutif craignait une rentrée de septembre compliquée, d’autant plus que la Coordination Santé Libre (CSL), qui regroupe différentes associations de médecins, soignants et scientifiques, appelle à un retrait immédiat de l’obligation vaccinale qui sera imposée à certains professionnels à partir du 15 septembre.

Le Dr McCullough, spécialiste américain qui a témoigné sous serment devant le Sénat américain, a passé en revue les assertions de notre Président. Une vidéo de 25mn est disponible sur le site de France Soir qui démonte chaque point. En synthèse de ses propos : les vaccins ont été créé pour la souche originelle du Sars-Cov-2 mais sont INEFFICACES pour les mutations et que la prise de risque n’est pas conseillée. 

Au 15 septembre 2021, 300.000 soignants se retrouvent privé d’emploi, sans droit au chômage pour avoir simplement refusé l’injection d’un sérum à l’efficacité douteuse mais aux nombreux effets secondaires connus. Certains furent plus ou moins réintégrés quelques semaines après. D’autres ont préféré changer de vie. Certains services d’hôpitaux ont fermé sur certaines tranches horaires, faute de personnel. La déconstruction de l’hôpital public poursuit son chemin en Macronie avec 5700 lits fermés et malgré la crise sanitaire. 

Ci-contre, un témoignage de Christophe Prudhomme, médecin urgentiste. Il confirme que la déconstruction des services de santé en France se poursuit, malgré cette « crise sanitaire ». Il confirme également les mensonges des autorités, au cas où quelqu’un pourrait encore avoir un doute. Cette politique de santé nous met tous en danger puisque des services d’urgence n’ont plus les moyens de fonctionner efficacement. Pour les patients en urgence, il s’agit de « perte de chance par défaut de moyen ». Le trio Bachelot-Buzyn-Véran est responsable de la fermeture de plus de 50.000 lits. 

https://cho-ku-rei.fr/wp-content/uploads/2021/05/Temoignagne-Christophe-Prudhomme.mp4

Les mesures gouvernementales sont d’autant plus discutables qu’on savait depuis plusieurs mois que les vaccins Covid ne protègeaint pas de la transmission.

Le 30 décembre 2021, les chiffres de la DREES montraient que sur 167.154 tests PCR positifs, il y avait 131.498 vaccinés, ce qui représente 78%. Ce chiffre coïncide exactement avec le pourcentage de la population vaccinée à cette date. La preuve est faite que les vaccins Covid19 n’empêchent absolument pas de contracter le virus.

Le gouvernement s’entêtait alors que même son conseil scientifique lui expliquait la situation. On savait que le pass sanitaire n’avait aucun intérêt sur le plan sanitaire. Il ne servait qu’à maintenir la pression sur la population non vaccinée et à instaurer un contrôle social. Il servait accessoirement à plomber les finances des hôpitaux puisque la charge fut estimée à 60 M°€ par mois. 

la vaccination de masse avec les solutions actuelles sont même contreproductives. Le médecin israélien Kobi Haviva a déclaré sur Channel 13 News : « 95 % des patients gravement malades sont des vaccinés. Les personnes complètement vaccinées représentent 85 à 90 % des hospitalisations. L’efficacité des vaccins diminue ou disparaît ».

Dans un article du Journal of Immunology du 17/10/21, des scientifiques expliquent que les exosomes circulants avec la protéine COVID Spike sont induits par la vaccination BNT162b2 (Pfizer-BioNTech) avant le développement d’anticorps : un nouveau mécanisme d’activation immunitaire par les vaccins à ARNm.

Nous arrivons donc dans une situation absurde où les vaccins, censés nous protéger, agissent contre nous. En outre, comme de nombreux autres vaccins, ils affaiblissent notre système immunitaire pour d’autres infections. 

Le site VaxImpact propose des graphiques très bien conçus. Ces statistiques s’appuient sur les données issues de la DREES, mises à jour chaque semaine. Ce graphique permet de visualiser le nombre de nouveaux cas de Covid-19 (symptomatiques ou non) diagnostiqués chaque jour chez des individus de tous les âges en fonction du statut vaccinal des personnes. Malgré les « arrangements » avec les chiffres, les autorités ne peuvent plus masquer l’inefficacité des vaccins contre la Covid-19. On voit que les triplement vaccinés dépassent les autres catégories, toute proportion gardée. 

Novembre 2021, la Croix-Rouge US fait un appel aux donneurs sains (c’est à dire aux non-vaccinés) pour un sang qui se fait de plus en plus rare : « Anyone who has received their COVID-19 vaccine CANNOT donate convalescent plasma to help other COVID-19 patients in the hospital…« . En effet, le vaccin détruit les anticorps rendant le plasma de convalescent inefficace dans le traitement d’autres patients COVID-19. Le sang des non-vaccinés va bientôt valoir de l’or. 

https://cho-ku-rei.fr/wp-content/uploads/2021/05/RedCrossPlasmaCovid.mp4

Au 03/11/21, la situation française dans les hôpitaux était la suivante : 

447 hospitalisations, 308 retours à domicile, 95 SR/SI/SC, 39 décès, 229 passages aux Urgences, 61,7/100000 incidence hebdo, 6764 patients hospitalisés, 1096 patients en SR/SI/SC et 90.889 décès cumulés à l’hôpital.

NB : En général, on évoque des chiffres annuels pour la mortalité liée à un virus. Concernant le Covid-19, on cumule tout depuis le début de la pandémie. 

https://cho-ku-rei.fr/wp-content/uploads/2021/05/BlachierOct21.mp4

Le graphique ci-contre montre qu’il y a en réalité 16 millions de non vaccinés en France et non 6 millions, si on compte les moins de 12 ans.

Le parti socialiste, autrefois attaché aux valeurs de liberté, a même été chargé de faire passer un texte au Sénat en octobre 2021, imposant la vaccination obligatoire, alors que de nombreuses données scientifiques prouvaient la diminution des incidences et des décès et alors que jamais dans l’histoire de la pharmacovigilance, on n’avait remonté autant d’effets secondaires liés au vaccins. De la haute trahison. Du jamais vu. Rappelons que Pfizer a été un grand financeur du PS. Ce n’est pas une nouveauté, on sait que l’industrie pharmaceutique se montre très généreuse avec les partis politiques et pas seulement en France. Elle arrose également les différents parti politique en Australie par exemple, mais certainement aussi partout dans le monde.

Tous les chiffres qui sont remontés actuellement dans les bases de données proviennent des agences régionales ou nationales de santé publique. Il n’est pas évident que les chiffres soient fiables car en début de pandémie, certains médecins n’hésitaient pas à déclarer une simple grippe ou une rhinopharyngite comme un COVID pour toucher 50€ de plus. Cela a gonflé artificiellement les chiffres. La France a même annoncé avoir comptabilisé trop de cas COVID au mois d’octobre. Pour autant, cela continue. Une partie du personnel de santé, témoin de ses agissements frauduleux, témoignent régulièrement. Des personnes décédées à  90 ans, cancéreuses, vont être étiquetées COVID. Comble de l’hypocrisie, si leur schéma vaccinal n’était que de deux doses, elles vont être comptabilisées dans les décès « non vaccinés ».

L’Italie de son coté, commence à trier les « vrais décès Covid » des décès liés à des comorbidités. La presse nous apprenait le 21/10/21 que selon le nouveau rapport (qui n’avait pas été mis à jour depuis juillet 2021) de l’Institut Supérieur de la Santé sur la mortalité due au Covid, le Sars-Cov2 aurait tué beaucoup moins qu’une grippe commune. Cela semble étrange, mais selon l’échantillon statistique de dossiers médicaux collectés par l’institut, seuls 2,9% des décès enregistrés depuis fin février 2020 seraient dus au Covid 19. Ainsi, sur les 130.468 décès enregistrés par les statistiques officielles au moment de la préparation du nouveau rapport, seuls 3.783 seraient dus au virus lui-même. Parce que tous les autres Italiens qui ont perdu la vie avaient de une à cinq maladies qui, selon l’ISS, leur laissaient donc déjà peu d’espoir. Jusqu’à 67,7% auraient eu plus de trois maladies contemporaines ensemble, et 18% au moins deux ensemble. 

En Angleterre, l’Office of National Statistics (ONS) a confirmé que 6.183 personnes sont mortes réellement du Covid19 en Angleterre et au Pays de Galles (cas où le Covid19 était la seule cause du décès sur le certificat), depuis le début de la pandémie en février 2020. On est loin des 153.202 décès signalés. Cela représente 3,9%. Autrement dit 96,1% des décès pourraient être attribués à des conditions sous-jacentes, en tout cas au cumul de plusieurs causes. 

Il en a été de même en France. Le rapport sur l’analyse de l’activité hospitalière en 2020 et publié par l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH), sortit en novembre 2021, a montré que seulement 2% des hospitalisations de 2020 concernaient le Covid. Il ne faut cependant pas s’arrêter sur ces chiffres car dans le service des soins critiques, par exemple, le Covid-19 représentait 5% des hospitalisés et 13% des décès. Dans tous les cas, cela semble en opposition avec la situation « de guerre » qui nous était décrite dans les médias mainstream. 

Comment arriver à se forger une opinion fiable avec autant de spécialistes qui annoncent des choses diamétralement opposées et des données remaniées en permanence ?

Qu’on aime ou pas le personnage, le professeur Raoult s’exprime sur la propagation des variants dans la vidéo ci-dessous. Il évoque également la fiabilité du test salivaire qui n’aurait qu’une sensibilité de 70%. Il aborde aussi la question de la corruption dans le milieu médical. Etonnant que la chaine de l’IHU Méditerranée-Infection ne soit pas encore censurée. Carine Montaner, la belle députée d’Andorre est intervenue dans une vidéo : « Impact des conflits d’intérêts sur les décisions politiques liées a la Covid ». Elle dénonce l’arnaque du Remdesevir dans la lutte contre la Covid-19. Elle explique également que l’Andorre a effectué dès le départ une étude sur le protocole de l’IHU et a obtenu un taux d’efficacité de 93%. Cette étude étrangement n’a pas été publiée. Ce protocole a été supprimé malgré son succès. Elle raconte les intérêts financiers qui font faire le contraire de l’intérêt des patients.

Les conflits d’intérêt sont quasiment partout dans ce domaine. Un article du BJM du 3/11/21 « Mapping conflict of interests: scoping review » traite de ce sujet. Il montre par exemple les liens entre l’industrie médicale et l’écosystème de santé :

France Soir a également conduit une investigation sur les conflits d’intérêt. Il est intéressant de lire cet article instructif daté du 02 octobre 2021. On y découvre les liens financiers entre Vanguard Blackrock, le HCA health system et PFIZER et que l' »International Society for Infectious disease (ISID) » est financée par… PFIZER. On découvre également le lien d’intérêt unissant le Dr Nathan Peiffer Smadja avec la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF), et son mentor le Professeur Yasdan Yasdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19, etc. Sans parler nécessairement de corruption, les conflits d’intérêts sont nombreux dans ce domaine. Emer Cooke, directrice de l’EMA, a travaillé pour l’EFPIA (Association européenne des groupes pharmaceutiques), un puissant lobby des entreprises pharmaceutiques dans lequel on retrouve AstraZeneca, Gilead, Pfizer, Johnson & Johnson…

Le 27 octobre 2021, le groupe consultatif sur les vaccins de la Food and Drug Administration américaine a recommandé à l’agence d’autoriser Pfizer à modifier son autorisation d’utilisation d’urgence pour son vaccin COVID afin d’inclure les enfants de 5 à 11 ans. Deux jours plus tard, la FDA a officiellement approuvé le lancement du vaccin. Les principaux médias traitent cette décision comme un développement positif pour la protection des jeunes enfants. En y regardant de plus près, c’est tout sauf cela. La FDA est aujourd’hui scandaleusement corrompue sous la direction du directeur par intérim et n’est guère plus qu’une chambre d’enregistrement pour Big Pharma, et en particulier Pfizer, où l’ancien chef de la FDA siège au conseil d’administration.

Le comité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques connexes a voté par 17 voix contre 0, avec une abstention, pour donner son feu vert à l’autorisation d’utilisation d’urgence du vaccin à ARNm expérimental de Pfizer-BioNTech pour les enfants âgés de 5 à 12 ans. L’expert qui s’est abstenu a expliqué plus tard qu’il l’avait fait en raison des données limitées fournies en matière de sécurité et d’efficacité. La corruption de la FDA s’étend aux membres du comité consultatif sur les vaccins. Nombre des membres de ce comité, qui compte actuellement 18 personnes, ont des liens directs avec Pfizer ou avec la Fondation Gates, qui soutient Pfizer.

Rappelons aussi que le journal Le Monde avait écrit dans un article « La fondation Bill et Melinda Gates a procédé à 37 versements à l’OMS en 2019, pour un montant total de 194 millions de dollars. Cette influence est aussi indirecte, puisque l’ONG investit dans de nombreux pays (comme le Nigeria) ou des organisations (comme l’alliance GAVI pour la vaccination mondiale, les programmes de développement des Nations Unies ou, par le passé, le national Philanthropic Trust) qui figurent parmi les principaux donateurs minoritaires de l’OMS. « .

La fondation Gates est le 2e contributeur direct au budget de l’OMS. A part les USA, aucun pays ni ONG n’a davantage contribué au budget de l’OMS sur l’exercice 2018-2019. L’alliance GAVI est le 4e contributeur, après le Royaume-Unis. Chiffres disponibles sur le site de l’OMS. Cette générosité permet à la fondation Gates d’obtenir une oreille très attentive de l’OMS. A noter que notre ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a rejoint l’OMS en 2021 comme « chargée des affaires multilatérales ». 

Outre le financement des ONG, la Fondation Gates aurait fait don de 319 millions de dollars à ce jour aux différents médias dont CNN, NBC, NPR, PBS et The Atlantic mais aussi BBC, The Guardian, The Financial Times et The Daily Telegraph en Angleterre. Le journal Le Monde (France), Der Spiegel (Allemagne), El País (Espagne) ainsi que Al-Jazeera. Il finance également quelques écoles de journalisme et universités (Institute for Advanced Journalism Studies, University of California Berkeley et Johns Hopkins University notamment). Le contrôle de l’information est donc non négligeable. Il n’est évidemment pas le seul à vouloir contrôler l’information, 90% des médias sont actuellement contrôlés par 9 milliardaires. 

https://www.youtube.com/watch?v=xgE5MLF4EJghttps://cho-ku-rei.fr/wp-content/uploads/2021/05/RaoultDispersion.mp4

Le 22 septembre 2021, on apprenait que la Roumanie fermait 117 centres de vaccination parce que 70% des citoyens refusaient le vaccin. 

Vaccination ou pas, le virus continue de se propager. Le 31 juillet 2021, on apprenait que le variant Delta avaient infecté des touristes américains complètement vaccinés. Sur la presqu’île de Cape Cod, le 3 juillet, l’incidence des cas de Covid-19 dans la ville était pour la quinzaine glissante de zéro cas pour 100 000 habitants et par jour, celle-ci est passée le 17 juillet à 177 cas quotidiens pour 100 000 habitants sur une période de quinze jours. Il s’avère que sur les 469 cas d’infection par le SARS-CoV-2 identifiés, 346 sont survenus chez des individus complètement vaccinés, dont 87 % étaient des hommes d’âge moyen 42 ans. Selon les cas, ils avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNtech (46 % des cas), Moderna (38 %), Janssen (16%). 

On constate aussi depuis juillet/aout 2021 que, malgré la vaccination massive, les cas augmentent à nouveau en Israel avec même quelques cas graves chez les doublement vaccinés. Des chiffres sont présentés sur le site « politologue.com ». En réalité, les chiffres sur la mortalité en Israel, une fois normalisés, ne montrent pas une augmentation sensible des décès sur la dernière année. Un article de France Soir détaille cela. En janvier 2020, malgré une 3e dose et le démarrage d’une campagne de 4e dose, Israel connaitra un grand pic de contamination. 

Il en est de même an Angleterre. En avril/mai 2021, on citait l’Israel comme un modèle pour la vaccination, les médias nous montraient des images de gens sur les terrasses des cafés, reprenant une vie normale. En parallèle, la France nous diffusait des publicités pour la vaccination, on y voyait de jeunes enfants refaire des bisous à la grand-mère car tout ce petit monde était vacciné…

En août 2021, le CDC sort un document expliquant que la vaccination ne protège finalement de pas grande chose, que les personnes vaccinées restent contagieuses et qu’il faut toujours conserver les gestes barrière, donc éviter tout rapprochement. Cela prendra presque 4 mois pour qu’on commence à appliquer cela en France. Il était en effet difficile pour le gouvernement d’admettre que les vaccins largement soutenus en début de crise se révélaient quasiment inefficaces. Au lieu de revoir leur stratégie ou de financer de nouvelles recherches pour des vaccins plus fiables, les gouvernements s’entêteront à vouloir injecter les sérums avec les conséquences que l’ont connait. 

Les scientifiques s’accordent en effet à dire depuis juillet 2021 que les personnes vaccinées peuvent autant contaminer que les personnes non vaccinées. De ce fait, la communication des fabricants de vaccins a évolué. Le seul intérêt qui demeure actuellement en faveur de la vaccination serait une « pseudo-réduction » de la gravité en cas d’infection, avec rappelons-le une diminution de l’efficacité de 6% tous les deux mois. 

La déclaration alarmante du professeur Sir Andrew Pollard, directeur de l’Oxford Vaccine Groupe, a de quoi inquiéter. Selon ses propos rapportés dans The Guardian le mardi 10 août, « l’immunité collective n’est pas possible avec le variant Delta« . D’après le spécialiste, ce variant infectera toujours les personnes vaccinées « et nous n’avons rien qui arrêtera complètement cette transmission ». 

Dans une récente étude menée par l’Imperial College de Londres, les personnes entièrement vaccinées âgées de 18 à 64 ans ont environ 49% moins de risque d’être infectées par rapport aux personnes qui ne le sont pas. Les résultats ont également indiqué que les personnes complètement vaccinées étaient environ trois fois moins susceptibles d’être testées positives après avoir été en contact avec une personne atteinte de Covid (3,84 % contre 7,23 %).

Le 11 aout 2021, un document du site officiel Ontario Canada, montre qu’il y a moins de personnes vaccinées en entrée d’hôpital que de vaccinées. En réanimation, il n’y a que des patients vaccinés. Les chiffres des personnes vaccinées en absolu sont disponible sur ce lien. Les synthèses en pourcentages sont données sur ce site.

Dans cette région, les personnes ayant reçu au moins une dose d’un vaccin contre la COVID-19 était de 72,77 %, en date du 31 juillet 2021. 2 semaines après, le pourcentage a probablement du monter un peu.

En hospitalisation (chiffres du 12/08/21), 32 non vaccinées et 43 vaccinées. En prenant une calculatrice, ca fait un rapport de 74% de personnes hospitalisées et vaccinées. Et on va nous dire que les vaccins fonctionnent ? On est très loin des chiffres annoncés par la France (« 96% des personnes admises à l’hôpital ne seraient pas vaccinées… »)

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Hospitalisation Patients Covid Ontario au 12-08-2021
En Belgique, le Pr Christophe de Brouwer a mis à jour l’évolution des données brutes de cas, hospitalisations et USI pour les personnes vaccinées et non vaccinées. Le virus semble de plus en plus contourner l’immunité conférée par les vaccins.

Des statistiques datant de mi-mars 2022, montrent que l’Islande, a vu le nombre total de décès doubler depuis le début de l’année (37→79), malgré 95% des plus de 50 ans vaccinés (>85% boostés). Si on prolonge la courbe, ce nombre pourrait quadrupler d’ici le mois de mai et approcher la moyenne des pays européens…

On fait dire ce qu’on veut aux chiffres selon la cause qu’on souhaite servir. le Conseil Scientifique Indépendant n°22 du 9 sept 2021 a fait intervenir Pierre Chaillot, expert statisticien. Il décrypte les données en provenance d’Israël et démontre que les études que nous sert le gouvernement sont biaisées. Il établit un lien clair entre la vaccination massive et l’augmentation de la mortalité.

On pourra citer également le cas de Singapour. Le New York Times rapporte que c’est un des pays les plus vaccinés (80%) et les cas explosent totalement. 

A noter aussi que le ministère a lancé une circulaire de « rappel » le 3 août 2021, signée du Pr. Jérôme Salomon, à destination de tous les professionnels de santé, évoquant une grande enquête lancée en France pour mesurer les échecs vaccinaux, et particulièrement des échecs graves, débouchant sur le décès des patients vaccinés et contaminés par le COVID.

C’est d’autant plus utile qu’on apprenait début septembre 2021 que 80% des décès Covid en août étaient des personnes vaccinées, selon les données de Santé Publique Angleterre. Comme ce pays a un taux de vaccination élevé, il n’est pas anormal que ce nombre paraisse important, l’efficacité des vaccins actuels n’étant pas à 100% (c’est le moins qu’on puisse dire). Cependant, cela tend à démonter a minima l’inefficacité des produits actuels. 

En Israel, un article évoque le cas d’un patient Covid à l’hôpital qui infecte 41 personnes, patients, personnel (portant des masques) et famille. 39 contacts infectés (96%) étaient complètement vaccinés depuis plus de 5 mois. Cela montre l’inefficacité du vaccin actuel au delà de 4 mois. Un exposé au CSI du 30/09/21 « Immunité naturelle vs immunité vaccinale », par Hélène Banoun, est consultable sur CrowdBunker

Il en est de même dans l’université américaine de Harvard où un cluster apparait alors que 95% des étudiants de l’université et 96% de son personnel étaient vaccinés. L’école de commerce imposait également un test Covid trois fois par semaine pour tous les étudiants, quel que soit leur statut vaccinal. Le 27/09/21, CNBC rapportait les faits. 

On trouvera régulièrement dans la presse des informations allant dans ce sens. Des clusters dans des EHPAD, dans des prisons, etc. Alors que tout ce petit monde était vacciné ! On déduit d’une étude du CDC portant sur une prison infectée par le coronavirus, que le vaccin ARNm protègerait contre les hospitalisations, mais très peu contre les infections: 20% tout au plus pour les détenus vaccinés depuis plus de 4 mois. La France a connu également de tels cas. 

En outre, il serait intéressant de croiser les données de la mortalité et des hospitalisations de ces derniers mois en France, avec l’utilisation cachée de l’Iververmectine +120%* (+ 52592 boites*) et de l’aspirine +8%* dont +100% pour la gamme du Resitune. *rapport entre août 2020 vs août 2021.

Variant omicron : très contagieux mais peu virulent.

Considérant les données danoises ci-contre (du 22/11/21 au 12/12/21) présentant la répartition du variant omicron par rapport aux autre variants, les boostés D3 représentent 8.64% des cas, les 1D+2D représentent 5,70% et les non vaccinés seulement 1,21%. Il est difficile de soutenir que les vaccins sont efficaces sur ce nouveau variant omicron. 

Mesures du variant omicron dans les eaux usées – janvier 2022

Le 16 janvier 2022, Martin Blachier présentait la carte ci-contre. Elle représente les « concentrations » du variant omicron dans les eaux usées. L’épidémiologiste expliquant que la fin de la vague omicron était proche. 

Fin 2021, les statistiques sur les cas positifs en Israel étaient plus nombreux chez les personnes ayant reçu 1, 2 ou même 3 doses de vaccins que chez les non vaccinés, toutes proportions gardées. 

Ci-contre, un graphe de OurWorldIndata de début février 2022 laissant penser qu’en Israel, plus on vaccine et plus il y a de cas et de mort.

Ce pays, vers lequel tous les yeux étaient tournés car précurseur de la vaccination covid-19 s’enfonce dans la crise malgré des taux de vaccinations très élevés (3 à 4 doses pour certains). Le directeur de l’hôpital d’Ichilov déclarait le 02/02/2022: « 80% des cas graves sont entièrement [doublement ou triplement] vaccinés ». La vaccination qu’on nous présentait comme la seule porte de sortie de cette crise sanitaire aura peut-être même amplifié le phénomène. 

De même, en date du 18/01/22, le Portugal, pays d’Europe le plus vite vacciné (90% complètement, 94% partiellement), connaît aussi une hausse des cas à un niveau jamais atteint, accompagnée d’une légère hausse des hospitalisations et des décès qui avaient connu un pic au début de la vaccination de masse. Certains se demanderont si ce n’est pas le vaccin, produisant la protéine Spike qui causeraient ces décès. 

Cela n’empêchera pas notre ministre de la santé, surnommé « le magicien doses » évoquer l’opportunité d’une 4e injection en France. Entêtement ou corruption ? Heureusement, à l’approche des élections 2022, le gouvernement décida de suspendre partiellement le pass vaccinal et les commandes de nouveaux lots de vaccins. Les commandes prévues à partir de mai 2022 n’étaient cependant pas annulées. 

Mars 2022, dans une vidéo intitulée « What We Have Is Negative Efficacy », le Dr. Robert Malone expliquait que des données mondiales étaient disponibles et démontraient que la vaccination et les doses multiples augmentaient en fait le risque de contracter une maladie à médiation par Omicron et potentiellement même la mort. 


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Janvier 2022, le Professeur Didier Raoult confirme ce que d’autres médecins avait déjà évoqué depuis plusieurs semaines. Il explique que lorsque PFIZER a évalué son vaccin, toutes les études ne voulaient pas voir ce qui se passait pendant les 15 jours après injection. Pfizer n’a jamais communiqué sur ce qui se passait dans les 14 jours suivant la vaccination. D’après les chiffres qu’on peut trouver sur les plateformes internationales, il semble que le vaccin ait favorisé l’augmentation du nombre de Covid ! Il évoque également les anticorps facilitants (ADE – Anti Dependant Enhancement) que craignait depuis un an une partie censurée de la communauté scientifique. Un article sur le phénomène d’ADE peut être trouvé ici

Puisque les vidéos scientifiques ont tendance à disparaitre de YouTube et des réseaux sociaux, il devient nécessaire d’en faire des copies. 

D’après la DREES, et pour le mois de Janvier 2022, la distribution des décès pour omicron est essentiellement chez les vaccinés (>94%), et quasi-exclusivement dans la population des 60+ ans.

Le 14/01/22, The Guardian nous apprenait que les anglais étaient lassés de ces injections à répétitions compte tenu de la faible efficacité, voire de l’efficacité négative. L’article explique que les doses « booster » risquaient de se périmer, selon une note de service du NHS qui a fait l’objet d’une fuite.

Si on zoome uniquement sur omicron, les hospitalisation pour omicron des moins de 20 ans arrivent à 85% de vaccinés.


Janvier 2022 : l’équipe d’épidémiologie de l’Université de Stanford établit des comparaisons sur les taux de mortalité de l’infection dans 14 pays (entre juillet 2021 et décembre 2021). On peut constater à la lecture du tableau que la mortalité a baissé dans toutes les tranches d’âge (sauf pour la tranche 60-69 ans). Ces chiffres encourageants n’ont pas empêché Emmanuel Macron de mettre en place un pass vaccinal. 

Janvier 2022, l’Islande, pays à haut taux de vaccination (92%) connait son nombre de cas exploser. Les courbes entre le 16/07/21 et le 18/01/22 montrent même qu’à partir de janvier, les adultes vaccinés avec booster, sont davantage hospitalisés que les doublement vaccinés. 

Il devient très difficile pour les covidistes vaccinolâtres de prouver la pertinence de la vaccination, sans exposer sa totale mauvaise foi. 

Janvier 2022 : Cyrille Cohen reconnaît que le virus Omicron immunise mieux que le vaccin. Effectivement de nombreuses études montrent que le corps se défend bien et mémorise assez bien l’information. Pour autant, ce médecin a tenu des propos discutables par le passé : il s’est déclaré favorable à la 3e dose et même à la 4e et souhaitait la vaccination des enfants. Il contestait les anticorps facilitants et pensait que les non vaccinés étaient la cause des variants alors que de nombreux scientifiques soutenaient exactement le contraire.

Encore une fois, un médecin ne peut donner qu’un avis personnel et il ne représente pas « la science » dans son ensemble. 

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Plus le temps passe, plus il devenait difficile pour les médecins de plateau qui avaient prôné la vaccination de masse de justifier la poursuite de cette stratégie unique. Les vaccins contre la Covid19 se sont révélés totalement inefficaces. A titre d’exemple, Les courbes des décès Covid sont très similaires entre le Paraguay et l’Uruguay, le premier vacciné à 44% et le second vacciné à 78%.


En janvier 2022, un article de Carlos Franco-Paredes, publié dans le Lancet confirmait que les politiques de vaccination obligatoire devraient être reconsidérées car les vaccins ne freinaient pas la propagation : « En effet, il est de plus en plus évident que les titres viraux maximaux dans les voies respiratoires supérieures des poumons et les virus cultivables sont similaires chez les individus vaccinés et non vaccinés.« . On le savait depuis mars 2021 mais des décisions politiques devaient être prises pour « rassurer la population ». 

On notera le début de l’article « Les études sur l’efficacité des vaccins ont démontré de manière concluante le bénéfice des vaccins COVID-19 dans la réduction des maladies individuelles symptomatiques et graves, entraînant une réduction des hospitalisations et des admissions en unité de soins intensifs.« . Comme dans tout article scientifique, pour qu’il ait une petite chance d’être publié, il faut commencer par dire que les vaccins sont supers. 

Le 23 février 2022, dans Nature, un article expliquait que la 4è dose faisait augmenter le taux d’anticorps mais n’offrait pas de protection suffisante contre le virus. En effet, Israel qui a fortement vacciné sa population (3e et 4e dose) a fait face à une exposition des cas et de la mortalité. On ne peut donc pas conclure, dans les faits, que le vaccin ARNm est efficace.

Pire encore, il n’est pas impossible que le vaccin contribue à propager la maladie, la protéine Spike étant présente dans tout le corps durant plusieurs semaines, certains biologistes pensent qu’elle pourrait être responsable d’une augmentation des maladies auto-immunes et des cancers. Elle pourrait empêcher le bon fonctionnement d’une séquence génétique chargée de réparer l’ADN (bloqué à 90%). Des recherches devront confirmer cette hypothèse. 
 

3 février 2022, Marty Makaryn Professeur à Johns Hopkins University publia aves ses collègues (Jennifer Alejo, Jonathan Mitchell, Amy Chang, Teresa P.Y. Chiang, Allan Massie, Dorry Segev) une grande étude sur l’immunité naturelle dans JAMA. « Nous avons constaté que les anticorps Covid ont persisté pendant près de 2 ans après l’infection. De plus, 99,3% des personnes non vaccinées qui avaient le Covid (confirmé par un test + Covid) avaient des anticorps circulants« . L’auteur explique que cette étude a plusieurs implications pour la politique Covid :

  1. Les employeurs qui cherchent à reconnaître l’immunité naturelle peuvent compter sur un test positif Covid préalable
  2. N’essayez pas d’attraper l’infection, mais si vous l’avez eue et que vous vous êtes rétabli, vous pouvez vous sentir bien avec votre protection immunitaire (Une étude du CDC a révélé que l’immunité naturelle est plus protectrice que la vaccination seule)
  3. Il faut rétablir les employés licenciés n’ayant pas cédé à l’obligation vaccinale et ayant une immunité naturelle 
  4. Au lieu de faire référence aux « vaccinés et non vaccinés », un lexique plus précis sur le plan médical serait « immunisé et non immunisé ».
  5. Respectez (ne vous précipitez pas pour juger) ceux qui ne sont pas vaccinés. Ils peuvent avoir une bonne raison – ils peuvent avoir une forte immunité naturelle et une raison médicale d’éviter la vaccination ou d’éviter la 2ème dose ou la dose de rappel dans le cadre de l’immunité naturelle. De même, ne pas critiquer ou se moquer de ceux qui continuent à porter un masque – ils peuvent avoir une bonne raison comme vivre avec une personne vulnérable ou avoir une exposition récente et sont respectueux des autres à qui ils pourraient transmettre le virus (ou n’importe quel virus).

En Corée du Sud, la vaccination s’est aussi révélée être une catastrophe. Ce pays est l’un des plus vacciné au monde avec 87% des individus vaccinés et 99,9% des adultes injectés. On ne peut donc pas rejeter la faute sur les non-vaccinés. Il y a 6 fois plus de morts après vaccination qu’avant vaccination.

A Singapour, tous les adultes sont vaccinés et la mortalité a totalement explosé. 

De nombreux pays ont pu constater l’inefficacité de la vaccination. Israel en a fait les frais en proposant en « avant-première » la 3e et la 4e dose. Malgré ces chiffres pourtant clairs, la France lancera l’autorisation pour la 4e dose en mars 2022 (pour les plus de 80 ans au début puis sera étendue progressivement au reste de la population). La politique et le commerce auront eu raison de la science et des observations du terrain.

A noter aussi que début février 2022, Santé Public France republiait enfin les données de réa et de comorbidités, ce qui, aurait permis d’y voir un peu plus clair dans ces masses de données statistiques. Seulement, cet organisme a changé sa façon de compter les cas : Les classes d’âge ont été modifiées en regroupant les 15-44 ans avec les 45-64 ans. Ceci gonfle artificiellement le nombre de patients « jeunes » en réa et laisse penser que la probabilité d’aller en réa est la même entre 15 et 64 ans alors que la réalité est toute autre.

Concernant les comorbidités, le surpoids représentait 15% des décès en réa à lui seul entre mars et juin 2020. Cette variable a disparu du point épidémiologique et est désormais incluse dans « aucune comorbidité ». Or, le surpoids était une comorbidité importante des formes graves.

L’Etat excellait déjà dans les changements de calcul pour les statistiques du chômage, notamment à l’approche des élections. Il faut redoubler de prudence car les chiffres sont présentés pour servir un objectif précis. 

Modélisation de la propagation

Une étude de l’université chinoise de Beihang publiée le 3 mars 2020 sur le site scientifique SSRN a modélisé les contacts entre les patients des grandes villes chinoises croisés avec des données météorologiques. Elle concluait « qu’une température élevée et une humidité relative élevée réduisent considérablement la transmission de la COVID-19 ». Les chercheurs estimaient ainsi que le taux de reproduction (indiquant la contagiosité du virus) devrait chuter de 48 % entre mars et juillet. Mais attention : la chaleur ne tue pas le virus et ne l’empêche pas de se propager : elle ralentit simplement sa progression. Ces propos sont néanmoins controversés. Nous avons vécu une canicule en France et on ne note pas de changement significatif au niveau statistique.

Fin août, un épidémiologiste australien de l’école vétérinaire de Sidney a déterminé que le virus se transmettrait plus rapidement par temps sec. Son étude a été publiée dans Transboundary and Emerging Diseases. Il annonce que lorsque l’épidémie est dans sa phase exponentielle, le nombre de nouveaux cas a augmenté lors des jours les plus secs. Par exemple, au sud-est de Sydney, 237 nouveaux cas ont été enregistrés alors que l’humidité relative de l’air était de 77,42 %, contre seulement 28 nouveaux cas lorsque l’humidité de l’air était de 86,73 %. Cela se vérifie aussi lorsque l’épidémie de Covid-19 était en phase descendante. Lors d’une journée où le taux d’humidité de l’air était de 64,13 %, 120 nouveaux cas ont été dénombrés contre 57 pour un jour plus humide (74,49 %) dans la même région. Cela s’explique par la taille des aérosols qui contiennent les particules virales infectieuses lorsqu’une personne tousse ou éternue. Quand le temps est sec, ces microgouttelettes sont plus petites et peuvent voyager plus loin.

On apprenait le 10 avril que des modèles prédictifs avaient jusqu’alors estimé le taux de contagiosité du virus SARS-CoV-2, « Ro », entre 2,2 et 2,7. Des scientifiques américains viennent de réévaluer ce Ro et arrivent à des résultats beaucoup plus préoccupants. Il se situerait entre 3,8 et 8,9. Dans le jargon classique, cela voudrait dire qu’une personne contagieuse va infecter en moyenne entre quatre et neuf personnes. En réalité, il est probable qu’on ne parlait pas de la même souche, le virus ayant déjà muté plusieurs fois. D’autre part, le Ro n’a de sens que sur un nombre élevé de contaminés lorsque l’épidémie est en cours et non lorsqu’elle est fortement en déclin. Parler d’un Ro pour quelques cas est un non-sens.

Notons aussi que la plupart des personnes infectées ne sont contagieuses que pendant une dizaine de jours.


L’immunité collective, ou immunité de groupe, correspond au moment où lorsqu’un nouvel individu est infecté par un pathogène au sein d’une population, le pathogène ne se transmet plus en raison d’un trop grand nombre de personnes déjà immunisées, par infection naturelle ou par un vaccin. Ce niveau dépend du taux de reproduction de la maladie (R0), mais l’on estime qu’il est d’environ 60 à 70 % pour la Covid.

Une vidéo explicative sur l’immunité de groupe est disponible ici (30 secondes après le début de la vidéo). Les simulations présentées dans cette vidéo sont basées sur des modèles compartimentaux. Selon certains chercheurs, pour une véritable immunité collective, il faudrait que 60 à 70% de la population ait été en contact avec le virus. D’autres parlent de 80%. Le gouvernement parle de 90% (mais c’est probablement pour favoriser la vaccination).

Pour autant, d’après une étude américaine du Center for Infectious Disease and Vaccine Research, publiée dans la revue Cell, environ 40 à 60% de la population serait déjà immunisée contre la Covid-19. Cela pourrait passer par une « immunité croisée », c’est à dire une immunité acquise contre un agent infectieux mais qui peut également être efficace contre un second agent similaire. Une partie de la population pourrait donc être immunisée contre la Covid-19 sans même avoir été en contact avec le virus. 

Un scénario positif envisageable : Des chercheurs ont établi un scénario probable d’évolution de la Covid-19 : au fur et à mesure des réinfections, le système immunitaire s’adapte et provoque des formes de moins en moins graves, comme c’est le cas pour le rhume.

Des études montrent cependant que des réinfections sont possibles. La quantité d’anticorps neutralisants développés par les patients après une infection au SARS-CoV-2 est très variable au fil du temps et selon les personnes. Certains ne vont quasiment jamais en produire, tandis que d’autres voient leur réponse immunitaire se renforcer au fur et à mesure. Des chercheurs de la Duke-NUS Medical School de Singapour ont ainsi constaté des variations stupéfiantes dans la vitesse à laquelle diminuent les anticorps :

Le professeur Laurent Renia, Agence pour la Science, la Technologie et la Recherche de Singapour commentait : « Cette étude nous rappelle que nous réagissons tous différemment à l’infection […], elle pourrait aussi remettre en cause la stratégie vaccinale : si l’immunité fournie par les vaccins diminue comme celle des anticorps produits naturellement, un rappel annuel pourrait être nécessaire [chez certaines personnes] pour prévenir de futures épidémies de Covid-19 »

Plusieurs études ont déjà démontré qu’être vacciné réduit considérablement le risque d’être infecté. De nouveaux éléments soulignent également que les personnes qui ont déjà contracté la maladie développent un taux d’anticorps suffisant contre une nouvelle contamination et l’immunité pourrait durer plus d’un an. 

A ce jour, 47 vaccins sont en cours d’essais cliniques dans le monde mais on ne sait pas grand chose sur la durée de « l’immunité » [et ce terme d’immunité est déjà impropre]. 

D’autres scientifiques pensent qu’il sera difficile d’attendre cette immunité collective. En effet, même à Manáus, au Brésil, où les trois quarts de la population avaient déjà été infectés, une deuxième vague fait rage. Comment expliquer que l’épidémie continue malgré tout à se propager ? Une étude publiée le 27 janvier dans The Lancet se penche sur le mystère brésilien. 

Quant aux lieux favorisant la propagation du virus, l’institut Pasteur a publié mardi 09 mars 2021 les résultats partiels d’une étude sur la question : Les contaminations ont principalement lieu dans le cercle familial (63% des cas). Comme on le savait déjà, « les repas, aussi bien en milieu privé que professionnel, sont les circonstances les plus fréquemment rapportées à l’origine de ces transmissions ».

Les déplacements à l’étranger sont aussi associés à un sur-risque d’infection (+53%). Les premiers résultats montrent que les lieux avec du public, dès lors que le port du masque et les gestes barrières sont respectés, ne présenteraient finalement pas autant de risque que ce que l’on pensait. Les commerces, salles de cours, les lieux de culte ou encore les salons de coiffures ne présentent pas de sur-risques d’infection selon l’étude. Même chose pour le sport en extérieur et les transports en commun. C’est assez simple à comprendre finalement. Il s’agit de tous les lieux où les gestes barrières et le port du masque peuvent être respectés. Ce qui n’est pas le cas, toujours selon l’étude, des salles de sport en intérieur ou des bars et restaurants.

Certains états ont une stratégie 100% vaccination mais il s’avère peu probable que la vaccination de masse permette d’éradiquer l’épidémie de Covid. Un variant résistant au vaccin peut venir remettre en question cette stratégie. Paradoxalement, le risque d’émergence d’une souche résistante est maximal lorsqu’une grande partie de la population est vaccinée, mais pas suffisamment pour assurer une immunité de groupe, montre une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Scientific Reports.

Les chercheurs ont simulé la probabilité qu’une souche résistante émerge au sein d’une population de 10 millions d’habitants d’ici trois ans, en prenant en compte le niveau de la population vaccinée, le taux de mutation du virus et sa vitesse de transmission, ou les « vagues » successives avec une envolée des contaminations suivie par une chute des nouveaux cas après l’instauration de restrictions (confinements, fermetures, etc). Sans surprise, ils concluent qu’une vaccination rapide et un faible niveau de circulation réduisent le risque d’émergence d’un variant résistant. Mais l’étude montre aussi que ce risque est maximal lorsqu’une grande partie de la population est vaccinée, mais pas suffisamment pour assurer une immunité de groupe.

Les commandes de vaccins

A noter que l’AFP s’est exprimé sur le « trou » de trois mois dans le carnet de commande. Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes affirmaient, calendrier prévisionnel à l’appui, que la livraison des vaccins Pfizer contre le Covid-19 serait interrompue par le gouvernement du 27 février au 8 mai 2022. Une « pause vaccinale » jugée suspecte, car la vaccination reprendrait peu après l’élection présidentielle. Si ce document est authentique, la Direction générale de la Santé a évoqué une « erreur de saisie » et a expliqué que des livraisons étaient bien prévues sans la moindre interruption. Olivier Véran avait alimenté le doute en évoquant une « pause vaccinale ». L’erreur de saisie serait liée à l’arrivée des nouvelles formes du vaccin Pfizer (pédiatrique et pré-diluée) qui n’ont pas été correctement prises en compte. Les livraisons sont prévues jusqu’en 2023, ce qui tend à confirmer que les autorités ne croyaient pas en la disparition du virus. 

COVID19 – Les mutations

by 9 janvier 2022

Comme tous les virus, le SARS-CoV-2 connait des mutations régulières. Il devient ainsi plus ou moins virulent et plus ou moins contagieux. Les scientifiques ont identifié de nombreuses mutations principales (fin 2021, on dénombrait déjà 1500 formes différentes du même virus mais on s’intéressera aux principales mutations – pour des données scientifiques complète sur les variants, voir des sites comme celui de l’IHU). 

Une des mutations rencontrées était la D614G. Ses caractéristiques lui permettaient d’être plus contagieuse sans être plus grave. Elle semblait être à l’origine de la 2e vague de la pandémie qui a frappé notamment l’Europe depuis le début de l’automne, bien qu’en réalité, plusieurs souches peuvent toucher un pays simultanément.

Mi-décembre 2020, l’annonce, par le ministre britannique de la santé, de l’abondance d’un variant dans le sud de l’Angleterre relançait les spéculations sur la possible apparition de souches plus virulentes et réfractaires à la vaccination. Quelques jours plus tard, une autre souche fut identifiée en Afrique du Sud, puis une autre en provenance du Japon.

Le 29 janvier 2021, Didier Raoult annonçait avoir découvert un variant majeur « marseillais ».

Le 16 mars 2021, on soupçonnait l’émergence d’un variant breton qui ne serait pas détectable aux tests PCR.

Quant au variant brésilien, la mutation fut découverte en décembre 2020 à Manaus. Elle serait de 1,4 à 2,2 fois plus transmissible que le virus d’origine.

On apprenait le 22 mai 2021 qu’à Bordeaux, un variant « très rare » fut détecté.

Mi-avril 2021, les scientifiques nous faisaient part de leurs inquiétudes, notamment à propos du B.1.617, le variant indien (aujourd’hui rebaptisé variant Delta). Découvert en octobre 2020 dans le centre de l’Inde, ce variant du coronavirus résulte de quinze mutations d’acides aminés et s’est déjà répandu sur tous les continents. C’est celui-qui inquiète le plus actuellement au niveau de la propagation. À ce stade, trois sous-types ont déjà été identifiés : trois lignées appelées B.1.617.1, B.1.617.2 et B.1.617.3. Selon Olivier Schwartz, directeur de l’unité de recherche virus et immunité au sein de l’Institut Pasteur, le variant B.1.617.2 9 contient neuf mutations de la protéine Spike qui modifient, pour certaines d’entre elles, la liaison du virus à son récepteur, et pour d’autres la fixation des anticorps.

On a commencé à évoquer aussi le variant Epsilon au mois de juin 2021.

Les scientifiques se déclaraient inquiets car certaines mutations pourraient réduire de 40% « l’efficacité des vaccins » (efficacité qui reste évidemment à démontrer car rappelons que le délai avant autorisation de mise sur le marché a été particulièrement raccourci et que nous ne disposons surtout des chiffres du « marketing scientifique » avancés par les labos eux-mêmes).

Des études plus récentes, financées par les labos, nous ont cependant rassuré sur ce sujet. En revanche, l’expérience montre que les régions / pays vaccinées massivement voient réapparaitre les contaminations… Le Conseil Scientifique Américain reconnait lui-même une forte hausse d’hospitalisation chez les vaccinés dans une interview accordée à la chaîne NBC News le 18 novembre 2021.

A propos des variants, le directeur de recherche du CNRS pensait déjà il y a quelques mois que la quarantaine pour les voyageurs n’empêchera pas l’arrivée des variants brésilien et sud-africain en France. D’après lui, les patients guéris de la souche classique du virus sont peu ou pas immunisés contre les variants et les risques d’évolution virale sont élevés :  « Ces variants semblent échapper à l’immunité naturelle et à l’immunité de certains vaccins ».

Un article en date du 03 février 2021, paru dans la revue Science, suggère que ce sont des suppressions récurrentes de séquences génétiques spécifiques sur la glycoprotéine Spike du SARS-CoV-2 qui permettraient aux nouveaux variants d’échapper à nos défenses immunitaires. En effet, lorsqu’un anticorps reconnait un pathogène, il ne le perçoit pas en entier. Il garde en mémoire ce que l’on nomme un antigène (une partie protéique bien spécifique du pathogène en question).

Ces mutations rapides sont pour le moins étonnantes et non congruentes avec ce que nous savions des coronavirus. Cette famille de pathogènes, contrairement à la majorité des virus à ARN, possède une polymérase de relecture — une enzyme qui permet d’éviter certaines erreurs de réplication lorsque le virus se multiplie à l’intérieur de nos cellules — qui tempère ce type de mutation extrêmement rapide. Pourtant, c’est bien ce que nous observons chez les variants séquencés et répertoriés à ce jour : la modification d’un site spécifique de la protéine Spike semble avoir pris la place de la séquence du virus initial.

De nombreuses recherches sont en cours sur cette étonnante protéine Spike. Là encore, on peut lire de nombreuses informations contradictoires sur le sujet, pas toujours vérifiées.

Début juin 2021, les chercheurs du groupe du Pr Bridle auraient découvert que la protéine Spike du vaccin est une toxine qui crée des dommages cardio-vasculaires (pour rappel, le coronavirus a une protéine Spike qui permet d’entrer dans le corps). Le professeur Bridle déclarait que la protéine de pointe était elle-même toxique et dangereuse pour l’homme.

Le 6 aout 2021, on apprenait que le variant dit colombien était au centre de l’attention après la mort de sept résidents vaccinés d’un centre de soins en Belgique. Au total, les 20 personnes, entièrement vaccinées, ont contracté le virus. Le variant B.1.621, baptisé Mu, fut en effet identifié pour la première fois en Colombie au mois de janvier. Dans son bulletin hebdomadaire de suivi de la pandémie daté du 31 août 2021, l’Organisation mondiale de la santé classe officiellement ce variant dans la catégorie des VOI (variants of interest). Ce variant affiche en effet une « constellation de mutations » suggérant une potentielle résistance aux anticorps développés suite à une infection ou à la vaccination.

Une nouvelle mutation (ou pourrait on dire un nouveau virus) est apparue depuis octobre 2021. Il fut nommé omicron. Très vite les journaux ont présenté cela comme la fin du monde et nous poussaient d’autant plus vers la vaccination. Des médecins de plateaux TV alarmistes disaient « les non-vaccinés ne passeront pas l’hiver ! ». 

Il s’avère que ce variant omicron a été rapidement analysé par un des plus grand virologue du monde, Bruno Canard et qu’il ne présentait pas plus de danger qu’un autre variant. Les médecins africains qui l’ont découvert la première fois ont également signalé qu’il n’était pas particulièrement dangereux, en tout cas, largement mois que le variant delta, même s’il semble se propager rapidement. Certains médecins considèrent que c’est même une opportunité de développer une immunité collective car ce variant agirait comme un vaccin à virus atténué. 

Ensuite, plusieurs autres variants ont fait leur apparition : BA2 notamment, contagieux mais peu virulent. Les variants se rembinent entre eux. Deltacron, aussi appelé variant XD est l’un d’entre eux. Il y a aussi XE aussi, recombinant de BA1 et BA2. Des variants BA4 et BA5 furent aussi détectés en Afrique du Sud et au Botswana début avril 2022. Le BA4 interpelle les scientifiques car il s’agit là d’un recombinant d’Omicron et d’Omicron. Soit un alliage des sous-variants BA1 et BA3. 

Mars 2022, l’épidémiologiste Martin Blachier rapportait les propos de Dr Raghib Ali, Cambridge : « Le haut taux de vaccination ainsi que l’arrivée d’Omicron moins virulent ont rendu la Covid moins mortelle que la grippe en Angleterre […] Le taux de létalité par Covid en Angleterre est tombé en dessous de celui de la grippe saisonnière (0,04%) ».

Au nom du principe de précaution, le Professeur Montagnier disait qu’il fallait arrêter immédiatement toutes vaccinations Covid-19 utilisant la protéine Spike (elle est utilisée dans les vaccins à ARN messager). L’étude a évidemment été critiquée les jours qui ont suivi. Il ne faut surtout pas dire du mal de la vaccination, surtout en France, au risque d’être immédiatement considéré comme un « conspirationniste » ! (de nombreux blogs évoquent même le terme d' »inquisition », comme au 15e siècle). Le professeur Montagnier a déposé une plainte au niveau international pour « crime contre l’humanité », après avoir acquis la certitude que ce virus ait été fabriqué par une ingénierie génétique. 

COVID19 – Les symptômes

by 9 janvier 2022

Symptômes

Les médecins rapportaient au début de la crise sanitaire du Covid-19 que dans 80% des cas symptomatiques, cela ressemblait à un gros rhume.

De nombreux organes impactés

Une étude du 20 août 2020 a montré que 52% des personnes positives au coronavirus étaient asymptomatiques (en tout cas sur la souche d’origine). Parmi les personnes qui ont des symptômes, les principaux sont les mêmes que la plupart des cas de grippe : de la fièvre, de la toux, des douleurs musculaires, un essoufflement et des difficultés respiratoires.  

Dans les cas les plus graves, l’infection pouvait provoquer une pneumonie, un syndrome respiratoire aigu sévère, une insuffisance rénale et même la mort. Les effets du virus s’avèrent évidemment plus graves chez les personnes les plus fragiles, comme les personnes âgées ou obèses.

D’autre part, les chercheurs ont pensé dès 2020 que la Covid-19 pouvait affecter le système nerveux central et d’autres organes. Les symptômes neurologiques de la Covid-19 ne touchaient qu’une minorité de personnes : 8% souffrent de maux de tête et 1% de nausée et de vomissement.

Cependant, une étude d’avril 2020, montrait que 70,3% souffraient de céphalées, 70,3% de perte d’odorat, 67,8% d’obstruction nasale, 63,2% de toux et 63,3% d’asthénie, 62,5% de myalgies, 60,1% de rhinorrhée, 54,2% de dysfonction gustative et 52,9% de maux de gorge, fièvre 45,4%. D’autres déclarent une diarrhée ou des éruptions de la peau ou encore une décoloration des doigts ou des orteils. Les auteurs de l’étude signalent que parmi leurs patients, 962 étaient des femmes (67,7%) et 459 des hommes (32,3%). Dans une étude parue le 6 mai 2021 (Institut Pasteur, CNRS, Inserm, Université de Paris et AP-HP), des chercheurs français ont découvert les mécanismes à l’origine de l’anosmie chez certains patients touchés par le Covid-19 et estiment qu’un test PCR nasopharyngé peut se révéler négatif alors même que le virus persiste au fond des cavités nasales.

Globalement, on constate que les hommes sont majoritairement affectés par la toux et la fièvre. Les femmes par une perte d’odorat, maux de tête, obstruction nasale et fatigue. Les jeunes par des troubles ORL et les séniors par une fièvre, une fatigue et une perte d’appétit. 

Les données compilées par des chercheurs du Bureau britannique des statistiques nationales (Office for National Statistics) ont révélé qu’une perte du goût et de l’odorat (anosmie) était le symptôme du Covid-19 le plus fréquemment signalé parmi ceux ayant été testés positifs d’août à octobre. Parmi les plus de 35 ans, entre 20 et 40% souffraient d’anosmie, contre environ de 15 à 25% ayant de la fièvre et 13 à 18% une toux. La différence était encore plus prononcée chez les jeunes, avec jusqu’à 60% des moins de 35 ans souffrant d’anosmie contre de 15 à 25% ayant de la fièvre et moins de 10% une toux.

En novembre 2020, Natalia Pchenitchnaïa, une experte russe citait un nouveau symptôme de la maladie : les oreilles bouchées. Elle évoquait une étude réalisée en Turquie dont les auteurs ont analysé les symptômes de 172 patients atteints du Covid-19 pour découvrir ce signe chez 31 personnes, soit 18%.

Certaines personnes testées positives n’ont pas rapporté de fièvre. Dans un rapport de l’OMS publié en février 2020, relayant une étude sur 55.924 malades chinois testés positifs au coronavirus, la fièvre était présente chez 88% des sondés. Alors que dans l’étude européenne d’aout 2020, menée sur des formes légères à modérées de Covid-19, elle ne concerne que 45% des sujets. Quand il y a fièvre, elle est plutôt légère (37,5 à 38°). Est-ce qu’une mutation du virus pourrait expliquer cela ? Probablement car ce coronavirus mute régulièrement, il a déjà connu de nombreuses mutations depuis son apparition.

Yan-Chao Li, chercheur à l’université de Jilin en Chine, discutait cette hypothèse dans un article paru dans The Journal of Medical Virology le 27 février 2020 (et corrigée au 17 mars 2020). Le virus n’avait pas encore été observé dans le tronc cérébral des malades. Le neurotropisme du SARS-CoV-2, responsable de la Covid-19, n’était à ce stade qu’une supposition et les données scientifiques manquaient pour l’attester avec certitude.

En revanche, une étude menée sur 240 patients atteints de la Covid-19 décrit des manifestations neurologiques comme des pertes de conscience et des troubles cérébrovasculaires aigus dans 88 % des cas sévères étudiés. Des médecins rapportent qu’une minorité de patients se plaignent d’anosmie. Il s’agit d’une perte d’odorat souvent associée à une perte de goût (agueusie). Cela a longtemps fait l’objet de débats mais une étude américaine publiée le 19 mai 2020 dévoile que sur 1.002 patients atteints de la Covid-19, la moitié souffrait d’une perte d’odorat, 48 % d’une perte de goût. Des scanners du nez et des sinus effectués sur des patients Covid-19 atteints de perte d’odorat ont révélé que la partie de leur nez responsable de la perception des odeurs, la fente olfactive, se retrouve bloquée par un gonflement des tissus mous ainsi que par du mucus.

Concernant la perte d’odorat, des chercheurs de l’INRAE expliquent que le SARS-CoV-2 entre dans les cellules par un récepteur spécifique, appelé ACE2. Les neurones olfactifs présents dans le nez sont entourés de cellules de soutien dites sustentaculaires qui ont ce récepteur spécifique ACE2. Il semblerait donc que le SARS-CoV-2 infecte massivement ces cellules sustentaculaires mais pas les neurones olfactifs. Ils ont constaté qu’en plus de l’infection des cellules de soutien, il y avait une desquamation de la muqueuse nasale, ce qui pourrait expliquer la perte d’odorat. La desquamation de la muqueuse nasale entraîne une perte des neurones olfactifs responsables de la détection des odeurs. Les chercheurs ont observé une récupération de 50% de la structure initiale de la muqueuse nasale, 14 jours après le début de l’infection. Ils soulignent que la muqueuse nasale est capable de se régénérer tout au long de la vie grâce à des cellules pluripotentes.

Les dermatologues, quant à eux, ont alerté population et corps médical sur ce qu’ils considèrent comme des « manifestations cutanées » de la maladie Covid-19 : pseudo-engelures, urticaire, rougeurs persistantes… Cela reste à confirmer mais il s’avère que certains patients présentent des signes dermatologiques qui ressemblent à celles provoquées par la varicelle ou la rougeole. Ces lésions, souvent au niveau des pieds, se résorbent généralement d’elles-mêmes, sans laisser de trace sur la peau.

Il semble que la durée d’incubation du virus originel variait en général de 3 à 5 jours, mais parfois jusqu’à 14 jours. Le gouvernement gère une page d’informations officielles.

En janvier 2022, plusieurs cas positifs au variant Omicron ont révélé un symptôme peu connu : la paralysie du sommeil. Celles-ci auraient été confrontées à une impossibilité d’effectuer le moindre mouvement, dans des situations d’endormissement ou de phase de réveil. L’origine de ces paralysies pourrait venir du stress engendré par les différentes restrictions de type confinement ou couvre-feu mises en place à travers le monde depuis deux ans. Cette analyse doit encore être confirmée par des études scientifiques plus poussées dont les conclusions pourraient permettre d’officiellement répertorié ce nouveau symptôme apparu. La paralysie du sommeil, bénigne et fréquente, se manifeste lorsque vous êtes réveillés, mais que vous êtes incapables de bouger. Cela peut se déclencher au moment de s’endormir ou en phase de réveil.

Quant à la durée des symptômes, se remettre d’une infection au coronavirus est assez long. Des malades ont rapporté une fatigue prolongée et une perte de goût et de l’odorat pouvant s’étaler sur 8 à 10 jours. D’après l’étude européenne du 20 août 2020, la durée moyenne des symptômes est de 11 +/- 5 jours. Durant cette quinzaine de jours, de nouveaux symptômes peuvent apparaître quand d’autres partent, expliquait Olivier Sadou. La guérison est spontanée « sauf quand il y a une forme grave et qu’on se retrouve en réanimation ».  

Le Covid Long

Quant à la persistance des symptômes, « The Lancet » a publié le 09 janvier 2021 une étude portant sur une cohorte de plus de 1.700 patients chinois hospitalisés au printemps 2020, qui montre que 76 % d’entre eux souffraient encore, six mois plus tard, d’au moins un symptôme.

Une étude publiée dans The Lancet Psychiatry, le 6 avril 2021, qui a porté sur plus de 200.000 patients, montre 34% des patients remis d’un Covid-19 développent un trouble neurologique ou psychiatrique dans les six mois suivant l’infection. Leur gravité est variable, et peut augmenter dans les cas de Covid sévère.

Est-ce à rapprocher des « COVID long« , forme durant laquelle des symptômes persistent plusieurs mois après l’infection ? Récemment, des chercheurs ont montré qu’un des symptômes neurologiques principaux du COVID long, le « brouillard cérébral », peut non seulement persister plus longtemps que prévu, mais également empirer.

Une étude française sortie en décembre 2021 et portant sur 27.000 personnes qui disaient souffrir de la « covid longue » a rapporté que seules 1.091 d’entres elles ont testé positif à un test sérologique. En d’autres termes, 96% de ces 27.000 personnes n’ont jamais eu le covid.


https://cho-ku-rei.fr/wp-content/uploads/2021/05/LCI-CovidLong.mp4

Interview de Cédric Lemogne, chef du service psychiatrie Hotel-Dieu, coordinateur de l’étude. 

La revue The Lancet publiait le 20/01/2022 une étude portant sur 1,2 million de personnes au Royaume-Uni. Elle a montré qu’il y avait moins de chances de symptômes Covid19 d’une durée de 28 jours ou plus chez les personnes ayant reçu deux doses de vaccins – le risque de développer un Covid long serait réduit d’environ 50% chez celles qui avaient une double vaccination.

Selon certains scientifiques, cela pourrait être dû à la suppression additive de la réponse immunitaire à chaque vaccination. Bien qu’une telle suppression soit potentiellemetn bonne pour un Covid19, un système immunitaire affaibli peut avoir d’autres implications dans la lutte contre d’autres maladies infectieuses, de la réduction de l’activité auto-immune, de la réduction de l’incidence du cancer et de la réduction des comorbidités en supprimant les niveaux de fibrinogène.

Cette étude sera probablement contredite par une autre étude d’ici quelques années qui montrera l’émergence des effets secondaires de la vaccination en masse. 

Des effets neurologiques

Il semblerait aussi que le Sars-Cov-2 impacte le cerveau. 

En octobre 2020, l’équipe du Professeur Adam Hampshire de l’Imperial College de Londres a analysé les résultats des tests cognitifs de 84.285 personnes ayant contracté le virus ou suspectées de l’avoir contracté. Les résultats de cette étude indiquent que les malades ayant souffert d’une forme grave de l’infection « obtiennent de moins bons résultats aux tests cognitifs dans plusieurs domaines que ce à quoi on pourrait s’attendre compte tenu de leur âge ». Le Professeur Adam Hampshire va même jusqu’à dire que cette baisse de performance équivaut à un vieillissement du cerveau de 10 ans chez ces personnes infectées.

Dans un article publié le 29/11/21, la Société de radiologie d’Amérique du Nord (RSNA) a voulu déterminer l’incidence des dégâts cérébraux chez les patients avec une infection confirmée par le SARS-CoV-2. « Notre étude montre que les complications dans le système nerveux central représentent une cause significative de morbidité et de mortalité dans cette pandémie dévastatrice », a déclaré Thomas Jefferson, directeur de l’unité de radioneurologie à l’université de Philadelphie. Sur les 39.750 patients pris en charge dans les 11 centres médicaux ayant participé à l’étude (aux États-Unis et en Europe), 4.342 ont passé un examen d’imagerie médicale du cerveau. Et pour 10 % d’entre eux, les images ont montré des anomalies visibles.

Dans un article paru le 7 mars 2022 dans Nature, un groupe de recherche de l’Université d’Oxford, en Angleterre, a comparé des images cérébrales « avant-après » l’infection de plusieurs centaines de patients avec celles de personnes non infectées. Les scientifiques anglais ont analysé 785 scanners cérébraux de l’UK Biobank, la base de données médicale la plus importante du pays, réalisés sur des personnes âgées de 50 à 80 ans. Parmi ces patients, 401 ont été testés positifs au SARS-CoV-2 entre le premier examen et le second, qui a lieu en moyenne 141 jours après le diagnostic de la Covid-19, et les autres n’ont pas été infectés.  Il semblerait qu’avoir une forme légère ou modérée de la Covid-19 n’empêche pas la formation de séquelles à long terme. Les chercheurs anglais ont montré que le cerveau de patients âgés subit aussi des altérations, même quand leur état de santé ne justifie pas une hospitalisation.

COVID19 – Quelques scientifiques hostiles à la vaccination

by 17 décembre 2021

Depuis plusieurs années, la France reste l’un des pays où la population se méfie le plus de la vaccination. Même avec la pandémie actuelle, nombre de Français (26%) seraient opposés à la vaccination contre le coronavirus si un vaccin existait, selon une étude réalisée fin mars 2020 par l’Institut de sondage Ifop. Consultez le site de l’AIMSIB pour vous forger une opinion.

Sur ce lien, une autre étude plus récente sur le ressenti de la population sur le Covid-19. 15% des répondants indiquent qu’ils ne se feraient « probablement pas » vacciner, et 8% « certainement pas ». Parmi les plus âgés, qui sont les plus exposés à des formes graves de la maladie, le rejet est plus faible sans être minime, avec 12% de sceptiques. Tandis que la proportion de refus dépasse 30% parmi les 26-55 ans. Des sondages FaceBook vont encore plus dans le sens de la résistance au vaccin. 

La suspicion générale vis à vis des gouvernements ou de l’industrie pharmaceutique est importante. D’après un sondage de l’IFOP, 55% des français croient à un complot entre le Ministère de la Santé et les laboratoires. Il est évident que si BigPharma finance des compagnes électorales, il faut un retour… …et l’argent permet probablement beaucoup de choses, même de corrompre certains scientifiques ou certains dirigeants.

Nous avons appris fin mars 2022 que l’Etat aurait confié au cabinet McKinsey la gestion de la crise sanitaire. C’est d’autant plus étonnant que ce cabinet a déjà organisé le plus gros scandale sanitaire du 20e siècle. Ce cabinet a du payer une énorme amande dans la crise américaine des opioïdes. Ce cabinet est bien connu pour grenouiller auprès des politiciens. parmi ces personnes travaillant chez McKinsey : le fils Fabius, le fils de Van der Leyen, le DG du parti LREM, etc. Ce cabinet est intervenu pour conseiller plusieurs pays dans la crise du Covid, alors qu’ils ne possédaient pas de compétence particulière dans ce domaine et alors même que nous avions des experts à disposition en France : Pr, Péronne, Pr Raoult, etc. Ce cabinet a conseillé également les grands laboratoires et a même pris des actions PFIZER. Nous sommes donc en présence d’une entreprise qui conseille une vaccination « quasi-obligatoire » et qui fait une fortune avec les actions PFIZER. 

Cette animosité contre les vaccins n’est d’ailleurs pas nouvelle en France. Le niveau de défiance y serait même un des plus forts au monde, à en croire une étude internationale publiée en juin 2019 : 33% des Français y affirment douter de la sûreté des vaccins, une proportion supérieure à celle de tous les autres Etats. Le pays de Pasteur s’y classait aussi sur le podium des nations qui contestent le plus leur efficacité (19% des Français répondent en ce sens), et l’importance de les inoculer aux enfants (10%). Ces réticences persistantes ont conduit le gouvernement à élargir la liste des vaccins obligatoires pour les enfants, passée de 3 à 11 maladies couvertes en 2018.

Contrairement à ce que laisseraient penser les médias mainstream, une partie des médecins se déclarent sceptiques à propos des vaccins. Début mars 2021, à l’hôpital Bichat, à Paris, les propos d’Olivier Véran, qui envisageait d’obliger les soignants à se faire vacciner, divisaient le personnel. Certains estiment l’option envisageable mais d’autres s’agacent d’être montrés du doigt par l’exécutif. Parmi les personnes interrogées, on peut noter des propos tels que « S’ils m’obligent à me faire vacciner, je démissionne »… En effet, le panel de la société se retrouve aussi dans l’hôpital, il y a des complotistes, des réfractaires, d’autres qui souhaitent s’immuniser naturellement…

De nombreux labos ont travaillé d’arrache-pied pour décrocher le jackpot à plusieurs milliards. Les russes se sont engagés également dans la course aux vaccins. Des recherches ont lieu notamment dans un laboratoire hérité de l’URSS et situé près de Novossibirsk, en Sibérie. Ce centre appelé « Vektor » est longtemps demeuré secret. Il fut créé à l’origine pour préparer une guerre bactériologique, et sur lequel peu d’informations sont disponibles. 

Le 12 août, Vladimir Poutine tente une opération marketing pour redorer son blason après sa gestion désastreuse du début crise : un nouveau vaccin. Le Spoutnik V est apparu rapidement. La Russie a déposé un dossier à l’Agence Européenne du Médicament le 21 janvier 2021 pour obtenir l’autorisation de le commercialiser en Europe. Le 4 mars, la Russie est informée que l’examen de la demande du Sputnik V avait commencé mais il sera classé sans suite. Poutine mettra en cause le lobbying des laboratoires et la corruption au niveau de la Commission Européenne.

On peut cependant rester prudent sur l’efficacité réelle de ces vaccins spécialisés contre la grippe. Les autorités sanitaires mettent chaque année l’accent sur la campagne de vaccination antigrippale, en particulier chez les personnes fragiles et âgées, sans se préoccuper des résultats scientifiques solides concluant qu’elle ne diminue ni l’hospitalisation ni la mortalité chez les 55-75 ans. Encore plus gênant : une étude américaine, auprès des personnels du département de la Défense, met en lumière une augmentation de 36 % du risque d’infection par un coronavirus chez les personnes vaccinées contre la grippe…

Tout est dans l’art de présenter les chiffres car cette « efficacité » est la réduction du Risque Relatif de faire la forme grave de la maladie Covid-19 et les chiffres produits par les services marketing, dépendent évidemment de la population choisie pour les tests. Si les personnes sélectionnées avaient été plus âgées, avec plus de comorbidités ou si l’essai avait été effectué pendant une période de forte circulation du virus, comme en Inde aujourd’hui, l’efficacité relative de ce même vaccin aurait été beaucoup plus faible.

Les labos utilisent la valeur de Réduction du Risque Relatif et non pas Absolu pour produire des chiffres comme « 95% d’efficacité ». Cette donnée de réduction du risque relatif est utilisée pour le marketing et la propagande car elle exagère le bénéfice réel attendu. En revanche, ces mêmes labos utilisent la valeur de Réduction du Risque Absolu pour minimiser l’importance des effets secondaires !

Un autre paramètre important est le NNT, qui est le nombre de personnes qui doivent être vaccinées, pour qu’une seule personne puisse avoir un bénéfice du vaccin. Si on prend les chiffres du taux de mortalité de l’Institut Pasteur, dans le cas du vaccin de Moderna, par ex : NNT = 1 / ARR = 1 / 0.011 = 91. Il faudra donc vacciner 91 personnes pour qu’une seule en tire les bénéfices. Les 90 autres auront pris le risque des effets secondaires, voire de mourir sans aucun bénéfice ! Dans le cas du vaccin de Pfizer : NNT = 1 / ARR = 1 / 0.0071 = 141. C’est à dire que sur 141 personnes vaccinées avec Pfizer, 140 personnes vont prendre le risque des effets secondaires sans en tirer aucun bénéfice !

Présenté ainsi, ca donne moins envie ? 

Sur la question de l’efficacité des vaccins, je vous laisse vous forger votre propre opinion. C’est devenu un sujet tabou car des intérêts économiques gigantesques sont en jeu et comme si le jackpot d’aujourd’hui ne suffisait pas, les labos annoncent maintenant qu’il faudra faire une troisième injection, puis peut-être une par an, en raison des variants (ou en raison d’une extraordinaire rente financière) ?

De nombreuses personnes ne souhaitent pas servir de cobaye. La prudence est de mise. Cet avis est partagé aussi par le Pr Caumes mais aussi par de nombreuses personnes du milieu médical. Le 17 décembre on apprenait que deux soignants aux USA avaient eu des réactions allergiques sévères lors de l’administration du vaccin PFIZER, ainsi que de nombreuses autres personnes (sur une durée limitée).

Pour se détendre une petite vidéo du Dr Louis Fouché mettant en scène un dialogue entre un médecin et son patient. 

S’il est louable de vouloir apporter une solution à cette crise sanitaire, il faut rester prudent sur les nouvelles techniques vaccinales. Il est envisageable que les variants britanniques, sud-africains, brésiliens et américains soient des effets secondaires des essais cliniques du vaccin AstraZeneca. Nexus a enquêté : parmi les plus de deux cent projets de vaccins antiCovid en cours de développement clinique et pré-clinique, il existe à ce jour (mars 2021) 14 projets de vaccin à vecteur viral, d’après le site d’information suisse Infovac, dont seulement 4 ont atteint la phase 3 des essais cliniques.

L’approche « recombinante » de certains vaccins, qui bricole des « chimères OGM », c’est à dire des organismes viraux qui n’existaient pas auparavant, est instable, donc propice à se mélanger plus facilement à d’autres séquences génétiques virales. Elle laisse aussi des traces, des résidus de code génétique dans nos tissus. Elle peut aussi parfois intégrer le génome de l’organisme infecté.

Comme le rappellent deux chercheurs d’une unité INSERM/CNRS en 2016 : « Les vecteurs adéno-associés recombinants (AAVr) sont des outils particulièrement efficaces pour le transfert de gènes in vivo. […] Les AAVr sont capables de persister à long terme dans les tissus transduits, sous une forme transcriptionnellement active et majoritairement extra-chromosomique (ou épisomale). […] plusieurs études ont montré qu’une fraction non négligeable du génome AAVr pouvait également s’intégrer de façon non spécifique dans le génome de la cellule hôte, soulevant ainsi la possibilité d’évènements de mutagenèse insertionnelle. »

Cette « mutagénèse insertionnelle » et le potentiel explosif de ces cocktails génétiques, réaction inflammatoire et réponse auto-immune incluses, sont les grands risques pointés par le Dr Christian Velot, généticien moléculaire à l’université Paris-Saclay et président du conseil scientifique du Criigen, dans sa note d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM, diffusée en septembre 2020. Le risque d’apparition de virus recombinant « est encore plus grand dans le cas du recours à des virus génétiquement modifiés car ceux-ci apportent non seulement l’ADN ou l’ARN viral d’intérêt mais également une partie de leur propre génome, explique le chercheur de Saclay. « Il résulte de ces recombinaisons, entre matériels génétiques viraux, des virus dits “recombinants” dont le ou les gène(s) qui a (ont) été le site de ces échanges sont dits « mosaïques », c’est-à-dire constitués en partie de séquences provenant du virus 1 et de séquences provenant du virus 2. […] Dans un certain nombre de cas, ces virus recombinants sont beaucoup plus virulents que les virus d’origine et peuvent donc provoquer des viroses aggravées. »

Il est encore trop tôt pour en tirer des conclusions mais ces alertes doivent nous inciter à la prudence. Maintenons donc une veille technologique sur ces sujets. 

En parallèle, on notera que des vidéos comme « Plandemic » réalisée par la chercheuse en épidémiologie, Judy Mikovits ont été retiré rapidement des serveurs (plus de 7 millions de vues en seulement 3 jours). Parfois, les chercheurs dérangent…

Le 10 aout, la revue Nexus publiait un article « Médecins pour la vérité » : des médecins appellent à la mobilisation pour rétablir les faits sur l’épidémie de Covid-19″ qui est intéressant à lire. Une partie des vidéos a déjà été censuré par YouTube. 

Le 10 et 11 décembre 2021, 250 médecins ont fait le point de la situation COVID-19 à l’occasion du Doctothon : 24H de Live. Depuis le début de cette « crise sanitaire », de nombreux scientifiques tentent de réinformer le public mais face à la propagande massive du gouvernement et des grands laboratoires, ces vidéos qu’on fait passer pour des « fakenews » sont effacées des serveurs YouTube, Facebook, LinkedIn, etc. 

La censure est rapide, dès qu’on ne va pas dans le sens de la doxa officielle. Voici quelques vidéos de scientifiques « dissidents ». Notre santé étant en jeu dans ce contexte de crise sanitaire, la science mérite un débat. A chacun de se forger une opinion. 




Mi janvier 2022, un doctothon plus centré sur les enfants fut organisé. Il était évoqué une augmentation de 300% des suicides chez les adolescents et une augmentation de 7000% des myocardites.

De scientifiques de renommée internationale mettent en garde également contre les vaccins à ARNm et sur la gestion de cette crise sanitaire. Parmi eux, Robert Malone et Luc Montagnier.

Robert Malone, se présente comme l’inventeur de la technologie ARNm mais il convient de relativiser un peu ses propos. Dans un article de l’institut Pasteur au sujet de cette technologie et ses origines, on lit que ce sont les chercheurs Jacques Monod et François Jacob qui ont, pour la première fois, émis et démontré le concept de ce mécanisme, dans un article publié en 1961, qui leur valut le Prix Nobel. Cependant, celle qui décidera de faire appel à cette technique à des visées thérapeutiques, c’est Katalin Kariko. Née en Hongrie en 1955, elle est, avec Drew Weissman, la première à avoir maîtrisé les réactions immunitaires liées à la transcription de l’ARN messager. Aujourd’hui c’est donc plutôt à elle qu’on attribue cette découverte.

Malone a effectivement été l’un des pionniers de cette technologie, dont la paternité est évidemment partagée par de nombreux chercheurs. Comme en atteste ce papier publié en août 1989, il fait partie de ceux qui ont essayé, au début des années 90, d’utiliser l’ARN afin qu’il puisse délivrer un message au système immunitaire. S’il a participé au développement de cette technologie via ses recherches, il n’est donc pas « l’inventeur » du mécanisme utilisé pour les vaccins contre le coronavirus mais on ne peut contester sa bonne maitrise du sujet. 

Malone alerte sur la protéine Spike. Pour rappel, cette protéine de pointe (« spike » en anglais) se trouve normalement à la surface du virus responsable du Covid-19. Or, les vaccins utilisant la technologie ARNm envoient une instruction génétique chez la personne inoculée afin qu’elle produise cette fameuse protéine de pointe. Malone fait référence à une étude réalisée sur des hamsters. Un document déjà utilisé par le passé pour alerter sur la potentielle toxicité des vaccins. Cette étude ne montre pas véritablement la dangerosité des vaccins ARNm. Elle montre que la protéine de pointe du covid-19 est « cytotoxique ». Les chercheurs écrivent ainsi que « les anticorps générés par la vaccination et/ou les anticorps exogènes » protègent non seulement contre l’infectivité, mais également « contre les lésions endothéliales provoquées par la protéine Spike ».

Cela dit, les mois de recul sur l’injection des vaccins ARNm montrent que ces derniers sont globalement inefficaces et parfois dangereux. Le gouvernement a pourtant fait le choix d’une politique sanitaire 100% axée sur la vaccination ARNm. Pire, il a interdit aux médecins de soigner avec d’autres médicaments en bloquant l’Hydroxychloroquine, l’Ivermectine et l’Azithromycine, qui on pourtant donné de bons résultats partout où ils ont été utilisé. C’est à se demander si notre gouvernement souhaite vraiment que les Français se soignent ou s’il souhaite juste nous forcer à nous injecter ce sérum. 

Luc Montagnier, biologiste, virologue et Prix Nobel de médecine alerte également depuis le début de cette crise sur les dangers de la vaccination. Il signale notamment un risque d’augmentation de la maladie de Creutzfeldt-Jakob si on poursuit les injections. Cette maladie est pourtant très rare mais augmente considérablement depuis la vaccination ARNm. On peut la mettre en évidence uniquement en procédant à une autopsie. Evidemment, on décourage vivement les familles de demander une autopsie. 

Le Pr Montagnier parle de « bombe à retardement », tout en soulignant que la vaccination actuelle ne fonctionne pas. Ce n’est pas le virus qui provoquera la chute de l’humanité par la corruption généralisée. 

https://cho-ku-rei.fr/wp-content/uploads/2021/12/DeclarationMalone-360p.mp4

En tant que parent et grand-parent, je vous recommande vivement de résister et de vous battre pour protéger vos enfants.

Robert Malone

Il faut arrêter la vaccination de masse à l’ARNm, c’est une bombe à retardement.

Luc Montagnier

Ci-dessous, une interview de Jean-Michel Claverie, virologue et fondateur de la Société Française de Virologie, et de Stéphane Gayet, médecin infectiologue et hygiéniste au CHU de Strasbourg.

https://cho-ku-rei.fr/wp-content/uploads/2021/12/JM-Clavery-12-2021.mp4

Ci-contre une déclaration du Dr. Ryan Cole. Il critique le lien entre certains grands labo et le domaine public et témoigne de l’efficacité de l’Ivermectine. Il précise que la mortalité diminue de 70% à 90% avec ce médicament, si celui-ci est donné à temps. 

https://cho-ku-rei.fr/wp-content/uploads/2021/12/RyanCole.mp4

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